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Découverte du plaisir avec ma mère – Chapitre 6




Les jours passèrent à une vitesse vertigineuse. Maman fut tout excitée de larrivée de Marie-Paule, elle pensa tout le temps avoir oublié une chose ou bien une autre, ne cessa de me dire dêtre prudent en ce qui nous concerna, de faire attention à nos attitudes et comportements.

— Là ! Nous y sommes Marie (je la nommerai comme nous le faisons à la maison depuis toujours) arrivera demain !

— Thomas ! Tiens-toi prêt pour aller chercher Marie à laéroport demain, ne sois pas en retard, me dit mère

Nous reprîmes nos chambres respectives depuis deux jours afin de rattraper nos habitudes dantan. Cela me chagrina, mais tel fut le souhait de Maman.

— Oui Maman ! Ne craint rien je serai là-bas avant lheure, répondis-je

Me voilà à laéroport, une bonne demi-heure à attendre larrivée de lavion, je décidai de prendre un café en attendant lannonce du vol. En fait la demi-heure passa très vite, je mamusai à regarder les gens aller et venir dans le hall. Jentendis lannonce du vol de Marie, je me précipitai vers la porte pour laccueillir. Cela fit plus dun an que je ne vis pas ma sur, je fus heureux de la voir à nouveau et ému malgré tout. Les premiers passagers sapprochèrent, jessayai de la distinguer de loin, mais je naperçus toujours pas sa silhouette. Je pensai « tu vas voir quelle sera la dernière ». Jeus faux, elle apparut au milieu dun groupe, Il me sembla quelle était plus mince malgré son manteau et son écharpe autour du cou. Elle avait coupé ses cheveux, cela lui alla à merveille. Je levai mon bras et lagitai tel un éventail. Elle finit par mapercevoir, me fit un geste de la main et tranquillement se dirigea vers moi. Puis à dix mètres de moi, un sourire radieux illumina son visage, ses yeux brillèrent de joie et elle accéléra son pas pour venir se précipiter sur moi, une grande accolade puis elle se pendit à mon cou et membrassa tout le visage en disant :

— Ah, petit frère ! si tu savais combien vous mavez manqué toi et maman, Je suis heureuse de vous retrouver, tu ne peux pas savoir Thomas.

— Toi aussi Marie, tu nous as manqué énormément, à tous les deux tu sais, tu as créé un vide par ton absence. Répondis-je.

Elle resta ainsi, un long moment, me dévisageant longuement en reculant son visage, et revint me couvrir de bisous. Après ses effusions, on reprit nos esprits et nous nous dirigeâmes vers la récupération des bagages, elle prit mon bras et me posa mille questions et des tas daffirmations.

— Tu es magnifique, tu fais homme petit frère, me dit- elle

— Toi aussi Marie, tu as embelli et ta nouvelle coiffure te va à ravir, répondai-je

— Tu aimes ? Me demanda-t-elle

— Oui je viens de te le dire dis-je

— Je sais, je te taquine sexclama-t-elle en souriant et riant

— Dis-moi le séjour aux States ta fait du bien, il me semble que tu es redevenue la sur dantan celle qui était complice et solidaire, tant mieux si cest le cas, car tu étais vraiment exaspérante ces derniers temps avec nous.

— Oui ! Je suis redevenue moi-même et te prie dexcuser ces mauvais moments. Dit-elle

— Je me demandais tout le temps ce que javais pu faire pour que tu deviennes précipitamment aussi froide, rigide et distante avec moi, javais beau chercher, je ne trouvais pas en quoi javais pu te choquer, te vexer ou autres. Cela mavait énormément attristé, ensuite avec maman nous subissions ton comportement en silence et résignation, lui dis-je.

— Je devais être abominable, mais tu ny étais pour rien, non cétait moi la seule fautive, je ne me sentais pas bien dans ma peau, avoua-t-elle

— Là, je ne te suis pas si tu étais mal dans ta peau, pourquoi ne men as-tu pas parlé, nous étions solidaires et complices tous les deux, non ? Demandai-je

— Oui ! Mais cela relevait de sentiments intimes et personnels, aussi je me suis murée dans ce comportement espérant trouver solution à mon problème, répondit-elle.

— Ok, Marie, nen parlons plus lessentiel est que tu sois de nouveau la sur que jaimais avoir, dis-je en souriant

— Cest vrai ? Tu men vois ravie alors, répondit-elle en riant.

Elle vint me faire une bise sur ma joue et sappuya plus fermement sur mon bras. Elle continua de sourire en me demandant :

— Et Maman comment va-t-elle ?

— Bien, tu lui manques profondément, cest certain. Elle se fait une joie immense de te savoir là, de nouveau parmi nous, dis-je.

— Ah ! Voilà une de mes valises, attrapons-là sexclama-t-elle.

Elle me la désigna avec son index droit, je me penchai vers le tourniquet pour la retirer. Comme je vis quelle resta sur place, je posai la question :

— Y en a-t-il dautres ?

— Oui ! Encore une et cest lessentielle, elle contient mes cadeaux pour vous, dit-elle en souriant.

— La voici ! Cest la rouge là, la grande, me désigna-t-elle

— Eh bien dis-donc. Cest quoi dedans ? Du plomb ? Demandais-je vu la lourdeur de la valise.

— Non je ne te dirai rien, tu auras la surprise comme maman me répondait-elle toujours en souriant.

— Daccord, on aurait dû prendre un chariot, lui dis-je

— Pas la peine, elles sont sur roulettes mon petit frère, me répondit-elle

Nous quittâmes les lieux en riant tous les deux, tirant chacun une valise, jeus la plus lourde évidemment.

On se dirigea vers le parking, où se trouvait la voiture en plaisantant, Marie et moi, je retrouvai la sur dantan et cela me combla de joie. Tellement vrai que lon se taquina comme autrefois, on redevint des jeunes ados insouciants. Le trajet nous prit plus de temps ainsi. Enfin voilà la voiture, elle regarda la voiture et questionna :

— Cest ta voiture ? Je ne la connais pas.

— Non ! Cest la nouvelle voiture de maman, je nai pas les moyens en tant quétudiant universitaire de moffrir une telle automobile. Répondis-je

— Cest une belle auto, allez en voiture, jai hâte dembrasser maman et de retrouver mes pénates, crois-moi répondit-elle en me défrisant les cheveux.

