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Dur de Rouler en patin – Chapitre 3




J’avais interrompu mon récit alors que mon frère rentrant de sa fac avec un jour d’avance avait surpris ma mère et moi, lorsqu’à sa manière, elle m’aidait à prendre ma douche quotidienne. Il est vrai que quinze jours après ma chute en rollers, les deux bras, coudes et poignets bloqués par une intervention, une écharpe et un plâtre, même en résine, j’étais incapable de m’occuper de moi et je ne pouvais assumer, comme il est dit dans les articles traitant des grands vieillards, les actes essentiels de la vie quotidienne. (voir les épisodes précédents)

Donc, Laurent, mon frère avait découvert sous l’éclairage cru de la salle de bain, sa mère nue, assise sur le rebord de la baignoire, la queue de son fils cadet enfoncée dans sa bouche jusqu’aux couilles, en train de la sucer avec entrain, tous deux recouverts d’une mousse onctueuse.

Indiscutablement étonné, peut-être indigné, il fait demi-tour et quitte l’appartement, nous laissant un peu honteux et sans voix. Il n’est pas nécessaire de vous préciser que j’avais débandé en quelques secondes. Ma mère, sans un mot, les yeux baissés, rince rapidement la mousse qui nous recouvre, elle sort de la baignoire, s’enveloppe dans son peignoir de bain. Puis elle m’invite à faire de même, m’entoure d’une grande serviette, la frotte rapidement sur mon corps et quitte la pièce en disant :

— Je reviens tout de suite.

Après quelques minutes pendant lesquelles je sèche à la chaleur du chauffe serviettes elle revient, habillée, boutonnée jusqu’au cou, mon pyjama à la main. Elle retire la serviette, m’aide à enfiler le pantalon et la veste, et repart à la cuisine. J’enfile mes mules, je pousse la porte de la chambre de Laurent, qui a juste déposé sons sac et je reviens doucement vers la cuisine. Comme si rien ne s’était passé, ma mère me précise qu’elle prépare le dîner pour trois.

A 21h, nous nous mettons à table et mangeons en silence, sans croiser nos regards. Comme d’habitude depuis ces derniers jours, elle m’aide et me tend un morceau du bout de ma fourchette, en alternance avec son propre repas. Elle me rapproche mon verre d’eau avec une paille. Le poulet haricot vert est avalé en 10 minutes, dessert compris. Mon frère n’est pas revenu.

Je file dans un fauteuil du salon, je regarde d’un il distrait un match de foot joué par des joueurs asthéniques. Ma mère me rejoint au bout d’une demi-heure, sans un mot, elle bouquine une revue, dont elle ne tourne pas les pages, le regard absent, puis se lève et me dit qu’elle va se coucher. J’attends Laurent, en vain, jusqu’à minuit.

Le lendemain matin, je passe devant la chambre de Laurent dont la porte est ouverte. Il dort écrasant son matelas. Ça me rassure un peu. Ma mère en peignoir prépare le déjeuner, m’aide à l’avaler et comme tous les jours à me préparer pour la journée. Elle va ensuite s’habiller. Le bruit réveille Laurent, qui, sans allusion à son intrusion inattendue dans la salle de bains, ni à sa soirée fugueuse, nous souhaite le bonjour, va prendre son petit-déjeuner et quand Maman libère la salle de bains, va y faire un tour et enfile ses vêtements.

— Bon, quel est le programme du jour ? J’ai des cours à revoir, mais je le ferai demain, aujourd’hui on se balade ?

— Je vous propose un tour du marché ce matin, puis nous déjeunerons chez "Yvette". Ensuite un ou deux magasins, il y a encore des soldes sur des fringues. Et en fin d’après-midi un cinéma.

"Yvette", c’est un petit restaurant familial, tenu par une dénommée Juliette, allez comprendre, où nous déjeunons très agréablement et régulièrement pour un prix sympa, quand notre mère veut bien nous y amener.

— OK, le programme me convient dis-je, et toi Laurent ?

— Super.

Nous voilà donc partis, déposant la voiture dans un recoin d’un parking bourré, flânant dans les allées du marché, remplissant le grand sac à carreaux bleus et jaunes de légumes, fruits, fromages fermiers. Puis le sac déposé dans le coffre, nous rejoignons "Yvette", où Juliette tout sourire, nous promets une superbe omelette aux cèpes précédée d’une salade de tomates et poivrons du jardin, suivie de quelques profiteroles dont elle a conservé une recette parmi les meilleures.

En attendant, Laurent se lève pour aller aux toilettes et se rafraîchir les mains.

