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Devenir la plus salope des salopes – Chapitre 3




Trois semaines. Ça fait trois foutues semaines que je suis bloquée chez moi. Plus de sorties, ordinateur confisqué, et je dois être rentrée tout de suite après les cours. Le climat à la maison est sacrément froid. Mon frère est reparti dans son université, et il n’a pas appelé la maison depuis que mes parents m’ont découvert le visage repeint dans la chambre de mon frère. Je ne sais pas combien de temps ça durera, à vrai dire, je n’ose même plus parler.

C’est surtout ma mère qui a été la plus véhémente ; mon père lui, était comme sonné. Il se tient un peu à l’écart de moi.

Je pense : bravo ma grande, tu as trouvé comment te faire détester de toute ta famille. Enfin quoique je pense que maintenant, quand mon frère se branle, il doit penser souvent à moi ; je lui suis au moins reconnaissante de m’avoir appris à faire une gorge profonde correctement.

Mes pensées « impures » ne m’ont pas quittée. Cachée derrière mon lit, un gode que j’avais acquis. Fort de l’expérience que m’avait donnée mon frère, je m’étais entraîné tous les jours à enfoncer ce gode dans ma bouche et dans ma gorge. J’alternais entre ma chatte et ma bouche. J’avais bon goût ! Après trois semaines d’entraînement, ça passe tout seul maintenant : j’ai appris à me détendre, quelle que soit la profondeur à laquelle je m’enfonçais le gode.

Au moins, ça a du prix, mais bon… la punition me pesait, surtout le week-end.

On était samedi, et qu’est-ce que je pouvais m’ennuyer !

Tout ce temps, j’avais soif également… soif de bon sperme chaud. Hmmmm…

Je décidais de fouiller mes armoires à la recherche d’un éventuel passe-temps qui serait caché là. Livre, BD, qu’en sais-je ?

Très vite, quelque chose attire mon il. Je vois, caché entre deux livres, une minuscule… caméra, pointée sur mon lit. Bon sang, quelqu’un m’espionne ! Je réfléchis à toute vitesse. Qui ? Ma mère ? Non, ça fait trois semaines que je m’enfonce mon gode dans ma chatte et ma bouche, elle me l’aurait confisqué. J’aurais donc… un admirateur ? Une seule solution vient à moi : mon père. Mon père me filme, me mate et se masturbe probablement. Depuis qu’il m’a découvert le visage plein de sperme, il doit ne pas pouvoir effacer cette image de ses yeux. Pourtant, la caméra étant assez loin et l’objectif minuscule, je pense qu’il ne doit pas avoir des images de très bonne qualité et assez floues…

Je vais remédier à ça. Je vais lui faire un show d’enfer.

Je regarde droit dans la caméra et je commence à me trémousser sensuellement sur un rythme imaginaire. Sans quitter des yeux la caméra, j’enlève mes vêtements un par un. Je joue avec mes seins imposants, je cambre bien, je tourne sur moi-même à montrer mon petit cul. Je veux que mon père bave devant son ordinateur. Puis, quand je pense m’être assez montrée, je vais chercher mon gode. Je m’approche de la caméra, souriante. Je la regarde à nouveau d’un regard de braise. Puis je prends le gode, le lèche, et je me l’enfonce presque d’un coup jusqu’au bout ; puis je retire celui-ci, dégoulinant de bave qui vient s’écraser sur mon visage… Sans crier gare, je ramasse ma petite culotte et cache la caméra avec pour que celle-ci ne puisse plus filmer.

Si avec ça, il ne devient pas complètement fou… ! S’il en veut plus, il faudra venir le chercher.

Je pense que ma situation va bientôt s’arranger.

20h

Le soir comme tous les soirs, mon père m’a envoyée descendre les poubelles. Je sais pourquoi maintenant : pour récupérer la caméra.

A mon retour, je vérifie : la caméra n’est plus là… ni ma petite culotte. Je l’entends s’enfermer dans les toilettes. Il n’en sortira que 20 minutes après, questionné par ma mère lui demandant si tout va bien. « Un peu mal au ventre, mais ça va mieux », répond-il. Tu m’étonnes.

Ma mère toque à ma porte avec un plateau à la main. C’est mon repas. Je fais semblant d’être plongée dans mes annales du bac. Elle pose le plateau sur le bureau. Elle évite mon regard : je pense qu’elle ne sait pas trop comment se comporter. Elle repart et ferme la porte.

23h. Ma sur va se coucher, suivie 20 minutes après de mes parents.

Je me couche aussi, mais ne m’endors pas. Je suis sûre qu’il va se passer quelque chose, je le sens dans l’air. Sure à 200%.

Minuit. Tout est calme. Une heure, toujours rien, et pourtant je mouille comme pas possible d’excitation. J’ai mis ma nuisette la plus sexy, avec des petits croisillons. Comme je suis excitée, mes seins gonflés sont vraiment en valeur, même si je suis sur le dos.

Minuit dix. J’entends quelqu’un se lever. J’en étais sure. Une porte qui s’ouvre, des bruits de pas qui se rapprochent et s’arrêtent devant ma porte. Mon cur bat à 200 à l’heure. Je ferme les yeux et fais semblant de dormir.

