Jamal et Driss furent si surpris par le geste de Salope qu’ils furent incapables de réagir durant plusieurs secondes. Jamal semblait figé comme une statue en sentant les bras de la petite chienne autour de son corps musclé. Il finit par fermer ses bras pour lui rendre son étreinte. En un mouvement d’affection, il passa une de ses grosses mains dans les cheveux de Salope et regarda Driss. Ce dernier, tout aussi surpris fit un geste d’incompréhension et descendit l’escalier pour aller à la cuisine sans dire un mot.
Il ne faut pas te mettre dans cet état, nous ne comptons pas nous débarrasser de toi tant que tu nous obéis. Pourquoi pleures-tu ? Qu’est-ce qui te fait penser qu’il en serait autrement ?
Je ne me suis plus sentie aussi bien depuis très longtemps. Je suis heureuse avec vous et je suis certaine que j’ai encore plein de choses à apprendre de vous. Les échanges que j’ai eu avec vos amis m’ont émue et m’ont fait comprendre que j’aime ce que je deviens. Je veux continuer sur cette voie.
He bien, c’est inattendu comme réaction.
Le corps de Salope était serré contre celui de Jamal et elle sentait une énorme bosse dans l’unique vêtement qu’il portait, un caleçon. Jamal la souleva comme si elle n’était qu’une plume et descendit l’escalier en la prenant dans ses bras. Il la déposa d’un coup sur le sol de la cuisine, sans ménagement, en lui malaxant les fesses.
Je ne suis pas doué pour les sentiments. Pour moi, il n’y a que le sexe et le plaisir.
Il baissa son caleçon et exhiba fièrement son énorme queue qui était bien bandée.
Toute fragile et timide comme tu l’es ce matin, tu n’as pas idée comme tu m’excites. Je rêve de te défoncer la chatte mais il vaut mieux attendre un peu qu’elle s’habitue à la sodomie avant que Driss ou moi te passions dessus. Franchement, t’es super bandante et on dirait une chienne en chaleur ce matin.
Salope passa ses mains bien manucurées avec de longs ongles vernis sur le torse de Jamal en se mordant la lèvre de désir. Elle commença par de petits baisers dans son cou puis descendit lentement en l’embrassant. Elle fit passer sa langue sur les tétons de Jamal en mordillant légèrement. Comme cela lui arracha quelques gémissements, elle sut qu’elle était sur la bonne voie. Elle continua à descendre sans que sa langue ne quitte le corps de Jamal jusqu’à son entre-jambe. Elle embrassa son membre et fit aller sa langue sur les couilles, lentement et sans quitter les yeux de Jamal du regard. Elle finit par faire passer sa langue lentement le long de cet énorme membre jusqu’à atteindre le gland. Elle en fit le tour avec le bout de la langue et le sentit tressaillir. Elle caressa tout le gland avec sa langue et commença à malaxer lentement et délicatement les couilles avec sa jolie main droite. Jamal n’en pouvait plus, sa queue faisait des soubresauts tellement il était excité.
Je vais te défoncer la bouche !!!
Il ne perdit pas un instant et força le passage de sa queue entre les dents de salope. Il lui enfonça la queue si loin en une fois qu’elle eut un haut le cur et faillit vomir. Au moment où elle voulut retirer sa tête, il posa ses deux mains sur l’arrière de sa tête et renfonça sa queue le plus profondément possible. Il accéléra le mouvement en pressant de plus en plus fort pour rentrer plus profondément. Salope posa ses deux mains sur les fesses de Jamal et essaya de faire tout son possible pour ne pas vomir et avaler le plus possible de la queue qui se trouvait entre ses dents. Elle toussait et bavait abondamment tandis que ses yeux coulaient, emportant tout le mascara. Même au comble de l’excitation, Jamal ne parvint à enfoncer que la moitié de son énorme membre. Il se retira et éjacula à son tour dans le verre en criant son soulagement. Salope était à quatre pattes par terre sans pourvoir bouger. Jamal baissa le regard sur la petite chose à quatre pattes à terre et ressentit de la pitié. Il la prit dans ses bras et la coucha sur le canapé et lui imposa un baiser sur le front.
Désolé. Je sais bien que tu viens de passer un sale moment mais je n’y peux rien. Dès que je suis excité, je perds le contrôle et je suis un véritable animal. J’espère que tu ne m’en voudras pas de trop. Quand je t’ai vue ce matin, sans défense, cela m’a pris au dépourvu et m’a excité. Tes baisers m’ont carrément fait perdre le contrôle.
Il fit passer sa main sur la joue de la petite chienne en lui faisant un sourire plein de remords. Salope lui rendit son sourire en lui prenant la main et en la portant à sa bouche pour l’embrasser.
