Histoires de baise Histoires de sexe gratuites Histoires érotiques au travail

Henri et Patrick, un air de famille – Chapitre 2




UN AIR DE FAMILLE

Episode 2

— Ahhhhhh, je n’en peux plus, je vais m’évanouir de plaisir!

Après nous avoir fait jouir tout notre saoul, les deux hommes décident de s’occuper de nous à tour de rôle.

Henri me positionne en levrette et tire mes hanches jusqu’à ce que son sexe soit pratiquement entièrement en moi et que je sente sa hampe frotter mon clitoris, une sensation particulièrement excitante, qui me donne envie d’encore plus.

Patrick se met devant moi et me fait me courber vers l’arrière en prenant appui avec mes mains sur ses jambes ce qui arrondit du même coup ma poitrine dont les tétons sont dressés tant je suis excitée. Sa verge force mes lèvres et glisse dans ma bouche.

Il saisit ma poitrine à pleine main et me pilonne la bouche de plus en plus fort.

Je suis comme anesthésiée et subis les coups de reins d’Henri, je suis secouée de spasmes comme un bateau qui subit une tempête en pleine mer et qui tangue au rythme des vagues.

Ce tableau féerique dure cinq à dix minutes peut être, je ne sais plus.

Je m’arrête de sucer Patrick pour reprendre mon souffle, soudain Henri prend la parole.

— Moi aussi j’ai envie de me faire sucer, laisse-moi ta place. Tiens ma belle, goûte à mon engin.

C’est maintenant Henri qui présente son gourdin à ma bouche, alors que Patrick change de place, s’installe entre mes jambes et fait glisser sa bite contre ma chatte, puis s’enfonce en moi comme une brute.

Il n’y va pas par quatre chemins, il me pilonne si fort que je dois m’accrocher aux fesses d’Henri pour résister à ses poussées, sous ses assauts je n’arrive même plus à garder dans ma bouche la verge d’Henri.

Ma poitrine ballotte au rythme des coups de reins et je commence à gémir comme jamais.

-Oh oui Plus fort, plus vite, j’aime être baisée comme ça, encule-moi, prenez-moi avec vos monstres!

Patrick pointe maintenant sa langue sur mon anus et commence à l’enfoncer dans mon trou qui s’ouvre tout seul. Je sais déjà qu’il va m’enculer.

-Tu as raison, acquiesce Henri, il y a de la place pour deux, visiblement, Madame est demandeuse.

Après quelques minutes, Henri se retire de ma bouche et vient chuchoter à l’oreille de Patrick qui lui laisse la place.

Il pointe sa langue sur mon anus et commence à l’enfoncer dans mon trou qui s’ouvre tout seul et me lèche le petit trou

Il se redresse, j’écarte ma chatte et lui ordonne :

— Baise-moi! Je veux ton énorme queue!

Il me caresse l’abricot avec son gland violacé, le glisse entre mes lèvres et se pousse en moi. Je jouis en sentant son énorme pieu m’écarter la vulve.

-Aaahh! Quelle est bonne ta grosse queue!

 Il me baise à grands coups de bite, comme un salaud. D’un coup, il sort sa queue raide de ma vulve gonflée et pointe son gland monstrueux contre mon anus, en me demandant.

 – Je vais t’enculer! Tu aimes?

Je riposte.

— J’adore me faire enculer, mais ta queue est si grosse! Je vais déguster!

 Il lubrifie sa pine et commence à pousser son membre dans mon cul. Je sens mon anus écartelé et ce pieu énorme me dilate le fondement. Je crie, mais je veux le prendre tout entière au fond de mon cul.

 – Ah ! Tu me déchires !

Je sens sa bite monstrueuse entrer toute entière dans mon petit trou du cul et ses couilles buter contre mes fesses.

 J’ai pris sa belle queue toute entière dans mon cul, il faut dire que j’ai l’habitude avec le chibre de Patrick.

Il commence à m’enculer à grands coups de bite. Je sens son énorme pieu défoncer mes intestins, je jouis comme une salope en criant.

