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Un conte de Noël – Chapitre 1




Allez ! a crié ma tante, c’est l’heure, on passe au salon et on ouvre les cadeaux !

Je me suis levé de table, difficilement. Comme tous les ans, j’ai mangé plus que de raison. Je savais déjà que mon organisme me le ferait payer dans les prochains jours. Il n’y avait que quelques mètres entre la cuisine et le salon, mais c’était un supplice. Et le vin que j’avais trop bu me chauffait déjà la tête. Comme après un parcours du combattant, j’ai fini par m’échouer sur l’un des fauteuils près de la cheminée, où crépitait un feu.

Comme chaque année, nous fêtions Noël chez ma tante. Je n’était pas un grand fan de cette fête. C’était souvent un concentré de bruit, de gens, de grands débats stériles, et une overdose de nourriture. Mais il est vrai que c’était aussi l’occasion de se retrouver en famille. Tous les ans, nous nous retrouvions à onze dans ce même salon, autour de cette même table, en suivant toujours le même cérémonial. Mes grands-parents, mes parents, mes deux frères et moi-même nous retrouvions ainsi chez ma tante, son mari, et leurs deux enfants, pendant deux jours, isolés dans cette grande maison à la campagne où nous logions tous.

Pour ce qui était des cadeaux, le processus était le même tous les ans également. Il y avait un grand tirage au sort, orchestré par ma tante, et chacun se voyait désigné une personne à qui offrir quelque chose. Puis, une fois passé minuit, le vingt-quatre, devant la cheminée, tout le monde offrait son cadeau, ma tante la première. Puis c’était à la personne qui venait de recevoir un cadeau d’offrir à celui qui lui avait été désigné. Ainsi se formait une chaîne, jusqu’à ce que tous les cadeaux soient déballés.

Ma cousine, Sarah, finissait de déballer son cadeau, un nécessaire de maquillage et de nouvelles fringues, quand sa mère lui a demandé d’offrir le sien. Elle m’a alors regardé avec un air désolé, et j’ai compris que je n’aurais rien à déballer ce soir-là.

Je suis désolée, a-t-elle dit doucement, je ne l’ai pas là, mais je te promets que je te le file dès que possible !

Sarah s’est faite remonter les bretelles par ses parents, qui l’accusaient de ne pas avoir fait d’effort et de gâcher la soirée, mais moi je ne lui en voulais pas. Je n’avais jamais réussi à en vouloir à ma cousine. Elle venait de fêter ses vingt-deux ans, quatre de moins que moi, mais malgré cette différence d’âge (qui en est une lorsque l’on est adolescents), nous avions toujours été proches, et elle avait toujours été ma préférée. Je la considérais comme la sur que je n’avais jamais pu avoir, et je m’étais comporté avec elle comme un grand frère quand nous étions gamins. Alors non, je ne lui en voulais pas, et ce n’était pas son sourire craquant et sa bouille désolée qui allait changer les choses.

L’incident diplomatique passé, le reste des cadeaux a été ouvert dans la joie et la bonne humeur. Tout le monde était ravi, et mon grand-père a eu l’air d’apprécier la bouteille de whisky que je lui ai offerte. Puis les gens ont commencé à déserter le salon. Il était presque une heure du matin et la journée avait été fatigante pour tout le monde. Je suis resté dans mon siège encore un moment, à discuter avec mes deux frères et ma cousine, en savourant un petit digestif de rigueur. Au bout du deuxième verre, et la fatigue aidant, mon esprit a commencé à divaguer. Pour une raison que j’ignorais, j’ai commencé à dévisager ma cousine, m’arrêtant sur chaque détail de son physique. Ses longs cheveux bruns et lisses lui tombant sur les épaules, ses yeux verts derrière ses petites lunettes rondes qui lui donnaient un air d’intello sexy. Son joli petit nez, ses jolies lèvres pulpeuses. Chaque centimètre de son cou, les os saillants de ses clavicules, la pente vertigineuse vers son décolleté…

Je me suis arrêté là. Je déconnais complètement à avoir ce genre de pensées. Il fallait que je pense à autre chose, même si sa robe noire pailletée mettait son corps en valeur et ne cachait pas beaucoup de sa peau. Seules ses jambes étaient recouvertes par un léger voile, et je me suis demandé s’il s’agissait de bas ou d’un collant, et… Merde. Maintenant je regardais ses jambes. Je me suis resservi un verre pour penser à autre chose, et je suis sorti fumer une cigarette.

