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Bah.. l'auto-stop, quand on est étudiante – Chapitre 8




Salut c’est votre folle de lycra

J’étais donc dans la voiture de Geneviève avec Muriel au volant, et comme d’habitude, j’étais entre les jambes de notre chef d’entreprise. J’aurais été capable de supplier Geneviève pour pouvoir lui toiletter son entrejambe, j’adorais ses réactions à mes coups de langue.

— Tu n’imagines pas le bien que tu me fais avec ta langue.

— Jamais je n’aurais cru qu’une femme puisse donner autant de plaisir à une autre.

— J’espère qu’en plus de faire des folies de ton corps durant ce week-end, tu apprécies les petits extras que je t’offre.

C’est au moment où je sentais que Geneviève était sur le point de prendre son pied, que nous sommes arrivées à destination à savoir la maison qu’elle avait louée. J’étais un peu gênée car quand Muriel est venue ouvrir la porte, j’étais encore toute décoiffée et le visage plein de mouille.

À quelques secondes près Muriel m’aurait surprise sous la robe de sa patronne. Je ne sais pas ce qu’elle aurait pensé de moi, peut-être que je ne pensais qu’à brouter du minou. Nous sommes sorties de la voiture pour rentrer dans la maison et, en geste d’une grande complicité, j’ai eu le droit à une main au cul de leur part. Nous étions en train de créer un trio très uni, mais aussi très complice. Telle une mère, Geneviève m’a invitée à me mettre à travailler, tout en sachant que c’est ce que j’avais prévu. Arrivée dans ma chambre, je me suis passé un coup d’eau sur la figure, puis je me suis immédiatement mise au boulot, je me sentais vraiment très bien, en compagnie Muriel et Geneviève, j’avais l’impression que cette dernière voulait tout réunir pour que je réussisse mes études. Ce n’est que vers vingt heures que Muriel est venue me chercher pour que nous passions à table. Une fois de plus, c’était un traiteur qui nous avait apporté le repas, toujours un menu gastronomique. À mesure que je partageais des moments avec ces deux personnes, j’avais l’impression que nous étions en train de former une petite famille.

Comme d’habitude après le repas nous avons effacé toute trace de notre passage, ce que j’appréciais c’est que même Geneviève mettait la main à la tâche. Après le repas, Geneviève nous a mis un DVD avec Al Pacino, le seul rôle qui lui a donné un Oscar, il y exécute un tango d’anthologie avec une jeune partenaire. Ce film est un remake du film italien "parfum de femme" de Dino Risi avec Vittorio Gassman. Nous n’avons pas dit un mot pendant le film, par contre après nous en avons parlé toutes les trois, Muriel et moi avons félicité Geneviève pour son excellent choix de programmation. À ma grande surprise, nous sommes parties nous coucher, on ne peut plus sagement ; en même temps la journée avait été riche en émotions. J’étais quand même tout excitée avant de m’endormir, mais accompagnée de juste un petit rayon de lumière venant de l’extérieur, et surtout du bruit pour ainsi dire absent excepté le craquement du parquet et des boiseries dans la maison, je n’ai pas été bien longue à m’endormir. À mon réveil le silence était toujours régnant et le Soleil éclairait ma chambre à travers les volets.

Comme des coups de sabre à travers les volets, les rayons du soleil me faisaient savoir qu’il était temps que je me lève. J’ai décidé de rester un peu au lit, mais Muriel est venue discrètement dans ma chambre, pour se glisser sous les draps avec moi. Maintenant qu’elle n’avait plus à se cacher, je pouvais distinguer aisément son érection à travers sa fine une robe longue. Cela faisait quand même tout drôle de voir cette jolie femme venir se coller contre moi, et savoir que sous cette robe, il y avait un sexe long et ferme qui me désirait. Après ce qu’elle m’avait fait vivre récemment, je vais vous avouer que je n’étais pas contre lidée qu’elle me saute à nouveau dessus. Cela a été plus fort que moi, quand elle s’est retrouvée collée contre moi, je n’ai pas pu me retenir de partir lui caresser de sexe. Sous les draps, d’une main je lui caressais le sexe, de l’autre je lui sollicitais la pointe de ses seins. Son sexe faisait facilement vingt centimètres de long et presque cinq centimètres de diamètre, dire qu’elle m’avait déjà planté ça entre les jambes, pour mon plus grand plaisir.

