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Dérapage au bureau – Chapitre 1




L’histoire qui vient de m’arriver est toute récente. Elle s’est passée au bureau en fin de journée alors que nous étions les derniers encore au travail. Il devait être dix huit heures trente, presque dix neuf heures quand j’entend des sanglots étouffés dans les bureaux en-dessous du mien. Je sais qu’il ne reste que Christine dans les locaux. Je m’entends bien avec elle, même très bien je dirais. Il nous arrive assez fréquemment de nous étreindre gentillement pour marquer notre complicité ce qui fait un peu jaser mais en fait ça nous amuse beaucoup de laisser plâner un doute sur nos relations.

Elle sait que je la trouve vraiment désirable car j’ai eu maintes fois l’occasion de le lui dire sans détour lors de discussions dirons-nous assez intimes.

Elle est très amoureuse de son compagnon, très jalouse même et lui aussi je crois car lorsque nous échangeons des petits mots gentils sur un réseau social que je ne nommerais pas, elle s’empresse de tout effacer rapidement de peur qu’il ne puisse les lire et lui faire une scène.

Je descends donc les escaliers pour lui demander ce qui ne va pas mais lorsqu’elle me voit, elle se lève et se précipite dans mes bras en me serrant très fort contre elle. Elle porte une robe légère et je sens immédiatement ses seins contre ma poitrine, son ventre ferme contre le mien, ce qui me fait réagir tout de suite bien malgré moi. Ma verge se durcit et grossit irrémédiablement. Je suis gêné de réagir ainsi à son contact alors qu’elle pleure sur mon épaule mais je m’empresse malgré tout de la câliner du mieux que je peux en essayant de rompre le contact du bas de nos corps afin d’éviter qu’elle ne s’aperçoive de mon état mais elle m’en empêche.

Je suis de plus en plus gêné d’autant que je sais pertinemment qu’elle ne peut plus ignorer la bosse qui a bien grossi contre son bas-ventre. Malgré cela, elle ne s’écarte pas. Je n’ose trop rien dire. C’est elle qui parle. Elle vient de se disputer avec son homme au téléphone car ce dernier lui a annoncé qu’il avait un repas avec une cliente ce soir et qu’il allait vraisemblablement rentrer tard. Elle est très contrariée car la cliente en question est d’après elle, une bombe latina que l’on dit très chaude avec les hommes qui lui plaisent et le sien à priori, lui plaît depuis déjà un bon moment. Elle est persuadée qu’elle va réussir à l’entraîner dans un hôtel voire carrément chez elle et là, il serait étonnant qu’il ne se passe pas quelque chose connaissant le chaud lapin qu’est son homme.

Elle pleure à chaudes larmes aussi j’essaie de la rassurer en lui affirmant que tous les hommes n’étaient pas prêts à tromper leur femme à la 1ère occasion venue, qu’il ne fallait pas qu’elle s’en fasse car ce n’était qu’un dîner d’affaires après tout.

Elle me rétorque alors doucement que tous les hommes étaient pareils et qu’il fallait simplement voir la réaction que j’avais en la serrant dans mes bras pour s’en convaincre. Je ne sais vraiment plus quoi dire, essayant de balbutier des excuses aussi ridicules qu’inappropriées dans une situation pareille.

— Je suis désolé Chris. Ça c’est vraiment une réaction indépendante de ma volonté. Tu as toujours su que je te trouvais extrêment belle et désirable mais ce n’est pas pour autant que je vais te sauter dessus à la 1ère occasion tu sais.

— Je sais. J’suis bête de t’avoir dit çà. Et puis, c’est rassurant de voir que tu as envie de moi, que je plais.

J’essaie alors de me dégager mais elle me retient en me disant entre deux sanglots :

— Non, restes. J’aime bien. Restes !