Il faisait froid, et j’espérais que cela me permettrait de faire redescendre la température de me corps et surtout, de calmer mon esprit. Mais Sarah m’a rejoint, et a sorti un paquet de cigarettes de son sac à main. Elle m’a demandé du feu, et j’ai sorti mon briquet de ma poche pour allumer sa clope.

Depuis quand tu fumes ? ai-je demandé avec mon air de grand frère.

Je suis plus une gamine, Simon.

Je sais bien.

A la regarder, je ne le savais même que trop bien. Sa cigarette à la bouche, elle a fouillé à nouveau dans son sac et en a sorti un petit paquet cadeau.

Tiens, m’a-t-elle dit. J’ai un peu menti, je l’avais déjà, ton cadeau. 

Merci Sarah ! 

Ouvre le tout à l’heure, quand t’iras te coucher, et si t’as besoin d’explications, tu viendras me trouver. Ok ?

Intrigant. Sarah m’a souri en écrasant sa clope à peine terminée, et est rentrée en me souhaitant une bonne nuit. J’avais bien trop envie de déballer mon cadeau, aussi j’ai dis au revoir à mes frères, et j’ai grimpé à l’étage où se trouvait ma chambre. Je me suis brossé les dents en un temps record et enfilé le jogging qui me servait de pyjama, puis je me suis mis au lit avec le petit paquet de Sarah. Un peu fébrile, le cur battant, je l’ai déballé. Sous le papier cadeau se trouvait une boîte. Rien ne laissait présager ce qui se trouvait à l’intérieur. Je pense que j’ai eu une mini attaque lorsque j’ai ouvert la boîte pour prendre son contenu dans ma main.

Je tenais entre mes doigts un bout de dentelle noire qui, en le dépliant, s’avérait être une culotte. Pourquoi Sarah m’offrait-elle une culotte ? Ce n’était sûrement pas pour moi, sûrement une erreur de colis. Une erreur pour le moins gênante. Pour autant, je n’ai pas lâché le bout de tissu, j’en étais bien incapable. J’étais subjugué. Et avant même que je ne m’en rende compte, je portais le sous-vêtement à mon nez, en prenant une profonde inspiration. Cette culotte n’était visiblement pas neuve, elle sentait la femme, je connaissais cette odeur envoutante. Merde. J’étais sûrement en train de renifler une culotte que ma cousine avait portée.

J’ai lâché le sous-vêtement et j’ai attrapé mon téléphone pour envoyer un texto à Sarah. « Cousine, je crois que tu as fait une erreur dans ton cadeau. » Mais dix secondes plus tard, mon téléphone vibrait. « Je t’ai dit de venir me voir, gros débile ! ». J’ai fourré la culotte dans ma poche et je suis sorti de la chambre. Je ne savais pas ce que me voulait Sarah, mais j’avais besoin d’une explication. Je suis monté au deuxième et dernier étage, et j’ai frappé à sa porte. « Entre! » ai-je entendu. Sarah était debout à côté de son lit. Elle pliait les affaires qu’elle avait portées aujourd’hui, et remplacées par son pyjama, un long tee-shirt blanc qui lui arrivait à mi-cuisses et une paire de grosses chaussettes en laine.

Sarah, ai-je commencé, désolé mais…

Non cousin, m’a-t-elle coupé en s’asseyant sur son lit, y’a pas d’erreur. Je vais t’expliquer. Tu l’as sentie ?

Hein, mais je… euh…

Donc tu l’as sentie. Et tu sais ce que ça sent ?

Je me sentais piégé. Le cur au bord de la rupture, je me suis adossé à la porte. Si je savais ce que ça sentais ? J’en avais ma petite idée, et j’espérais que ce ne soit pas le cas. Incapable de répondre, Sarah a fini par reprendre :

Ça sent moi, Simon.

Je… je comprends pas, ai-je bredouillé.

Simon, tu me rends folle d’excitation depuis que j’ai l’âge d’être excitée. T’as vraiment rien vu du tout ?

Non, je n’avais rien vu, et j’avais du mal à croire ce que j’entendais.

