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Histoire alternative – Chapitre 2




Je vis les jours suivants avec un mélange de frustration, d’incompréhension et de colère.  Je rêve de renouveler l’expérience, mais je ne le peux pas ! J’ai l’impression d’avoir été trahi

Mais dans un premier temps, je prend une grande décision. Je vais porter des lentilles de contact. Mon ophtalmo m’avait fait une ordonnance que je n’avais pas utilisée. Je commande mes lentilles, range dans un coin mes grosses lunettes. Mon look change instantanément au point que mon environnement me trouve subitement bien plus mignon comme çà.

Coté sexe, je vis ma frustration comme je peux. Je me masturbe fréquemment. J’utilise mon manche à balai plus que de raison. Mais il me manque le contact physique . Je tremble de désir chaque fois que j’imagine le contact d’un corps d’homme contre le mien. Je rêve et je fantasme après une bitte qui me pénètre le cul. Je salive à l’idée d’en avoir une dans ma bouche. Je fais des rêves érotiques toutes les nuits dans lesquels je me fais défoncer par des hommes puissamment membrés. Bizarrement, je rêve peu de femmes, et seulement comme partenaires secondaires.

Dans ma vie réelle, je n’ai pas pu aller au-delà de cette expérience, la renouveler, assouvir mes pulsions… A cette époque les communautés gay et lesbiennes étaient confidentielles, elles se cachaient, ne s’affichaient pas. Quant aux travestis et autres t-girls, on n’en entendait tout simplement jamais parler. La situation aujourd’hui est bien différente. Les homosexuel(le)s ont droit de cité, et les trans commencent à sortir de l’ombre puisqu’on en fait même des films et autres feuilletons Si ce que j’ai vécu s’était passé à notre époque, quelle aurait été ma vie ? Ici finit ce qui s’est réellement passé et commence mon « histoire alternative ».

Aujourd’hui grâce à Internet, on peut accéder à de multiples vidéos gay, des milliers de sites érotiques, ou de lieux de rencontre. Il suffit de quelques secondes de recherche. Mon rêve ? Prendre contact avec un homme, baiser avec lui. Timidement, je fouine sur les sites de rencontre, mais soit je tombe sur des mythos ou des poseurs de lapins, ou alors je me dégonfle. Mauvais choix, puisque ma frustration et mes désirs ne cessent d’augmenter jour après jour.

Et puis en me promenant en fin d’après-midi autour des halles-république, tout bascule. A mon époque, il y avait un cinéma en bordure d’une grande place qui ne passait que des films classés « X ». Aujourd’hui, l’emplacement est occupé par un club de fitness. Par commodité, et pour ne pas évoquer ici un établissement existant , j’y localise un bar voisin purement imaginaire portant le même nom : l’ABC.

Ce bar aurait la particularité d’être un point de ralliement pour la communauté gay de Pau. Je passe devant. J’hésite. Après tout, je ne suis pas gay ! Mais si je veux trouver une occasion bien réelle et pas virtuelle Pourquoi ne pas essayer, pour voir ?

J’entre le cur battant L’ambiance est calme, feutrée Il n’y a pas un monde fou, mais je remarque une majorité d’hommes, même si des femmes sont présentes. Je ne sais quelle attitude adopter. Ne sachant que faire, je m’accoude au bar. Bonjour Monsieur. Pardon ? Ce que je prends ? Eh bien une bière s’il vous plaît, une mexicaine. Je ne donne pas la marque, je ne veux pas faire de la publicité clandestine.

— Bonjour.

Je sursaute. Je ne l’ai pas vu arriver. C’est une jeune femme. Ça c’est pas de veine : je cherche un mec dans un bar gay et je me fait aborder par une fille. C’est qui cette pétasse, une professionnelle ? Bon Tant qu’à faire, autant rester poli pour l’instant.

— Euh oui, bonjour

— Julie ; appelles moi Julie. Tu n’es jamais venu ici, je me trompe ?

— Euh non, c’est la première fois.

Punaise, il faut que je me secoue un peu ! Plus godiche que moi çà doit pas exister !

— Tu es là pour quoi, me dit-elle. Tu connaissait le bar ?

— Seulement de réputation. Je j’ai eu envie de voir comment c’était.

— Tu es gay ?

Elle est directe ! Je ne m’attendais pas à ce que ce soit aussi brutal.

— Non ! Enfin je en fait je ne sais pas

— Ah ? Ça t’ennuie si on s’assoit dans un coin ?

Elle me regarde avec un mélange de perplexité et d’intérêt. Bah, après tout pourquoi pas, tant qu’elle ne me demande pas de mettre ma main au portefeuille. Et puis elle est assez jolie, brune, cheveux longs, la voix un peu rauque, assez agréable. On s’installe à une table tout en devisant.