Sa poitrine était tout aussi sensible que la mienne, à tel point que je l’entendais soupirer de plaisir dès que je lui pinçais les tétons. Pendant que j’étais en train de chauffer Muriel, je sentais mon minou qui était en train de prendre l’eau, ce qui m’excitait le plus, c’était l’odeur de son sexe désireux. Pour l’instant je me limitais à lui faire des baisers dessus, mais avec juste sa fine robe comme séparation, je ne sais pas ce qui me retenait de remonter sa robe, et d’être en contact direct avec ce sexe masculin, entre les mains d’une femme. J’ai fini par me décider, et c’est en lui caressant les cuisses, en remontant jusqu’à son sexe que j’ai fini par y accéder. Il n’y avait pas un seul poil sur ses cuisses et pas un non plus sur sa toison pubienne. Cela a été plus fort que moi, j’étais un peu en nocturne, mais j’ai pris son sexe en bouche. Je sentais ses mains, qui n’étaient pas loin de ma tête, comme si elle était prête à la retenir des fois que je veuille quitter son bâton de chair. En suçant ce sexe tout dur, j’avais retiré toute odeur masculine sous les draps, seule l’odeur de ma cyprine restait présente.

— Tu n’imagines pas le bien que tu me fais ma chérie.

— J’ai vraiment envie que tu me suces jusqu’au bout.

Elle avait toujours sa douce voix féminine pour me parler, il n’y a pas à dire, Muriel avait l’air satisfaite de ma prestation. Maintenant elle donnait des coups de reins pour essayer d’aller encore plus loin dans ma bouche. Je suis remontée un instant pour prendre un peu d’air frais, mais surtout pour l’embrasser, j’étais en train d’embrasser une très jolie fille avec une magnifique poitrine, dans peu de temps son sexe allait me pénétrer de nouveau. Pendant que je l’embrassais, avec ma main droite j’ai relevé ma robe, ainsi nos sexes étaient en contact, j’étais en train de lui badigeonner son priape de ma cyprine. Cela était quand même troublant de sentir ma poitrine en contact avec la sienne, pendant que je jouais avec ses attributs masculins. C’est ce moment-là que Geneviève a décidé pour rentrer dans la chambre sans vraiment s’annoncer.

— Alors mes chéries, on profite bien de ce dimanche matin, je vois…

— Muriel, j’aimerais bien que tu prennes des préservatifs si tu la pénètres.

— Je n’ai pas envie que tu lui colles un polichinelle dans le tiroir.

Après ces conseils très avisés, elle est venue nous faire un baiser amoureux à chacune. Joignant le geste à la parole, elle a déposé plusieurs préservatifs sur la table de nuit. Quand elle s’est relevée, pour nous laisser dans l’intimité, elle m’a quand même gratifiée d’une main au cul, pour ne pas dire un attouchement très intime. M’étant un peu réoxygénée, j’ai replongé sous les draps pour continuer la fellation que j’étais en train de lui faire. Maintenant son sexe qui n’avait pas changé de volume, avait par contre un goût que je reconnaîtrais parmi cent autres, c’était celui de ma cyprine. J’adorais le goût et l’odeur du nectar que je produisais et c’est avec grand plaisir que je me suis remise à pomper de plus belle le sexe de ma partenaire. Maintenant en plus de lui caresser les boules, je m’aventurais vers son petit trou et là elle poussait carrément des cris de plaisir.

Je la sentais qui contractait ses fesses quand même à chaque fois, elle avait l’air de ne me demander que ça, mais en même temps cela avait l’air d’être un accès interdit.

— En fait avec Geneviève, nous avons convenu que l’on ne se sodomisait pas.

— J’adore les caresses à cet endroit-là, cela me fait encore plus bander, mais cela doit s’arrêter là.