Tous les ans à Noël c’est une vraie torture, a-t-elle continué. Combien de fois j’ai dû aller me cacher pour me toucher en cachette. Tout ça, juste parce que tu te trouves dan la même baraque que moi. Et t’as rien vu ?

Non, Sarah, je te jure, je ne savais pas, je… je t’ai jamais regardée sous cet angle, et…

Mais mon cadeau t’a fait changer d’avis, non ? Je peux le voir à travers ton jogging.

Je ne m’en étais pas rendu compte mais oui, la situation m’excitait, de plus en plus, et mon début d’érection était difficilement dissimulable derrière le mince tissu de mon pyjama. 

Du coup, a-t-elle continué en se levant et en s’avançant vers moi, je me dis que si on unissait nos excitations, on…

Attends attends, Sarah, l’ai-je coupé, on est cousins, si je dois te le rappeler ! Et ce ne sont pas des choses qui se font.

Justement, on est que cousins, et je ne te parle pas de m’épouser et de me faire des enfants. Juste de jouer un peu avec moi. Comme quand on était gosses, mais à des jeux différents.

Elle était maintenant contre moi, ses deux mains posées sur mon torse. J’étais incapable de bouger. Incapable de discerner le rêve de la réalité. 

S’il te plaît… Laisse moi t’offrir ton cadeau de Noël. S’il te plait.

Impossible de répondre, ou même de réfléchir. Impossible de l’arrêter quand elle s’est laissée glisser le long de mon corps jusqu’à se retrouver à genoux devant moi. J’ai alors senti sa bouche embrasser le bas de mon ventre. Ses lèvres sur ma peau m’ont envoyé un électrochoc. 

Sarah, arrête… ai-je protesté.

Pour la forme seulement, car mes mains n’ont pas bougé d’un centimètres. Les siennes, par contre, ont attrapé l’élastique de mon pantalon, et l’ont baissé tout doucement. Etant nu en-dessous, elle s’est vite retrouvée face à mon érection grandissante. Sarah a laissé échapper un petit soupir en découvrant l’objet de son désir.

C’est plus beau que dans mes rêves, a-t-elle lâché pour elle-même.

Sarah… ai-je murmuré en attrapant sa main. Il est encore temps d’arrêter ça…

Mais déjà ses doigts attrapaient mon sexe à la base et commençaient une lente masturbation. Rapidement, je me suis retrouvé à bander devant les yeux de ma cousine. Et je me répétais cette phrase, intérieurement. « Je bande devant ma cousine. » Ça aurait dû me faire paniquer, mais non, j’avais l’impression que ça ne faisait que m’exciter un peu plus. Je me disais, intérieurement, qu’il n’était pas encore trop tard pour mettre fin à tout ça. Je pouvais lui faire lâcher prise, ranger mon sexe, partir de cette chambre en courant. J’aurais pu, mais je ne l’ai pas fait, et quand j’ai senti ses lèvres sur mon gland, j’ai su qu’il était trop tard. Le point de non-retour avait été franchi. Alors maintenant, à quoi bon se retenir ?

J’ai posé ma main sur son crâne, poussant un grognement de contentement tandis qu’elle suçait mon gland, et elle a pris ça comme un encouragement et m’a pris de plus en plus profondément dans sa bouche. Elle s’est arrêté à mi-chemin, quand j’ai tapé l’entrée de sa gorge. J’avais envie de pousser encore, mais je me suis retenu. Et puis sa langue autour de mon membre faisait déjà un travail admirable. Un si bon travail que j’ai dû la repousser au bout de quelques minutes.

S’il te plaît Simon, m’a-t-elle dit alors qu’un filet de bave reliait encore mon sexe à ses lèvres, laisse moi continuer.

Je te repousse justement parce que je veux continuer, lui ai-je répondu, va plutôt sur le lit !

Le sourire aux lèvres, elle a lâché mon sexe et a sauté sur son lit. J’ai enlevé mon jogging et, entièrement nu, fièrement dressé, je me suis avancé vers elle tandis qu’elle mordillait sa lèvre inférieure. Elle a voulu à nouveau prendre mon sexe en main, mais je l’en ai empêchée.

C’est censé être mon cadeau de Noël, non ? Alors laisse moi en profiter.

