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Isabelle, grosse et petite mais belle – Chapitre 1




Bonjour à tous. Cette histoire et pure fantasme mais aurait pu se passer car tous les protagonistes de cette histoire, eux, sont bien réels.

Dabord les présentations. Moi, Hervé, 30ans, 1m80 pour 70kg, Châtain et coupé court et les yeux marron. Physique banal qui nattire pas le regard. Ma femme, Liliane, 1m70, 80 kg, des formes plus que généreuses, des seins attirant tous les regards (100 E), les cheveux châtain également, mi longs, les yeux bleus et Blanche de peau.

Jétais marin détat (Marine Nationale) et mécanicien daéronautique. Nouvellement affecté à une escadrille de la base aéronautique dHyères, dans le Var, la 3S. Lambiance y était sympa, voir familiale. Il y avait plus de mecs que de nanas mais une mavait tapé dans lil… Isabelle.

Elle nétait en rien très attirante, 1m65, 80kg, une boulotte quoi, les cheveux noirs mi long, les yeux marron, un visage de poupon, un petit nez en trompette, un cul énorme. Mais son comportement vis-à-vis de moi qui mattira. Elle formait, avec moi léquipe de dépannage, chargée de préparer les aéronefs le matin et de réceptionner ceux-ci à leur retour, le soir. Sous sa tenue de travail, hormis son tee-shirt, elle ne portait pas de soutien-gorge et il me semblait bien que ses dessous se limitaient à un string.

Elle sarrangeait pour être constamment avec moi. Peut-être la curiosité du nouveau, un bizutage ? Du matin au soir, javais un petit toutou collé à mes baskets. Ce qui ne me dérangeait absolument pas. Elle se faisait de plus en plus aguicheuse, portant son bleu de travail enroulé sur ses hanches et un tee-shirt bien trop grand, ce qui avait pour effet de dévoiler son énorme poitrine à chaque fois quelle se penchait. Elle me regardait avec insistance, avec envie. Un soir, faisant la visite après vol dun avion, elle engagea une conversation étonnante.

— Je ne te plais pas ? dit-elle en tirant sur lencolure de son maillot de peau.

— Isa !!! Arrête, si quelquun arrivait ???

— Tinquiète, ils sont tous partis manger.

— Oui, bin, je suis marié. Et puis jai des principes. Jamais avec des collègues de travail.

— Moi aussi je suis mariée. Il Travaille dans le hangar dà côté.

Sa réponse mavait étonné. Je connaissais peut être le mari dIsa. Mais qui était-ce ?

— Et qui cest ton Mari ?

— Franck, il est à latelier roue Tu le connais ?

— Oui, oui, je vois qui.

— Et puis il ne baise plus. Il sort avec ses potes et rentre bourré presque tous les soirs.

— Ce nest pas une raison pour me draguer comme cela. Et puis, je te lai dit, je suis marié.

— Allez, laisse toi aller. Personne nen saura rien. Répondit-elle en me caressant la queue au travers de mon bleu.

La réponse à sa caresse ne se fit pas attendre. Ma verge commençait à se trouver à létroit. La tentation était trop forte ou moi trop faible. Je sortais ma bite de sa prison. Elle me complimenta sur ses mensuration (18×4,5) et me la goba entièrement. Elle suçait comme une affamée. A ce rythme je nallais pas tenir longtemps. Je fermais les yeux et tentais de penser à autre chose. Je pouvais sentir sa salive couler le long de mon sexe et inonder ma combinaison. En à peine deux minutes, je jouissais dans sa bouche. Elle me regarda, la bouche ouverte, pleine de mon jus et déglutit, avalant tout.

— Ce nest quun avant-goût de ce qui nous attend. Tu vas bien tamuser avec moi, et moi avec toi. Allez, viens, les autres ne vont pas tarder.

Cette fois si, cétait moi le petit toutou. Je remontais ma fermeture éclair. Mon bleu était trempé. Son gros cul se dandinait dans le couloir de lavion. Elle se retourna.

— Demain, on est de service. Je sais quil ny a pas de vol mais ta femme ne le sait pas. Si tu peux venir

Le reste de la soirée se passa calmement. Lavion arriva et fut rangé dans le hangar. De retour chez moi, jembrassais femme et enfants (trois garçons) et je partais prendre une douche. Je rejoignais ma femme qui regardait un reportage à la télé.