— Arrête tu me décoiffes, en disant cela je la pinçai aux hanches.

— Aie ! Tu fais mal Thomas ! Je vais avoir un bleu, sexclama-t-elle. Attends que je tattrape, tu vas voir.

On coura, tous deux, autour de la voiture, je feignis de me laisser rattraper, elle sauta sur moi en riant et me dit-elle

— Tu as de la chance que je suis trop heureuse dêtre de retour et de te voir à nouveau souriant avec moi, allons rejoindre maman.

— Ok, moi aussi je suis heureux de retrouver ma sur enjouée, répartis-je

On quitta laéroport, joyeux de nos retrouvailles, on fila vers la maison. Sur la route, Marie, continua à poser ses questions telles que :

— Tu dois faire des ravages auprès des filles à luniversité, beau comme tu es ? Disait-elle en souriant et regardant le paysage avec ses yeux avides de revoir ces paysages.

— Non, tu ny es pas du tout. Je me consacre aux études, les filles de luniversité mintéressent peu à vrai dire, ni les autres en vérité. Répondis-je

— Et je dois te croire sur parole, sexclama-t-elle en riant

— Oui ! Je jure sur ta tête et la mienne dis-je

— Je te crois car nous jurions ainsi lorsque nous étions gamins, affirma-t-elle en me regardant droit dans les yeux.

— Mais je pourrai te poser la même question te concernant, ma surette, tu ne dois pas manquer de prétendant aux States, nest-ce pas ?

— Non pas du tout, ma réponse en fait, est la même que la tienne. Non pas de copain, pas de petit ami, si tu veux tout savoir. Sérieuse comme une image je suis. Maffirma-t-elle

— Et là je dois te croire ! Rétorquai-je

— Croix de bois, croix de fer, si je mens je vais en enfer me dit-elle me regardant en souriant

— Ok ! Là je te crois, pas de souci, on redevient des gamins dis-moi, cest magnifique, je retrouve ma petite sur, lui répondis-je

On continua notre conversation badine, heureux comme lorsque nous fumes des gamins ma sur et moi, puis on arriva à la maison, Marie tressauta de joie sur son siège, en voyant la maison, ce fut une vraie démonstration de joie réelle quelle nous fit là.

— Tu ne peux pas savoir la joie que je ressens dêtre enfin de retour au bercail, jai hâte dembrasser Maman et prendre possession de ma chambre, enfin je suis de nouveau chez nous, cest magnifique !

— Oui Marie, tu es chez nous et jen suis heureux surtout que tu es redevenue toi- même, Maman sera enchantée de ta métamorphose lui dis-je en sortant de la voiture.

— Va devant Marie, je moccupe de tes bagages, lui lançais-je en ouvrant la malle arrière.

Relevant ma tête pour fermer le coffre de la voiture, je vis maman, sur le perron de la maison, elle alla précipitamment en direction de Marie, et celle-ci fit de même. Elles tombèrent dans les bras lune de lautre, effusion, embrassade, accolade.

— Oh ! Marie, je suis heureuse de te revoir, tu nous as manqué. Laisse-moi te regarder, tu es devenue une belle jeune femme, tu es ravissante, dit maman les larmes aux yeux

— Vous aussi vous mavez manqué, je suis joyeuse de vous retrouver, tu ne peux savoir, labsence de vous à mes côtés fut horrible, répondit Marie.

Elles se séparèrent, au bout de quelques minutes, puis une fois lépanchement émotionnel des retrouvailles terminé, le côté curieux féminin reprit le dessus et les questions de maman fusèrent à une vitesse vertigineuse. Telles que : que deviens-tu ? Raconte-moi ton séjour, que fais-tu de tes journées ? Comment vas-tu ? Maman ne laissa jamais à Marie le temps de répondre. En devisant ainsi elles revinrent vers la maison. Je les dépassai, les bagages de ma sur en mains, pour aller les déposer directement dans la chambre de Marie.

Je redescendis de létage, me rendis dans le salon, Marie et maman se trouvèrent dans la pièce. Elles continuèrent leurs conversations, Marie se fut débarrassée de son manteau et de sa grande écharpe, cela me permit de voir sa silhouette, elle fut devenue jeune femme, une allure de femme sportive, très bien proportionnée. Mon regard croisa le sien, elle se rendit compte que je lobservai, elle menvoya un sourire, que je lui rendis. Et je décidai de venir à son secours.

— Maman tu devrais laisser Marie, défaire ses bagages, se rafraichir au besoin, sinon la laisser se reposer un peu. Elle vient de faire un voyage de huit heures avec décalage horaire.

— Oui tu as raison, je me laisse débordée par ma curiosité, je veux tout savoir et tout de suite, ma chérie, ton frère a raison, va dans ta chambre reprendre tes marques, on se verra plus tard pour continuer notre conversation. Ce soir, je vous emmène au restaurant, on ne va pas se mettre à faire la cuisine et tout le reste, cela sera plus agréable. Dit ma mère

— Ok merci maman, je vais me rendre dans ma chambre pour me requinquer un peu et prendre un peu de repos, à tout à lheure, répondit ma sur

Vers 20 heures, Marie refit surface, nous fumes, maman et moi dans le salon, nous devisâmes ensemble des généralités. Nous fûmes fins prêts pour la sortie au restaurant, Marie arriva telle une star, elle fut sublime, en beauté physique et vestimentaire, on lui fit des éloges sur sa prestance, élégance et beauté. Maman narrêta plus, on vit la joie de retrouver sa fille se refléter sur son visage, maman fut heureuse, cela me combla daise et de bonheur. Marie aussi fut resplendissante dans sa joie de nous retrouver et dêtre revenue elle-même. Maman mit fin à tout cela en disant :

— Les enfants il va falloir y aller, notre réservation est pour 21 heures.

On se dirigea donc vers le restaurant. Maman me dit de prendre la conduite à ma charge, vu que je fus lhomme de la famille, jobtempérai, nous voilà en route pour notre diner de retrouvailles.

Je ne vous narrerai pas le menu, délicieux il fut, ni ladresse du restaurant et encore moins nos conversations de la soirée qui se portèrent, tout autour de Marie.