A mon tour je me suis agenouillé. J’ai posé mes mains sur ses cuisses, le contact entre mes doigts et sa peau était électrique. Alors j’ai posé ma bouche dessus, et ça m’a rendu fou. Je l’ai embrassée, léchée, goûtée, tout en remontant progressivement le long de ses cuisses. Jusqu’à devoir remonter son tee-shirt. Je pouvais sentir la chaleur de son corps, l’odeur de son désir. Sarah portait sous son tee-shirt une petite culotte blanche en coton, avec des imprimés fleuris, et bordée de dentelle rose pastel. Une petite culotte très sage, innocente, à l’opposé total de la relation que nous étions en train d’avoir tous les deux. En m’approchant encore un peu, j’ai pu distinguer une tâche humide sur le tissu. C’était envoutant, je n’ai pas résisté à l’envie d’y poser deux doigts. Sarah s’est mise à gémir doucement.

Mon Dieu, Simon, c’est tellement bon quand tu me touches…

Et je n’en avais pas fini avec elle. Après mes doigts, c’est ma bouche que j’ai posée dessus. Je l’ai embrassée, lentement. J’ai pris mon temps, avec mes mains posées sur le haut de ses cuisses. J’ai ensuite commencé à lécher sa petite culotte, m’efforçant d’élargir cette tâche humide. Sarah gémissait de plus en plus. Quelques minutes plus tard, le coton de sa culotte était imbibé de ma salive, mais également, j’imaginais, d’autres fluides. Aussi j’ai simplement tiré sur l’élastique, écartant le tissu pour pouvoir, enfin, admirer son sexe absolument parfait. Ses deux lèvres, charnues, rosées et entrouvertes, d’où s’écoulaient quelques perles de son jus, et au-dessus, une légère bande de poils parfaitement entretenus. Quiconque aurait été à ma place se serait rué dessus, comme je l’ai fait. Je l’ai longuement léchée, sucée, mordillée, j’ai bu à sa source comme s’il s’agissait de la fontaine de jouvence. Puis mes doigts se sont joints à la fête, j’en ai enfoncé deux en elle, facilement. Sarah gémissait de plus en plus fort, et je m’imaginais déjà les conséquences si quelqu’un venait à nous entendre.

J’avais envie de la faire jouir, son clito entre mes lèvres, mes doigts en elle. Je voulais la sentir défaillir, la sentir se liquéfier contre ma bouche. Mais elle m’a attrapé par les cheveux, me tirant vers elle, et m’a embrassé, langoureusement. C’était étrange. Je venais de la lécher, et pourtant embrasser ma cousine me faisait un effet plus drôle encore.

Prends moi, m’a-t-elle soufflé à l’oreille avec une voix qui sentait bon la luxure. Il y a des capotes dans la table de chevet.

J’ai ouvert le tiroir en question et ai effectivement trouvé un petit tas de préservatifs prêts à l’usage. Mais pas que. Sa table de chevet était remplie de sextoys en tous genre: deux vibromasseurs, un gode en latex, une paire de menottes, et ce qui m’a semblé être un plug anal.

Dis donc, j’ai comme l’impression que ma petite cousine est plutôt une petite coquine…

Tu peux t’en servir si tu veux, mais baise moi !

L’invitation était claire et sans appel. J’ai enfilé ma protection de latex tandis que Sarah retirait sa culotte détrempée et écartait ses jolies jambes. A peine étais-je sur elle qu’elle a saisi mon sexe entre ses doigts, et m’a fait glisser en elle. Je m’y suis enfoncé jusqu’à la garde, faisant grogner ma cousine de plaisir. Mon Dieu qu’elle était confortable ! J’ai commencé à aller et venir en elle, tandis que Sarah me suppliait de la « baiser fort », c’étaient ses mots. Alors je l’ai attrapée par les hanches, et c’est ce que j’ai fait, je l’ai baisée fort. Sarah criait maintenant, et risquait réellement de rameuter le reste de la famille. Un risque que nous ne pouvions pas prendre !

Moins fort ! lui ai-je dit à voix basse.

C’est trop bon ! Fais moi taire !

