Odette, Jeannette et Céline.

Fred languissait de se retrouver avec Odette, depuis longtemps cette belle grosse femme le fait fantasmer, depuis quelle le suçait et le masturbait, il avait envie de prendre sa grosse chatte poilue.

Il venait de dépuceler la belle Marion et ce soir, avait espoir de dépuceler Céline et de lui faire lamour, mais cet après midi, Odette lattendait pour la sieste avec jeannette.

Il se dirigea vers la chambre ou lattendait les deux femmes et entra sans même frapper, il se dirigea vers le lit mais là surprise, il ny avait que la jeune Jeannette dans le lit.

— Ou est ma grand-mère?

— Ton grand-père a voulu quelle aille avec lui, il devait avoir envie mais il aura vite fini et elle nous rejoindra, elle a dit, mais on peut commencer tous les deux, viens!

Fred la rejoignit dans le lit, si la jeune femme paressait maigre, quant elle était habillé, il nen était rien nue.

Elle avait un corps de jeune fille et des seins ronds et bien ferme, son ventre plat ou fleurissait une toison brune qui cachait une fente merveilleuse ou Fred allait prendre un plaisir incroyable.

Il la rejoignit dans le lit et la prit dans ses bras, il lembrassait à pleine bouche, ses mains ne perdaient pas de temps, parcourant le corps ferme de la jeune femme.

Sa bouche chercha les seins fermes et goûta les mamelons qui durcissaient sous sa langue. La jeune femme gémissait de plaisir ne restant pas en passive, elle prend le sexe de Fred dans sa bouche et commence à le lécher sur toute sa longueur, passe sa langue sur le gland, insiste sur le prépuce et descend jusquau couilles, elle remonte et engouffre le gland dans sa bouche humide et chaude, imprimant des va et vient de sa main.

Fred a sa bouche sur cette vulve qui dégouline de cyprine et qui souvre sous sa langue, le goût de miel de la vulve et son odeur iodée le font bander encore plus, elle soulève son bassin à la rencontre de la bouche qui la fouille, demandant les doigts en elle.

Il la fouille, les jambes sont écartées au maximum, ses doigts parcourent le sillon entre les fesses et trouve la petite rondelle qui palpite de plaisir. Deux puis trois doigts ouvrent la rosette et tirent des cris de plaisir à la jeune femme.

Fred passait sur le dos, elle lenjambe et sempale la fente sur son pieu, cest elle qui dirige, il croit mourir de sentir cet étui serré et juteux enfourner sa pine, les fesses touche à chaque fois ses jambes, le sexe entre en entier dans le ventre, il a limpression que des mains lui enserre la verge et la pétrissent, cette femme est merveilleuse, elle fait jouer les muscle de son vagin pour lui pétrir la queue.

Elle se propulse sur lui de plus en plus vite senfonçant les doigts dans lanus, il sent les doigts qui touchent sa verge au travers de la cloison, sa main est presque en entier dans son anus et la grosse verge qui lui écartèle la fente elle jouit comme une damnée.

Elle retire ses doigts et senfonce la verge dans lanus, elle est en entier dans son ventre, donne des mouvements de va et vient à son bassin, gardant la verge en entier en elle.

Il décharge une première fois dans ce ventre chaud, elle narête pas, le sentant encore dur, elle le chevauche comme un cheval, elle est au pas, puis au trot et fini au galop, senfonce le sexe au plus profond des entrailles, elle le remet dans son vagin et continu sa folle cavalcade.

Un jet de cyprine atterrit sur le ventre de Fred, elle vient déjaculer un énorme jet de cyprine, il nen revient pas, cette femme éjacule comme un homme.

Elle est à genoux, il senfonce en elle, la tient aux hanches et la pistonne à grand coup de son énorme pieu, lui arrachant des cris de jouissance.

Le petit corps frêle de la jeune femme se plie sous les coups de pieu, les deux petites fesses viennent frapper le ventre de Fred à chaque fois que le sexe sengouffre dans cet étui chaud et dégoulinant, les draps sont mouillés du jus qui coule en abondance de la chatte dilatée, des jets de cyprine presque discontinus mouille le lit.

Fred na jamais pris un tel pied, il na même pas vu sa grand-mère qui les a rejoint et qui vient caresser le jeune corps de la fille de ferme.