— Tu sais pas si tu es gay ? Tu as déjà baisé avec un mec ? Ou t’as simplement envie de voir comment c’est ?

— Non, j’ai pas baisé avec un mec enfin, si. C’est un peu particulier.

Je me lance. Je me lâche. Alors je lui raconte mon aventure en édulcorant quelque peu les détails. Mais elle n’est pas bête

— Donc si je comprend bien, il t’a violé Mais tu y a pris du plaisir. Et tu voudrais renouveler l’expérience pour savoir qui tu es vraiment coté cul ?

— Ben en fait oui, c’est à peu prés çà.

Elle a un petit sourire. Je comprend que je lui fait envie. Je réalise que pour elle, je suis encore de la chair fraîche qui ne demande qu’à faire de nouvelles expériences, peut-être un bon coup. En tout cas, un moyen de passer un bon moment. Et moi je la trouve séduisante. Elle a un visage fin, peut être un peu trop de maquillage, habillée légèrement avec un tee-shirt moulant et une jupe qui s’arrête à mi-cuisse. Soudain, elle pose sa main sur la mienne. Je frémis, mais ne fait aucun mouvement pour la repousser.

— Ça te dit de passer un moment avec moi dans un coin tranquille ?

Là çà sent le piège je suis venu pour çà, enfin, non pas pour çà, mais presque. Je ne sais comment gérer la situation sans paraître impoli. Je me sens stupide ! Et puis qui me dit que ce n’est pas une professionnelle ?

— Ben en fait je cherchais plutôt un mec, tu vois.

— Mais je suis un mec, répond-elle en souriant.

— .. quoi ???

J’en crois pas mes oreilles. Attends, elle a dit qu’elle était un mec, c’est bien çà ?

— Tu tu es vraiment un homme ? Tu es un travesti ?

— Transgenre s’il te plaît. Mais oui. Tu n’avais pas remarqué ? Merci c’est très flatteur.

— Transgenre je comprend pas, dis-je stupidement.

— C’est à dire que je suis un homme qui vit comme une femme. Un travesti lui se déguise occasionnellement. Tu vois ? Et toi, c’est comment ton nom ?

— Daniel Ça alors ! C’est hallucinant. On voit rien d’un mec en toi, c’est fou !

— C’est très gentil. Ma proposition te tente ?

Je ne sais quoi penser. Je suis venu pour trouver une bitte, je pense à une nouvelle déconvenue quand je me fais aborder par une fille qui s’avère être une mec ! Et puis comment dois-je lui parler ? Au masculin ou au féminin ? Flûte ! J’hésite. Et puis

— …OK.

— Mon appart’ est juste à coté, rue Foch. Tu viens ?

— Je te suis.

La rue Foch est à cinq minutes. Julie occupe un F2 plutôt coquet, simple, mais bien agencé et propre. Il est à son image, soigné et rangé. Elle me regarde en souriant avec dans le regard un mélange de gourmandise et de douceur, alors que je me sens tendu. Julie s’en rend bien compte. Elle me prend par la main, m’attire doucement vers elle.

— Détends toi, me souffle t-elle. Je vais être très douce, comme si c’était ta première fois. Et tu es tellement beau. On ne te l’a jamais dit ?

Moi beau ? C’est bien la première fois qu’on me dit çà. Mais je n’ai pas le temps de m’interroger davantage. Ses lèvres se posent sur les miennes. Elle est tendre. Elle ne cherche pas à me forcer  Elle bouge légèrement sa tète pour que nos lèvres se caressent. Je perds la tète. Au contraire, c’est moi qui entrouvre ma bouche, moi qui sort ma langue, qui cherche la sienne. J’ai le vertige. Ses bras se sont refermés sur moi, je referme les miens sur elle. On échange un long baiser, on mêle nos langues, nos salives, oh que c’est bon ! Elle m’a pris la taille, me presse contre elle. Je sens un point dur au niveau de son entrejambe, elle n’a pas menti, elle est vraiment ce qu’elle prétend être. Mais je ne suis pas en reste !

Elle a passé ses mains sous mon tee-shirt, les remonte vers mes aisselles. C’est moi qui finit le mouvement. Je le retire rapidement. Elle en fait autant, découvrant un torse avec deux seins menus, mais fermes. Elle a un corps magnifique, pas un seul poil (?), une musculature discrète, harmonieuse. On reprend nos embrassades, torse contre torse, peau contre peau. Oh mon Dieu, j’ai des frisons de la tète au pieds, et j’ai l’impression que mon sexe va faire exploser les coutures de mon pantalon tellement je bande dur !

