Cette histoire bien réelle est assez courante au sein de nombreux couples.

Jolie petite blondinette de vingt cinq ans, Bernadette travaille depuis maintenant trois ans comme secrétaire dans une importante entreprise de la région.

Elles sont six jeunes femmes pour soccuper du secrétariat et de la comptabilité de cet important site, le patron de cette entreprise importante est un homme dune quarantaine dannées, un bel homme avec qui jai familiarisé lors de journées ou soirées organisées par le comité dentreprise dont mon épouse fait partie.

Dernièrement nous regardions avec ma femme un film à la télévision : cest lhistoire dun homme responsable dune importante usine, qui na quune idée : séduire, toucher et faire lamour avec ses employées.

Tout lui est bon pour arriver à ses fins, lors des entretiens dembauches les filles et femmes qui postulent pour travailler dans son usine sont pratiquement obligées de satisfaire ses envies pour obtenir les postes si convoités par ces jeunes femmes.

Ce nest quun film, je me prends au jeu ; quel salaud dis-je à ma femme à plusieurs reprise à lencontre de ce type sans scrupule qui nhésite pas à "virer" celles qui nadhérent pas à ses exigences.

Bernadette regarde les images sans dire un mot, alors que moi au fil du film je suis de plus en plus excédé par un tel comportement envers ces filles qui nont pas dautres solution que de subir attouchements, accouplements pour garder leur emploi.

Le film se termine et nous partons nous coucher, je suis particulièrement excité car le film que nous venons de voir qui était essentiellement axé sur le sexe imposé par le patron à ses employées

Je me couche, très rapidement pour rejoindre ma chérie qui a défait ses cheveux blonds qui tombent en cascade sur ses épaules elle a revêtue une nuisette rose pale qui lui arrive à mi-fesses et qui de plus est entièrement transparente.

Je trouve ma petite femme délicieuse, je mate avec envie son petit cul, mon idée de lui faire lamour devient de plus en plus pressante, quand soudainement elle vient se blottir tout contre moi en se faisant chatte et en me disant quil faut quelle me parle

Mes idées et mes envies vagabondes tout en saisissant un sein que je caresse puis que je suce, la blondinette sabandonne dans mes bras, nos bouches se collent, mes mains sinsèrent entre ses cuisses à la rencontre de sa minette qui ce soir comme bien souvent va être à la fête.

Après avoir fait lamour pendant une bonne heure, au moment de sendormir enlacés, je sens que ma compagne a quelque chose qui la préoccupe.

— Tu nas pas aimé ? dis-je en la prenant par le cou.

— Oh si ! me dit-elle en me gratifiant dun baiser en insérant et en nouant sa langue et nous nous endormons.

Le lendemain cest un samedi, nous faisons la grâce matinée, puis nous déjeunons.

Quand je pense à ce film dhier soir dis-je en regardant Bernadette, je pensais que le droit de cuissage nexistait plus.

— A ce sujet dit-elle, il faut que je te dise quelque chose, mais je ten supplie promets moi de ne pas te mettre en colère et de mécouter.

Je la regarde dun il interrogateur.

Ce que tu as vu hier, eh bien çà mest arrivé, jai subi ce genre de chose, et cela continue, tu vois le droit de cuissage existe encore.

Je la regarde lair grave et en colère.

— Tu veux dire que ton patron, celui que je connais ta fait subir ce que nous avons vu hier soir.

Elle me répond que oui en hochant de la tête et en évitant de me regarder, elle mexplique que si elle ne lui cédait pas, elle perdait son poste et se retrouvait au chômage.

Tout bascule dans ma tête, je mimagine ma petite femme se faire déshabiller, caresser puis prendre par ce type, je tremble et suis en colère par ce quelle est en train de me dire.

Jen veux à son patron, jen veux à ma femme de lui avoir cédé, peut être était-elle consentante, beaucoup de questions se bousculent dans ma tête.

— Le salaud ! dis-je, je vais aller le voir lundi.