J’apprenais à cette occasion qu’il y avait quand même des interdits sexuels entre elles. J’ai un peu continué ma fellation, avant de remonter de nouveau la surface pour embrasser Muriel. À vrai dire je montais lui faire un baiser, mais surtout je venais chercher un préservatif, car ce matin j’étais chaude comme des braises et je voulais que Muriel me baise. C’est la première fois de ma vie que j’ouvrais un emballage de préservatif, je suis descendue avec le contenu sous les draps. Je vais vous avouer au début je me suis trompée de sens et du coup cela ne voulait pas descendre. Au début, vu la taille du membre de Muriel, j’avais peur le préservatif soit trop petit, mais en fin de compte la taille était parfaite.

Notre chauffeur avait l’air de beaucoup apprécier le fait que je lui dépose cette protection en caoutchouc. Une fois déroulé au maximum, je l’ai un peu masturbée avant de venir me remettre à califourchon sur elle. Mon minou était toujours aussi trempé, même peut-être un peu plus que tout à l’heure, je savais que dans quelques minutes, ce sexe emballé allait me pénétrer. Pour l’instant je me caressais l’entrejambe avec ce membre bien désireux de moi. J’insistais plus au niveau du clitoris, car c’était beaucoup plus sensible, en fait le surplus de plastique que j’avais laissé tout en haut me faisait un effet monstre. C’est à l’école que nous avions appris à mettre un préservatif, je ne sais pas pourquoi la prof n’avait pas eu besoin de nous l’expliquer deux fois. Je ne sais pas ce qui me retenait de maintenant m’asseoir sur ce sexe qui ne demandait que ça. J’ai fait durer le plaisir encore quelques minutes, avant de finalement présenter son sexe bien dur à l’entrée de mon vagin.

Ça y est maintenant je sentais Muriel lentement me pénétrer et c’était moi qui contrôlais les éléments. Vu les frottements contre mes parois intimes, je pense qu’il n’aurait pas fallu que le sexe de Muriel soit plus gros. Maintenant son sexe était tout entier en moi, il me faisait un bien monstre, je n’ai pas pu me retenir d’aller l’embrasser. Muriel aussi avait l’air de prendre beaucoup de plaisir, maintenant elle donnait des coups de reins pour essayer d’aller le plus profondément en moi. À chaque fois qu’elle arrivait en butée, si je puis dire, elle me faisait tourner la tête de plaisir, arrivée au fond de mes entrailles. À monter et descendre sur son chibre, j’étais en train de me muscler les cuisses. Muriel, tout en douceur a décidé d’inverser les rôles et de se mettre sur moi. Maintenant c’est Muriel qui dominait les événements, en la caressant je pouvais découvrir un corps musclé. Elle me donnait des coups de reins de plus en plus puissants, au point de me faire crier de plaisir.

En me libérant ainsi, je savais que la seule personne qui risquait d’entendre, c’était Geneviève, j’étais prête à assumer ses commentaires ensuite. C’était au tour de Muriel de venir m’embrasser régulièrement, heureusement que je lubrifiais énormément, car le sexe de ma partenaire était vraiment de belle taille en moi. Quand je lui caressais le ventre, je pouvais même deviner une paroi abdominale bien développée. Ce qui m’excitait le plus, c’était de sentir ses abdos, avec en plus son sexe qui me faisait un bien monstre, le summum étant sa poitrine opulente se frottant à la mienne. Il n’y a pas à dire Muriel avait tout pour donner du plaisir à une femme, j’étais pressée de la voir dénudée au grand jour. Pour l’instant j’étais en train de réaliser que Muriel, une très jolie fille, chauffeur de Geneviève, allait me faire jouir vaginalement avec son sexe long et rigide. Muriel aurait pu faire craquer n’importe quel mec et là elle était en train de me baiser.