— J’irais bien avec toi, mais il faudra m’aider, lui dis-je à voix basse.

A ce moment-là, seulement, regardant mes deux mains à la mobilité limitée, il semble découvrir mon incapacité à faire quoi que ce soit et notamment à baisser ma braguette.

— Ah merde, je n’avais pas réalisé. T’es vraiment handicapé un max. Alors, se tournant vers ma mère, tu es vraiment obligée de l’aider pour tout ?

— Eh oui, dit-elle, rougissant un peu, songeant sans doute à son "aide" d’hier soir, qui avait dépassé ce qu’on peut juger le minimum indispensable et qu’avait constaté, incrédule, Laurent.

— Bon, bien on y va.

Et nous nous dirigeons tous deux vers les toilettes. Je lui dis que je pisserais volontiers. Nous nous enfermons dans le réduit habituel, il baisse ma braguette, sort ma bite de mon slip et, discret, sort du cabinet en me disant,

— Je te laisse. Moi je serais incapable de pisser devant quelqu’un comme ça.

J’arrose, puis je dois l’appeler pour me reboutonner. Je retourne dans la salle où Laurent nous rejoint peu après.

L’après-midi se déroule comme prévue, nous achetons, quelques chaussettes, un pull chacun, deux ou 3 chemises que nous partageons souvent et ma mère s’offre une jolie jupe et une parure de sous-vêtements un peu coquins, ma non troppo.

Petite discussion sur le film à choisir quand nous arrivons au multiplex. Finalement nous optons pour un film de zombies servi par une multitude d’effets spéciaux. Ce genre de film qui s’oublie dès la sortie de la salle.

Nous rentrons vers 20h. Notre mère nous prépare un petit repas, et alternativement, elle et Laurent me donnent la becquée. On débarrasse, enfin pas moi ! On reste encore un peu au salon devant la télé du samedi soir plutôt racoleuse. Puis Maman s’adresse à Laurent :

— Il faut aider ton frère à prendre sa douche. Peux-tu t’en occuper ce soir ?

— OK répond Laurent.

Je suis dans mes petits souliers. Laurent me précède dans la salle de bains.

— Je présume que je dois te déshabiller.

— Euh, oui. Et puis tu me mettras ces manchons en plastique qui sont sur la chaise, pour ne pas mouiller mon plâtre, ni mon attelle.

En deux minutes me voilà à poil. Laurent enfile les plastiques. J’enjambe la baignoire et il fait couler la douche, froide d’abord, le salaud !, puis elle se réchauffe.

— Bon, tu veux que je te savonne ? J’ai vu qu’hier avec Maman, tu étais couvert de mousse.

— Euh oui, s’il te plaît.

Laurent s’empare d’une éponge sur laquelle il fait couler un peu de gel moussant et commence à me frotter le dos, les fesses, les jambes. Il me demande de me retourner, me frotte la poitrine et le ventre, puis les jambes. Il remonte alors, vers mon intimité que j’ai pu contrôler jusque-là. Il dessine quelques cercles sur mon bas-ventre, puis commence à passer l’éponge sur ma verge, sur les testicules, entre mes cuisses pour laver mon anus.

Puis voyant que ces frictions douces, chaudes et glissantes commencent à produire un effet sur ma queue, qui commence à s’allonger, à durcir et à redresser le gland, il lâche l’éponge et me savonne avec sa main.

— Dis donc, Maman, hier, elle faisait plus que te laver. Ce n’était pas désagréable, je pense ?

— ….

— Alors elle te l’a mise dans la bouche, comme quand nous étions gamins ?

— ….

— Et les autres jours aussi ?

— …

— Et tu as déchargé ?

— Euh, oui, suis-je arrivé à dire dans un souffle, pendant que ce salaud à force de va-et-vient onctueux sur ma verge me faisait bander à m’en exploser le gland.

— Ben dis donc, tu as fait exprès de te casser les deux bras. C’est vrai que tu ne dois pas arriver à te branler facilement. C’est pour ça que Maman te soulage ?

— Ben c’est venu comme ça. C’est vrai que ça lui a rappelé les douches qu’elle nous donnait, quand nous petits et de fil en aiguille….

— Oui mais pourquoi elle était à poil hier ? Elle ne l’était pas avant.

— C’était pour ne pas mouiller ses vêtements. Arrête, s’il te plaît, je vais finir par jouir si tu continues.

Pendant cette conversation, Laurent continuait à me branler avec douceur, en faisant bien coulisser sa main pleine de mousse sur mon gland dont l’éruption était imminente.