Après ce qui me semble être une éternité, j’entends la poignée s’enclencher, la porte s’ouvrir, puis se refermer. J’entends des pas. J’entends une respiration saccadée, là, tout près de mon lit.

Tout doucement, le drap se soulève et me dévoile. Une main vient me caresser doucement la cuisse, remonte le long de mon ventre, commence à caresser mon sein gauche, doucement… Je lutte pour ne pas sourire. La main m’englobe le sein entier et le pelote. Puis, elle remonte doucement le long de mon cou, de mon menton, frôle mes lèvres. Jentrouvre ma bouche naturellement et laisse le pouce de mon père rentrer à l’intérieur, effleurer mes dents, se poser sur ma langue…

C’est le moment que je choisis pour ouvrir les yeux. Malgré la pénombre, je distingue mon père parfaitement. Il est comme hypnotisé. Je lui souris.

Je chuchote : « Baise-moi, papa » en mettant la main sur son entrejambe gonflé.

C’en est trop pour le pauvre homme. Mais il ne peut pas faire de bruit, toute ma famille est là.

Doucement, je me lève, allume une petite lumière d’appoint pour qu’il puisse voir le magnifique corps de sa propre fille. D’un geste, je laisse glisser ma nuisette à mes pieds.

Il me jauge de haut en bas et ses yeux sont comme hypnotisés par ma poitrine.

Tu es… la plus belle femme que j’ai jamais vue, me chuchote-t-il.

J’approche de son oreille, mes seins s’écrasent contre sa poitrine. Il m’attrape les fesses pour me serrer encore plus contre lui.

Et je t’appartiens, papa..

Silence.

Tu veux voir à quel point je suce bien ? Je pense que ma bouche est le meilleur endroit pour ta bite.

Oui.

Je glisse le long de son corps en m’agenouillant. Je sors son sexe dur, le lèche tendrement, le suce tendrement…

Je lève les yeux vers lui et je lui demande :

Alors ça fait quoi de se faire sucer par sa propre fille ?

C’est trop bon.

A partir de maintenant, considère que je suis ton objet. Je t’appartiens entièrement, je suis ton esclave sexuel. A une condition : que tu m’apprennes à être la plus salope de toutes les salopes que cette terre ait jamais portée. J’ai besoin que tu m’aides à transcender mes propres frontières. S’il te plaît.

Un sourire carnassier le traverse et la tendresse s’arrête aussitôt.

Alors prend ça, petite pute.

Il me prend par les cheveux et me ramène brutalement vers sa bite. Il me baise la gorge ensuite sans ménagement, pour son seul plaisir. Je sens sa colonne de chair s’enfoncer et ressortir de ma gorge. Je n’ai absolument aucun contrôle. Il utilise ma tête comme un sex-toy et se branle avec. J’adore, je profite du moment. Avec son autre main, il me pelote les seins. Je le sens marmonner « putain… putain… ».

Tout aussi brutalement qu’il a commencé à me faire un facefucking, il s’enlève, me retourne, me prend par les hanches et me pénètre. Les bras appuyés sur mon lit, mes seins ballottent au rythme de ses coups de boutoirs. Je le sens bien en moi, c’est bon, trop bon. Mon père… mon père est en moi et ça dépasse tout ce que je pouvais imaginer. Mon frère, c’était quelque chose, mais mon propre père. Ce tabou brisé associé à ses coups réguliers me fait jouir. Il entend que je commence à gémir, mais il ne faut pas faire de bruit ! Il ramasse ma chemisette et me la fourre dans la bouche, en bâillon.

Voilà, c’est comme ça qu’on traite une pute, merci papa.

Je retourne légèrement ma tête alors qu’il continue de me limer la chatte afin de le voir à l’uvre. Du coin de l’il, je vois qu’il a un visage dément et qu’il ne se contrôle plus du tout.

Il ne tient pas très longtemps : je pense qu’il attend ce moment depuis un bon moment. Il sort de moi, amène, encore une fois brutalement mon visage près de sa bite en me tirant par les cheveux. Je recrache la chemisette, j’ouvre ma bouche et tire la langue, comme je l’ai vu mille fois dans les films ; et je prends une expression comme si ce qu’il allait me donner était le plus beau trésor du monde. Ce qui était vrai : ça fait des semaines que j’ai soif de sperme. Alors le sperme de mon père, pensez-vous !

Il y en a une quantité impressionnante. Les premières giclées arrivent dans ma bouche. C’est bon, c’est chaud. Différent de celui de mon frère, mais tout aussi bon. Puis les suivantes inondent mon visage et coulent sur mes seins.

Je ramasse tout consciencieusement, et lèche mes doigts avec passion. J’avale tout, je lui montre. Il me regarde, puis se rhabille en hâte et repart de la chambre sans un regard. Je lui lance en chuchotant : « merci papa ! ».

Il ne répond pas et ferme la porte.

Je m’endors nue et avec encore un peu de sperme dans les cheveux, du sommeil du juste.

Le point de non-retour a été franchi. Je suis officiellement l’esclave de mon père. Il va me dresser et m’apprendre à être une bonne salope.

Light Emi est morte, vive Dark Emi !

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