Justine avait maintenant repris les cours.
Nous nous étions revus qu’une seule fois, mais elle continuait à m’envoyer un selfie d’elle tous les matins.
Par contre, elle n’avait pas donné de ses nouvelles à Bernard.
Un soir, en rentrant de ses cours, elle a découvert une enveloppe qui avait été glissée sous sa porte. Elle la décacheta, c’était Victoria.
A la sortie de ses cours, comme à son habitude, elle m’avait envoyé un texto pour me dire qu’elle n’allait pas tarder à rentrer à son appartement.
J’essayais à chaque fois que possible de la regarder en direct arriver. J’aimais ce petit coucou qu’elle faisait en entrant et j’appréciais la voir déambuler dans le studio.
Quand je ne pouvais pas être « présent », j’allumais quand même la caméra depuis son application pour déclencher l’enregistrement.
Ce soir-là, j’étais chez des amis et n’avais donc pu suivre Justine en direct.
Ce n’est qu’en entrant que j’ai donc visionné cette soirée.
Justine tenait dans sa main une carte de visite. Elle jeta un il vers la caméra et commença à lire le message :
– Justine, je n’ai pas eu l’occasion de vous remercier pour la retouche, la robe me va maintenant à merveille. Je ne voudrais pas abuser de la situation, mais j’aimerais beaucoup vous confier quelques travaux pour reprendre d’anciennes robes qui ne me vont plus, contre rémunération, bien entendu.
Si cela vous intéresse, pourriez-vous m’appeler pour que l’on puisse convenir d’un rendez-vous.
Merci
Affectueusement
Victoria
PS : n’hésitez pas à prendre contact avec moi, mais si cela ne vous intéresse pas, discuter avec vous me sera toujours agréable.
Elle se tourna vers la caméra en montrant la carte. On y voyait très bien les coordonnées de Victoria.
– Que dois-je faire ?
Demanda-t-elle à la caméra. Elle espérait certainement que je lui envoie ma réponse par texto.
Je décidais donc de lui répondre avec quelques heures de retard.
– Appelle là !
Avant d’envoyer ce texto, j’avais mis la caméra en mode direct et transmis l’image sur ma télévision.
Justine dormait, la lumière était éteinte et je ne voyais donc pas grand-chose.
La caméra à une vision à infrarouge pour voir dans la pleine ombre, mais cela donne une image en noir et blanc.
J’imagine que la protubérance sous la couverture n’est autre que Justine.
J’entends la notification de son portable et je la vois bouger un peu.
– Mon bel ange dort à ce que je vois.
Je lui envoie un petit sms pour qu’elle sache demain matin que je l’ai observée cette nuit.
Mais cette seconde notification la sort de son sommeille
Enfin pas complétement, mais assez pour tendre le bras vers son téléphone et l’amener vers elle.
Elle était sous les couvertures quand elle a lu le message, mais à peine était-il découvert, qu’elle allumait la lumière et me fit un petit coucou.
Elle était à moitié endormie, mais elle m’envoya un petit bisou.
– Désolé de t’avoir réveillée, rendors-toi
Elle lut le message à voix haute et me répondit directement via la caméra.
– Toujours un plaisir d’être réveillée par toi et j’aimerai tellement que tu sois ici, à côté de moi.
Elle m’envoya un nouveau bisou.
– Tu me manques !
Me dit-elle ensuite.
En entendant une nouvelle notification, elle me regarda, ou plutôt la caméra et après avoir lu mon message :
– Moi aussi.
Elle s’allongea sans rien dire sur le lit, de telle manière à me permettre de voir sa chatte. Elle écarta les jambes et commença à se masturber.
Je la regardais et décidais de l’imiter.
Elle laissa échapper quelques gémissements bien appuyés, j’accélérais le rythme de mon poignet.
Un jet puissant se dirigea soudainement vers la télé sans l’atteindre.
Elle continua sa caresse sans savoir ce qu’elle venait de m’offrir.
Je continuais à la regardais sans bouger, laissant mon sexe flasque et poisseux à ses lamentations, il pleurait encore quelques gouttes de ce liquide blanchâtre et épais que je n’avais su retenir. Elle y mettait tout son cur, puis soudain, son corps se crispa dans un spasme bruyant.
Elle avait joui.
Peu après, elle entendit une notification sur son téléphone.
– Merci !
Elle regarda la caméra, mis un doigt dans sa chatte pour le maculer de sa cyprine, puis, s’approcha de la caméra, quand elle fut à quelques centimètres, elle me montra son doigt, puis le suça.
Nous nous sommes ensuite séparés et j’ai éteint la caméra.
Le lendemain matin, elle m’envoya comme d’habitude un selfie. Étant réveillé, j’allumais à nouveau la caméra et lui envoyais un texto.
– Merci ma poule, tu es toujours aussi belle. J’ai remis la caméra en marche.
En lisant le message, elle me fit un petit coucou.
Elle composa ensuite le numéro de Victoria.
– Bonjour, je ne vous réveille pas ?
– Euh, non, qui êtes-vous ?
– Justine.
En entendant son prénom, le ton de Victoria se fit plus chaleureux.
– Oh, Justine, non, non Bernard dort encore, je me prépare pour le boulot.
– Désolé, je ne voudrais pas vous retarder.
– Non, non j’allais prendre mon petit-déjeuner, si cela ne vous dérange pas, je mangerai en même temps.
– Pas de problème, je vous appelle suite à votre mot.
– Oui, je n’avais pas votre numéro et je voulais vous remercier
– Pas de problème, et si vous avez besoin de moi, n’hésitez pas, ce sera toujours un plaisir de vous faire plaisir.
Justine avait pris un petit air complice. Elle se souvient que lorsqu’elle avait caressé les fesses de Victoria, celle-ci n’avait nullement été choquée et avait même semblé apprécier la caresse.
Elle était certaine que cette histoire de retouche était un prétexte pour qu’elle la « retouche » elle.
– Si vous voulez, je peux passer avec une robe que j’aimerais raccourcir un peu il vous suffit de me donner vos disponibilités.
– Laisse-lui le choix dans la date.
Ai-je lancé à ma télé.
– Demains je ne commence qu’à 15h00, si cela vous dit.
– Non, demain je travaille.
– Vendredi, après midi sinon
– Oui, je peux terminer à 16h00 je dirais à Bernard que je dois rentrer tard, ainsi, nous serons tranquilles.
Justine esquissa un petit sourire en direction de la caméra. Victoria voulait la rencontrer sans son mari, avait-elle une idée derrière la tête ?
– Oui, très bien, je vous attends vendredi alors
– Merci, je vous embrasse.
– Moi aussi.
Justine se tourna à nouveau vers la caméra.
– Vendredi, tu veux être là ou derrière ton écran ?