Bien sûr que non Maître. D’ailleurs, je suis là pour votre plaisir. Je suis d’ailleurs impatiente d’avoir votre membre entre mes fesses.
Merci ma jolie mais ce ne sera pas pour tout de suite. J’aimerais bien mais je crois que tu ne le supporterais pas encore. Tu veux que je t’aide à préparer le petit déjeuner ?
Non Maître, c’est ma tâche. D’ailleurs, cela me fait plaisir.
Driss était assis sur la chaise et ne portait également qu’un caleçon. Il avait les deux pieds sur la table et lisait son journal. Salope n’osa pas le déranger. Elle se leva, se dirigea vers la cuisine équipée et commença à préparer le repas.
Ton numéro de la petite soumise amoureuse ne prend pas sur moi. Je sais très bien que tu te joues de nous et que tu nous poignarderas dans le dos à le première occasion venue. D’ailleurs, je n’apprécie pas que tu m’ignore pour aller dans la cuisine comme si de rien n’était !!!
Salope se précipita vers Driss, consciente qu’involontairement elle l’avait contrarié. Elle s’approcha du torse de son Maître pour soulever son T-shirt et embrasser son torse. Cependant, à peine arriva-t-elle à la hauteur de ce dernier qu’il lui asséna une énorme gifle qui la fit faire un pas en arrière. Elle manqua de tomber sa joue était très rouge et lui brulait.
Nous voulions être gentils avec toi et y aller doucement mais comme tu te joues de nous, on ne va pas non plus respecter les règles !
Je vous en supplie Maître, je ne joue pas la comédie. Je suis vraiment heureuse d’être ici. Je veux vous faire plaisir.
Et moi mon plaisir, c’est de défoncer les chiennes qui jouent la comédie.
Il attrapa Salope par le bras, la retourna et lui plaque la poitrine contre la table de salon. Il la maintint dans cette position en lui bloquant le bras dans le dos avec une seule main. Avec la seconde main, il souleva la jupe de Salope et la retourna au-dessus de ses hanches. Comme elle ne portait pas de string, Driss avait une vue parfaite sur ses fesses et son anus totalement exemptes de poils. Dans cette position, il voyait également la cage avec la petite queue de Salope emprisonnée à l’intérieur. Il entreprit de donner la fessée à salope et lui asséna un très violent coup de la main sur chacune des fesses. D’une part, l’impact avait tellement claqué que tout le monde avait dû l’entendre. D’autre part, salope avait tellement crié à chaque coup que si quelqu’un avait eu un doute sur le bruit de la fessée, il ne pouvait plus y en avoir. Il répéta l’opération encore 4 fois laissant sur les fesses de salope une intense couleur violacée. Elle essaya de se débattre et d’échapper à l’emprise de Driss mais ce dernier était tellement costaud qu’elle commençait à avoir mal à l’épaule à force de se débattre mais n’avait pas bougé d’un pouce. Il attrapa alors la cage de chasteté avec son énorme main et la tira lentement vers l’arrière. Comme ses couilles étaient emprisonnées par les fixations de la cage, au plus la cage était tirée vers l’arrière, au plus les couilles était étirées. Il tira lentement mais avec énormément de fermeté. Salope sentit une douleur de plus en plus prononcée dans ses couilles puis dans son bas-ventre. Elle essaya dans une ultime tentative de se débattra mais elle était à bout de souffle et se résolut donc à subir la souffrance. Cette sensation d’impuissance couplée à la douleur de sa joue, ses fesses, ses couilles et son bas ventre commencèrent à l’exciter. Contrairement à toute attente, elle commença à se sentir à l’étroit dans sa cage sans réellement bander pour autant. Cela ne lui était plus arrivé depuis plusieurs jours.
Alors, tu veux toujours nous obéir et être notre animal de compagnie ? Pour moi, tu n’es qu’une chienne, un trou pour notre plaisir et j’en ai rien à faire de ton bien-être avec tes airs de mijaurée.
Il continua de tirer sur la cage lentement mais surement. Salope n’essaya plus de se débattre, elle avait compris que cela ne servait à rien. De plus, elle était à bout de force. Elle sentit la douleur irradier de son bas ventre vers l’ensemble de son corps. Elle commença par haleter et avoir des difficultés à trouver son souffle mais dans toute cette souffrance, elle commença à éprouver du plaisir. Elle réalise qu’en cet instant, elle n’avait aucun moyen d’agir et devait se contenter de subir et se décontracta. Elle commença à se cabrer pour trouver une solution qui diminuerait la douleur. Ce faisant, elle commença à éprouver du plaisir. Ses cris de douleur se transformèrent en halètement de plaisir d’abord timide puis de plus en plus long et prononcés.
