UNE COLOCATION TRES CHAUDE. 9
Rassure-toi, je vais m’étendre au sol et je te laisse faire, la réconforte-t-il. Tu vas poser tes mains le long de mon torse et tes pieds à hauteur de mes reins. Lee va tenir ma verge droite et … Je te laisse faire.
Aussitôt dit, aussitôt fait… Enfin pour le début. Je suis au premier plan pour voir la vulve de Dory s’ouvrir sous son effort sur ce bélier, mais elle n’arrive même pas à en absorber le gland trigonocéphale.
Oh ! Mon Dieu qu’il est gros ! Oh !! Quel morceau… Non je peux pas !!!
Suite :
A toi d’essayer Lee ! me propose-t-il.
Je prends la place de Dory et essaie moi aussi, mais recule devant l’obstacle. Comment faire ? Ma chatte n’est guère plus grosse que ma bouche et son pénis si imposant !
Bon ! Je vais prendre les choses en main. Vous allez vous coucher sur le lit, relever vos cuisses que vous allez tenir avec vos mains. Je vais vous tartiner de lubrifiant, ça va aider.
Je sens le froid du lubrifiant que Claude applique copieusement sur nos fentes et son sexe, puis il entreprend le travail de ses doigts sur chacune d’entre nous, en explorant l’entrée. Comme il voit bien que ça nous plaît, car nous gémissons de plaisir en remuant des fesses pour mieux sentir ses doigts en nous. Il me fouille avec trois de ses doigts. Je me sens complètement offerte à lui.
Bien. Vous êtes suffisamment préparées. Je vais vous prendre l’une après l’autre en y allant doucement. Laissez-vous faire.
Claude retire ses doigts, j’ai une impression de vide, mais je sens très vite son gland contre ma vulve.
Il le frotte plusieurs fois sur ma fente, excitant mon petit bouton avant de revenir boucher l’ouverture de ma grotte. Sa bite force l’entrée en douceur et rentre centimètre par centimètre en moi, s’arrêtant quand il sent la résistance de mon hymen.
J’ai mal, je sens bien son mandrin qui écartèle mes petites lèvres. Avec mes pieds que je pose sur sa poitrine, je le repousse, il n’insiste pas et se dirige vers la fourche des cuisses de Dory. Elle aussi se refuse et il revient à moi. Il engage de nouveau son gland et l’amène en butée sur ma virginité en me prévenant :
Je vais compter jusqu’à trois et je te dépucellerai ! Un…
Aiieeeee ! Oh mon Dieuuuuu que ça fait mal ! Oh mon Don dieu !aïïïiiyaayääaaiiihhaaa…
Il ne bouge plus. Je ne sais pas si je vais pouvoir en supporter plus. Il se retire enfin, me laissant récupérer et présente sa verge couverte de mon sang devant la deuxième vierge.
A ton tour Dory, je vais…
Il l’a surprise, elle aussi, plongeant son dard immédiatement en elle. Elle hurle aussi, mais ses gémissements changent de ton assez rapidement.
ÔÔÔHHHH MERCI !!!!! De toute mon âme merci. La sensation est divine, incroyable !
Tu ne le regrettes pas, Dory ?
Ooooohhhh !!!… C’est booon… Mon Dieu, que c’est bon… OOOhhhhhhhh… Merci !! Merci !!! Mille fois MERCI !!! J’ai cru défaillir au début tellement tu es puissant, j’espère que tu ne m’as pas déchirée.
Ne t’inquiète pas, tout va bien de ce côté-là.
Claude fait des va-et-vient de plus en plus amples et reprend son doigtage de ma chatte qui se fait doucement à la présence de ces intrus, la sensation est divine après son coup de sabre dépuceleur. Il continue les mouvements de ses doigts, c’est encore douloureux. Il rassure aussi Dory :
C’est bien, je suis complètement rentré maintenant. Je bute au fond.