Nous restons encore un long, un très long moment serrés l’un contre l’autre. Elle, bougeant à peine de temps en temps comme pour faire réagir mon sexe qui se tend dès qu’elle appuie son ventre plus fortement contre le mien. Je lui caresse doucement le dos montant jusqu’à ses épaules. Elle se laisse faire en poussant des petits soupirs de satisfaction qui m’encourage à continuer mais en évitant soigneusement de descendre jusqu’à ses fesses si tentantes. Au bout d’un long moment elle me souffle :

— Oui, continues. Tu me fais du bien. J’adore les calins tu sais et mon homme n’est pas un champion des calins. Ça me manque avant l’amour et lui, il ne sait que me culbuter dès qu’il est excité.

Je ne sais pas pourquoi mais il me semble que sa voix n’est plus la même. D’ailleurs elle ne pleure pratiquement plus. Je lui souffle à mon tour :

— Moi, j’adore. Et puis j’ai toujours eu envie de te faire des gros câlins comme maintenant alors j’en profite.

— Oui, c’est çà. Profites-en ! Faisons-nous plaisir ! Je sais que tu me mates souvent les fesses. Tu peux les caresser aussi si tu veux tu sais.

L’invitation est vraiment trop tentante. Mes doigts glissent immédiatement sur son fessier pour parcourir avec délice, les deux globes bien fermes. Elle soupire doucement :

Ha çà c’est vraiment bon. Mon dieu que ça faisait longtemps qu’un homme ne m’avait pas caressé aussi délicieusement.

Je m’enhardis à lui presser doucement les fesses, empoignant maintenant à pleins mains mais toujours avec autant de douceur ses deux fesses, l’attirant maintenant franchement contre moi pour mieux lui faire sentir ma verge tendue à l’extrême.

Elle ne se dérobe pas, acceptant visiblement le contact de mon sexe contre son ventre. J’entends très distinctement sa respiration s’accélérer tandis qu’elle me dit d’une voix lourde d’émotion :

— Merci de t’occuper de moi comme çà. J’en avais tellement besoin. J’aime bien ce que tu me fais.

Mes mains descendent alors doucement pour passer sous sa robe, entrer au contact direct de sa peau et remonter lentement vers ses fesses. Elle se laisse faire en s’abandonnant plus lourdement dans mes bras tout en ronronnant à mon oreille comme une chatte satisfaite. Sa peau est à la hauteur de ce que j’avais imaginé en admirant son fessier à chaque fois que je la regardais déambuler devant moi. Elle ne porte qu’un petit string ce qui me permet d’empaumer ses fesses comme j’avais si souvent rêvé de le faire. Elle ne réagit toujours pas lorsqu’un de mes doigts s’immisce entre ses fesses pour descendre jusqu’à la naissance de sa fente, frôlant malicieusement au passage son petit oeillet. Elle me souffle à l’oreille :

— T’es un gros coquin toi !

— Excuses-moi, je me suis égaré. J’adore tes petites fesses bien fermes.

— Ah bon, tu les trouves petites toi ?

— Ouais enfin non ! Elles sont justes comme il faut, voilà. En tout cas j’adore.

— J’crois bien qu’on est en train de faire une bêtise là mais tu fais ça tellement bien que maintenant j’crois bien que ça me donne envie.

— Envie ?

— Ben oui. Te fais pas plus bête que tu ne l’es. Ça me fait chaud de partout. Bref j’ai envie.

— Moi aussi, j’ai envie de toi. Tu sens mon sexe contre toi ?

— Oui, il est dur. J’aime çà.

Si c’est pas une invitation, je n’y connais vraiment rien. Une de mes mains passe doucement vers son ventre tandis qu’avec l’autre, je fais glisser très lentement son string le long de ses cuisses. Elle ne dit rien mais j’entends à sa respiration qu’elle est de plus en plus excitée. Quand une de mes mains se pose sur son ventre et descend vers son entrejambe en caressant la fine bande de poils soigneusement taillée au-dessus de sa fente, elle pousse un petit gémissement qu’elle essaie d’étouffer en enfouissant sa tête dans le creux de mon épaule. Un de mes doigts s’immisce maintenant dans le début de sa fente.