Elle me regarde enfin dans les yeux, cest fait me dit-elle et je regrette, si tu vas le voir, je perdrai à coup sûr mon travail et ce nest pas trop le moment avec les crédits que nous avons fait dernièrement.

Me reprenant, je sais quelle a raison, elle mexplique et va vous raconter comment cela a commencé.

— Dés mon entretient dembauche je savais que jaurai ce poste, une amie mavait renseigné sur cet homme et sur ses attirances sexuelles pour les jeunes femmes, elle mavait donné certaines recommandations pour me mettre en valeur à ses yeux et surtout ce qui lattirait.

Le jour de lentrevue javais suivi ses conseils ; petite jupe assez courte qui dévoilait le haut de mes cuisses et la lisière de mes bas noir autofixant, un chemisier bien échancré avec deux boutons ouvert laissant entrevoir ma petite mais jolie et surtout bien ferme poitrine.

Durant tout lentretien, je lui avais sorti le grand jeu en me penchant lui laissant apercevoir les prémices de mes nichons que javais laissé en liberté ce jour là, car très ferme.

Mais ce qui lavait fait basculé cétait quand nous avions pris le café sur la table basse de son bureau, positionné lun en face de lautre javais à plusieurs reprises croisé et décroisé mes cuisses assez hauts pour lui dévoiler le haut de mes cuisses.

Javais même poussé le bouchon un peu loin en lui laissant clairement voir la couleur de mon petit string qui ce jour était noir et si fin quil était transparent .

Tout en lui dévoilant ce quil cherchait à voir, je le regardais dans les yeux avec un petit sourire.

Il ne mécoutait plus, il me mangeait des yeux surtout mon entrecuisses, il transpirait abondamment, cétait décidé, je voulais ce poste et je laurais, mais à quel prix !

Cela faisait quinze jours que jétais embauchée quand il me demanda de rester un peu plus tard le soir après le départ de mes collègues.

Elles mavaient bien mises en garde, "jolie comme tu es tu vas passer très rapidement à la casserole."

Je pensais que cétait de la jalousie.

Quand elles sont parties ce soir là elles mont jeté un regard en souriant en me souhaitant bon courage, même une de mes copines ma dit de prévenir mon mari que je rentrerai assez tard.

Après avoir discuté longuement en buvant un café dans son bureau, il mavait dit quil me trouvait très jolie et pensait me faire gravir rapidement les échelons.

Au début il prenait mes mains en les caressant, les attouchements sétaient rapidement précisés en se portant sur mes seins, le repoussant, il mavait alors signifié en me rappelant que jétais à lessai et quil était souhaitable que je sois conciliante pour continuer à travailler dans la boite.

Très rapidement ma décision était prise car je ne me voyais pas renoncer à mon travail, javais bien trop besoin de cet argent, je le laissais me déshabiller, caresser tous mes trésors les plus secrets et les plus cachés.

Ce soir là il me fit mettre à quatre pattes sur le tapis, la tête reposant sur le canapé, me prenant aux hanches il mavait enfilé comme une pute.

Après mavoir besogné un bon moment avec son sexe volumineux et particulièrement long, marrachant des cris à chaque fois quil buttait au fond de mon utérus, jai joui ce jour là deux fois sous ses assauts.

Me traitant de pute et de salope, il mavait tapissé à deux reprises les parois de ma matrice, pour terminer, jai dû lui nettoyer sa bite, chose que jai toujours refusée à mon mari.

Je suis rentrée chez moi la tête tourbillonnante après ce que je venais de faire, prétextant une migraine, jai pris une douche et me suis couchée pleine de remords.

Entre les mains de mon patron, je lui avais donné le plaisir quil voulait, javais honte davoir aussi facilement cédé et trompé mon chéri en jouissant par deux fois et en prenant, oui je lavoue, du plaisir, pour la première fois avec un autre homme que mon mari .

Ceci nest quun début dune relation assez tumultueuse, qui dure toujours et quil nest pas toujours facile de gérer.

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