— OK, vas-y, c’est rigolo, je n’ai jamais branlé un mec, autant que ce soit toi. Ce n’est pas désagréable tu sais et ça m’excite aussi, dit-il en me montrant sa braguette tendue par son propre émoi.

Et il continue de plus belle, ce qui fait qu’en moins de 30 secondes supplémentaires, j’envoie un premier jet puissant, que Laurent a finement dirigé vers le mur, puis les autres s’écoulent sur sa main, la baignoire et sont emportés par les jets d’eau chaude.

— Rince toi sous la douche, me dit-il, alors qu’il va au lavabo, débarrasser ses mains du savon et de mon sperme entremêlés.

Puis Laurent m’aide à sortir de la baignoire, me sèche, m’habille de mon pyjama. Je retourne dans ma chambre le laissant faire sa toilette.

Je m’allonge, en pensant à ce que vient de faire Laurent. Je dois avouer que passé l’effet de surprise, c’était plutôt agréable et qu’après tout, c’est moi qui, bien qu’involontairement, m’étais mis à bander quand il a commencé à me passer du savon sur tout le corps. Donc j’étais un peu demandeur et ça ne pouvait pas se cacher. Puis je me suis dit que Laurent allait sans doute se branler sous la douche, étant donné que lui aussi avait été excité par cet événement.

Je l’entends rentrer dans sa chambre, pendant que Maman prend possession de la salle de bains. Après qu’elle en soit ressorti, alors que je m’assoupis doucement sur mon bouquin, Laurent passe sa tête à ma porte, un doigt sur les lèvres.

— Psst.. Viens un peu dans ma chambre. Et il disparaît.

Intrigué je me relève, je le suis. Il s’est allongé sur son lit. Il est allongé sous un drap, sous lequel sa main s’active semble-t-il à hauteur de slip.

— Assieds-toi sur le lit. Dis-moi. C’est toi ou c’est Maman qui a pris l’initiative de jouer à ce petit jeu sous la douche ?

— Je ne sais pas trop. C’est venu comme ça, parce que quand elle s’est mise à me laver, ça m’a fait de l’effet, comme tout à l’heure avec toi.

— Bien, écoute-moi. Demain je repars à Lyon en fin d’après-midi, et je reviens, comme d’habitude, samedi prochain. Rassure-toi, je ne vous ferais plus la mauvaise farce d’arriver vendredi. Tu t’arranges avec Maman, je compte sur toi, pour samedi prochain. Il faut qu’elle nous offre à tous les deux une séance douche comme avant et qu’elle nous caresse ou nous suce la bite ou les deux.

— Attends, je n’oserai jamais lui demander ça.

— Tu te débrouilles, mec. Elle t’a fait du bien. Je réclame la même chose. Depuis que je vous ai vus, je fantasme un max là-dessus. Ce soir c’était pas possible, je ne la sentais pas, surtout après mon irruption d’hier. Mais dans 8 jours, cela va se tasser. Il faudra bien qu’elle reprenne tes douches et là c’est à toi de jouer.

— Je ne promets rien. Je ne me vois pas lui en parler.

— Si, si j’y tiens. En attendant, ce n’était pas désagréable tout à l’heure, dans la douche ?

— Non faut l’avouer, même si c’est tout de même gênant.

— OK. A ton tour

— Quoi à mon tour ?

— Oui, à ton tour. Je te présente ma queue que tu n’as pas dû revoir depuis quelques années. Tu vois, comme la tienne, elle a grandi.

Et Laurent, repousse son drap, et me présente sa verge tendue comme un peuplier qu’il branle doucement, découvrant un gland bien large, centré par un orifice béant, prêt à cracher. Je suis interloqué par cette apparition et ne peux esquisser le moindre geste. Laurent me saisit doucement le cou et me force à me pencher pour rapprocher mon visage de sa bite.

— Comme tu ne peux rien faire avec tes mains, voilà, tu vas me la sucer. Ne t’inquiète pas elle est toute propre, elle sent bon et je t’avertirai avant d’éjaculer.

— Il n’en est pas question.

— Bien sûr que si. D’abord tu me dois bien ça. Le plaisir doit être réciproque. Et si tu refuses, je dis à Maman que tu as réclamé que je te branle sous la douche, que tu as même demandé que je te suce et que tu avais conclu que je faisais ça mieux qu’elle. Tu vas voir si elle va encore s’occuper de toi. Fini les toilettes érotiques ! Allez, suce et ne discute pas.