Elle m’entraîne avec elle dans la chambre. Un grand lit, une armoire, un petit balcon A nouveau on s’embrasse  suavement. Puis elle se met à genoux, défait ma ceinture, fait glisser mon pantalon puis mon slip, libérant ma queue qui se dresse instantanément. Elle va me sucer ? Non Elle se contente de la caresser, elle joue avec.  Elle me fait frémir, elle me fait languir Puis elle se redresse, me pousse sur le lit, et ôte sa jupe et sa culotte.

— Tu as une belle queue, me dit-elle, bien raide et ferme comme je les aime. On va passer un bon moment je crois.

— Tu n’es pas mal non plus ! Dis-je admiratif.

Je continue à la trouver magnifique. Elle a une queue de belle taille, un peu au-dessus de la moyenne. Ou l’avait-elle planquée ? C’est surréaliste. En haut, c’est une fille. En bas, c’est un garçon. Elle à un corps parfaitement glabre, jambes comprises. Seule une discrète toison orne son bas ventre . Épilée ? Rasée ? Je n’en sais rien. Mais j’ai une furieuse envie de le toucher !

Elle s’allonge à coté de moi, me reprend dans ses bras. Je m’abandonne Je veux être à elle, je veux qu’elle me caresse, je veux qu’elle me prenne, que je lui appartienne. De longues minutes, on s’embrasse tendrement, elle me caresse, je la caresse. Elle abandonne de temps en temps ma bouche pour déposer de petits baisers sur ma gorge, dans mon cou. Et puis une de ses mains prend une direction précise, attrape ma queue et la caresse doucement.

Tout en me masturbant, elle s’est mise à genoux, approche son sexe de mon visage. Quand enfin elle me présente sa queue, je suis ivre de bonheur. Enfin ! Je la prend en bouche, je la suce, je la dévore. Elle sent bon, elle est chaude, ferme. Je la lèche de tous cotés, dérape sur son bas-ventre, glisse sur ses boules. Je les gobe l’une après l’autre, puis les deux en même temps. J’insinue ma langue dans le moindre pli.

Julie laisse échapper des soupirs d’aise. Puis elle se laisse glisser sur le coté, son visage vers mon sexe. Elle l’engloutit à son tour. Nous sommes en soixante neuf. Pendant plusieurs minutes, nous nous prodiguons mutuellement du plaisir. Mais mon désir devient de plus en plus fort. Je me fais suppliant.

— Julie s’il te plaît, j’ai trop envie, viens m’enculer !

Je me met sur le dos, relève mes jambes. Je veux m’offrir, je veux être soumis, je veux la voir pendant qu’elle me prend. Elle me laisse juste quelques secondes le temps de prendre la précaution d’usage Puis sa queue se présente devant mon anus frémissant. Sans la moindre difficulté, bien rodé par plusieurs jours de godage frénétique, il s’ouvre et la laisse me pénétrer. Oooooh que c’est bon ! Enfin je retrouve cette sensation divine ! Je la regarde m’enculer, je vois son sexe entrer et sortir d’entre mes fesses à une cadence en augmentation constante. Qu’elle est belle ! Chacun de ses mouvements m’arrache des spasmes. Je gémis, je tremble, je lui demande de continuer plus fort. J’en veux davantage ! Je me branle en même temps, j’ai des frissons, j’ai chaud, je vois des étoiles, je jouis !!!

Elle se retire brusquement, ôte rapidement sa protection, se branle frénétiquement. Son sperme jaillit, inonde mon ventre et mon torse, un torrent ! Elle souffle, sourit, remet ses cheveux en place. Je l’attrape, la couche sur moi. Je l’embrasse, on s’embrasse. J’ai enfin ma première vraie relation sexuelle et flûte, j’adore çà !

On passe au moins une heure à baiser. Elle m’a rendu rapidement ma vigueur à coups de langue. Puis m’a demandé à son tour de l’enculer, ce que j’ai fait de bonne grâce comme si je l’avais fait toute ma vie. Pas peu fier ! Et maintenant ?

Timidement, je lui propose d’aller manger un morceau à un snack voisin. Mais elle décline : elle doit se rendre dans la soirée chez ses parents. Ah Dommage. Devant mon air abattu, elle me prend gentiment par l’épaule et me jette un curieux regard, comme un fauve regarderait sa proie.

— Écoute, j’ai adoré. Je ne me défile pas, c’est vrai ce que je te dis. Et t’es vraiment trop mignon. J’ai envie de faire autre chose avec toi. Tu es libre samedi ? Oui ? Alors on se donne rendez-vous à midi au snack, et puis pour l’après-midi, je te promet quelque chose de spécial…

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