Salut c’est votre folle de lycra.
Manifestement les deux épisodes précédents vous ont bien plu, je m’en vais de ce pas y donner une suite.
Je vous confesse quand même que dans le chapitre numéro 3 il y aura une petite touche de fantasme.
Donc dans les épisodes précédents je vous racontais comment j’avais fait la connaissance d’Élodie, de sa sur Coralie et de leur maman Nathalie.
Tout ce qui ce qui se passait dans leur maison devait rester dans cette maison
De plus ma relation avec Élodie devait être inconnue de tous, surtout au boulot.
Mais dans quelle galère venais-je de me fourrer en acceptant cette relation à 4. Je vais être honnête, en même temps il serait stupide de se plaindre de vivre de telles aventures.
Je me suis réveillé tenant toujours ma belle dans les bras et toujours dans son dos avec toujours cette érection.
Je fini par admettre que la nuisette toute douce que je portais me procurait quand même des sensations aphrodisiaques.
Une fois réveillés, nous sommes passés à la douche et après cette dernière, Élodie m’a donné à enfiler un tanga, un collant fendu ainsi qu’une robe longue très fine et très douce.
J’étais un peu stupéfait par la tenue que m’imposait ma chérie mais j’acquiesçais.
Nous étions dimanche après-midi, j’étais chez ma chérie totalement travesti par ses soins
Je me laissais faire et diriger comme si j’étais hypnotisé par Élodie. Je faisais ce qu’elle me disait.
Nous nous sommes habillés pour aller nous promener, il va de soi qu’elle m’a fait conserver ma tenue féminine à même le corps.
Nous sommes allés prendre l’air dans les bois mais avec ma douce tenue dissimulée, j’avais une érection que je ne pouvais pas dissimuler
Pour corser la chose Élodie prenait plaisir à me caresser le sexe à travers mon pantalon et la douce robe.
La balade fut très agréable et chaude par les caresses prodiguées par ma chérie. Au bout de deux heures nous sommes rentrés chez elle.
En arrivant nous sommes remontés dans sa chambre où elle m’a débarrassé de la tenue masculine.
Elle m’a expliqué que elle et sa maman me trouvaient très belle ainsi vétue.
De mon côté je ne trouvais pas ça désagréable, bien au contraire; il y avait juste mon côté masculin qui en prenait un coup.
C’est ainsi vêtu que je suis descendu avec elle dans le séjour; j’étais toujours accompagné de ma honte…
Seule sa maman était là, assise dans le canapé, à regarder la télé dans une tenue on ne peut plus désirable.
Nous nous sommes assis aux côtés de sa maman pour regarder la télé et échanger quelques banalités souvent portées sur le sexe.
Je me retrouvais assis entre elles deux et ce n’était pas pour me déplaire.
On aurait dit que c’était plus fort qu’elles, il fallait toujours qu’elles me mettent mal à l’aise dans leur sujets de conversations on ne peut plus coquins.
En peu de temps les mains de chacune étaient sur mon corps pour le caresser et surtout l’exciter en me prodiguant des attouchements sur mes parties les plus sensibles.
Puis Élodie s’est levée pour me laisser tout seul avec sa maman sous prétexte d’aller travailler un petit peu ses cours.
Sa maman se retrouvant toute seule avec moi a passé la vitesse supérieure en se mettant à me caresser le sexe. C’était insoutenable tellement elle faisait ça bien, je fermais les yeux et je me laissais faire.
Je n’en revenais de l’effet que pouvait me faire ces matières en lycra.
Puis elle s’est levée, elle m’a pris par la main et m’a emmené dans sa chambre.
J’avais vraiment la sensation de devenir le sextoy de toute la famille.
Arrivés dans son repaire, elle a fermé la porte à clé, elle m’a embrassé, elle m’a surtout caressé le sexe et plus encore mes petites fesses
Elle avait bien compris que j’étais sensible du cul
Elle m’a laissé là, au milieu de la chambre puis est revenue avec une ceinture de robe de chambre bien épaisse en pilou-pilou rose. Elle s’est glissée derrière moi elle m’a attaché les bras dans le dos avec la ceinture.
Décidément j’étais soumise docile et obéissante avec ces femmes, je me laissais faire. Elle m’a amené jusqu’au pied du lit et m’a fait agenouiller devant.