On fut de retour vers 23 heures 40, maman proposa de boire quelque chose, mais elle eut une réponse négative de notre part :

— Non merci maman, nous avons eu une excellente soirée, nous avons bu des crus délicats. Mais je suis surtout épuisée de ma journée. Aussi je vais aller dormir, je vous souhaite une excellente nuit dit-elle en nous embrassant.

— Pour moi aussi maman, cela ira comme cela, merci pour ce délicieux repas, et votre compagnie, je vais aller dormir moi aussi, la journée fut longue. Je les embrassai en disant cela.

— Bon ! Eh bien on va aller tous dormir, bonne nuit mes enfants, ce fut une soirée magnifique et de se retrouver réunis tous les trois fut un grand bonheur pour moi.

De nouvelles embrassades et chacun parti vers sa chambre, on laissa maman éteindre les lumières du salon.

Une fois dans ma chambre, après mêtre déshabillé, je pris une douche, puis après avoir enfilé un pyjama, je me glissai sous la couette. Je revis ma journée en pensée puis jessayai de mendormir, demain serait encore une journée chargée. Je commençai à massoupir, il dut être pas loin de minuit trente, un gratouillis à ma porte, très léger, puis la porte souvrit et ma sur apparue sur le pas de la porte, elle referma délicatement la porte puis avança vers moi. Elle me chuchota :

— Tu ne dors pas, tant mieux, je voulais te parler un peu, tu veux bien ? Me demanda-t-elle.

— Oui bien sûr, cela fait longtemps que cela ne nous arrive plus de parler toi et moi, cela me fera plaisir de discuter avec toi, répondis-je.

Disant cela je me relevai un peu de façon à être adossé sur mon oreiller. Marie vint me chevaucher comme on le fit lorsque nous fûmes gamins, elle sasseya sur mes cuisses. Elle porta un haut rose avec un shorty rose, cela lui alla à ravir.

— Cela faisait longtemps que nous nous sommes trouvés ainsi toi et moi, nest-ce pas ?

— Oui en effet, je devais avoir dans les dix, onze ans. On samusait bien, répondis-je

— Même plus jusquà treize pour toi et quinze pour moi dit-elle.

— Oui et tout dun coup tu es devenue distante et rigide. Quest-ce qui ta fait subitement changer de comportement, demandai-je

— Cest difficile de ten parler mais je suis là pour cela. Voilà un matin je me levais pour aller prendre ma douche, comme jarrivais à la salle de bains, la porte était entrouverte, dans ma demie somnolence, je poussais la porte et je te vis sous la douche, tu ne me voyais pas, tu te savonner la figure, je suis restée ainsi une minute, sinon plus, à te regarder nu, mais surtout je lorgnais ton sexe en érection, cela me fit un choc. Je venais de voir pour la première fois un sexe masculin, en érection en plus. Je me suis ensuite échappée vers ma chambre, pour attendre que tu finisses ta douche et que la salle deau soit libre.

— Ah ! Désolé davoir laissé la porte ouverte lui dis-je. Je ne sus que dire en fait.

— Pas grave, au contraire, ainsi la vision de ton sexe me fit un effet trouble durant des mois, et javais cette vision de toi nu dans la tête, puis mon esprit passa de ton sexe, à ta personne en général. Là, je me rendis compte que de tous les garçons que je croisais au lycée, tu étais le plus fréquentable, le plus intelligent, et le plus sexy aussi. Ainsi je maperçus que je tombais amoureuse de toi, je mis du temps à men convaincre mais ce fut la révélation, quand un soir pensant à toi, je me mis à fantasmer érotiquement et mon sexe se mit à frétiller. Là, jai eu peur de mon sentiment pour toi, je plongeais dans linterdit. Je prie la décision de devenir distante, rigide, de façon à ne plus être complice comme nous létions, continuait-elle

— Ah ! Cétait donc la raison, moi qui me demandais, quavais-je pu bien faire pour te froisser ainsi. Car dans mon esprit tu étais devenue comme cela par ma faute, mais tu sais, moi aussi, peu avant que tu deviennes lointaine, en jouant un jour je pus apercevoir un de tes mamelons, oui ton tee-shirt trop grand sétait entrouvert et jeus la vision de ton sein, cela me mit dans tous les états et je tavoue, je me suis branlé longtemps sur ta vision, jessayais en vain de pouvoir voir plus de ton corps, je ny arrivais pas et puis te voilà devenue distante rigide et froide, jai perdu du coup toute illusion de te voir nue. Lui avouai-je

— Cest fou, moi je voulais méloigner de toi et toi tu cherchais désespérément me voir nue. Dire que jai bataillé des années contre mon amour de toi, en vain, car plus je voulais être distante, plus mon amour grandissait, au point que jai décidé de méloigner de toi pour me faciliter la tâche doù mon départ pour les USA.

— Dis-moi tu es redevenue toi-même, cest que finalement, tu nes plus amoureuse de moi ?

— Non ! Tu es ma passion, au contraire, je suis redevenue moi-même parce que jai pris la décision de venir tavouer ma passion pour toi.

Marie fut là, assise sur mes cuisses, me disant cela avec un naturel incroyable. Elle irradia une aura indescriptible et je la sentis heureuse dêtre là, de mavouer son amour pour moi. Comme si elle me parlait de pluie et beau temps. Elle me regarda avec un regard illuminé et sensuel. Elle me prit une main, ma droite dans sa main gauche, elle la passa sous son haut et remonta ma main sur son sein, libre de tout entrave, je pus ressentir la douceur de sa peau, le téton durcissant rapidement au contact. Elle lâcha ma main sur son mamelon en disant :

— Caresse mes seins mon amour, je suis à toi, je te donne mon corps et toutes mes virginités. Je me suis réservée pour toi, je ne veux que toi depuis toujours, tu auras ma virginité buccale, vaginale et anale mon amour. Tu seras le premier sexe que je caresse mon amour, je suis passionnément amoureuse de toi. Au diable la morale et les interdits, je veux vivre notre amour, me déclarait-elle.