— Aaaahh! Qu’elle est grosse! Encule-moi comme une salope! Défonce-moi le cul! Casse-moi le cul! Il me sodomise comme un fou et m’empale sur sa gigantesque teub en me promettant.

— Tiens, salope! Prends-toi çà dans ton cul! Aaahhh ! Je vais jouir dans ton cul!

Patrick me redresse pour m’embrasser à pleine bouche, puis me demande d’écarter les cuisses, place mes bras de chaque cotés de sa tête, plie les jambes et commence à introduire sa queue dans mon con, je le regarde guider son membre dardé, il approche le gland dans le repli humide de ma chatte et l’y engouffre.

La position est acrobatique mais la longueur combinée de leurs phallus permet la chose.

 Il demeure immobile ne terminant pas l’intromission, tout à coup je l’enlace, engloutissant d’un trait toute la longueur de la pine majestueuse, Patrick rugit et se met à limer ma chatte.

Je recommence à gémir, serre mes jambes autour des reins de Patrick, le retenant au plus profond de moi, solidement agrippée, balançant les reins à un rythme régulier.

 Je pousse un grand cri à mi chemin entre la douleur et le plaisir

-Noooonnnn, arrêtez .. Ohhhh, huuummmmm.

Je suis maintenant comme un pantin désarticulé ballotté dans tous les sens.

Deux colonnes de chair majestueuses me remplissent totalement les deux orifices.

Je crie si fort que l’on peut m’entendre à plusieurs centaines de mètres.

Je suis ruisselante de sueur et à moitié dans les vaps me faisant prendre par deux mâles qui se servent de leur musculature imposante pour profiter de mon corps et de mes charmes.

Je fais mine de me débattre avec les maigres forces qu’il me reste, je prends un pied comme jamais, la sensation de ces deux défonce-cul taille XXL séparés par une fine paroi de chair est incroyable.

Mais c’est peine perdue, je me retrouve prise en sandwich entre deux énormes queues ! Une double pénétration qui me mène jusqu’à l’orgasme. Ils me baisent, me pinent avec violence, et je jouis si fort.

Leurs bites sont extraordinaires, la queue d’Henri a la même dureté incroyable que le sexe de Patrick et il a aussi la même résistance. Pendant 10 minutes, je ne mets plus un pied par terre.

Ils me portent me faisant déguster dans chacun de mes trous leur pieu de chair, un coup dans la chatte, un coup dans le cul.

Je hurle quand soudain Henri se retire de mon anus et présente sa verge à l’entrée de ma chatte déjà pleine. Il dirige de la main sa queue contre celle de Patrick et l’introduit avec difficulté dans mon vagin qui manque d’exploser sous l’intromission simultanée de ces 2 obélisques qui déforment mon sexe. La sensation est si intense que je m’évanouis un instant.

Henri prend peur et revient me remplir le fion puis ils décident de varier les plaisirs.

Celui de l’arrière passe à l’avant et celui de l’avant à l’arrière, j’ai le cul en feu.

Pendant que l’un à l’avant, maintient fermement mes fesses, l’autre à l’arrière, m’enfile sans ménagement puis se met à buriner sérieusement mon anneau pleinement offert, me propulsant au septième ciel.

 Cette double pénétration avec deux énormes chibres au plus profond de moi me donne des frissons de bonheur sur tout mon corps. Je suis à la limite de la crise cardiaque avec tous les orgasmes que j’ai déjà eus, je pense ne plus avoir suffisamment de force pour jouir de nouveau.

Mais là, prise en sandwichs par mes 2 étalons, de nouveau je sens venir au plus profond de moi, une nouvelle vague de jouissance et je crie de plaisir sans discontinuer.

 – Whaaaaoooooouuuuuu ça recommence! Je jouiiiiissssss encooooore! Putain de salaud, je vais mouriiiiirr!

Je sens leurs jouissances approcher.