Il accentue la pression sur mon cou et amène ma bouche au contact de son sexe. Malgré moi, j’entrouvre mes lèvres qui s’arrondissent autour de son gland et ma langue vient caresser son extrémité. Finalement, cela n’est pas désagréable et je commence, sa main sur mon cou dictant le rythme, à avancer, puis reculer mes lèvres sur sa tige, engloutissant à chaque fois un peu plus de longueur. Je lèche son extrémité, entourant ma langue autour du sillon du gland. Je sens le petit goût du liquide clair qui trahit son excitation. Laurent ne dit plus rien et ferme les yeux. Il lâche mon cou, sentant que je vais continuer tout seul mon "travail". Même si j’étouffe un peu à respirer par le nez qui vient se faire chatouiller par ses poils pubiens, je n’éprouve finalement, ni déplaisir, ni dégoût. C’est mon grand frère, je l’aime bien et mon seul souci est de lui procurer du plaisir, une jouissance. Je suis content de le faire.

Il a remis sa main à la base de sa bite pour se branler au même rythme que ma bouche. Il se tend brutalement, ses muscles abdominaux durcissent.

— Sors, me dit-il dans un souffle.

J’hésite à le garder en bouche, mais j’ai peur de le recevoir comme ça et de ne pas le supporter. Je me redresse. En trois mouvements de plus de sa main, il explose, faisant jaillir son sperme en un court geyser puissant qui retombe sur son ventre, suivi d’autres jets de moins en moins vigoureux. Le sperme est abondant. Laurent se détend doucement, garde les yeux fermés pendant quelques dizaines de secondes. Je respecte sans rien dire ce calme.

— Merci, me dit-il enfin. Puis doucement il précise. Je ne suis pas spécialement homo, mais tout à l’heure avec toi, j’étais excité de te voir jouir et je voulais que l’on soit quitte. Mais ça ne change rien. J’aime les filles. J’ai trois copines à la fac que je baise de temps en temps, mais ce n’est pas régulier, il faut avoir l’occasion et je sais qu’elles aussi baisent avec plusieurs mecs. Si on veut baiser régulièrement, il faut s’agglutiner avec une seule meuf, mais c’est aussi une source d’emmerdements, elles deviennent jalouses, si on veut sortir avec des copains, elles font des histoires. Donc pour l’instant ça me va bien, même si je reste parfois un mois sans tirer un coup. C’est un peu le cas actuellement, c’est sans doute pour cela que ça m’a excité tout à l’heure.

En réalité, il n’est pas le seul. En lui suçant la queue, j’ai senti que la mienne bandait à nouveau et que si mon frère avait proposé de s’occuper d’elle, elle n’aurait pas dit non. Mais bon, il faut savoir se dominer.

Nous avons encore passé une demi-heure à parler de sa vie d’étudiant. Il m’a fait promettre de parler à notre mère cette semaine pour une douche "à l’ancienne" et je suis retourné finalement dans ma chambre, où je n’ai pas tardé à m’endormir après ces nouvelles émotions.

Le Dimanche se passe comme d’habitude pour Laurent. Il va courir avec deux copains, revient en fin de matinée, prend sa douche, passe à table, pendant que notre mère prépare le déjeuner. Avec mes bras coincés, je traîne, lis, me promène un peu autour de notre domicile, mais le temps est gris, froid et en marchant je ne me réchauffe pas.

L’après-midi, nous digérons tous les trois en somnolant devant la télé. Laurent a aidé Maman à débarrasser la table, a repassé lui-même sa lessive qui a séché dans la nuit. Il passe une heure sur un poly, écrit une ou deux pages, puis nous quitte pour prendre son train dans la soirée, car il a cours demain matin à Lyon. Avant de partir, il me glisse à l’oreille:

— Je compte sur toi pour samedi prochain.

Nous restons seuls. Ma mère parle peu. Elle regarde son livre sans tourner les pages, l’air vraiment pensive. Soudain elle me questionne.

— Est-ce que Laurent t’a dit quelque chose sur son arrivée imprévue dans la salle de bain, vendredi soir ?

— Oui et non, enfin c’était un peu évasif.

— Mais encore ?

— Ben, il m’a dit que ça lui rappelait les douches de notre enfance.

— Il n’a pas trouvé anormal de me voir nue ?

— Je lui ai dit que c’était pour ne pas mouiller tes vêtements.

— C’est tout ?

— Oui, à peu près.

— Et quand il t’a lavé, ça n’a pas posé de problèmes.

— Non, pas de problème. Je me dis que je ne mens pas. "Pas de problème, il m’a branlé c’est tout." Mais ça, je le pense, je ne lui dis pas.