Je n’avais pas trop le choix, je me suis exécuté et je me suis retrouvé la tête dans son matelas qui sentait bon la femme.
Je savais qu’elle en voulait à mon petit cul mais je me souvenais de ce que m’avait fait sa fille et j’avais beaucoup aimé.
Elle s’est mise derrière moi, à écarté la ficelle de mon tanga et a commencé à me caresser l’entrée de mon petit trou, elle y a collé un peu de salive pour bien me lubrifier.
Ce massage anal était très agréable, j’étais conscient que c’était un préparatif.
Elle est sortie de la chambre pour en revenir une main pleine de dessous
Puis elle est partie quelques instants dans la salle de bain pour en revenir harnachée d’un beau gode à ceinture.
Là elle m’a expliqué qu’elle allait me mettre des petites culottes usagées dans la bouche pour me faire taire, des fois que je veuille crier
Décidément c’était une manie dans cette famille que les femmes veuillent baiser les hommes. En même temps dans la position où j’étais, je n’avais plus d’autre solution que de subir.
Pour la deuxième fois de ma vie j’allais subir les assauts d’un sexe factice qui allait me dilater la rondelle.
Le gode double de Nathalie était beaucoup plus souple que celui de sa fille et du coup il était beaucoup plus agréable.
Dès les premiers centimètres de pénétration et j’ai ressenti du plaisir.
Comme je le fis avec sa fille, elle s’est agrippée à mes hanches pour me prendre plus profondément… Nous finissions de créer une complicité entre nous…
J’avais un peu honte car je prenais grand plaisir du traitement qu’elle m’infligeait
Plus elle allait profond en moi, plus mon érection était grosse…
Impossible de la cacher, d’autant que Nathalie me saisissait ma queue de temps à autre
Belle maman, ou plutôt bonne maman, si je puis dire; contrôlait mon plaisir
Il ne manquait plus qu’une paire de couilles tapant sur mes cuisses pour savoir qu’elle était en butée. C’est ainsi que Nathalie a pris le dessus sur moi
Elle m’a expliqué que je serai l’homme de la famille mais aussi la soumise…, qui lui devrait totale obéissance
Pendant qu’elle me limait bien en profondeur, elle en profitait pour me claquer les fesses et s’agripper à mes cheveux
Il n’y a pas à dire, j’étais en WE d’avilissement; dirigé par Nathalie et épaulé par ses filles magnifiques
Le dimanche commençait à toucher à sa fin et j’étais toujours en train de me faire enculer par la reine mère…
Le plaisir que je prenais étais de plus en plus intense et les culottes me faisaient taire.
L’odeur de minou qui se dégageait de ces culottes m’excitait encore plus, la situation m’excitait
Là, elle me dit qu’elle n’avait jamais vu un beau gosse aussi soumis et obéissant et que j’allais faire leur bonheur.
Le gode, qui travaillait mon cul mais aussi son minou, commençait aussi à lui faire beaucoup d’effet.
Les minutes qui suivirent nous virent prendre notre pied en même temps, pour preuves, les grands cris qu’elle se mit à pousser.
J’ai eu le droit ensuite à de magistrales claques sur les fesses plus des coups de cravaches que je n’avais pas vu arriver.
Là, elle m’a traitée de chienne bonne qu’à être baisée et obéir.., je n’ai pas relevé..!
Elle s’est effondrée sur moi, tout comme je le fis sur le lit.
Ma robe était pleine de mon sperme et en plus, il collait à mes jambes à travers les collants. Il n’y avait pas à dire, j’adorais me faire ainsi baiser; belle maman était experte pour cela…
Nous avons repris nos esprits et avons quitté sa chambre, moi toujours travestie…
Les gestes de la part de Nathalie laissaient supposer qu’elle venait de me consommer. Pas de bol, Elodie sortait de sa chambre à ce moment là.
Son sourire laissait comprendre qu’elle savait; manifestement, cela ne la gênait pas…
La soirée était avancée voire bien entamée, Coralie avait préparé à manger
Nous sommes passés à table, alors que j’étais toujours en femme, mais pleine de mon sperme collé sur la robe.
Bref, nous étions 4 femelles à table, dont une qui avait une énorme gaule.