— Au fait, ma chérie, demain il y a des vols toute la journée et il rentre très tard. En espérant quil ny ai pas de dépannage, je serais de retour dimanche matin Au plus tard je serais là vers 10h.

Jétais mal de mentir ainsi à ma femme mais la proposition dIsa était trop tentante. Il fallait que jy aille. La première fois que jallais commettre ladultère, en onze ans de mariage et cela mexcitait. On partit se coucher après un chaste bisou.

Le lendemain je préparais mon sac, jembrassais ma femme et je partis comme dhabitude, à huit heures. Je métais fait beau. Rasage intégral du sexe, du pubis, des couilles, de lanus et des aisselles. Arrivé à lescadrille tout était calme. Isa nétant pas encore arrivé, je me changeai. En toile bleue et, évidemment, rein dessous. Sentir ma bite frotter sur la toile rêche mexcitait au plus haut point, bref, je bandais comme un fou. Ma bite déformait ma combinaison. Isa arriva ver neuf heure, elle avait dû déposer sa fille chez une amie, son mec voulant sortir. Elle me demanda un petit service.

— Hervé, je ne me suis pas occupée de moi hier soir. Je nai pas eu le temps de mépiler. Tu me laisse un quart dheure pour que je le fasse ? A moins que tu veuilles me le faire. Dit-elle en me regardant dun il coquin.

— Heu, je nai jamais fait ça Ma femme va en institut pour se faire le maillot.

— Ce nest pas très compliqué. Alors ?

— Bon, bin, soit Je vais me transformer en esthéticien.

Elle m’attira dans le vestiaire des filles. Une odeur de chatte en chaleur me monta au nez. Des caissons étaient positionnés de telle façon quils occultaient les fenêtres. Isa sortit de son sac tout le nécessaire à une épilation. Crème dépilatoire, spatule, crème apaisante, serviette de bain et gant de toilette. Elle se déshabilla, de dos. Son fessier était énorme mais ferme. Ses cuisses ne portaient aucune marque de cellulite ni de peau dorange. Son dos était musclé, les épaules larges. Quand elle se retourna, cétait le plus belle vision Quil mavait été permit de voir. Un ventre parfaitement plat. Des hanches larges et des seins gigantesques qui tombaient un peu sous leur poids.

— Alors, je te plais comme cela ?

— Ouf, tu es magnifique Tu fais du sport ?

— Oui, beaucoup de natation et un peu de musculation. Mais assez parlé, déshabille toi, et rejoint moi sous la douche. Il Faut une peau parfaitement propre pour lépilation.

Elle se retourna et alla dans la douche spécialement aménagée pour les rares filles de lescadrille. Une fois leau à bonne température elle se glissa sous le jet et se caressa tout le corps avec du gel douche. Elle me fit signe de la rejoindre. Elle commença par me laver la tête, puis le torse, les fesses, les cuisses et les jambes.

— Très belle queue que tu as las. Jespère quelle est endurante ?

— Oui, jarrive à jouir trois fois dans la journée.

— Cest tout ? Il va te falloir des médocs pour assouvir mon appétit. Dit-elle en se relevant. Allez séchons nous et allons dans le vestiaire.

Une fois Séché, elle sinstalla sur une table, jambes écartées et me donna un gant en plastique pour lui passer la crème. Après lapplication et le temps de pose, elle partit sous la douche se rincer, sappliqua elle-même la crème apaisante. Elle était ravissante avec son abricot tout lisse. Elle me fit sortir du vestiaire, nu, et se dirigea vers un Nord 262 (avion de transport de passager).

— Cest là que je veux me faire baisser. Installe-toi et laisse-moi faire.