— Je pense qu’il ne faut plus recommencer. Je suis un peu honteuse. Son ton n’est pas vraiment convaincant.

— Oui, peut-être ça serait mieux. Je me traite d’hypocrite. Recommencer, j’aimerais bien en réalité.

Nous en restons là. Vers 19h30, après avoir préparé un petit dîner en cuisine, elle me propose d’aller me doucher avant le repas. Elle m’accompagne aux toilettes, me déshabille et assure ma douche, sans geste équivoque, passant sa main sur mes parties intimes le temps le plus court possible. L’ambiance n’y étant pas j’arrive à ne bander qu’à moitié, ma queue durcit bien un peu et s’allonge, mais garde la tête basse. Ouf !

Lundi et mardi, même cinéma. Je m’emmerde copieusement la journée. Des copains passent quelques dizaines de minutes, m’apportent des nouvelles du lycée, des devoirs, que je ne peux pas faire, sans pouvoir même tenir un crayon, ni taper sur un clavier. Ma mère rentre assez tard. Ma toilette, les repas sont vite bâclés. Difficile de lui parler de la demande de Laurent.

Mais, habitué la semaine précédente à me faire branler ou sucer tous les jours, l’abstinence depuis samedi commence à me monter à la gorge. Selon la formule, j’ai les couilles gonflées à bloc. Vingt fois dans la journée, les images de ma mère nue, collée contre moi me reviennent à l’esprit. Je bande et rebande presque que continuellement. Mercredi, je n’y tiens plus.

Dans la salle de bains, le soir, j’exhibe devant ma mère un braquemart d’une longueur et d’une dureté inhabituelle. Quand elle me savonne le corps, je tremble de désir pour qu’elle me prenne la queue à pleine main, qu’elle la caresse, qu’elle la suce, qu’elle la frotte contre son corps doux et confortable, qu’elle l’introduise dans sa chatte chaude et mouillée. Mon envie est si intense, si visible, qu’elle ne peut l’ignorer.

Elle le sent bien, mais passe l’éponge sur le dos, le ventre, les jambes. Puis elle arrête tout mouvement. Je suis face à elle, la bite dressée, turgescente, dégoulinante de la mousse savonneuse qu’elle y a appliquée. Elle a les yeux fixés sur elle de longues secondes. Je sens sur mon gland l’intensité de son regard. Je sens mon excitation s’amplifier. Est-ce croyable ? Sans contact, rien que par la force de ce qu’expriment ses yeux, je me sens près à éjaculer, comme ça, sans autre stimulation. Mais, comme sortant d’un rêve, elle redresse la tête, me regarde en souriant et s’exclame :

— Eh puis zut !

Il était temps, la tension de ma queue se relâche un peu. Seules une ou deux goutte de liquide apparaissent hors de son orifice oblong. Ce n’est, je l’espère que partie remise.

Ma mère rince ses mains, les sèche rapidement, se déshabille à toute allure, enjambe la baignoire. Elle se colle sur mon dos, étale la mousse sur mon ventre et agrippe ma bite. Elle fait courir sa main, glissant sur la mousse. Je suis aux anges. Je ne vais pas pouvoir me retenir longtemps. Elle sent la contraction de mes muscles qui précède l’émission de ma semence, elle poursuit sa caresse pendant que l’autre main s’introduit entre mes fesses et qu’un doigt indiscret caresse mon petit trou. Quel bonheur.

J’éclate et fais jaillir mon sperme à deux mètres.

— Laisse-toi aller mon petit. Profite de ce moment magique. C’est tellement bon.

Elle me souffle ces mots dans l’oreille. Je frissonne de plaisir. Sa main se relâche, vient étaler la mousse et les dernières gouttes de sperme sur mon ventre, sur mes couilles. Son doigt qui caresse mon anus continue de dessiner des petits cercles sur ses bords. Manifestement Maman sait donner et prolonger le plaisir.

Je sens que mon cur se calme, ma bite se détend, mais reste encore assez tendue. Si sa main vient effleurer mon gland, je sursaute. Il est encore tellement hypersensible.

Puis elle se détache lentement de moi. Elle remet du produit moussant sur l’éponge et se savonne le corps. Elle me regarde en souriant. Je suis là, tout proche, debout dans la même baignoire, les bras coincés dans leur carcan recouvert du sachet de plastique qui les protège. Je la regarde. Elle pose un pied sur le bord de la baignoire, écartant son genou, faisant bailler son entrejambe. Elle exhibe sa féminité entourée de ses poils humides, plaqués sur la peau, ayant perdu leurs ondulations. Elle passe et repasse l’éponge mousseuse sur ses lèvres qu’elle écarte de son autre main.

