La tête et le dos collés au siège, les jambes écartées et les joues rouges, j’étais en train de me faire embrasser par mon père. Mes lèvres s’ouvrirent, peut-être par étonnement, pour accueillir sa langue chaude. Mes cuisses aussi s’écartèrent pour accueillir ses caresses. Soudain, la réalité du moment refait surface et vient frapper ma conscience. J’écarquille les yeux et essaye de repousser mon père, mais au lieu de crier ou de contester, je m’entends gémir dans sa bouche, et j’entends le cuir du siège couiner tellement j’écarte les jambes. Mon corps ne répond pas ! Je dois arrêter tout ça ! C’est immoral ! Et si on nous voyait ! Encore un gémissement…. Je crois même que mon corps est excité à cette idée.
— Anna ? demanda mon père en arrêtant de m’embrasser et en retirant sa main.
Il a sûrement lu sur mes yeux le désarroi qui m’envahissait. Il baisse son regard sur ma jupe et, de sa main, la rabaisse. Il prend son visage entre ses mains et soupire bruyamment, comme dégoûté.
— Excuse-moi Anna, dit-il en baissant le frein à main et en démarrant. Excuse-moi.
Du lycée à la maison, de l’autoroute jusqu’au quartier, aucun mot, aucun regard. Il avait ses yeux sur la route mais l’esprit ailleurs. Je crois même entendre sa conscience crier « Tu n’es qu’un connard ! Comment as-tu osé faire ça à ta fille ?! Ta propre fille bon sang ! Quel crétin ! Va te tirer une balle dans la tête ! Qu’est-ce qui ne tourne pas rond chez-toi ?! » Et cela comme une musique qui se répète, encore et encore, sans arrêt.
On arrive enfin devant chez-moi. Je vois ma mère debout au seuil de la porte, les bras croisés, comme si c’était nous les fautifs. Quelle pétasse !
Papa se gare,pâle comme un linge. Je descends après lui de la voiture, en faisant attention à ce que ma jupe ne me trahisse pas, et on se dirige vers la porte, où nous attend notre ennemi commun.
Dès qu’on arrive devant elle, je m’attendais à tout, vraiment à tout, sauf… à ce qu’elle pouffe de rire. Elle beugla d’un rire saccadé et strident, je crus que tout le quartier allait sortir pour s’assurer que ce n’était pas une poule qu’on violait. Je vis le poing de mon père se serrer derrière son dos et ses yeux se planter dans ceux de ma mère. Cette dernière arrête finalement son spectacle et essuie ses larmes de joie.
— T’es parti ramener ta fille ? demanda-t-elle d’un sourire arrogant. Pour qu’elle voit à quel point son père est faible ? N’as-tu pas honte de dévoiler ainsi ton échec à ta fille ?!
Je suis sur le point d’enfoncer mes angles dans ma paume tellement je serre mon poing. À chaque fois qu’elle prononce un mot, une syllabe, j’ai envie de lui sauter à la gorge et de lui arracher les yeux. Mais quand je décide de riposter, mon père monte une marche et prend la parole.
— Je ne suis pas là pour dévoiler quoique ce soit, ni pour te blâmer de quoique ce soit Maria. Je veux juste te demander une faveur.
Mais c’est quoi ce bordel ? Qu’essaye-t-il de faire ? Lui ? Lui demander une faveur à elle ?
— Pour une fois…, reprit-il. Essaye d’appeler Anna « notre fille » et non pas « ta fille », je te rappelle que c’est aussi ta fille, alors, Maria, si t’as encore ne serait-ce qu’un peu d’amour pour moi, ou pour « notre » fille… je te prie de le lui faire savoir.
Je suis bouche bée. Mon père, cet homme, est un ange… et il fallut qu’il tombe amoureux d’une diablesse. Cette dernière se remit à rire.
— Tu ne changeras donc jamais ! dit-elle sur un ton de dégoût. Tant que tu n’arriveras pas à dire ce que tu penses, tu ne seras jamais un homme, Bryan.
C’est la cerise sur le gâteau ! Ma mère donne des conseils ! Je m’avance pour monter les marches et massacrer cette garce, mais quand je le fais, mon père m’arrête et me fait ’’non’’ de la tête. C’est plutôt lui qui monte pour se retrouver nez-à-nez avec ma mère.
— Je ne dis jamais ce que je pense à ceux qui ne le méritent pas. Donc, Maria, je te prierai de quitter les lieux sur le champ, je crois que tu en as assez fait pour aujourd’hui.
— Quoi ? Tu vas me virer de chez…
— De chez-moi ! L’interrompit-il en criant. C’est chez-moi ici ! C’est chez Anna ! Ce n’est pas chez-toi ! Pars ! Va chez tes parents ! Et ne t’avises plus de revenir !