Je vois aux rictus de Dory que la chose ne doit pas être si aisée. Claude commence ses va-et-vient, les lèvres de la chatte de Dory s’accrochent comme une sangsue autour de cet énorme pénis qui ne rentre à peine plus de la moitié de sa longueur. Les traits de Dory se détendent, appréciant enfin cet instant, comprenant qu’elle aussi aime (le sexe). Qu’elle aime être possédée par l’organe du mâle, et quel mâle !!! La barre de chair travaille méthodiquement son sexe, remplissant toujours un peu plus son rôle. Elle serre les poings, mais encaisse magnifiquement la charge. Les tressautements de son corps trahissent l’intensité de l’invasion monstrueuse. Des larmes glissent sur ses joues, mais elle lui avoue :
Tes coups de bite sont délicieux, mais toujours un peu douloureux et je ressens chacun de tes mouvements. J’avais tellement peur de ne pas être à la hauteur de tes attentes et de te décevoir ! J’y suis arrivée !!!
Il ne faut jamais se comparer aux autres, chaque femme est unique et je suis heureux de te faire découvrir tous les plaisirs que peut te donner ton corps, la console-t-il.
Il la travaille pendant longtemps, la faisant jouir plusieurs fois avant d’arriver lui aussi au plaisir.
Il se retire soudain pour éjaculer. Son foutre jaillit en de longs jets interminables qui viennent s’écraser sur le corps de Dory, de son pubis à ses cheveux.
Je me jette sur cette abondante semence que je goûte enfin nature, la ramassant comme l’aurait fait une cuillère avec ma langue, je suis devenue une folle dépravée. Il me regarde et me promet :
Je vais te prendre avec douceur, mais tu es si serrée que tu vas devoir souffrir un certain temps avant que ton plaisir ne prenne le dessus !
Personnellement, j’ai tout simplement très, très envie, mais aussi très peur. La plupart de mes amies ont passé le cap, et puis il me plaît affreusement ! Quant à l’acte en lui-même… Pour cette première fois, comme beaucoup, je pense que ça ne sera pas très agréable, surtout que je suis très serrée. Sa verge n’est plus aussi altière, elle a baissé du nez et a perdu de sa rigidité, mais il attend encore qu’elle soit plus malléable. Il me positionne sur le côté et présente de nouveau son chibre devant mon coquillage… Et il replonge sa verge en la dirigeant avec sa main dans mon vagin. Je croyais ressentir à nouveau une intense douleur, mais le fait qu’il ne bande plus à fond me permet de résister et de m’habituer un peu, mais par Confucius, qu’il est gros… Même s’il fait de son mieux pour me faire le moins mal possible en y allant le plus doucement qu’il peut, je dérouille salement.
J’ai chaud de partout, mais je suis si envahie de désir pour ce mâle si puissant et viril. Il me murmure sa satisfaction et s’active sans rien précipiter, ne voulant rien m’imposer.
Tu ne t’en sentais pas capable, et surtout ne culpabilise surtout pas d’avoir perdu ta virginité avec un inconnu qui ne sera jamais l’amour de ta vie. Tu es heureuse ?
Oui, mais… Je sens ton sexe durcir, il est tellement gros maintenant ! Je ne me croyais pas pouvoir supporter ton organe !
Je sais que pour certaines filles, je ne suis pas l’homme idéal… Mais aucune ne s’est plainte après coup, me répond-il avec un petit sourire. Je vais oser faire avec toi ce que je n’ai jamais pu faire avec d’autres, vu mon physique de petit garçon. Acceptes-tu ?
Oui !!! J’ai répondu sans réfléchir, mais je ne sais pas ce qui m’attend.
Il me laboure et enfin, je sens monter en moi mon premier orgasme. Le plaisir monte, monte et mes gémissements accompagnent en écho le clapotis venant de mon sexe maltraité. Je n’ai jamais ressenti ça, c’est si violent que j’éjecte son pénis de mon vagin et ne peux m’empêcher de frotter comme une folle ma fente trempée et hyper-sensible de mes doigts. Soudain, je ne peux me retenir et pisse un jet violent suivi d’autres, d’un liquide très clair. Qu’est-ce qui m’arrive ? Des contractions folles me vrillent le bas-ventre. Suis-je devenue incontinente ?