On ne m’avait encore jamais dit ce genre de chose au lit. Un peu pris de court, j’ai plaqué ma main sur sa bouche. Mais clairement, ça ne marchait pas, et je préférais garder mes deux mains sur ses hanches pour la prendre comme il faut. Puis j’ai trouvé à côté de nous sa petite culotte encore mouillée. Sans réfléchir plus longtemps, j’ai fourré le bout de tissu dans sa bouche. Clairement, ça ne changeait pas beaucoup au volume sonore qu’elle produisait, mais c’était tellement excitant de la voir avec son morceau de culotte dépassant d’entre ses lèvres que je l’ai baisée encore plus sauvagement. 

J’ai fini par ralentir le rythme et me retirer complètement, afin de ne pas jouir trop vite. Un peu déçue au début, Sarah s’est finalement retournée et allongée sur le ventre. Retirant la culotte de sa bouche, elle m’a demandé de la prendre par derrière, puis elle a remis le sous-vêtement là où il était. L’invitation était difficile à refuser. Sarah avait un cul parfait. Musclé, ferme comme il le fallait, doux au toucher. D’une main, j’ai écarté l’une de ses fesses, admirant au passage son petit illet brun, appétissant comme pas deux. Je l’ai sentie frémir lorsque j’ai passé mon sexe dessus, et je me suis dis que, peut-être, j’aurais la chance de jouer un peu avec. Mais en attendant, c’est entre ses lèvres trempées que j’ai à nouveau glissé mon membre. J’ai recommencé à la pénétrer en force, agrippé cette fois à ses fesses, que je claquais parfois. Sarah, elle, continuait de couiner, mais avait enfoncé sa tête dans son oreiller pour être la plus discrète possible.

Impossible, cependant, d’être vraiment discrète alors qu’un orgasme la terrassait. Les ongles enfoncés dans le matelas et la tête dans le coussin, j’ai senti tout son corps se contracter, puis trembler comme une feuille, avant de s’étaler sur le lit.

Oh cousin, a-t-elle dit après avoir retiré la culotte de sa bouche, t’as pas idée comme c’est bon ! J’adore !

J’ai pas fini, lui ai-je répondu en lui envoyant une légère fessée.

Et j’ai continué à la pénétrer, doucement, en prenant mon temps. Mes mains ont quitté ses fesses et remonté le long de son dos lorsque je me suis rendu compte que je n’avais pas encore profité de sa poitrine. Comprenant mes envies, Sarah a remonté son tee-shirt au-dessus de ses seins, me laissant un accès privilégié à ces deux jolis globes de chair, d’une taille raisonnable mais divins au toucher, et aux pointes bien érigées. Je les ai malaxés un moment, joué avec ses tétons en tirant dessus et en les pinçant, puis je suis retourné à ces fesses qui m’envoutaient complètement. 

Tout en la pénétrant lentement, je les ai écartées, admirées encore un peu, et j’ai laissé mon doigt glisser sur son anus, puis à l’intérieur. Juste une phalange. Je voulais voir sa réaction.

Qu’est-ce que tu fais ? l’ai-je entendue dire.

Ça te dérange ?

Non. Tu peux me prendre par là si tu veux. Mais vas-y doucement. J’ai du lubrifiant dans le tiroir.

Maintenant que j’avais son approbation, je me suis retiré d’entre ses cuisses, et j’ai commencé par fourrer ma tête entre ses fesses. Avant d’y mettre un quelconque lubrifiant, je voulais la lécher, goûter ce cul, glisser ma langue dans son petit trou. L’effet de ma langue a été immédiat.

Oh c’est trop bon, l’ai-je entendue dire. Viens. Encule moi !

Qu’est-ce que j’aimais ce langage cru ! Je ne me suis pas fait prier. J’ai attrapé le tube de lubrifiant dans la commode à côté du lit, et j’en ai recouvert son anus. Puis d’un doigt, je l’ai étalé, et m’en suis recouvert le sexe encore sous plastique. Et enfin j’ai posé mon gland sur son anneau, que j’ai très lentement perforé. Sarah grognait, en me disant d’y aller très doucement.

Tu ne le fais pas souvent ? ai-je demandé alors que mon gland n’était même pas encore passé.