T’as l’air de prendre du plaisir. Ç’est authentique ou ça aussi c’est du cinéma ?
Salope continua de gémir de plaisir et eu du mal à articuler quelques mots.
Nonoooon, c’est trop bon, continuez ! N’arrêtez pas !
Ne t’inquiètes pas, je ne compte pas en rester là.
Il lâcha le bras de Salope et trempa deux doigts dans le verre de sperme et en badigeonna son anus bien apparent. Il commença par introduire un doigt dans l’orifice et fit des vas et vient puis il en inséra un second, toujours sous les gémissements de salope qui avait maintenant les deux bras sur la table et ne se débattait plus. Après quelques minutes de ce traitement, il reprit su sperme dans le verre et en enduit à nouveau l’orifice de salope. Il place son gland sur le bord de l’orifices sans encore forcer le passage. Salope se rendit immédiatement compte de ce qu’il faisait et réagit immédiatement.
Non, s’il vous plait Maître, votre queue est trop grosse et je ne suis pas encore prête pour
Driss tira violement les cheveux de Salope en arrière et lui asséna une énorme gifle qui la sonna complètement.
Je ne tolère pas qu’une sale chienne me réponde ou même me contredise. T’es là pour nous obéir et c’est tout ! c’est bien compris ?
Oui Maître, excusez-moi.
Fais mieux que ça.
Elle reprit ses esprits et repensa à ce que son Maître attendait d’elle. Sachant que ce qui allait arrivait était à priori inévitable, elle se calma. Elle prit une voie de salope soumise et lui dit :
S’il vous plait Maître, je rêve de me faire monter par un vrai mâle dominant comme vous. Prenez-moi.
T’aime ça, d’avoir mal on dirait.
Oui Maître soyez bestial. Montrez-moi que vous êtes le Maître. Montrez-moi à quel point je suis votre jouet.
Il tira si fortement les cheveux de salope en arrière qu’elle regardait presque le plafond. Elle ne parvenait plus à bouger sans savoir si c’était parce qu’elle n’avait plus de force, que l’emprise de Driss était trop forte ou tout simplement qu’elle avait envie que cela continue. Elle se rendit compte que cette douleur était terriblement excitante. Elle sentit la queue de Driss qui s’enfoncer lentement mais sans ménagement et sans délicatesse. Elle sentait son anus bruler et se déchirer. Elle poussa des cris sans savoir si c’était de la douleur ou de l’excitation. Sans bouger d’un seul centimètre, elle hurlait si fort qu’elle entendit des portes s’ouvrir à l’étage. Sans une seule trace de compassion envers Salope, il enfonça sa queue jusqu’au bout. Salope sentit les couilles de Driss frapper ces fesses. Ce dernier s’arrêta alors dans cette position et tira plus fermement les cheveux en arrière. En même temps, il attrapa à nouveau la cage de l’autre main et recommença à tirer en arrière. Elle sentit alors un puissant orgasme monter dans son ventre. Même si sa queue n’avait pratiquement pas durci, cet orgasme était plus puisant qu’aucun autre qu’elle avait eu au cours de sa vie. Le sperme coula sur le carrelage alors que Driss entama des va et vient de plus en plus rapide jusqu’à finir par exploser à l’intérieur de la chienne qui avait alors du mal à se remettre de son orgasme.
Lorsque salope leva les yeux, elle s’aperçu alors que ses trois autres Maîtres était maintenant dans la cuisine et regardaient Driss d’air air fâché.
On t’avait dit d’attendre qu’elle soit prête avant que tu ne lui défonces la chatte !
Je sais mais elle m’a provoqué avec ses airs de Sainte Nitouche. En plus, ça n’a pas l’air de lui avoir déplu quand tu vois le bruit qu’elle a fait et ce qu’elle a laissé sur le sol.
Il regarda le sperme qui sortait de l’orifice et coulait le long de la jambe de Salope. Il prit salope et la retourna de façon à ce qu’elle ait la tête en bas et l’anus en l’air.
D’ailleurs, je vais remédier de suite au gaspillage de sperme et l’empêcher de salir toute la maison.
Il prit le verre de sperme et le versa intégralement dans l’anus de Salope qui était totalement dilaté puis y inséra une petite mandarine en guise de bouchon.
Et je t’interdis de toucher au bouchon avant que je t’en donne la permission.
Alors que Salope était à nouveau devant la table, incapable de bouger. Maxime s’approcha, plongea son regard dans le sien et la prit dans ses bras. Salope était figée, incapable de bouger dans les bras de Maxime.