— Regarde me dit-elle, je me nettoie bien pour toi, pour que ça sente bon.

Que veut-elle dire ? Elle se saisit du pommeau de douche, règle la température de l’eau, elle se rince, faisant couler les résidus de mousse telle l’écume des vagues. Elle me rince aussi, devant, derrière. Elle sort de la baignoire, enfile un peignoir de bain. Elle m’aide ensuite à enjamber le rebord, m’enroule dans une serviette. La pièce est pleine de buée, l’air est réchauffé par la longue douche. Les miroirs sont opaques de gouttelettes d’eau.

A peu près séchée, ma Mère s’assied sur l’unique tabouret, écarte largement et impudiquement les pans de son peignoir.

— Viens me dit-elle. Mets toi à genoux devant moi. Je t’enlève cette serviette, tu n’auras pas froid tout nu. Viens, tu vas m’embrasser comme je te l’ai fait. Tu vas voir, c’est très doux.

Dans un rêve, je lui obéis, je tombe sur mes genoux, je me penche entre ses cuisses qu’elle a écartées très largement. Je sens l’odeur du parfum de la douche. Je vois ses lèvres légèrement entr’ouvertes, les replis, les muqueuses roses. Ma bouche est attirée comme par un aimant. Je colle mes lèvres sur ses lèvres intimes. Un long moment, je ne bouge plus.

— Va, commence à lécher tout doucement, me dit-elle.

Comment ne pas obéir ? Je sors ma langue et je commence parcourir les sillons de sa féminité. Le goût est délectable. Je déguste. Je la fais courir de haut en bas, d’avant en arrière. Je commence à découvrir les nuances. La peau des grandes lèvres et leur duvet, et surtout la douceur des petites lèvres, dont l’humidité n’est pas seulement due à ma salive. Ma langue s’infiltre dans le sillon médian, qui s’entrouvre tel un coffret précieux. Mes papilles y retrouvent une acidité qui pique et ouvre l’appétit. Je colle les lèvres sur les siennes, j’appuie fortement, faisant pénétrer la langue aussi loin que possible explorant toutes les zones accessibles.

— Va plus haut.

J’obéis, je remonte jusqu’à sentir un petit relief, ferme, sur lequel mes lèvres butent. Elles l’entourent, l’aspirent, je le chatouille de la pointe de la langue.

— Oui, continue.

J’apprends vite, j’improvise, mon instinct trouve les bons mouvements à faire avec ma bouche, avec la pointe de la langue, avec les dents qui mordillent sans serrer. La respiration de ma mère s’accélère, j’entends comme un léger râle qui se répète. Je sens que mon excitation revient. Mon sexe qui au sortir de l’eau avait perdu de sa superbe et de sa consistance, redresse la tête. Je le sens durcir. Je découvre le plaisir qu’apporte, sans qu’on y touche, celui que sa bouche apporte à l’autre. Le mot me revient. Cunnilingus. Oui, ce mot qui m’apparaissait assez barbare et peu engageant est source de joie, de bonheur, de plénitude.

Son ventre se tend. Ses mains saisissent ma tête pour appuyer le plus fortement ma bouche sur sa fente. J’étouffe un peu. Elle tremble, accélère sa respiration, pousse quelques cris étouffés. Cela semble durer de longues minutes ? Je suis un peu dans un autre univers, la tête me tourne. Je sens que ma mère est en pleine jouissance, un cri plus puissant s’échappe de ses lèvres, puis lentement elle se détend, ne bouge bientôt plus, sans un mot, me caresse les cheveux, mais maintient ma tête dans la même position, mes lèvres collées sur sa vulve chaude, humide et gonflée par le plaisir.

Je me sens bien, mon excitation est grande certes, mais supportable, mon orgasme dans la baignoire, il y a moins d’une demi-heure, aide à me contenir. Puis ma mère se redresse, elle m’aide à me relever, avec un sourire que je n’ai jamais vu.

— Ah mon petit, ah mon petit ! s’exclame-t-elle. Si tu savais….

— Quoi ? dis-je

— Non, rien. Tu m’as fait très, très plaisir. Tu ne peux pas imaginer. N’aie pas honte, s’empresse-t-elle de dire, allant au-devant de mes questionnements ou de mes étonnements. Tout cela est naturel. Tu m’as fait un baiser appuyé là où on embrasse rarement sa mère, mais ce n’est rien d’autre qu’un baiser.