Tu es le premier…

Cette révélation a failli me faire jouir instantanément. Savoir que j’étais personne avant moi n’était passé par là était terriblement excitant. J’y suis allé encore plus doucement. Pour prendre encore plus mon pied, et pour lui épargner toute douleur inutile. Je voulais qu’elle garde un bon souvenir de sa première sodomie avec son cousin. J’ai alors basculé sur le côté, la prenant désormais en cuillère. J’avais un meilleur accès à son corps dans cette position. Je tenais ses seins dans la main gauche, en la serrant contre moi, tandis que mon autre main branlait lentement son clito et que mon sexe envahissait tout aussi lentement son cul. C’était trop bon. Absolument délicieux. Sarah s’est mise à grogner, de plaisir cette fois, et je sentais son sexe dégouliner à nouveau entre mes doigts. Le passage dans son anus se faisant plus facile, j’ai commencé à aller et venir un peu plus rapidement.

Donne moi l’un de tes vibros, lui ai-je chuchoté à l’oreille.

Sarah a tendu le bras et m’a donné un petit vibromasseur rose en plastique. Je l’ai mis en marche, et l’ai collé contre son clitoris, l’enfonçant par moment en elle avant de revenir jouer sur son bouton. Elle gémissait désormais de plaisir, et l’effet combiné du sextoy et de mon sexe entre ses fesses a fini par la faire jouir une deuxième fois. J’ai senti à nouveau son corps se tendre contre moi, et je me suis senti complètement écrasé par ses sphincters contractés. Cette fois-ci, c’en était trop. J’allais jouir aussi, et j’en ai informé Sarah.

Attends ! m’a-t-elle dit. Retiens toi. Je veux te sentir.

Et elle a sorti mon sexe d’entre ses fesses, puis retiré la capote. A peine avait-elle posé mon gland tout contre sa fente que j’éjaculais abondamment, recouvrant son sexe de plusieurs giclées de foutre blanc. D’un coup, le silence s’est fait dans la pièce. Seules nos respirations restaient audibles. Sarah a fini par rompre ce silence.

C’était tellement bon ! a-t-elle dit. Merci mon cousin ! Merci pour tout !

Sa main avait glissé entre ses cuisses, et jouait avec le sperme collé contre sa chatte, tripotant le bout de mon sexe au passage.

Merci à toi, ai-je fini par répondre. Merci pour ce beau cadeau. Je ferais peut-être mieux de retourner dans ma chambre maintenant…

Non, reste ! Passe la nuit ici, tu t’enfuiras au petit matin !

J’étais bien incapable de refuser l’invitation. Alors on est restés dans la même position, moi dans son dos, mon sexe ramolli contre ses fesses encore un peu gluantes, et mes mains sur ses seins et son ventre. Et on s’est endormis.

Le lendemain matin, nous n’avions pas bougé d’un poil, et mon érection matinale s’était glissée entre ses fesses à nouveau. J’ai eu envie de la prendre encore. J’aurais pu la prendre encore toute la journée. Mais j’entendais du bruit au rez-de-chaussée, sûrement mes grands-parents, et je me suis dit qu’il valait mieux que je me faufile dans ma chambre avant que quelqu’un ne s’aperçoive qu’on avait passé la nuit ensemble. Sarah a bien essayé de me retenir, mais j’ai réussi à filer après l’avoir embrassée sur le front. Une fois dans ma chambre, je me suis posé sur le lit, mais impossible de me rendormir. J’ai repensé à notre soirée, et j’ai fini par me masturber en tenant la culotte qu’elle m’avait offerte contre le nez.

Une fois vidé et douché, je me suis levé, et j’ai rejoint tout le monde au petit déjeuner. Sarah nous a rejoint une petite demie-heure plus tard, et a parfaitement joué la comédie, faisant comme si de rien n’était. Son tee-shirt long qu’elle portait en guise de pyjama avait désormais une nouvelle connotation pour moi. Sa mère lui reprochait d’ailleurs de ne pas être assez couverte alors que nous étions en famille. Si elle savait ce à quoi j’avais pu assister… 

Après cet épisode, il a été difficile de rentrer tous chez soi. C’était la première fois que j’avais autant de mal à quitter la famille.

Sarah et moi nous sommes revus quelques mois plus tard, autour d’un verre, et on a décidé qu’il s’agissait d’une nuit magique mais sans lendemain. Une sorte de miracle de Noël, qui n’arrivait que dans les contes. Le fantasme était à présent réalisé et nous pouvions passer chacun à autre chose. Ça nous allait comme ça…

Pour autant, je continuais à régulièrement me masturber dans le cadeau de Sarah, qui m’apparaissait désormais comme un rêve lointain.

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