L’instant est déterminant pour la suite de ce qui va ou ne va pas arriver. Elle se redresse. Nous nous regardons dans les yeux, je la sens hésitante tout à coup. Elle sait que nous sommes en train de franchir le seuil du non-retour.

— Kev, Kev. Ça va trop loin ! Ça va trop loin ! Il faut arrêter avant qu’il ne soit trop tard.

Je sais qu’en réalité, elle ne pense pas un mot de ce qu’elle dit. Son ventre appelle de toutes ses forces l’intru qui s’apprête à faire connaissance avec l’entrée de sa vulve.

Je continue ma progression, nos regards toujours imbriqués l’un dans l’autre sans qu’elle ne tente quoi que ce soit pour me faire arrêter, se contentant de murmurer une nouvelle fois qu’on est vraiment en train de faire une grosse bêtise. Mon doigt est maintenant dans l’entrée de sa vulve. Elle est trempée. Je lui murmure à l’oreille que je vais la prendre avec mon doigt mais que si elle ne veut vraiment pas, il faut simplement qu’elle me le dise maintenant mais elle se tait. Elle l’attends l’irréparable, anxieuse mais décidée elle aussi à franchir le pas. J’attends encore un peu, avant de m’enfoncer vraiment en elle. J’en profite pour m’occuper de son bouton d’amour en le faisant rouler lentement sous mon pouce. Elle me murmure que c’est trop bon. Que je lui donne envie de jouir.

Je me lance alors et la pénètre lentement. Je sens ses chairs s’ouvrir pour m’accueillir. C’est un océan de douceur qui accueille mon doigt. Je l’entends alors distinctement me souffler :

— Ouiiiiiii. Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiii. Je vais jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiir.

J’adore. Je la pistonne doucement tandis que mon pouce s’active sur son excroissance de chair bandé à l’extrême. Elle ferme les yeux, pousse des petits cris de plus en plus rapides. C’est vrai qu’elle va jouir, je sens ses muscles se tendre, son souffle court. Elle grimace, ses traits d’habitude si fins sont totalement déformés par le plaisir qui la submerge. Je glisse rapidement un deuxième puis un troisième doigt dans son ventre. Elle me crie qu’elle va jouir. Je la pistonne tout en profondeur, mon pouce toujours collé à bouton. Elle s’agrippe à mon cou, je la serre contre moi tandis qu’elle se met à jouir bruyamment.

— Oh mon Dieu. Mon Dieu que c’est bon. Je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiis. Tu me fais jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiir.

J’adore ce moment où ma partenaire submergée par l’orgasme, perd totalement pieds, la tête dans les nuages, totalement à la merci de celui qui a sû lui offrir le plaisir suprême. Ses forces l’abandonnent. Elle se laisse totalement aller contre moi, savourant les vagues de plaisir qui parcourent son corps l’une après l’autre et ainsi de suite jusqu’à la dernière des dernières.

Le calme revient doucement. Je la regarde en train de récupérer doucement de sa jouissance, les yeux clos, un léger sourire aux lèvres.

Quand je la soulève doucement, elle ouvre les yeux, me sourit.

— Ben là, si ce n’est pas une grosse bêtise, je ne sais pas ce que c’est !

— Laisses-toi aller. Ne penses à rien. Laisses-moi m’occuper un peu de toi comme tu en as envie.

Elle n’a pas le temps de me répondre que déjà, je l’ai allongé sur son bureau, repoussant autour d’elle les documents sur lesquels elle était en train de travailler.

— Qu’est-ce que tu fais ? Non, pas çà. J’suis pas propre.