Maintenant je m’amusais à contracter mon vagin sur son chibre et cela avait l’air de lui faire grand bien. À chaque fois, je sentais un peu plus son sexe coulisser en moi, je réalisais que dans peu de temps, à ce rythme-là, j’allais jouir. Pendant qu’elle était en train de me ramoner, je regardais le visage de Muriel qui était on ne peut plus féminin, je pouvais aussi y voir du plaisir et du désir. J’avais l’impression que Muriel était en train de tomber amoureuse de moi, avec la prestation qu’elle était en train de m’offrir et celle à laquelle j’avais eu droit à la montgolfière, moi aussi je tombais amoureuse. Les coups de reins de Muriel entre mes jambes étaient en train de s’espacer, par contre il était de plus en plus puissant. J’allais jouir dans quelques instants et je réalisai que Muriel allait en faire de même. Le sexe de Muriel était en train de se contracter au fond de moi et j’étais en train de me mettre à crier ma jouissance. Je sentais les saccades de semence qui se répandait dans le préservatif, apparemment cela faisait longtemps que Muriel ne s’était pas vidé les burettes.

Muriel s’est mise à m’embrasser avec passion et sans retenue, il n’y a pas de doute elle était amoureuse. Pendant ce temps, et durant de longues minutes encore, elle a continué à me pilonner ; même si son sexe commençait à perdre un peu de vigueur. Bien qu’ayant joui voilà quelques instants, j’aurais voulu que Muriel ne cesse pas de me pilonner, mais la nature humaine était en train d’en décider autrement. Après le long effort fourni par Muriel à conserver son sexe long et rigide pour me faire du bien, maintenant elle subissait le contrecoup, elle était à deux doigts de vouloir s’effondrer sur moi pour s’endormir. Muriel s’est glissée à mes côtés, elle venait de sacrément me faire jouir, c’était la première fois de ma vie que je prenais une telle jouissance, ma dépuceleuse était vraiment un bon coup. Je suis restée, moi aussi, quelques instants dans les nuages, mais c’est la curiosité qui a pris le dessus. C’est ainsi que je me suis glissée sous les draps pour aller, en nocturne, visiter l’entrejambe de Muriel, avec son préservatif plein de liqueur.

Arrivée sur zone j’ai pu constater le sexe de Muriel était tout flasque et le préservatif qui n’était plus sous pression ; par contre l’extrémité était pleine. Emprise de curiosité, je me suis lancée à débarrasser Muriel de sa capote, j’ai fait un nud pour ne pas répandre de la liqueur partout sur les draps, puis j’ai tendu le bras pour déposer le contenant sur la table de nuit. Pour plus de simplicité, j’étais tentée de poser le préservatif par terre, mais j’avais peur que nous marchions dessus en nous levant. Maintenant en plus de mon odeur de cyprine sous les draps, il y avait une odeur de sperme, celle de Muriel. J’étais en train de me découvrir en tant que gourmande de sexe, même s’il restait un peu de sperme sur le sexe de Muriel, je me suis mise à la masturber. En plus de lui faire du bien avec les mains, cela a été plus fort que moi, il a fallu que je prenne son sexe en bouche. Pour la première fois de ma vie, je prenais un sexe en bouche avec un reste de sperme dessus. Le goût était amer et salé, mais j’étais convaincue que je m’y ferais rapidement, il n’a pas fallu attendre longtemps pour que Muriel reprenne vigueur.

Je venais de me remettre à faire une pipe à Muriel, alors qu’elle m’avait balancé la purée entre les jambes, dans un préservatif voilà quelques instants. Qu’allait-elle penser de moi, que j’aime la bite, que j’aime faire l’amour, que j’aime prendre et donner du plaisir. Par contre je ne lui ai pas fait une fellation trop longue, je voulais juste découvrir le goût du sperme, et voir à quelle vitesse un sexe pouvait reprendre vigueur après s’être vidé. Quand je suis remontée à la surface, j’ai eu l’impression que Muriel était un peu déçue, mais elle m’a pris dans ses bras et nous nous sommes de nouveau embrassées. Ce coup-ci il y avait un goût de sperme dans ma bouche, cela n’a pas du tout dissuadé Muriel dans son baiser. Nous sommes facilement restées une demi-heure immobiles, à écouter l’autre respirer. Seule Geneviève, qui s’activait dans la maison, troublait le silence de notre chambre. Quand Geneviève est arrivée dans la chambre, nous étions enclavées, amoureuses, la tête un peu dans les nuages.