Maria se tut. Elle venait de voir une partie de mon père qu’elle ne connaissait pas : la colère. Il la refoulait, pendant toutes ses années, il s’était contenté de laisser passer sa colère pour le bonheur des autres, cette partie de lui sommeillait au fond de son cur, jusqu’à ce que Maria vienne la réveiller. En voyant cette dernière rentrer chez-elle en tremblant, Bryan, mon père, savoura ce moment de gloire, son moment de gloire, il l’avait mérité.
Une demi-heure passa, et Maria -que je n’ose plus appeler « ma mère »- était partie, emportant avec elle ses bagages, et laissant derrière elle une maison enfin débarrassée de son arrogance maladive. Mon père s’absenta pendant toute l’après-midi. Il m’avait laissée seule dans le salon, noyée dans mes pensées à propos de ce qui venait de se passer, de ce que ça va engendrer, de l’impact que ça aura sur ma vie, et j’en suis arrivée à une conclusion toute simple… que c’était mieux ainsi. Qu’on allait avoir une vie meilleure mon père et moi… et en y repensant, mon ventre se tord et mes joues rougissent. Ce qui m’arrive ? Je ne le sais pas encore, mais cette sensation m’est familière, et à vrai dire, je ne vois vraiment pas sa place dans ce genre de situation.
J’entends la porte se fermer, mon père est rentré. Je jette un coup dil à l’horloge et vois qu’il est vingt heures, je m’étais endormie dans le canapé, une jambe pliée et ma jupe retroussée à la taille. Dès que je m’en rends compte, je bondis et remets tout en ordre, juste avant que mon père n’entre au salon.
— Tu t’es enfin réveillée ? demanda-t-il en s’asseyant à mes côtés.
— J’ai beaucoup dormi ? dis-je en me redressant sur mes genoux (ce qui fit remonter ma jupe en dévoilant la totalité de mes cuisses).
— Oui tu étais très fatiguée on dirait.
Il jeta un coup d’oeil autour de lui, comme pour voir s’il n’y avait personne, puis reposa ses yeux noirs sur moi, en relevant un sourcil d’une manière si sexy…
— J’ai tout gâché, reprit-il. N’est-ce pas ?
— Qu’est-ce que tu racontes Papa ?!
— Je… je suis un monstre, dit-il en prenant sa tête entre ses mains et en plaçant ses coudes sur ses genoux.
— Ne dis pas de sottises ! lançai-je en m’approchant de lui. Tu n’es pas un monstre, tu es quelqu’un de merveilleux, de trop merveilleux pour ce monde… de trop merveilleux pour Elle.
— Ce n’est pas d’Elle que je parle, fit-il en me regardant. Mais de toi, Anna.
De Moi ?! Il repense à ce qui s’est passé dans la voiture ? Je ne sais pas pourquoi, mais je sens mon estomac se tordre de nouveau et une chaleur m’envahir.
— Ce que je t’ai fait…, reprit-il sur le même ton de dégoût. Je ne me le pardonnerai jamais.
En voyant son regard baissé, je sus que les mots ne suffiraient pas à le consoler. Je me lève en posant délicatement un pied après l’autre sur le parquet et me place face à lui. Son regard est toujours baissé. Je descends et m’assois sur mes fesses, frémissant légèrement au contact du sol froid. Je jette mes jambes pliées de côté jusqu’à sentir mes talons effleurer mes fesses. Je place mes mains sur les genoux de mon père et le regarde droit dans les yeux.
— Papa… Je comprends que tu t’en veuilles, mais je crois personnellement que si je ne le voulais pas, je t’aurais repoussé…
— Mais Anna… ce genre de choses ne se produisent pas entre un père et sa fille…
— Je le sais bien, et je ne dis pas le contraire. Je dis juste que tu n’as pas à t’en vouloir, parce que… j’ai aimé.
Sans m’en rendre compte, je crois que quand je dormais, quelques boutons de mon chemisier ont sauté. En plus, je me rappelle avoir ôté mon soutif car j’avais chaud. Je sens l’air frais caresser une majeure partie de mon sein droit, et j’ai peur que mon père, d’où il est, puisse voir mon téton qui commence à durcir. Son regard suffit à me mettre dans un de ces états ! Il relève ses yeux sur moi et vois que je suis déboussolée, et que mon visage prend de différentes couleurs. Il place soudain sa main sur ma joue et la caresse de son pouce. Oh mon dieu je fonds… Qu’est-ce qu’il est attirant avec son regard triste. Je deviens complètement folle !