Mes lèvres sont déjà sur son ventre. Je l’embrasse doucement. Elle esssaie de se dégager mais je la maintiens fermement les jambes bien écartés. Je comprends qu’elle a peur que je n’apprécie pas l’odeur de sa chatte après une journée de travail aussi je lui murmure qu’elle sent la femelle en rut et que ça m’excite.

— Laisses-toi faire. Fais-moi confiance. Tu vas adorer.

— J’adore çà oui, j’adore çà mais là j’ai peur de ne pas sentir très bon.

Je ne la laisse pas continuer. Ma bouche se pose sur son clito que j’aspire doucement entre mes lèvres.

— Ahhhhhhhh, non. Tu triches. Ahhh c’est trop bon.

— Laisses-toi faire je te dis.

— Mais….. ah ouiiiii. Ouiiiiiiiiiiii. Tant pis pour toi. Si c’est çà que tu aimes, et bien moi aussi.

Elle ouvre alors complètement ses jambes, vaincue.

Je peux m’occuper maintenant de sa vulve toute entière. Ma langue entre en action. Je la lèche, parcourant tous les replis de son adorable petite chatte, faisant disparaître rapidement les odeurs perfides de sa journée de travail.

Elle me tient carrément la tête en poussant des gémissements qui me poussent à la dévorer de plus en plus franchement.

— Ahhhh la vache. Ça revient. Je vais jouir. Ça revient.

Je redouble d’efforts pour l’amener encore une fois à l’extase.

— Ahhhhh salaud. Tu me fais trop de biens. Ouiiiiiiiiiiiiiiiii.

Quand j’enfonce deux de mes doigts bien profondément au fonds de son ventre. Elle explose encore une fois en criant son plaisir. Je la pistonne à toute vitesse, pour l’accompagner jusqu’au bout de son orgasme. Elle râle, secoue sa tête dans tous les sens, tremble de tous ses membres. C’est un spectacle dont je ne me lasserais jamais. Je la caresse doucement jusqu’à ce qu’elle finisse par se calmer. Elle a l’air de s’être endormie, ses traits semblent maintenant tout à fait apaisés. Je me lève doucement. J’ai envie d’elle. Je me déshabille rapidement, faisant glisser à mes pieds pantalon et caleçon. Elle ouvre les yeux en sentant mes cuisses contre les siennes. Ses yeux se portent sur mon sexe, entre ses jambes, raide comme du bois, prêt à exploser. Elle me sourit avant de me dire :

— Viens. Je te dois bien çà mais fais attention, on essaie d’avoir un enfant, je ne me protège plus.

— Je n’ai pas de …

— J’ai confiance. Je sais que tu ne le ferais pas si tu n’étais pas clean de ce côté-là. Viens.

C’est la première fois que j’ai la vision de son sexe ouvert, prêt à m’accueillir. Je ne peux m’empêcher de la mater de longues secondes avant de poser le mien entre ses lèvres, dans l’entrée de son ventre puis, sans plus attendre, je pousse doucement. Nous nous regardons tandis que nos sexes s’épousent doucement pour ne faire plus qu’un rapidement. Je suis en elle tout au fonds. Je savoure cet instant incroyablement délicieux de me trouver là, contre elle, sur elle, à l’intérieur d’elle.

— Fais-moi jouir encore.

Ses désirs sont des ordres. Je commence à m’activer doucement en la prenant fermement par les hanches.

— C’était dément. Tu m’as fait jouir plusieurs fois.

— Je sais, c’était bon. J’ai adoré te voir et surtout t’entendre jouir.

— Tu fais gaffe hein. Ne jouis pas en moi.

— T’inquiètes pas. Fais-moi confiance.

J’ai confiance sinon tu ne serais pas en train de me faire ce que tu es en train de faire, crois-moi.

Elle a raison. Je me penche sur elle pour lui prendre ses lèvres. Elle ne se refuse pas. Nos langues font longuement connaisance. C’est un long baiser qui nous unit tandis que mes coups de reins s’intensifient.

— Tu aimes ?

