Salutations mes petites esclaves. 

Je suis votre Maître Absolu ! Et même, dois-je vous informer que je suis un demi-dieu, étant le fils du dieu Pan et de l’humaine Lyna. Je me nomme Balder. 

Oui, j’ai l’esprit d’un homme coincé dans le corps d’une femme. Autrement dit, dans le langage humain, je suis trans. 

J’habite dans un royaume du nom de "Saggy". Je fais régner la Paix en échange d’un Harem composé de 18 femmes. 

Je suis plutôt bon et généreux, aucune guerre, aucune souffrance, aucune injustice. 

J’ai la taille d’un homme normal, mais j’ai de très grands pouvoirs qui effraient tout les êtres vivants. Personne n’ose me défier ou me désobéir.

Mon seul défaut, ou point faible, c’est le sexe.  

Mais peut-importe l’état du royaume et la façon de gouverner. 

Laissez-moi vous conter mes ébats sexuels avec mes femmes. De belles petites coquines, toutes consentantes, puisque mon père me punira si je viole les humaines. En dehors de cette règle, je peux faire d’elles ce que je veux sexuellement. De la sensualité à la violence, en passant par tous mes fantasmes. 

Découvrez une de mes nombreuses copulations, qui m’a fait jouir à en crever de plaisir. Celle qui a déglingué mon point G. 

Posons ensemble, mes petits mortels, le cadre d’un voyage au cur du plaisir. 

Tout d’abord, le Harem est un grand palais fait de bois et de feuilles, situé en plein milieu d’une forêt isolée. Les femmes ont toutes une chambre pour se reposer et se restaurer. Elles sont dispersées sur trois étages. 

Au rez-de chaussée, il y a une seule pièce. Avec un énorme lit extrêmement confortable dans lequel 10 personnes peuvent s’y allonger. Vous vous en doutez, c’est ici où l’action va se passer. Le lit se trouve au centre de la pièce, et juste à côté d’elle, il y a une table avec certains objets mis à disposition: gode ceinture, menottes, fouets, vibro, cordes, harnais. 

J’oubliais ! J’ai un peu menti tout à l’heure en disant que nous sommes isolés. Pas vraiment, il y a un mon Ennemi juré Dios-Vari qui à chaque copulation, nous observe, camouflé. On sent sa présence, il nous regarde ce sale voyeur par les grandes fenêtres. On ne le voit que s’il veut se rendre visible. Et pour pousser son vice, il se fait caresser en même temps par des êtres qu’il a rendu aussi invisible. Pour lui nous sommes un porno en direct. Mon père le recherche pour le détruire, il a violer et tuer 547 humains, hommes et femmes. Et m’a volé deux de mes esclaves sexuelles. Oui j’en avais 20 il y a quelques temps. 

Revenons à notre plaisir. Il faut que vous sachiez que ce jour là, cela c’est passé en deux étapes. La première où les 18 femmes ont été sollicitées, et la deuxième où seulement 5 d’entre elles ont été dominées. 

Pourquoi 5 ? Pourquoi celles là ? Vous le saurez un peu plus tard. Je vais en quelques mots vous dire la première étape. Même si ce n’est pas la plus importante. 

La veille, je leur avais donné une heure pour ne pas les prendre par surprise. Je suis arrivé comme prévu, vêtu d’un tee-shirt sans manche et déchiré, avec un boxer. Elles étaient toutes dans des tenues super sexy, en soubrettes, en infirmières, en string, en robe ouverte, etc. Vos fantasmes ne sont pas assez grands pour recevoir toutes ses joies visuelles. Pauvres mortels, vous êtes capables de mourir d’une crise cardiaque avant de goûter aux joies du sexe. 

Les Esclaves étaient autour du lit, et se sont jetées sur moi pour me mettre dans celui-ci. Elles se sont placées près de moi, il était compliqué pour certaines de me toucher. Vous imaginez le plaisir et la difficulté de se faire toucher par 18 femmes en même temps.

Et là elles m’ont chauffer, mais d’une force, je n’ai jamais autant été excité. Elles se chauffaient mutuellement aussi, des litres et des litres de mouille coulaient. Je me suis laissé embrasser, caresser, lécher. 

18 bouches pour me faire bouillir de désir, 36 mains pour monter le plaisir. J’en tremblais, chaque partie de mon corps était touchée. Je me laissais abandonner à leur douceur et leur sensualité. 

Et puis j’ai reçu par chacune un cunnilingus. Une d’entre elles s’occupait de mon clitoris, pendant que les autres continuaient de me chauffer. Et hop elles échangeaient de place. Moi, je gémissais de plus en plus, je n’arrivais pas à retenir mes petits cris, ma respiration étaient difficile. Je suppliais de me laisser reprendre mon souffle en vain, elles avaient le dessus. Ce qui blessa mon égo, et certaines d’entre elles le payeront dans la deuxième partie. j’étais totalement comblé, au septième ciel. Elles étaient ici pour faire jouir leur Maître. Je criais de plus en fort. Au bout de 12 cunnilingus, j’ai eu une éjaculation vaginale (dit féminine). Je n’en pouvais plus. C’était la première fois que je voulais faire une pause. Mais elles ne m’ont pas obéi. Puis c’était au tour de la dernière de jouer avec sa langue. Là venu mon dernier cri, qui résonna dans toute la pièce. Et je m’écroula. Ma voix était éteinte. Nous avons bu. 

Je me suis allongé pour reprendre mes esprits et mes forces. Elles ont continué de me câliner et de m’embrasser. Puis je me suis endormi de bonheur. Elles sont parties prendre une douche. Et 5 d’entres elles sont revenues pour attendre mon réveil. 

La suite au prochain épisode. (j’ai toujours rêvé de dire ça). 

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