— Tu es si belle Anna, dit-il d’une voix douce et percutante à la fois. Tu es bien plus belle que ta mère…
C’est vrai que cette garce était bien gâtée par la nature : une poitrine bien fournie, un cul de rêve, une silhouette fine et un visage diaboliquement angélique. Me comparer à elle… me dire que je suis plus attirante qu’elle… me rend folle de joie. J’ai envie de pleurer. Je pose ma main sur la sienne et lui souris en battant des cils. Et sans faire exprès, je remonte ma jambe gauche en laissant la droite par terre, et je me retrouve à former un « L » avec mes jambes, dévoilant ainsi tout à mon père. Ce dernier baisse les yeux et scrute ce que j’ai entre mes jambes. Je vois sa pomme d’adam monter et redescendre dans sa gorge. Je m’exhibe librement devant mon père ! Quelle salope…
— Oui, tu es très belle, redit-il en faisant passer son pouce sur mes lèvres.
Je ne sais pas pourquoi, mais en guise de réponse, je couine bêtement, comme une chienne. Ma respiration s’accélère et je sens que mon cur va lâcher tellement il bat fort. Sans m’en rendre compte, mes jambes sont maintenant complètement écartées, mais au lieu de les resserrer, je n’en fais rien. Je profite seulement de son toucher, de ses doigts qui caressent mes lèvres et descendent sur mon menton pour ensuite glisser le long de mon cou. Je transpire, ma respiration est haletante, il le remarque. Sa main s’arrête au bas de mon cou, mais j’ai envie qu’il continue, que sa main descende plus bas, qu’il me caresse les seins… Puisque sa main ne veut pas descendre, c’est donc à moi de monter. Je me redresse sur mes genoux, et la main de mon père se pose instinctivement sur mon sein droit, presque totalement libéré de mon chemisier. Il écarquille les yeux et les repose sur mon visage. Oh Dieu que ce regard me tue… Il est étonné et je vois qu’il hésite. S’il hésite encore un peu, il risque de retirer sa main, et je ne le lui permettrai pour rien au monde. Je plaque ma main sur la sienne et la sert contre mon sein, avant de gémir.
— Anna… On ne peut pas faire ça…
— Papa, tu as passé presque toute ta vie à ne rien faire par peur des conséquences de tes actes. Je ne vais pas dire que ma… que Maria avait raison mais… il serait temps que tu dises et que tu fasses ce que tu penses.
Il me lance soudain un regard mauvais en fronçant les sourcils et se lève, contrarié. Je me lève à mon tour et le tire vers moi par les revers de sa chemise. Son corps se colle brusquement au mien et je me retrouve sous son regard, à le regarder d’en bas, à contempler sa mâchoire parfaitement dessinée et sa pilosité qui datte d’à peu près trois jours. Je prends son visage entre mes mains et fais baisser sa tête vers moi (il me dépasse d’une demie-tête).
— Papa, dis-je d’une voix douce en le regardant droit dans les yeux. Je ne suis pas comme elle. Moi, je te comprends, et je ne te donnerai que ce que tu mérites vraiment. Laisse tomber l’éthique et la morale pour un moment, juste… pour ce soir…
J’ai l’impression qu’il n’attendait que la fin de cette phrase pour s’emparer de mes lèvres, et apaiser enfin la boule que j’avais au ventre, sauf que maintenant, ce n’est pas mon ventre qu’il fallait apaiser… Nos langues s’entrelacent dans un bain de salive et le fait de sentir son corps se coller au mien suffit à me faire gémir dans sa bouche. J’harcèle ses cheveux avec mes mains tandis qu’il me presse les fesses. On marche maladroitement, guidés par un désir dévorant, toujours en s’embrassant, puis mon père me plaque contre le comptoir de la cuisine. Il est trop haut pour qu’il puisse m’y poser, mais le désir est trop grand pour aller chercher un autre endroit où baiser, je veux qu’il me prenne ici !
— Papa… Prends-moi ici, s’il te plaît… j’ai envie de toi !
— Ohh Anna…
Je lui parle comme à un amant, je suis ivre de désir, mon esprit n’est plus là.
Il m’embrasse le cou et arrache d’un coup mon chemisier, mettant à nu mes seins. Je me retourne et place mes mains sur le comptoir. Je recule légèrement jusqu’à me sentir frôler son érection et creuse mon dos pour mieux faire ressortir mon cul. À la pointe des pieds, j’attends que mon père me prenne, qu’il me défonce ici sur le comptoir de la cuisine, j’ai envie de lui…. de le sentir en moi. Je tourne ma tête de côté, sans bouger, et le vois me contempler dans cette position. Il baisse son pantalon puis son boxer à hauteur de ses tibias. Son sexe est plus beau que dans mes pensées les plus tordues… c’est un morceau de chair que s’arracherait n’importe quelle femme vivante sur cette terre ! Je passe ma langue sur mes lèvres quand je le vois le prendre dans sa main et s’avancer vers moi. Je me retourne et ferme les yeux. Je veux me concentrer sur un seul de mes sens : le toucher. Une décharge électrique traverse ma colonne vertébrale quand je sens son gland passer de mes lèvres à mon pubis.