— Oui. Oui. C’est bon. Continues. J’aime me faire prendre fort.

— Comme çà.

— Oui, plus fort encore.

J’accélère mes coups de reins. Elle gémit de plus en plus fort, m’encourage en usant de mots crus que je n’aurais jamais cru l’entendre prononcer. Je la sens sur le point de rendre les armes tandis qu’elle commence à chercher l’air en raidissant ses jambes. Je m’applique à donner le meilleur de moi-même lorsque tout à coup, son corps tout entier se raidit, me soulevant comme un fêtu de paille. Elle jouit une nouvelle fois en criant qu’elle aime çà, que je lui fais trop de bien. Je la besogne encore un peu puis, je me retire prestement, la retourne pour la mettre à plat ventre sur son bureau et, d’un énorme coup de reins je l’embroche en levrette. Elle pousse un long feulement en me traitant de profiteur mais sans chercher à s’échapper de cette nouvelle étreinte, les mains accrochées à son bureau. Je lui assène d’énormes coups de boutoirs qui la font crier encore et encore.

— Ouiiiiiiiiiiiii. Ouiiiiiiiiiiiiii. Encore. Baises-moi. Baises-moi plus fort. Tu me fais trop jouir.

Je la pilonne sans ménagement de longues secondes avant de sentir qu’à mon tour, je vais jouir. Je la tiens fermement par les hanches avant de lui annoncer ma jouissance imminente. Elle me souffle :

— Pas en moi. Pas dans ma chatte.

— Suces-moi.

La jouissance est là. J’ai à peine le temps de me retirer que déjà je sens de puissants spasmes monter de mes reins. Chris s’est retournée. Elle s’est mise à genoux et sans attendre, me prends dans sa bouche en continuant de me branler avec ses mains. C’en est trop. J’explose à mon tour en grognant :

— Ah oui Chris. Oui. Dans ta bouche. Avales tout. Avales.

Elle s’exécute sans protester. Mes premières giclées atterissent directement à l’intérieur de son adorable petite bouche. Je la regarde déglutir avec application tout ce que je lui offre jusqu’à la dernière goutte. Je suis abasourdi par la puissance du plaisir ressenti. Elle lève ses yeux vers moi en souriant.

— Alors ? C’était bon Monsieur le jouisseur ?

— Waouhhhhh ! C’était extraordinairement bon.

Elle se redresse doucement, je la prends dans mes bras pour la serrer tendrement.

— Merci ma Chris. C’était vraiment, vraiment, vraiment bon. Je …

— Tais-toi Kev tu vas dire des bêtises et là j’crois qu’on en a déjà le compte pour un bon moment avec les bêtises non ?

— Et toi, tu as aimé autant que j’ai aimé moi ?

— Ça ne s’est donc pas entendu ? Patrick (son mari) me dit toujours de la mettre en sourdine lorsqu’on fait l’amour.

— Idiote.

— Tu m’insultes en plus. Je te laisse me faire l’amour et tu m’insultes.

— Mais non, c’était pour dire que moi j’adorais çà que tu fasses autant de bruit pendant l’amour.

— Ah ben j’préfères çà.

Je l’embrasse à pleine bouche pour la faire taire. Elle se laisse faire, me rend mon baiser. Nous restons un long moment enlacé à se calîner puis, nous finissons par nous séparer. On en profite pour remettre un peu d’odre dans nos vêtements. Machinalement nous jetons un coup d’oeil à nos montres. Presque deux heures se sont passées. Il est grand temps de rentrer chacun chez soi. Nous nous faisons une bise comme celle que l’on se fait tous les jours à chaque fois que nous nous rencontrons et nous partons, chacun de notre côté comme chaque soir, mais ce n’est vraiment pas comme d’habitude et nous le savons tous les deux. Je le regarde monter dans sa voiture sur le parking, elle me fait un petit signe de la main en me souriant puis disparaît.

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