Bien que mon cerveau illuminât tous les contacts au rouge, je ne pus pas mempêcher de mettre mon autre main sous son haut et caresser les deux seins magnifiques de Marie. Ces seins dont je rêvai de voir, à tout prix, il y a quelques années. Cette nuit, ma sur Marie me les offrit, sans ambages, volontairement, librement avec amour. Je sentis que je me fourvoyai dans un piège énorme, mais caresser ces deux seins magnifiques me combla et me donna un plaisir que je ne soupçonnai pas, amoureux dAurélie, notre mère, je ne pus retenir cette volupté de bien-être et de désir. La réaction fut immédiate, mon sexe devint dur, une érection inattendue et inappropriée. Cela mimpliqua dans une situation où je ne voulus pas aller. Dailleurs Marie sen rendit compte aussitôt, étant assise sur mes cuisses, elle remua afin de laisser libre cours à mon sexe et vint sassoir dessus celui-ci. Puis elle commença des allers-retours glissant sur ma queue pour se branler avec celle-ci.

— Moi aussi ma chatte est trempée, jai envie de toi depuis si longtemps mon amour, me murmura-t-elle.

Elle se pencha en avant jusquà ce que ses lèvres touchassent les miennes, je fermai ma bouche instinctivement, je neus aucune envie déchanger un baiser avec Marie. Elle essaya de forcer mes lèvres avec sa langue, énergiquement, elle arriva à entrouvrir légèrement les miennes, je sentis sa langue butant sur mes dents, puis jouvris ma bouche, elle infiltra sa langue dans celle-ci. Elle senroula sur ma langue, jabdiquai à la douceur de ce baiser et de sa langue et aux délices de mes caresses sur ses seins splendides aux tétons endurcis, je rendis son baiser et pénétrai sa bouche avec ma langue. Ce baiser séternisa et devint fougueux, je laissai ses seins pour mettre mes bras dans son dos et la presser contre mon torse, Marie activa ses allers retours sur ma queue en sappuyant plus fortement sur celle-ci. Elle laissa échapper des gémissements pendant notre baiser, elle agrippa mes épaules plus fortement, elle se mit à trembler de tout son corps, Marie eut un orgasme, elle jouit abondamment en geignant de plus en plus fortement.

Puis saffala sur mon torse, son corps complètement relâché.

— Mon amour, mon Thomas, je viens de jouir de toi enfin, cest trop bon dêtre dans tes bras, tu ne peux savoir la volupté que jéprouve en ce moment. Prends ma virginité, je te veux en moi, mon amour me dit-elle dans mon oreille.

A cet instant, je sortis de ma langueur pour mesurer le pétrin où je me laissai engager. Je fus certain que Marie pensa que je fus, moi aussi, en amour avec elle, ce qui ne fut pas le cas. Jeus succombé par pur sens sexuel. La tentation fut facile, vu la beauté de ma sur, et son envie de moi qui la rendit lubrique à souhait. Il me fallut sortir de cet imbroglio, sans froisser Marie car sa passion devenue licencieuse par un trop-plein dabstinence aurait pu être ravageuse, à ce moment, vu son état de haute sensualité. Je me dus de gagner du temps, alors je dis à Marie.

— Marie, cest instant est merveilleux et tellement inattendu pour moi. Jai autant denvie que toi daller plus loin, mais pour une première fois, il serait idiot de, peut-être, tout gâcher par précipitation. En plus, tu dois être épuisée par ton voyage, par le décalage horaire. Tu es ici pour quinze jours, prenons le temps de connaitre nos corps calmement et lentement pour en prendre tout le plaisir intensément.

Elle resta un moment sans rien dire, puis elle se mit sur ces coudes, me regarda avec ses yeux brillants puis finit par exprimer ceci

— Daccord mon amour, tu as encore une fois raison, je te reconnais là, pragmatique et raisonnable, je tadore. Jaccepte à condition que tu me laisses dormir avec toi. Je quitterais la chambre tôt demain matin. Je veux dormir dans tes bras. Jen rêve depuis trop longtemps.

— Excellente idée, tu me vois ravi de tavoir dans mes bras répondis-je heureux de men tirer aussi bien.

Elle se leva du lit, elle ôta le haut et son shorty, me regarda pour voir si je ladmirais ou pas. Je ladmirai car ce fut une beauté sublime, un corps de déesse.

— Jenlève mon shorty car il est tout mouillé, tu mas excité avec ton sexe sur ma vulve.

Je me mis à sourire en pensant à sa masturbation déguisée. Elle revint sur le lit se blottissant contre moi, membrassa puis se retourna, son dos collé à mon ventre, elle fit en sorte de mettre mon sexe mi-dur sur le sillon de ses belles fesses bien fermes.

— Tu ne peux savoir comme je me sens détendu maintenant que je tai avoué mon amour pour toi, je suis bien là, entre tes bras et collée à toi, je pense que je vais mendormir satisfaite de mon aveu et de savoir que tu nes pas insensible, nos sentiments partagés me comblent dun plaisir certain. Je taime bonne nuit mon amour me dit-elle

— Bonne nuit à toi, ma sur adorée répondis-je en la serrant dans mes bras, le moins que je pus faire sans la froisser. Disant cela je me fis la remarque que sa position était identique à celle dAurélie lors de notre première nuit au lit…

Le lendemain matin, après une nuit passée dans les bras lun de lautre, je me réveillai en sursaut, ce ne fut pas Aurélie mais Marie dans mes bras. Je la réveillai doucement :

— Marie, cest lheure de retourner dans ta chambre, maman est déjà en cuisine, je sens lodeur du petit déjeuner. As-tu bien dormi ?

— Oui ! Thomas, mon petit frère aimé, oui cest une de mes meilleures nuits, pour ne pas dire la meilleure, dit-elle puis me donna un baiser langoureux.

Je lui rendis son baiser, ses seins durcirent sur ma poitrine, je sentis le piège, aussi je lui dis de faire vite, avant que maman ne vint nous réveiller, pour rejoindre sa chambre.

Elle le fit à contrecur, évidemment, en faisant sa moue de désappointement, elle sortit du lit nue comme un ver.

— Marie, tu as un corps de rêve, tu es sublime. Sache que je te laisse partir contraint et forcé, lui lançai-je faux-cul et impatient de rejoindre Aurélie dans la cuisine.