Et avant que je puisse réfléchir, toujours assise, les jambes écartées, elle m’attire, moi, nu, debout, la bite bien tendue, vers elle. Elle me prend dans sa bouche et devant une telle douceur, une telle chaleur, une telle moiteur, une telle sensation d’être absorbé par ce qu’il y a de plus agréable au monde, toutes mes pensées, toutes mes interrogations s’estompent et je suis entièrement plongé dans le plaisir.

D’autant plus que, outre le jeu subtil de ses lèvres et de sa langue, une de ses mains s’empare de mes testicules qu’elle malaxe avec douceur, l’un contre l’autre évitant toute douleur par la légèreté de sa manipulation. L’autre vient me caresser le thorax et vient pincer les petites pointes de mes petits mamelons, me faisant découvrir une nouvelle excitation.

A nouveau, je sens que je vais expulser mon foutre pour la deuxième fois dans la même demi-heure. J’aimerais bien le faire dans cette bouche si accueillante, si confortable, mais je ne suis pas certain de le pouvoir. Dois-je sortir ? Quelle va être l’attitude de ma mère qui doit bien sentir que l’acmé de mon plaisir est proche. Sa réponse est claire. Sa main quitte mes seins, vient se poser sur mes fesses et appuie sur celles-ci de façon à ce que mon bas-ventre et son bâton dur comme du bois pénètre encore plus loin entre ses lèvres.

Je laisse alors aller mon instinct. Un dernier effort, comme pour gravir l’arête sommitale d’une montagne, et j’explose dans cette bouche maternelle, si hospitalière. Nos mouvements s’atténuent. La pression des lèvres me retient dans cette moiteur incomparable. Je sens une langue qui fait et refait le tour de ma bite prisonnière et consentante. Quand enfin, pour pouvoir avaler ou cracher le trop plein de salive et de sperme mêlés qui commence à l’étouffer, elle retire doucement ses lèvres qu’elle serre sur ma verge, comme pour une dernière caresse, puis quittant l’extrémité de mon gland, elle garde sa bouche en sifflet, me sourit, se lève pour aller déverser le trop-plein dans le lavabo.

— Ouaf, s’exclame-t-elle. J’ai apprécié. Et toi ?

— Comment ne pas apprécier ? dis-je, songeant à toutes ces découvertes sexuelles que je fais depuis ces quelques jours qui se sont écoulés depuis ma chute. Je suis incrédule de bonheur.

— Viens, que je te nettoie un peu.

Elle me reprend la queue dans ma main, m’attire vers le lavabo et m’enlève à grande eau ces résidus de plaisir qui collent à ma peau. Un coup de serviette pour me sécher et, obéissant à son envie, elle se penche pour m’appliquer un dernier baiser sur mon membre qui sollicité par deux fois, s’avachit doucement. Puis elle me passe mon pyjama à la braguette béante, laisse émerger ce qui fait l’objet de tous ses soins ces dernières minutes.

— Voilà, c’est joli, dit-elle. J’aime voir, euh.. ton petit oiseau mettre le nez hors de son nid.

Toujours nue, elle m’accompagne dans ma chambre.

— Couche-toi m’incite-t’elle. Et, elle vient de blottir dans mon petit lit contre moi. Je sens la chaleur, la douceur de son corps. Je n’ai, hélas pas l’usage de mes mains pour la caresser.

— Je suis bien, Maman. C’est tout ce que j’arrive à dire.

— Je le vois. J’espère que tu ne me juges pas mal. Vois-tu, depuis le départ de votre père, je n’ai pas connu une vraie vie de femme. Tous mes efforts s’orientaient vers vous. Il fallait que je fasse bien mon travail, que je gagne l’argent qui me permet de vous élever, ton frère et toi. Que je m’occupe de la maison, de vos études, de vos loisirs, de votre avenir. A part vous, je suis très seule, nous n’avons pas de famille proche, mes collègues de travail ne sont pas vraiment des amis. Et, comment dirais-je, ma vie de femme est très aléatoire, pour ne pas dire inexistante. Aussi, je n’ai pas pu résister à ce corps d’homme que tu possèdes maintenant et à ta virilité que tu étais forcé de mettre sous mes yeux. Tu ne peux pas savoir, quand on est une femme en manque, l’effet magnétique que procure la vue d’une belle queue bien tendue, pour peu qu’on ne soit pas agressée brutalement. Impossible de résister à la prendre en main, impossible de résister à la prendre en bouche, impossible de résister à la rentrer en soi. Impossible de résister à cette chaleur que l’on ressent au bas du ventre, à ce liquide que nous faisons couler pour l’accueillir avec tous les égards dus à sa générosité. Tout cela est naturel. L’occasion nous a été donnée de faire ce que nous avons fait. Après, quand tu sera autonome, sans avoir besoin de moi, je te laisserai vivre ta vie de jeune homme comme tu l’entends, sans avoir à me "provoquer" (je plaisante, tu n’y peux rien), et je me débrouillerai avec mes fantasmes et mes envies. C’est ce que je voulais te dire.