— Alors mes chéries, vous vous découvrez jour après jour.

— Après ce que vous venez de faire et vivre, je pense qu’il va y avoir une complicité naissante entre vous.

Pendant que Geneviève parlait elle était en train d’ouvrir les volets. Quand elle est arrivée au niveau de la table de nuit, elle est tombée sur le préservatif, sans aucun dégoût elle l’a pris dans les mains, elle l’a observé de près.

— Eh ben ma belle, heureusement que Muriel ne t’a pas balancé tout ça dans le moule à bébé.

— Cela me ferait tout drôle que Muriel te mette un polichinelle dans le tiroir.

Le franc-parler et l’humour froid de Geneviève étaient déstabilisants. Cela me faisait tout drôle de voir Geneviève habillée en tenue décontractée, elle qui était toujours tirée à quatre épingles.

— Les minettes, il faudrait sortir de sous les draps, car je vous ai prévu un petit programme pour cet après-midi.

Muriel et moi avons foncé à la douche pour nous nettoyer de nos folies nocturnes, j’ai voulu jeter le préservatif plein de sperme, mais il avait disparu. Nous allons bruncher avant de partir faire une petite balade dans les bois.

Bien évidemment, tout était prévu pour nous restaurer, nous avions l’estomac dans les talons et nous avons fait honneur à ce qui nous était offert. J’étais en train de constater que ce matin Geneviève avait encore travaillé, elle n’arrêtait pas. Quand nous avons fini de manger, nous avons débarrassé, comme d’habitude, il n’y avait plus de trace de notre passage. Une fois remontées dans nos chambres, nous avons pu constater que Geneviève nous avait déjà préparé de quoi nous habiller avec des vêtements qui ne craignaient rien, mais toujours très féminins ; elle était une vraie mère pour nous. Une fois habillées, nous avons pris direction de la voiture, pour nous rendre dans le bois. Muriel a pris le volant, mais je ne la regardais plus comme avant, elle était devenue mon amante, ma maîtresse, mon amoureuse. Quand je me suis retrouvée à l’arrière avec Geneviève, elle m’a demandé ce que je pensais de ma partie de jambes en l’air avec Muriel. J’ai préféré ne pas rentrer dans les détails, mais je lui ai dit ou plutôt avoué que Muriel m’avait fait découvrir un plaisir nouveau et intense.

La distance à parcourir étant relativement courte, nous n’avons pas eu trop le temps de converser avec Geneviève, arrivées à l’orée du bois, Muriel a garé la voiture sur un petit parking. La patronne a ouvert le coffre et nous a donné à enfiler une paire de bottes et surtout un gilet jaune.

— Il faut enfiler ça, car il y a des chasseurs.

— Ils ont une fâcheuse tendance à confondre un sanglier et un promeneur ou un cycliste ; la ressemblance est trompeuse.

— Voilà pourquoi depuis 2008, nous sommes obligés de mettre un gilet jaune quand nous sortons de la voiture.

— Ce n’est pas pour être vues des automobilistes sur la route, mais des chasseurs.

Maintenant que j’y pensais, c’était vrai tous les gens avaient des gilets jaunes dans la voiture, pour être sûr d’être vus sur la route ou ne pas se faire tirer dessus par les chasseurs. C’est vrai que c’était une utilisation détournée de ce fameux gilet jaune, il peut vraiment servir à tout. C’est le gilet de ralliement des gens qui ne veulent pas se faire rouler dessus, des gens qui ne veulent pas se faire tirer dessus et qu’ils soient chasseurs, promeneurs ou vététistes. C’est jaune, c’est moche, cela ne va avec rien, mais ça peut vous sauver la vie ; j’avais adoré ce slogan.

En espérant que ce chapitre numéro huit réponde toujours à vos espoirs.

Bisous à vous

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