— Tu as de la chance, mais ce nest que partie remise, frérot, tu es à moi et je te veux me répondit-elle en quittant ma chambre nue, ses affaires en mains.

Une fois seul, je sautai du lit, enfilai mon pantalon de pyjama, mis le haut et sortit en vitesse pour rejoindre maman en cuisine.

— Bonjour mon bébé me dit maman dès mon entrée en cuisine. Tu as bien dormi ?

— Non mal dormi, tu me manques répondis-je puis lui donnai un baiser amoureux.

— Sois sage, Marie risque darriver, me dit-elle

— Non elle est sous la douche, jai entendu leau couler en descendant, mais en parlant de Marie, on a un gros souci toi et moi.

— Comment cela un gros souci, que veux-tu dire, tu minquiètes là me demanda-t-elle

— Eh bien jai eu la visite de Marie dans ma chambre cette nuit, tu ne devineras jamais la raison de sa venue. Elle est amoureuse de moi, un amour-passion, elle est venue ici pour mannoncer la chose car elle ne veut plus lutter contre son amour pour moi.

— Holà, il ne manquait plus que cela ! Quas-tu fait et quas-tu répondu ? Questionna-t-elle

— Rien à vrai dire, jai fait la personne surprise par sa déclaration inattendue, je lui ai dit que cela me prenait au dépourvu que je ne mattendais pas à cela, vu son comportement avant de partir pour les USA, que je fus attiré par elle avant son changement dattitude, et que vu la tournure de celui-ci, javais cessé de me faire des illusions pour nous deux. Je ne voulais pas la froisser, comprends-tu. Je voulais ton aide pour nous sortir de cet imbroglio. Elle voulait flirter mais jai prétexté la fatigue pour échapper à cela, elle a voulu dormir avec moi, jai dit oui, voilà tu sais tout dis-je à Aurélie

— Tu as bien agi mon bébé, cest une situation délicate à gérer, tu comprends bien, si tu dis quelle éprouve un amour passionnel pour toi, on doit prendre la situation en main en marchant sur des ufs, on ne doit pas la froisser, ni encore moins que tu lévinces purement et simplement. Me dit-elle

— Maman, cest toi que jaime, je ne veux rien entreprendre avec Marie, rétorquai-je vivement

— Chéri, je taime aussi, tu le sais, mais jaime ta sur et je ne veux pas la perdre à jamais, cest ma fille et ta sur. Te rends-tu compte du courage exprimé pour venir ici et tavouer son amour pour toi. Tu dois être son Dieu amour à ses yeux et si tu la rejetais, on ne saurait imaginer quelle serait sa réaction. Elle a dû partir aux USA pour lutter contre ce sentiment, alors si tu la rejetais va savoir ce quelle pourrait faire. Me répondit-elle

— Mais alors que pouvons-nous faire pour nous sortir de ce coup-là lui demandai-je

— Daprès toi ? Rien ! Tu vas répondre à son sentiment, on na pas le choix. Tu vas lui donner ce quelle attend de toi, en douceur pour que cela fasse le plus naturel possible, je compte sur toi ordonna-t-elle

— Mais Maman je ne veux personne dautre que toi, je nai aucune envie de flirter, en plus avec Marie, suppliai-je

— Bébé, tu mas bien donnée à baiser à Bruno, parce que tu maimes, tu las fait pour me faire plaisir, cette fois-ci, cest moi qui te demande si tu maimes fait plaisir à Marie, me dit-elle

— OUI mais là, ce nest pas une fois, cest tout une quinzaine. Et puis nous deux comment lui dire et quand lui dirons-nous répondis-je

— On nen est pas encore là, dabord faisons en sorte de lui faire vivre son histoire damour avec toi, ensuite on avancera au coup par coup, dès quil y aura une faille on avancera nos pions pour lamener là où tout deviendra plus facile, passons ces quinze jours, ensuite nous aurons neuf mois pour voir venir, me dit-elle

— Tu as toujours les bonnes paroles, je le reconnais, mais je naime pas Marie pour vivre un épisode sexuel avec elle, lançai-je

— Ne me dis pas quune aussi belle jeune fille ne témeut pas, en sus elle me ressemble, tu feras un petit effort pour accomplir ta tâche, crois-moi répondit-elle

— Ok je vais essayer de faire au mieux, répondis-je

A ce moment-là, Marie entra dans la cuisine,

— Bonjour tous les deux, dit Marie en sapprochant de maman en lembrassant puis vint vers moi pour faire de même, elle appuya son baiser plus que de raison,

— De quoi parliez-vous questionna-t-elle

— De toi, ma chérie, Thomas me disait quil était ravi de te retrouver, surtout de te retrouver avant ton collet monté, quant à moi inutile de te dire la joie de tavoir de nouveau parmi nous, tu es ravissante dans ta robe de chambre ma chérie dit-elle à Marie

— Merci maman, moi aussi je suis heureuse dêtre de nouveau parmi vous, vous ne pouvez pas limaginer mais je nai jamais été aussi heureuse de ma vie. Un bonheur indescriptible ce retour à la maison. Répondit-elle

— Cette odeur de petit déjeuner ma terriblement manquée continua-t-elle,

— Jai terriblement faim, je vais dévorer cela maman, dit-elle en sasseyant automatiquement à sa place habituelle.

— Thomas tu demeures silencieux, tu nas encore rien dit, dit Maman

— Oui cest vrai, je suis en train de savourer la présence de Marie et je ressens un bien-être de la savoir de nouveau avec nous, tu nous as tellement manqué, retorquai-je

— Moi aussi je meurs de faim ce matin, tu es contagieuse Marie dis-je en riant

— Bon alors à table et dégustons ce petit-déjeuner dit maman en souriant et nous regardant tous les deux avec des yeux de mère heureuse.

Durant le petit-déjeuner, Maman et Marie se firent leur emploi du temps pour la matinée, du shopping de femmes, ce qui me laissa libre. Jen profitai pour donner le mien :

— Comme vous faites les boutiques, je vais en profiter pour aller au gymnase, ensuite je déjeunerai à lextérieur et cet après-midi je passerai chez mon pote Maxime pour le saluer et prendre des nouvelles de sa convalescence. Donc je serai de retour à la maison en début de soirée, annonçai-je.