Je ne fis pas prier et minstalla dans un fauteuil. Elle se mit dans le fauteuil me faisant face et écarta les jambes au maximum. Elle commença par se caresser les seins, se pincer les tétons. Ils se dressèrent presque aussitôt. Elle se les lécha, mordilla. Elle avait fermé les yeux et soupirait. Puis elle fit descendre ses deux mains vers son sexe et en écarta ses grandes lèvres. Doucement, elle sexcitait le clitoris. Je me masturbais lentement, moi le mari qui allait cocufier sa femme. Elle ouvrit les yeux. Le spectacle, que je lui offrais, semblait lui plaire car elle me souriait. Elle entra directement trois doigts dans sa caverne damour, puis elle les sortit et me le donna à lécher. Quils sentaient bon, un délice. Pendant de longues minutes, elle recommença le même manège. Se plantant la main entière et me la donnant à nettoyer. Plus le temps passait, plus sa main était trempée de son jus. Je me délectais de ces offrandes. Puis elle se leva et vint goûter à ses secrétions dans un baiser brûlant. Nos langues jouèrent une partie de cache-cache interminable. Elle saisit ma verge gorgée de sang et me masturba lentement. Elle se retourna et sagenouilla dos à moi, sur le fauteuil qu me faisait face.

— Prend moi fort, baise moi comme une pute, jen ai envie Hervé

N’écoutant que ma bite,je me levai et la pénétra, dun coup sec et violent, son sexe détrempé. Et ce fut une longue cavalcade. Ressortant entièrement ma bite et la rentrant bien à fond.

— Plus fort, Hervé OUI, cest bon, HAN, HAN.

Le fauteuil grinçait, bougeait. Mes coups de boutoir étaient de plus en plus violents. Je lui claquais les fesses qui rougirent très vite. Je me mis à califourchon sur elle et je la chevauchais comme jamais. Elle Gueulait maintenant.

— Tu aimes ça grosse salope

— HAN, HAN, OUI, cest bon, je jouis !!!! Putain que cest bon.

— Je vais jouir aussi, JE VIENS.

Elle me repoussa et se mit à genoux. Elle ouvrit la bouche et sortit la langue. Elle me masturbait vite et fort.

— AHHHH, grosse pute, je.VIENS. AAARRRGGGGHHHH.

Mes jets de sperme atterrirent tous dans sa bouche, sur sa langue. Les derniers sur ses seins. Me regardant dans les yeux, elle joua quelques instants avec ma semence et avala le tout. Elle me lava la bite, se lécha les seins.

— Putain, il y avait longtemps que je navais pas baisé comme cela.

— Tes quune grosse et belle cochonne.

— Oui et alors. Tu as aimé, non ?

— La vache, jétais en transe On va se rafraîchir ?

— OK, ça te dirait un petit tour à la plage ?

— Heu, je nai pas de maillot et pas de serviette.

— Question serviette, jai tout ce quil faut dans la voiture, par contre pour le maillot

— Je ne vais pas me foutre en caleçon

— Tu nas jamais pratiqué le naturisme car moi cest courant.

Il est vrai quelle ne portait aucune marque de maillot, son bronzage était intégral.

— Ne tinquiète pas, là où nous allons, il ny a pratiquement personne. Surtout le samedi matin.

Et ainsi on se retrouva dans sa voiture, direction les Salins dHyères, plage bien connue pour ses couples naturiste et ses mateurs en tous genres. Elle mavait fait remettre mon tee-shirt, mon short et mes claquettes. Le fait dêtre nu sous mes vêtements me fit bander. Elle le remarqua.

-Hummm, jai envie de ta belle queue

— Oui Bin concentre toi sur la route.

Javais déjà entendu parler de cette plage. Réservée à la pratique naturiste, bordée de pins parasol et dendroits plus discrets pour les couples coquins. On arriva sur un immense parking à moitié vide. On marcha huit cents mètres avant darriver à la zone réservée. Elle se dessapa. Je limitais. Quel drôle dimpression. Ma queue à moitié bandée flottant entre mes cuisses. Elle mindiqua un endroit discret et à labri du soleil de ce début juillet. Puis, tout naturellement elle alla se baigner. Elle me fit signe de la rejoindre. Mon embarra était immense. Je devais avoir lair ridicule avec mon bronzage « camionneur ». Je plongeais dans la grande bleue. Leau y était bonne. On nagea un moment quand Isa me prit dans ses bras et membrassa. Je devins rouge de honte, ou dembarra. Cest la première fois que jembrassais une autre femme que la mienne et en public, sil vous plait. Elle le remarqua et explosa de rire.

— Alors Hervé, timide ?

— Ce nest pas ça ! Mais imagine que quelquun nous reconnaissait

?

— Tu as vu du monde toi ? Il ny a personne, mis à part les vieux habitués du coin. Aller, on sort.