Ils se retirent, Henri m’ordonne de me mettre à genoux et soudain il décharge une quantité énorme de sperme dans ma bouche. Continuant inlassablement à se vider les couilles. Son sexe crache sa semence en longs jets. Bon sang, c’est incroyable.

J’essaie de déglutir mais ne peux suivre le rythme, des filets de foutre coulent aux coins de mes lèvres. Il se retire de ma bouche mais son engin ne désenfle pas, il est toujours aussi gonflé.

 Au moment même des dernières jutes d’Henri, Patrick envoie la sauce.

 De puissants jets de sperme atterrissent sur mon visage rayonnant. Il n’y a pas que la bite de Patrick qui est hors-norme, mais aussi son foutre!

Il me crache littéralement une cascade de liquide chaud et blanc sur le visage. Son foutre chaud m’aveugle et se répand sur mes lèvres, mes joues et mon nez.

Ce 1er jet est suivit de nombreuses autres décharges toutes aussi violentes me couvrant entièrement le visage.

 Pierrette qui avait reprit son carnet de desseins le jette précipitamment pour venir récupérer un maximum de laitance dans sa bouche et m’embrasse comme une folle pour me faire partager leurs semences et communier ensemble.

Je suis carrément couverte de foutre, tel père, tel fils, à eux deux ils peuvent ouvrir une banque du sperme, ils ne seront jamais à découvert! Et comme son père, Patrick est toujours la queue en l’air.

Il se met sur le dos et demande à Pierrette de venir s’empaler sur lui, elle s’exécute sans retenue contente de glisser dans sa chatte cette grosse trique.

 Il l’attire sur lui, malaxe ses seins, et s’agite en elle faisant attention de ne pas trop la pénétrer avec son organe démesuré.

Henri passe ses mains sur son dos et ses fesses, s’attardant sur le petit trou qu’il mouille avec de la salive et engage un doigt dans sa rondelle.

Il s’installe derrière elle et introduit par coups de reins successifs toute sa bite dans son cul. Leurs sexes se touchent dans un va et viens très agréable uniquement séparés par une fine membrane.

Ils lui font subir le même outrage qu’à moi, les deux défonce-cul disparaissant à chaque poussée dans les deux orifices qui n’attendent que ça.

Elle gémit et agite son bassin pour faciliter l’intromission, ce qui plait aux deux hommes, qui font des (Hans) De bûcherons.

Ils donnent des coups de reins bien en cadence pendant plusieurs minutes, ils la labourent en profondeur, lui arrachant des cris de plus en plus rapides, elle jouit plusieurs fois, soumise à ce rut effréné, et ne peut bientôt plus contenir ses réactions, ses ongles griffent les épaules de Patrick.

 Son sexe et son cul sont distendus à l’extrême, elle mouille, laissant des traces blanchâtres sur l’énorme obélisque qui s’agite en elle.

Ils se mettent à commenter leur pistonnage.

Le tableau de Pierrette se faisant posséder par ses deux hommes est très "hot", avec en plus la vision d’elle se débattant mollement, mais que résignée et impuissante face à ses colosses, elle cède au plaisir et se laisse faire.

Je lui dis que ça ferait une belle toile.

— Je crois que pour le tableau, ce sera pour une autre fois, murmure-t-elle.

Il leur faut encore plus longtemps pour arriver à la jouissance, quels étalons!

Au bout de 15 minutes, Henri se vide d’un coup et lui remplit l’anus de son sperme.

Le résultat ne se fait pas attendre, Patrick n’arrive plus à se retenir et éjacule longuement remplissant son fourreau intime.

Il la bloque contre lui, et lui remplit le vagin de sa semence dans un feulement de félin.

Quand ils retirent leurs engins et la laissent enfin, tremblant tellement qu’elle arrive à peine à rester debout, le sperme s’échappe à flot de la chatte et du trou du cul tout endolori, la semence coule le long des jambes et fait une tache sur le sol.

Nous faisons une pause et j’en profite avec Pierrette pour prendre une douche, ils restent nus à discuter entre eux.