Odette est nue sur le lit, à genoux, Fred a son énorme cul face à lui, il sort de la jeune femme et senfonce dun coup dans le fruit poilu dOdette.

Celle ci en profite pour poser sa bouche sur la vulve juteuse de Jeannette, qui se pâme de plaisir, aspergeant de cyprine le visage de sa patronne.

Fred va dans sa grand-mère à grands coups de reins, Odette jouit, il y a longtemps quelle na pas eu une telle verge en elle, elle vient de faire une pipe à son mari et celui ci cest endormi aussi tôt.

Il écarte ses énormes fesses, découvrant lénorme rondelle quelles cachent, sans aucune préparation sa verge senfonce dans ce trou qui nest guère plus serré que lautre, il préférait la chatte de Jeannette mais sa grand-mère na pas lair de vouloir laisser perdre le jus qui en coule, elle boit ce qui sort de cette chatte, comme à un robinet.

Le pieu de son petit-fils qui lui donne un plaisir dingue et cette chatte baveuse ou elle sabreuve lui font perdre la tête et elle crie son plaisir seffondrant sur le lit à plat ventre.

Fred reprend Jeannette, la jeune femme lentoure de ses jambes et se propulse vers lui, ils jouissent en même temps, lui défonçant sa chatte et elle avalant le pieu énorme dans son ventre.

Fred reprend deux fois sa grand-mère, il faut que celle ci lui demande darrêter, pour quil senfonce à nouveau dans le ventre de la jeune femme, qui est presque à lagonie, de jouissance, son anus dilaté par le pieu qui la fouille.

Il est 4 h quand les deux femmes sortent enfin de la chambre, épuisées par le jeune homme qui aurait bien voulu refaire encore une fois lamour à Jeannette mais les bonnes choses ont une fin et cest avec plaisir que la jeune femme quitte son jeune et fougueux amant et Odette aussi, son petit-fils l’a épuisé de jouissance.

Le soir Fred demande à jeannette si celle ci veut venir avec lui et ses cousines à la fête du village, elle accepte avec plaisir et les voilà parti tous les quatre pour la soirée.

Marion passe à coté de Fred dans la voiture et les deux autres filles montent à larrière, elles sont toutes les trois en jupette, petit bustier et basket, la tenue idéale pour une fête de village, ce que voit Fred dans son rétroviseur cest la main de Jeannette qui passe sous la jupe de Céline, sa cousine à la tête en arrière et se laisse branler par la main experte.

Marion regarde, pourquoi son cousin narrive pas à détacher ses yeux du rétroviseur et voit aussi le spectacle de la main de jeannette dans la culotte de sa sur.

Céline jouit dans un gémissement de petite fille, Fred bande comme un bouc, Marion est passée derrière elle aussi et se fait branler par Jeannette qui prend un plaisir monstre à branler les deux jeunes filles.

— Ce nest pas juste les filles vous avez tout et moi rien!

Céline enjambe le siège passager, ouvre la braguette du jean de Fred et comme si elle avait fait ça toute sa vie, branle le pieu avec délicatesse.

Elle se penche et le prend dans sa bouche avale le gland en entier et le suce, Fred est obligé darrêter la voiture sur le bord de la route et ce sont trois jeunes bouches qui le pompent à tour de rôle, il vient dans la bouche de Jeannette qui avale sa semence sans rechigner, Céline veut continuer mais il faut partir pour la fête sinon ils vont manquer le bal.

Marion ne lentend pas de cette oreille.

— Moi je nen ai rien à faire du bal, il y a la vielle grange pas loin, on est toutes les trois pour Fred, alors on y va et on baise toute la nuit pas plus!

— Moi je veux bien, même si jai encore mal à mon cul de cet après midi, ma chatte à faim!

— Oui mais moi je suis pucelle et je ne veux pas baiser alors on va au bal!

— On est trois contre une, tu vas te faire dépuceler, tu nous emmerde avec ça entre tes cuisses et tu suce bien, alors tu peux te faire ramoner le cul si tu ne veux pas dans ta chatte, moi aussi jai envie Fred ma dépucelé ce matin et il va durer longtemps comme il a baisé cet après midi avec Jeannette!

— Pas quavec moi, il y avait aussi ta grand-mère!

— Fred tu as une santé denfer, allez fonce à la vielle grange, jai la minette en feu!