Je la regardais, plutôt ladmirais sortir de leau. Son déhanchement, sa démarche étaient simplement sublimes. Je mallongeais sur une serviette pendant quelle se séchait. Petite grosse, mais musclée, pas une once de cellulite. Le corps dune athlète de lutte gréco-romaine. Elle aurait pu faire de moi ce quelle voulait. Je ne faisais pas le poids. Elle sallongea sur le dos et fouilla dans son sac.

— Encule-moi. Dit-elle simplement. Au vue de la taille de ton engin, tu auras besoin de cela

Elle me tendit un tube de vaseline tout neuf et se mit en position de levrette en appui sur ces coudes. Dans cette position, javais une vue imprenable sur sa croupe et sa magnifique rosette.

— Alors ? Quest-ce que tu attends ? Viens menculer, viens prendre ta grosse chienne.

— Comment, ici ?

— Bin oui !!! Où crois-tu ?

Encore une première pour moi. Et oui, à 34 ans, je navais jamais pratiqué la sodomie. Je pris le tube de vaseline et en sortis une belle noix. Comme ma seule expérience était dans les films porno, je fis preuve dimagination et commença à lui enduire le petit trou. Josais à y entrer un doigt, puis deux. Je faisais des petits allers-retours, tout en tournant. Sa respiration se faisait de plus en plus entendre, plus forte. Jenduisis ma queue, qui sétait tendue entre temps.

— Vas-y doucement. Je veux sentir chaque centimètre de ton gros engin rentrer en moi… Mais vas-y à fond, en butée.

A cette invitation, je présentai mon gland à lentrée du petit tunnel. Je poussai à peine et mon gland fut comme aspiré. Je continuai ma pénétration, comme elle me lavait demandé. Lentement, ma bite disparaissait dans ce chaud conduit.

— HUMMM,quelle est bonne ta queue. Ne bouge plus. Reste en moi. HUMMM, tu aimes ?

— Oui, cest bon, cest chaud Cest une première pour moi.

— Comment !!! Tu n’as jamais enculé ta femme ? Alors vas-y. Défoule toi. Défonce mon gros cul de chienne.

Je sortis ma bite, et le fait de la rentrer de nouveau dans son anus me fit comme une décharge électrique. Mon gland était massé comme jamais. Je la limais lentement, pour son plaisir, pour mon plaisir, sortant mon gland à chaque fois.

— HUMMM, cest peut-être la première fois, mais tu ty prends bien. File-moi ta serviette, Cest trop bon. ARGH

Je lui donnai ma serviette et elle mordit dedans pour sen faire un bâillon. Cette fois le feu vert était donné. Mes pénétrations furent plus rapides, plus violentes. De voir ce petit conduit qui restait ouvert, à chacune de mes sorties, mencourageait dy aller plus fort, plus loin. Jagrippais, dune main, ses cheveux et la montais comme une pouliche. De lautre main, je lui giflais les fesses, lune après lautre. Jétais de nouveau en transe. Je ne sortais plus ma queue entièrement, mais je reculais assez pour pouvoir lui asséner de violent coup de queue. Mes couilles venaient cogner son sexe. Sa figure était rouge. Son nez était déformé par sa respiration. Ses mains se crispaient dans le sable. Mes claques étaient de plus en plus fortes, son cul était écarlate. Après 10mn de ce traitement, jéclatais dans son gros cul, plusieurs jets puissants. Je navais jamais connu cela. Elle se laissa tomber, je laccompagnai. Je repris mes esprits 3 ou 4 minutes plus tard, toujours fiché en elle. Isa soufflait encore. Elle avait lâchait la serviette.

— Putain Quel étalon tu fais. Tu mas cassé le cul La vache que cétait bon Mes fesses, je ne les sens plus. Tu ny as pas été de mains mortes

— Oui, mais tu as aimé !!! Et moi, jétais tellement parti que je ne savais plus ce que je faisais.

Je me retirai délicatement et mallongeas sur le dos. Elle vint me nettoyer la queue de sa langue agile. Divin. Elle se blottit dans le creux de mon épaule.

— tes une bête de sexe. Je ne regrette pas de tavoir fait du rentre dedans.

— Même avec ma femme, je nai osé faire la moitié de ce que lon a fait.

Javais trouvé, en Isa, la maîtresse parfaite. Et ce nétait pas fini.

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