Nous revenons au salon pour voir ce que deviennent nos 2 étalons, ils nous attendent en se branlant doucement, leurs verges n’attendant que nous.

Pierrette va embrasser Patrick.

Il la soulève et l’empale en lui donnant d’impressionnants coups de son énorme bélier dans la chatte, elle s’agrippe comme elle peut avec ses bras et ses cuisses sur le corps musclé de Patrick.

La scène vécue en tant que spectateurs est d’une puissance érotique telle qu’Henri fait de même avec moi, ils nous besognent pendant une dizaine de minutes en nous paluchant. Ils sont vraiment infatigables.

Pendant les deux heures qui ont suivis, ils nous ont prises de toutes les façons possibles et imaginables.

Nous sommes complètement épuisées n’ayant jamais rien connu de tel, Ils viennent d’éjaculer pour la 4ème fois et Henri vient de jeter l’éponge, complètement à plat aussi bien des bourses que physiquement.

Mais Pierrette arrive à faire relever encore une dernière fois la hampe de Patrick. Elle s’empare de sa bite et commence à le chevaucher avec fougue. Je me mets à quatre pattes et les regarde copuler.

— Vas y maintenant, défonce moi par derrière, je veux sentir ta grosse bite me labourer la chatte jusqu’à ce que j’en hurle…

Il s’exécute illico s’introduisant d’un seul coup sec et violent en elle lui arrachant un cri de douleur.

J’entends les hurlements de plaisir de Pierrette qui commencent à se faire entendre… elle jouit comme la dernière des salopes. Patrick se retire de sa chatte et se tourne vers moi et m’ordonne.

-Suce moi salope!

Il me présente sa pine que j’avale aussitôt, comme une gourmande et finit par gober le gland énorme, la mâchoire ouverte à fond, ma bouche est on ne peut plus pleine.

Pierrette se place à coté de moi, ont n’est pas trop de deux pour sucer le mandrin démesuré de Patrick.

Les lèvres serrées au maximum sur sa grosse queue, je le gobe doucement, en serrant toujours, et remonte.

Je sens bien en remontant quand j’arrive au gland, huumm que c’est bon, des petites gouttes perlent au bout de son gland

 Je fais quelques allers et retours avec sa bite bien enserrée quelques secondes avant qu’il n’explose en grognant.

— AAAAhhh ! QUELLE BONNE SALOPE !

Il se retire au moment fatidique et dirigeant sa grosse lance d’une main experte nous asperge à tour de rôle le visage et les seins de longues trainées de sperme et avec lui les petites doses n’existent pas.

Il continu de jouir, j’ai du sperme plein la figure et la bouche. Il commence enfin à débander.

Pierrette glisse une main attrapant les couilles qu’elle caresse, faisant ressortir l’énorme mandrin pour en frotter son visage avec le gland turgescent.

Comme elle sait par expérience qu’il ne débande pas si facilement elle fait replonger l’organe, l’absorbant au fond de sa bouche.

Il lui faut quand même plusieurs minutes pour transformer ce sexe en demi-érection en un énorme engin majestueux dur comme un roc.

Elle retire ce chibre de sa bouche pour encore admirer l’érection phénoménale malgré ses exploits de la journée. Il engouffre son sexe hors norme dans sa gorge.

Sa grosse bite est recouverte de bave. La fellation s’éternise, il lui tapote le visage avec et tire ses cheveux, la forçant à le regarder dans les yeux. Il grogne.

Tu as réussi à me faire encore bander mais je crois que le réservoir est à sec.

Cette journée inoubliable touche à sa fin mais j’espère que ce n’est que la 1ère d’une longue liste aussi longue que leurs queues!!!!!!

Related posts

Julie et le sexe – Chapitre 1

historiesexe

Monseigneur Ildéfonse – Chapitre 2

historiesexe

Thèse à la grecque. L'étudiante et le pêcheur. – Chapitre 8

historiesexe

Laissez un commentaire

Ce site Web utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que cela vous convient, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. J'accepte .