Je vis que Marie fit la moue mais ne dit rien, quant à Aurélie, elle eut un sourire en coin et un regard qui me signala que je devai me tenir à nos plans.

La soirée arriva, comme prévu je rentrai à la maison, Marie et Aurélie furent de retour, en grande discussion concernant leurs achats, elles rigolèrent, excitées de tout déballer. Les commentaires allèrent bon train,

— Bonsoir les filles, mécriai-je pour annoncer mon retour, je leur donnai, à toutes deux, un baiser.

Elles me prirent aussitôt à témoin pour donner mon avis sur leur achat. Ainsi nous passâmes une bonne heure à discuter, puis le temps de tout ranger arriva, chacune des deux partirent avec leurs affaires dans leur chambre respective. Jen profitai pour aller dans la mienne, me déshabiller et aller prendre une bonne douche.

Sortant de ma chambre, en peignoir de bain, je rencontrai marie dans le couloir, elle vint vers moi tout sourire, membrassa chaleureusement et me dit :

— Tu mas manqué, mon frère chéri, jeusse aimé que tu sois là pour maider dans le choix de mes emplettes.

— Toi aussi tu mas manqué, surette, mais on sera plus heureux lors de nos retrouvailles nocturnes toi et moi. Dis-je

— Oui, tu crois, je suis impatiente de te tenir dans mes bras moi aussi, allez va donc prendre ta douche, je la prendrai après toi, je vais finir mon rangement dit-elle en membrassant affectueusement de nouveau.

Ainsi on arriva au diner, maman tint la plupart du temps la conversation, une fois le repas terminé, on se rendit au salon, Marie et Maman choisirent un film, on le regarda… Une fois fini le film et nos commentaires sur celui-ci, je pris la décision de quitter lassemblée et daller me coucher. Je souhaitai une bonne nuit à Maman et Marie.

Une fois dans ma chambre après mêtre rafraichi, je me mis au lit, jai opté pour un pyjama ample, sans chemisette de corps. Je soupçonnai que Marie vint me rejoindre dès quelle estimera la voie libre et la tranquillité concernant maman. Jeus parié mon pactole sur le coup, je pris un livre facile car je ne pensai pas être très concentré pour la lecture, en fait jattendis et surveillai tous les bruits et rumeurs de la maison, en vérité.

Vers minuit et plus, presque trente, jentendis ma porte sentrouvrir et japerçus Marie, marchant sur la pointe de ses pieds, essayant de faire le moins de bruit possible. Je la regardai, elle a mis un pyjama rose, se composant dun haut et un shorty, elle posséda un corps sportif magnifique, une vraie beauté je dus admettre, en plus cétait maman crachée, avec vingt ans de moins. A cet instant de ma réflexion je ne sus si je dus cela à la ressemblance mais, jeu un pincement au cur et un désir de Marie me vint à lesprit. Une fois près du lit elle se jeta sur moi et membrassa fougueusement. Des bisous partout et puis sur les lèvres, un vrai baiser damour fou. Je la repoussai pour me mettre plus à laise, je vis son regard surpris et angoissé par mon acte. Aussi je lattrapai et elle poussa un cri de joie, en la ramenant à mes lèvres. Ses mains retrouvèrent ma poitrine, puis commencèrent à descendre. Elle trouva lourlet du haut de pyjama, et commença à le tirer vers le haut.

Je sentis un picotement alors que lair frais se précipita sur ma peau chaude. Elle tira le « haut » plus haut et plus haut, et finalement nous fûmes forcés de casser notre baiser pendant que le haut passa au-dessus de ma tête. Dès quil fut sur le sol, nous nous embrassâmes à nouveau.

Puis lentement, mes mains se tournèrent vers ses hanches fermes. Jattrapai, à mon tour son haut et le soulevai lentement. Notre baiser fut encore cassé, et jenlevai son top et le jetai sur le sol. Je regardai ma sur, assise sur mes genoux, nos peaux touchantes. Sa peau de grande pâleur, comme la mienne, sur ce fond blanc sa poitrine sembla encore plus vive. Des seins en pomme damour comme jaime, ils semblèrent prendre plaisir à saccrocher à ces courbes sublimes. On reprit nos baisers passionnés, et elle commença à appuyer son entrejambe contre le mien. Elle prit position entre mes jambes.

Après quelques minutes, je larrêtai et chassai ma sur de moi. Elle eut lair confuse pendant un moment, mais quand elle vit le sourire du désir sur mon visage, la luxure la rattrapa. Je la levai devant moi et tendai lélastique de son shorty autour de sa taille. Jaccrochai mes doigts et tirai vers le bas, Marie maidant de son mieux. Sous mon regard, elle se tortilla un peu et rougissait, embarrassée. Dans un mouvement fluide, je laissai tomber le shorty au sol, je regardai, son sexe rasé et tout lisse, émerveillé.

Je dus admettre que je fus plus détendu que je ne le pensai et que je ressentai une véritable affection pour Marie et ne voulut point quelle quitta sa place non plus. Alors, je tendis un bras autour delle et la tins près de moi, me délectant de sa simple présence. Mais ce fut plus que sa présence ; plus que de laffection. Ce fut plus spécial que ça.

Ma queue atteignit sa dureté totale ; serpentant sur toute sa longueur entre sa cuisse gauche et le bas des jambes de Marie. Je sus quelle pu la sentir ; il ny eut aucune raison quelle ne le puisse pas. Je fus tellement submergé par le sentiment de proximité et dattachement que je neus jamais atteint avec Marie auparavant, je surfai sur un vaste lac daffection que je sentis bercer pour ma sur.

Marie soupira de contentement, ses yeux toujours fermés. Je serrai légèrement son bras, voulant lui donner dune façon ou dune autre un mécanisme moins dérisoire que des mots quelle aima entendre.

Marie lui en donna lopportunité en ouvrant les yeux et en retirant son visage de son cou, une main toujours virevoltante dans ses cheveux. Nos yeux se fermèrent, nos nez à quelques centimètres.