— Merci, maman, de ta franchise. Tout ce qui s’est passé est merveilleux, mais pas facile à concevoir d’emblée. Pourtant après coup, c’est vrai que c’est naturel, et finalement si simple. Les moments que j’ai vécu avec toi et t’avoir au chaud contre moi, sont merveilleux. Je n’ai jamais connu un tel plaisir et je sais que ce sera très dur de ne pas les renouveler.

Tout en l’écoutant et en lui répondant, je sens de nouveau, sous mes draps une agréable sensation de mon corps. Peu à peu, ma verge durcit à nouveau. La parole étant libérée, je m’enhardis.

— Maman, glisse ta main vers mon pyjama, je suis si bien là avec toi, que je crois que je bande encore une fois. Caresse-moi un peu, tout doucement, sans qu’on aille trop loin. C’est si bon.

Sa main glisse sur mon thorax, descend tout doucement vers le bas; A hauteur du nombril, elle rencontre du bout du doigt le bout de mon gland.

— Oh, déjà si haut ! s’étonne-t-elle.

Puis elle vient doucement enrober dans sa paume le cylindre chaud où elle peut sentir les pulsations accélérées de mon cur. Elle imprime quelques mouvements alternatifs qui achèvent le durcissement de mon phallus et le comprime fermement sans plus bouger. Nous sommes dans un bien-être absolu.

Est-ce la caresse de ses mains ? Est-ce la complicité que nous venons encore d’accroître ? Je sens que je vais oser lui formuler la demande insensée de mon frère.

— Dis, Maman,

— Oui, mon fils chéri.

— Dimanche, Laurent a évoqué ce qu’il avait vu dans la salle de bains, quand il était arrivé à l’improviste.

— Oui, tu m’as dit qu’il avait été un peu évasif.

— Ben en fait, il m’a avoué que cela l’avait bien excité et qu’il s’était mis à fantasmer là-dessus.

— Oui, c’est peut-être un peu normal.

— Donc il m’a demandé….

— Quoi donc ? Je sens alors que sa main presse un peu plus fort ma queue qu’elle tient toujours fermement.

— Ben il m’a demandé, si, que, si que tu voulais bien, il aimerait que tu nous donnes la douche à tous les deux, samedi prochain.

— Pourquoi ? Il ne sait plus se laver tout seul ?

— Oh, tu as sans doute compris, qu’il ne s’agit pas seulement de nous laver.

— Ah bon, dit-elle faussement ingénue. Qu’est-ce qu’il veut d’autre ? Sa main se resserre encore plus et reprend quelques va et vient qui commencent à me faire perdre la raison, mais qui aussi libèrent ma parole.

— Ben, si possible que tu nous reprennes dans la bouche, comme avant et au fond, il veut que tu le suces comme tu l’as fait pour moi.

— Rien d’autre ?

— Non, euh… rien d’autre.

— Bon, samedi est un autre jour. On n’y est pas encore. Mais crois-tu que je pourrais lui refuser ?

— C’est à toi de décider.

— Et ça ne te gênerait pas d’être sucé devant ton frère ?

— Non, je ne crois pas. Je suis à deux pas de lui dire que je l’ai sucé aussi, mais je ne veux pas risquer un refus, des fois qu’elle me renvoie à nous débrouiller ensemble.

— Eh bien, je vais réfléchir.

Et elle me branle de plus belle. Je sens que c’est tout réfléchi. Laurent sera comblé. Mais que m’arrive-t-il ? Encore quelques secondes et je vais lâcher mon sperme, ou ce qu’il en reste pour la 3ème fois de la soirée. Ma mère s’en rend compte. Elle me serre fortement, juste la base de la verge. L’envie s’éloigne.

— Allez, je retourne dans ma chambre. A demain mon trésor.

Elle repousse le drap, se redresse toujours aussi nue et appétissante (que n’ai-je mes mains pour caresser son corps ), se penche sur ma bite pour en sucer la pointe pendant quelques trop courtes secondes, et me quitte en souriant.

Je me retourne sur le ventre pour calmer mes ardeurs renaissantes et m’endors rapidement en vivant déjà notre séance à trois.

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