— Mhmmm ! gémis-je en arquant encore plus mon dos. Papa !
Je sens ses mains chaudes se poser sur mes fesses brûlantes, oh que j’ai envie qu’il les presse ! Et comme s’il avait entendu mes prières… il le fit. Et en plus de les presser, il claqua l’une d’entre elles en soupirant bruyamment.
— Ton cul Anna…, dit-il d’une voix enrouée. Ton cul est plus beau que celui de ta mère…
La suite n’est qu’une succession de gémissements. Je gémis quand il me pétrit les fesses et les seins, je gémis quand il pince et allonge mes tétons, je gémis quand il fait passer sa langue le long de mon dos pour arriver à ma raie, quand il la passe le long de mes cuisses pour arriver à mes lèvres… Je vais exploser !
— Ahhhhh Papa ! Baise-moi ! Je t’en prie ! Je vais mourir !!!
Je sens soudain son gland entrer en contact avec mes lèvres, et bien sûr… je gémis ! Il le fait balader entre elles, puis il s’avance, se penche sur mon dos et me mord l’oreille avant de me pénétrer d’un coup sec ! L’à-coup était si fort que j’ai entendu l’écho produit par le claquement de mon cul contre ses cuisses. La bouche ouverte et les yeux fermés, je continue de gémir en le sentant bouger en moi, puis ressortir, pour me re-pénétrer d’un coup, ressortir, et s’enfoncer en moi en m’arrachant des couinements, des gémissements, des cris….
Il se redresse et m’attrape par les hanches. Il se décide enfin à me ramoner comme une chienne…. Je tourne la tête de côté et lui lance un regard suppliant accompagné d’un sourire coquin. Je baisse les yeux et vois sa queue qui s’apprête à me baiser. Je tourne la tête et le sens me pénétrer, doucement cette fois. Il va et vient calmement, me soutirant quelques gémissements. Je remarque le changement de son rythme au bruit que fait mon cul quand il claque contre ses cuisses. Plus il accélère et plus je crie de plaisir. Je n’imagine même pas la quantité de mouille qui déglutit de ma chatte.
— Ahhh !! Papa !!!! Aaaaahhhh !! Baise-moiii !! Encore !!! Aahh ! Oui comme ça !! Défonce-moi !! Papa !!
J’espère que je ne réveille pas les voisins… Il me défonce tellement la chatte, que je suis dans un autre monde, là où il n’y a que moi et lui, que lui et moi. Je m’entends crier dans ma tête. Ma chatte dévore la queue de mon père, cette queue qui est plus longue que celle de Mike, et qui arrive à atteindre des endroits restés jusqu’ici inexplorés. Je sens son gland cogner contre mon col, et à chaque fois que ça arrive, je sens que mon corps suintant et tremblant est au bord de l’épuisement. Je ne sens plus mes jambes ; j’ai peur de tomber. Je crois que mon père l’a remarqué, car il voit que je ne suis plus sur la pointe des pieds, et il baisse le rythme jusqu’à ce qu’il s’arrête.
— Non ! Papa !!! réclamai-je en tournant la tête.
— Retourne-toi ! ordonna-t-il en se retirant de ma chatte.
Le bruit de succion qu’a fait ce détachement me fit frémir d’excitation. À peine me suis-je retourné qu’il fourra sa langue entre mes lèvres et agrippa mes fesses pour me soulever. Je croise automatiquement mes jambes autour de sa taille et, dès qu’il me plaque contre le mur et qu’on est à l’aise, il me pénètre sec, les mains plaquées sur mon cul. Je crie dans sa bouche en gardant mes mains autour de son cou, et profite de sa colonne de chair qui me viole la chatte. Je passe une de mes mains dans ses cheveux et l’autre sur son buste musclé. J’essaye de caresser ses pectoraux enduis de sueur tandis qu’il me fait sauter à coups de bite.
— Anna… ahh…
— Papa… J’en peux plus !!! Je vais exploser !!! Mhhhmm !! Aahhh !
Je balance ma tête en arrière et essaye de garder mes yeux ouverts mais en vain, car un immense orgasme vint tout dévaster dans son passage. Mes jambes se serrèrent contre sa taille jusqu’à le sentir se vider par plusieurs giclées au plus profond de moi. Je roucoule et couine en déversant des larmes d’émoi dans les bras mon père, dans les bras de mon amant…