Comme auparavant à table, les regards complices entre elles me mettaient mal à l’aise
Le pire, c’est que je me demandais si je ne sentais pas plus fort la femme qu’elles… Tout compte fait, le trip, n’était pas pour me déplaire.
A la fin du repas, nous nous sommes retrouvés avec ma belle dans sa chambre, je lui ai expliqué qu’il allait falloir que je rentre
Ca y est, je réintégrais ma tenue d’homme, j’ai eu droit à un roulage de patin en règle de la part de "mes 3 femmes" en guise d’au revoir; évidemment, c’est Elodie qui a été la plus insistante
Mon corps sentait les parfums de femmes mais aussi leur cyprines…
Une fois rentré à la maison, je suis passé faire un bisou à mes parents et je suis parti dans ma chambre.
Je leur ai dit que j’avais passé la soirée ainsi que le dimanche chez mon amie et que j’allais me coucher tôt car j’étais un peu cassé de ce weekend.
Je venais aussi de réaliser que pendant que je leur faisais la bise ils ont dû se dire que le sentais la femme tout de même.
Je suis déshabillée et me suis allongé en femme sur mon lit.
C’est rapidement que je me suis endormi avec tout plein de souvenirs magnifiques et sensuels dans la tête.
J’étais pressé de pouvoir vivre un nouveau WE comme celui que je venais de vivre, Elodie avait fait de moi un queutard soumis.
Ah si mes parents savaient, ah si mes collègues savaient ah si mes amis savaient.
Ah si ils savaient que de hétéro très difficile je suis capable désormais de devenir un enculé soumis à tous les désirs de femmes.
Excepté quelques petites douleurs à mon anus j’ai quand même très très bien dormi cette nuit là.
J’étais impatient de revoir ma chérie le lendemain au travail.
Elle est arrivée vers midi alors que moi j’avais commencé depuis déjà 2h, elle émerveillait les journées quand je la voyais.
Elle est venue me voir en me demandant si sa grosse cochonne avait passé un bon WE
Il allait de soi que la grosse cochonne c’était moi et je lui ai répondu que j’avais passé un excellent WE…
Elle m’a informé que sa mère et sa sur étaient très heureuses d’avoir fait ma connaissance..; elles seraient très heureuses que nous nous revoyions dans des circonstances semblables
Nous avons réussi à prendre notre pause ensemble, c’est à cette occasion qu’elle m’a dit qu’elle aimerait que nous allions toutes les 4 faire les boutiques le mercredi suivant
Je lui dis que ce serait avec plaisir, d’autant qu’elle avait veillé à vérifier la compatibilité de mes horaires.
C’est ainsi que je me suis retrouvé le mercredi à 16h15 chez elles; roulages de pelles en règle aux trois, puis nous sommes montés dans la chambre d’Elodie, ma chérie. D’office, elle m’a fait déshabiller pour me faire belle et ainsi avoir droit à une pipe et un touché rectale…
Après m’avoir fait toute belle, elle m’a fait allonger sur son lit, là elle a soulevé sa jupe et est venue se mettre à cheval sur moi pour me donner son minou à brouter.
Ses genoux étaient sur mes bras et je n’avais d’autre choix que d’avoir sa foufoune dans le nez et la bouche. Elle m’a ordonné de lui laper son abricot jusqu’à ce qu’elle prenne son pied, il y des missions plus désagréables…
Cela n’a pas été bien long, j’adorais le gout et l’odeur de sa cyprine; elle m’a plaqué le visage contre sa touffe, à pris son pied, à poussé de petits cris puis elle s’est relevée
Ensuite elle m’a dit de renfiler mon jean et mon sweat, c’est vrai que à travers on ne voyait rien.
Par contre je ne vous raconte pas la sensation de sentir mes jambes gainées de nylon frotter contre le jean, du coup une fois habillée j’avais un braquemart digne de ce nom. Je me sentais de plus femme avec toute cette douceur à même la peau.
Nous sommes descendus et je constatais que Coralie et sa maman nous attendaient, elles nous attendaient pour aller faire des courses.
Pas de doute, elles savaient ce que nous venions de faire, d’autant que j’avais le visage encore plein de cyprine…
Ça y est, nous allions faire les courses entre femmes, il va de soi que nous ne sommes pas allés dans le magasin où nous travaillions.