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mémoire d une pucelle – Chapitre 6




28 octobre 1997.

Voilà, je n’ai pas encore 18 ans, mais je ne suis plus tout à fait une jeune fille mais pas encore une femme. J’ai fait l’amour du moins je pense que cela s’appelle comme cela entre deux femmes mais je suis toujours vierge. Ce n’est surement pas ce que papa et maman espéraient, même si cela exciterait Maxence, il paraît que deux femmes qui font l’amour ça excitent les garçons. Je ne sais pas ce qu’en penserait Sabine ma grande sur. Elle, elle n’a pas mal tourné. Elle est mariée à un officier de gendarmerie. Elle a deux enfants dont Clément mon petit neveu,Je suis la marraine.

Je me suis réveillée ce matin, dans le lit de Zella. Nous étions toute nue et Zella avait un bras autour de ma taille.

Cette nuit, je l’ ai fait. J’ai caressé une femme.

Je m’y suis prise comme une cruche au départ et Zella a été obligée de me guider. Elle m’a aussi demandé de faire moins de bruit.

Ça n’a pas empêché Helmut et Karoline de remettre le couvert comme l’a dit Zella. Et Karoline a crié aussi fort que la première fois.

Moi comme une idiote après que Zella m ’ait mis ma main sur son minou, j’ai frotté ma paume de main. Mais ce n’était pas comme cela qu’il fallait faire. Alors Zella après avoir lâché mon sein, s’est levée du lit et a ôté ma culotte. Je me suis laissée faire sans rien dire. J’avais peur qu ’elle ne se moque de mes poils, elle, elle a tout enlevé. Mais c est agréable c est plus doux je trouve.

Après m’être retrouvée toute nue, elle est venue s’allonger près de moi et m’a dit à l oreille dans sa langue natale .

— «  Ich werde dich zeigen wie, des Vergnügens zu geben. Danach wirst du mich daher aber chut geben, du rufst nicht zu…. »

«  Je vais te montrer comment donner du plaisir. Après tu m’en donneras mais chut tu ne cries pas…. »

A partir de ce moment là, à écrire ce qui s ’est déroulé me donne encore des frissons.

Doucement après avoir embrassé mes seins et avoir fait tendre au maximum mes tétons qui étaient gorgés de plaisir, Zella a descendu sa bouche vers mon nombril, y mettant sa langue. Ses mains me caressaient les seins, les malaxant tendrement, doucement les effleurant pour ensuite tirer sur mes tétons. Et sa langue qui tournait autour de mon nombril et qui progressivement s’est mise à descendre, descendre jusqu’à atteindre mon entre-jambe. Là elle a laissé courir sa langue sur mon aine, ne touchant pas mon minou. Jamais, non jamais je n’ avais ressenti un tel bien être un tel sentiment de plaisir, une telle infini tendresse à l ’égard de mon corps. Jamais je n aurai pensé que cette partie de mon corps pouvait être aussi sensible. Une simple langue sur l intérieur de ma cuisse et j’avais l’impression de me liquéfier.

Je ne sentais plus mon cur, j’avais l’impression que la sueur coulait sur mon dos, mais c ’était impossible j’étais couchée sur le dos.

Les mains de Zella ont lâché mes seins. Elles sont venues prendre possession de mes cuisses. M’écartant doucement les jambes, sa main droite est venue se poser sur mon minou. Sa main gauche s ’est glissée sous mes fesses en essayant et en réussissant à me faire me cambrer m’offrant un peu plus à elle.

— « Vor allem kein Schrei beißt du deine Hand »

–« surtout pas un cri tu mords ta main. »

Et là……. J’ai reçu la plus agréable caresse qu’il ne soit.

Zella a ouvert mon minou de sa main droite et a posé sa langue à l’intérieur me léchant, m’aspirant, descendant, remontant, touchant de son doigt mon petit bouton, le clitoris, me donnant à chaque caresse une bouffée de plaisir incomparable. Électrifiant mon corps et m emplissant de sensations jusqu’alors inconnues.

J’ai gémi puis je lui ai obéi, j’ai pris la tranche de ma main et je l’ai mordu pour étouffer mes gémissement.

Elle s ’est alors acharné sur mon clitoris, l’aspirant goulument. De ma main gauche je n’ai pas pu résister, je ne voulais plus qu ’elle arrête je lui maintenais la tête sur mon sexe.

J’étais lesbienne mais cela me plaisait.

J’ai senti quelque chose couler de mon minou. Et j’ai eu une soubresaut me mordant presque jusqu’au sang, encore ce matin, j’ai la trace de mes dents sur le coté de la main.

Zella ne s’est pas arrêtée là, elle m’a posé un doigt doucement à l’entrée de mon minou, pour me « branler » mais sans l’enfoncer, en Allemand il n y a pas de traduction, hormis « Wackeln » mais ça n’a rien de comparable.

— « tu es vierge et tu dois le rester »

elle m’a doucement pénétrée, me massant le bord des lèvres, me caressant le clitoris….

Elle le serrait entre ses doigt et le pinçait puis remontait sa main sur mon minou. Elle est venue toucher mon anus, j’ai eu un sursaut et cela l’a fait sourire doucement. J’ai ressenti alors la même électricité emplir mon corps. Et j’ai reçu la même décharge, la main toujours entre les dents. J’ai joui puisque c’est cela jouir pour la deuxième fois. Mais mon dieu que c ’était bon, agréable et une profonde sensation de bien-être s’est emparée de moi,

J’ai ressenti une sensation presque euphorique accompagnée d’ un espèce d’ apaisement; j’étais « vidée ». Zella continuait de me caresser mais j’ai été dans l’obligation de lui demander de s’arrêter, cela en était devenu presque douloureux et provoquait à chaque caresse une décharge électrique incontrôlable,

Les parents de Zella dans la chambre d ’à côté avait recommencé. J’espère que ce n’était pas à cause de moi.

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