Nous nous embrassement de nouveau. Je fus perdu dans un nuage damour ; je sentis comme sil y eut un petit échange dénergie ou quelque chose entre nous. Partout où sa peau rencontra ma peau, elle sembla picoter dénergie. Elle du ressentir la même chose en déplaçant sa main, de ma taille vers mon dos ; sa paume rencontra mon ventre nu, et le moindre gémissement séchappa de sa boîte vocale, avec un frisson daccompagnement.

Finalement, on se sépara avec un bruit daspiration humide et un halètement. On resta immobile pendant un moment, se contentant juste à respirer à travers la brume de la connexion fraternelle et de lexcitation physique. Mon esprit nagea lentement, mais il revint sur terre, assez pour exprimer lidée dans son esprit.

— Veux-tu…

— Oui.

Létat desprit de Marie fut juste à côté du mien. Je vis à ses yeux, à la fois le plaisir de découvrir leurs liens pseudo-spirituels les plus intimes et le besoin physique de donner du feu à son regard.

Je commençai à bouger, mais Marie mit une main sur ma poitrine.

— Non, je ne veux pas changer ça. Jadore être retenu par toi. Pouvons-nous le faire comme ça ?

Je pensai que nous pûmes le faire ainsi. Jaimai comment nous fûmes positionnés de toute façon, alors jhochai la tête vers elle.

Marie se pencha entre mes jambes et rencontra immédiatement ma bite tendue contre le tissu de mon pyjama. Ses yeux se fermèrent à moitié, mais elle tendit la main sous ses propres fesses, et jentendis du tissu se déchirer. Je glissai ma propre main entre nos corps et découvris un trou béant dans le bas de mon pantalon de pyjama… Ma bite était libre

— De toute façon, ce vieux pyjama avait un petit trou. Dis-je avec un sourire.

Je sentis la courbe doù ma jambe fusionna avec sa fesse, et entrai jusquà ce que mon majeur effleura ses lèvres, mon majeur tâtonna la fente entre ses cuisses. Elle fut déjà assez humide. Elle fredonna avec appréciation, mais elle secoua ses hanches davant en arrière, minvitant silencieusement à mettre en place mes propres parties génitales. Alors, je manuvrai ma main sous elle et déboutonnai pyjama, avec un peu de travail, réussis à faire sortir mon sexe par le trou de mon pyjama.

Un sursaut de surprise survint lorsque ma queue monta entre ses jambes et que la tête de ma bite se souleva entre ses cuisses. Puis un rire, à la surprise quelle ressentit.

— Cest tellement long… Me murmura-t-elle

Elle tendit ensuite la main et passa un doigt sur le méat de ma queue, son doigt revint avec une noisette collante de pré-jus. Elle lécha son doigt et ferma les yeux au goût ; elle suçât une lèvre entre ses dents, en savourant le goût de quelque chose produit par moi.

Je laidai en levant ses hanches et en la plaçant au-dessus de la lance entre ses jambes, soutenant son poids alors quelle chercha sa propre entrée avec la tête de mon membre. Comme nous fument à quatre-vingt-dix degrés lun de lautre, il fut difficile datteindre lentrée mais avec un peu de forcing, ma queue glissa à lintérieur de Marie.

Son visage prit un air abattu alors que quelque chose se fraya un chemin dans son vagin, un endroit où aucune bite neut jamais été auparavant.

— Attention, ton hymen. Dis-je

Mais à cause de sa légère contrainte, Marie me sourit du coin de lil et poussa ses hanches sur les miennes, lenfouissant de plus en plus lentement en elle jusquà ce que ses fesses tombassent sur mes genoux, ses jambes à gauche. Elle se déplaça pour me permettre dentrer à fond dans elle, alors quand elle se retourna pour lobserver dans les yeux, elle me regarda légèrement.

Entre deux respirations, elle me dit :

— Tu te rappelles que jai suivi des cours déquitation il y a deux ans ? Eh bien, plus dhymen.

Je fus content de ne pas avoir à la blesser pendant son premier tour de pénétration. Maintenant, il put être aussi doux quil le désira.

On sembrassa une fois de plus, alors que Marie commença à balancer ses hanches sur ma queue ; il sentit les parois de son vagin, si chaudes et fermées, masser son pénis et léclair de la tête de ma bite. On se sépara et on se concentra sur le mouvement de ma queue dans et hors delle pour une stimulation maximale. Ses respirations furent superficielles et rapides, ses yeux capuchonnés et distraits.

Dès le moment où jentrai en elle, jeu limpression quil y eut constamment un transfert dénergie entre nous ; je pus sentir sa vitalité partout où je la touchai ; à travers mes lèvres et ma langue, mes doigts et mes paumes, et à travers la longueur de ma bite qui demeura en elle. Cela ne ressembla à rien de ce que jeu déjà connu auparavant. Même avec maman que jaimai intensément, ce fut différent. Comme si nous fûmes plus près, dêtre plus singulier quils ne leumes jamais été auparavant, ce fut un sentiment glorieux.

Le froncement de Marie devint plus pressant, elle ferma les yeux dans la concentration. Elle changea la façon dont ses hanches se déplacèrent sur les genoux de Thomas, mais secoua la tête.

— Je dois… Je viens… Gémissait-elle

Marie abandonna et tendit la main pour attraper sa cheville gauche. Avec un mouvement lent et fluide, Marie déplaça sa jambe vers le haut et au-dessus de ma tête, écarta ses jambes et la laissa tomber de lautre côté de moi, maintenant à califourchon. Marie fut capable den prendre un peu plus à lintérieur delle, ce qui fit agiter sa tête, ébouriffant ses cheveux. Je pus à peine sentir au bout de ma queue quelque chose au bout du vagin de Marie. Je pensai heurter le bout de son vagin.

Marie gémit encore une fois,

— Cest mieux !

Hochant la tête, Thomas approuva ; ce fut un peu plus intime, maintenant que Marie souvrit complètement à lui. Elle se servit de ses hanches et de lappui quelle put faire avec ses pieds nus pour se balancer de haut en bas sur ma queue alors que je rencontrai chaque foulée avec autant de poussée que je pus gérer depuis ma position coincée.

Je sus que je nallai pas durer longtemps, et dit ça.

— Je sais. Reste sur moi, daccord ? »

Marie se pencha et me serra dans ses bras,

— Cest exactement ce que je veux quand tu jouiras.