Lee ! Tu es une fille qui cache son jeu. Tu sais ce qui vient d’arriver ? Tu es une femme fontaine… Sacrée éjaculation de cyprine ! Bravo ma petite !
Je suis vidée. Il me laisse doucement récupérer avant de me relever et me plaquer contre la porte ouverte. Il me couvre de baisers, tout en malaxant mes petits seins. Nos bouches se joignent, pleines de tendresse. Claude me fait poser les mains sur le haut de la porte, sa langue fouille ma bouche. Il fourbit contre mon ventre son phallus qui glisse entre mes poils pour se frotter à mes chairs gonflées avec l’idée de les envahir. Claude prend sa bite longue et forte à pleine main, fouille ma toison poisseuse pour enduire le gland de ma cyprine et m’empale d’un coup, m’arrachant un cri de douleur qui fait monter mon plaisir, comme s’il avait voulu déchirer mon ventre.
Il donne des coups de reins de plus en plus violents, passant sa main entre mes jambes pour en constater les effets. Une onde monte en moi, glacée et brûlante, je serre très fort sa bite qui malmène mon ventre avec mes muscles intimes. Je fonds d’un coup et sens mes cuisses se mouiller de ma liqueur très abondante.
Ses caresses parcourent mon corps et ses mains s’incrustent dans mes fesses quand il m’embroche à nouveau. Soudain, il glisse ses mains sur le haut de mes cuisses et remonte mes jambes le long de ses hanches. Je me retrouve comme un poulet à la broche me retenant de toute la force de mes bras pour diminuer la pression exercée par sa verge au fond de ma chatte dilatée à l’extrême.
Serre bien tes jambes contre moi et passe tes bras autour de mon cou !
Je m’accroche à son cou comme une noyée en détresse à une bouée. La pression de son rostre augmente au-delà du supportable contre mon utérus et je tire comme une folle sur mes bras pour en atténuer la douleur. Il s’en rend compte et me soulève avant de me laisser retomber encore et encore. C’est irréel, délicieux, mais horrible. Il se tourne vers Dory et lui demande :
Mets-toi derrière elle et aide-moi !
Dory met ses mains sous mes fesses et suit le mouvement. La douleur s’atténue inversement proportionnellement à la montée du plaisir. Je fais le yoyo sur son braquemart, mais Claude fatigue vite et il me porte, serrée dans ses bras sur le lit. Il s’assoit sur le bord et me dit ce qu’il veut que je fasse maintenant :
Tu vas me tourner le dos, mettre tes pieds sur mes genoux et tes mains sur mes épaules, pour le reste, tu as deviné la suite…
Je lui obéis, la position est divine. Je m’embroche moi-même sur son chibre en contrôlant la pénétration. Je me contente que de quelques centimètres que je frotte sur la partie la plus sensible de ma grotte. Je ne peux résister que quelques minutes avant de nouveau ouvrir les vannes en arquant mon corps, mes ongles s’incrustent dans la chair de ses épaules. Dory, qui en avait profité pour se glisser entre ses cuisses pour dévorer ses couilles tout en tenant la hampe dressée pour moi, est inondée de ma cyprine.
Je m’écroule d’un coup, mon fourreau orphelin de cette bite indécente qui pointe sa solitude bien haut. Mais pour lui, rien n’est fini, il me force à reprendre la position, retire le plog de mon anus que j’avais complètement oublié et place à l’entrée de mes reins son défonce-cul.
NON !!! Impossible !!! C’est impossible !!! Il va m’exploser le fion ! Je me débats, me cabre, mais il me tient solidement avec ses mains sur mes hanches.
A suivre…