Il ne fallut que quelques minutes pour atteindre le vieux bâtiment encore plein de foin, la porte fut vite ouverte et cest nus que les trois filles et Fred attaquèrent la nuit, Céline ne savait trop que faire, elle savait sucer ou branler mais avait lappréhension du vit énorme de son cousin, elle le voyait entrer dans la chatte de sa sur ou de Jeannette et profitait du spectacle, suçant une moule ou un sein, se faisant lécher le clitoris, par sa sur ou Jeannette qui a le même âge quelle.

— Tu veux aussi ou tu préfères rester vierge?

— Je voudrais bien mais jai un peu peur!

— Ce matin je nai rien senti ou presque et ta chatte nest pas plus petite que la mienne, allez viens là, je taiderais en te caressant le clitoris, comme m’a fait Marie ce matin, viens, je vais rester avec toi, tu verras cest super bon après et Jeannette aussi va taider, moi je moccupe du bas et elle du haut! Tu veux?

— Daccord je veux bien!

Elle sallonge sur le dos, Jeannette lui prend la bouche et caresse ses seins, Marion lui mange la chatte et suce le clitoris, Fred dirige son pieu vers cet étui encore vierge et senfonce doucement en elle.

La douleur est vive mais brève, son cousin est un expert du dépucelage, cest le troisième en quelques jours et il commence à y prendre goût.

Céline jouit comme une grande fille poussant son bassin au devant du pieu qui la fouille, elle divague des mots damour, des injures et en redemande aux trois autres qui la font jouir comme jamais elle pensait pouvoir le faire.

Fred sort enfin de son ventre, après lui avoir joui au fond, elle est épuisée, Jeannette continue à lui manger sa minette et sa rondelle, elle la laisse faire, elle est trop bien avec cette bouche sur sa vulve endolorie par le dépucelage, qui dégouline de sa cyprine et du sperme de Fred.

— Viens la Marion, ce matin jai dépucelé ta chatte, ce soir je vais dépuceler lautre!

— Doucement alors, un doigt jaime bien là dedans, mais ton truc ça doit faire mal!

— Jirais doucement, demande à Jeannette, elle adore ça!

— Oui, jadore ça mais avec ta trique, jai encore mal au cul de cet après midi, encule la si tu veux mais moi, juste ma chatte ce soir!

Marion à genoux dans le foin présente ses fesses à Fred, qui dilate de la langue la jeune rondelle, celle ci palpite à chaque coup de langue, il la dilate avec ses doigts, quand il arrive à en faire entrer trois, il présente son gland entre les jeunes fesses et senfonce dans lanus de sa cousine.

Elle est tellement bien dilatée que la douleur est supportable et prend un plaisir énorme, quand son cousin passe une main devant sa fente et lui masturbe le clitoris pendant quil lui dilate lanus de son pieu.

Pendant que Fred ramone le cul de Marion, Jeannette prépare lanus de Céline pour son second dépucelage, sa langue et ses doigts senfonce dans la rondelle, quatre doigts entre dans son ventre, la bouche sur la vulve elle la fait jouit intensément.

Marion a jouit sous les assauts de son cousin et épuisée seffondre dans le foin, Fred est déjà entre les cuisses de Céline, il a soulevé ses jambes et senfonce déjà dans la rondelle dilatée par Jeannette, Céline hurle mais ce nest pas de douleur, Jeannette lui branle le clitoris à toute vitesse et enfonce ses doigts dans sa moule, et Fred lencule tellement profond quelle à limpression que son ventre est plein du pieu de son cousin. Quand il lui jouit enfin dans les entrailles elle ne peut même plus crier son plaisir, elle est épuisée.

Il reprendra encore Marion et Jeannette, Céline sest endormie dans le foin.

Jeannette montre à Marion comment chevaucher Fred, les deux filles sont déchaînées, ils ne finissent leurs ébats quau petit matin, laube les trouve épuisés et repus mais Fred trouve encore la force de Prendre Céline toute endormie, une dernière fois, ils dormiront dans le foin jusqu’à midi.

Ils rentrent à la ferme, déjeune et Fred va faire une sieste bien méritée, il a maintenant: sa mère, sa tante Julie, sa tante Adrienne, sa grand-mère, ses deux cousines et Jeannette il est content de lui il fait lamour avec toutes les femmes de la famille.

Toutes? Non! Il y en a encore deux et elles arrivent dans le prochain épisode

Merci de me lire

Barbebleue

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