Ses seins écrasés contre ma poitrine intentionnellement cette fois, son besoin dappuyer sur elle-même.

Je gémis dans son épaule alors je sentis les remous dans mon bas-ventre. Sentir ma sur bouger sur moi, et sentir aussi le flux et le reflux de ses énergies contre et autour de moi apporta un point culminant que je neus jamais connu auparavant. Les bras de Marie remontèrent à larrière de sa cage thoracique, la pressant aussi près de ma poitrine que possible, et sa respiration devint de plus en plus agitée et insistante. Je pus sentir ses muscles se tendre et se détendre sous mes mains errantes, et notai que leurs rythmes augmentèrent en concordance avec mes propres respirations, chaudes sur son cou.

Son tunnel vaginal commença à fléchir si lentement autour de mon membre qui sapprocha de plus en plus de lorgasme, qui prit énormément de temps à construire ma jouissance. Mais chaque étape de laction naissante vers lapogée imminente se passa dans les deux corps fraternels au même moment.

Immédiatement au moment où je sentis mes couilles se dresser contre lendroit où elles pendirent habituellement, je ressentis un changement insistant dans les mouvements, la respiration et lénergie de Marie.

— Je suis sur le point de jouir, gémis-je

Je poussai le plus loin possible vers ma sur et sentit mon sperme me traverser. En même temps, je sentis Marie me broyer les hanches aussi fortement quelle le put et me serra la tête avec une force intense. Ma bite éclata dans ses replis les plus secrets en même temps que ses parois vaginales se serrèrent contre mon sexe, provoquant la version biologique dun sceau hermétique.

Nous mégissâmes en harmonie, les deux vocalisations gutturales de la libération primitive. Je pus sentir une forte poussée dénergie entre nous, ce qui brouilla davantage les frontières entre les énergies vitales de ma sur bien-aimée et les miennes. Les étincelles dansèrent devant ma vision et je tins fermement son torse vibrant.

Jenvoyai cinq jets de foutre, le premier étant le plus fort et les autres avec une vélocité décroissante, mais jéprouvai, à chaque fois, les plus légères réactions musculaires de Marie à travers ma queue qui pulsa dans son ventre. Ma bite sensible continua par spasme à lintérieur de Marie pendant un moment, après que mes réservoirs de liquide et de sperme furent épuisés.

Au même moment, on se détendit, descendus tous deux de notre haut sexe au même moment. Je me sentis complètement en paix, ne voulant pas quitter cette position pour quoi que ce soit dans le monde. Apparemment, Marie ressentit la même chose, alors quelle se blottit contre moi, son souffle bruyant dans mon oreille. Je lembrassai dans le cou et, à contrecur, elle écarta sa tête de mon cou et de mon épaule. Ses yeux souvrirent lentement et brusquement, clignotant plusieurs fois alors quelle essaya de concentrer sa vision sur mon visage. Elle déglutit, essayant de retrouver sa voix.

— As-tu ressenti ça ?

— Si tu veux parler de cette énergie entre nous, ouais jai ressenti. Répondis-je

Marie hocha faiblement la tête, la bouche ouverte démerveillement. Elle se précipita vers moi et couvrit ma bouche avec la sienne, membrassant de façon urgente, vibrante, amoureuse, à laquelle je rendis son affection unique.

Quand ma queue commença finalement à se dégonfler, je vins à la conclusion réticente quon devra aller nettoyer le désordre fait.

Nous fûmes sur la même longueur donde, parce que Marie soupira rudement.

— Je ne veux pas quitter tes bras, Thomas murmura-t-elle

— Je ne veux pas quitter les tiens. Donc nous ne le ferons pas. Répondis-je

Je me penchai en avant, le bras tendu sous elle, et me levai, portant ma sur dans mes bras. Ses jambes senroulèrent autour de mon abdomen alors quelle quitta le lit, ma bite redevint plus dure étant toujours coincée dans son tunnel. Je la portai jusqu à la salle de bains et ouvrai la douche, dans laquelle nous nous séparâmes à contrecur pour nous nettoyer. Ensuite, nous le fîmes lentement et sensuellement pendant encore des minutes avant de sortir de leau.

Pendant que lon se sécha, je ne pus mempêcher de regarder ma sur si jolie, malgré ses cheveux mouillés. Ses seins mouillés brillèrent dans la lumière et gigotèrent avec distraction pendant quelle se sécha les cheveux et le corps. Elle sourit à mon attention visuelle.

Une fois propres et secs, nous entrâmes dans la chambre de Marie et nous nous assîmes sur son lit, nos doigts entrelacés. Marie pencha la tête et se mordit la lèvre avant de parler.

— Tu sais, même si tu ne voulais pas gâcher cette expérience, quand nous prenions la douche, je ne pouvais pas obtenir plus de sperme pour sortir de moi. Je pourrais être enceinte…

Je fus frappé par la possibilité, mais fut surpris de ne pas trouver dhorreur ou de panique dans mon esprit.

— Ce ne serait pas une mauvaise chose, Marie. Cela valait vraiment la peine. On élèvera notre enfant, nimporte quoi pour rester aussi près de toi que possible. Répondis-je

Marie leva les yeux avec les sourcils levés et la bouche ouverte. Elle grandit lentement dans une expression de joie et se jeta dans mes bras. On sembrassa pendant des minutes, se balançant lentement davant en arrière.

Je commençai à travailler le haut de sa chatte avec mon pouce, et enfonçai mon majeur dans et hors de ses confins doux. Elle fut incroyablement chaude, serrée et mouillée. Jeus limpression que mon doigt fut aspiré à chaque entrée. Marie gémit de plus en plus fort, et je poussai de plus en plus vite. Ses bras senroulèrent autour de mon bras droit, et sa main descendit pour couvrir la mienne, me forçant à la pénétrer plus profondément. Je pinçai son mamelon et enfonçai mon doigt profondément en elle. Tout à coup, elle simmobilisa complètement, ses muscles se bloquant, et jeus juré quelle sarrêta même de respirer une seconde.

Marie se fut effondrée sur le sol si mes bras neussent pas été enroulés autour delle. Elle pendit comme une poupée de chiffon dans mes bras pendant plusieurs minutes, repren

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