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La France profonde – Chapitre 1




Cela faisait un sacré moment que je n’étais pas retourné chez ma famille, au fin fond du Jura. Mes grands-parents habitent dans une petite bourgade perdue au milieu des champs et de la forêt, où il fait néanmoins bon de se promener dès les beaux jours. C’est d’ailleurs lors d’une de mes balades habituelles que j’ai compris que le coin avait bien plus à m’offrir que ce que je croyais…

Alors que je m’enfonçais dans un sentier boisé que je ne connaissais pas je me retrouvais quelque peu perdu à deux pas d’une ferme qui semblait abandonnée. Je m’en approchais alors par simple curiosité. Il semblait n’y avoir personne, quand au détour d’une sorte de grange je me retrouvais nez à nez avec deux mecs torse nu qui commençaient à se peloter franchement! Abasourdi parce que je venais de voir je reculais brusquement en pensant me faire tout petit. Pourtant sous mon pied une vieille planche en bois craqua sans discrétion aucune.

Les deux gars vinrent d’un coup à ma rencontre en m’attrapant par les épaules pour me faire m’asseoir sur une botte de foin. J’étais totalement mal à l’aise:

"Alors t’es qui toi, à mater!? Tu te prends pour qui venir regarder et après tu vas dire des saloperies sur nous hein!"

Le second pris la parole

"Tu serais pas le petit David, qui vient de Lyon? Je connais tes grands-parents tu sais! Il faudrait pas qu’on dise que tu tapines hein? Ca foutrais une sacrée merde dans le coin!"

"Mais je ne tapine pas!" dis-je, aussi effrayé qu’excité.

Je n’avais pas eu le temps de les observer en détail tant j’avais été surpris mais maintenant que leur but était clair et qu’il se déshabillaient devant moins j’avais le temps de me rincer l’oeil malgré ma fausse indignation. Le premier était immense et approchait sûrement les 2m, il était particulièrement musclé avec une gueule carré, un peu rouquin avec des tâches de rousseur, une peau blanche et des mains larges de paysans. Il sorti sa queue à quelques millimètres de mon visage: elle était énorme, très veineuse, avec un gland bien rouge qui dépassait à peine d’un épais prépuce. Le second était plus petit avec un poil de bedaine et plus vieux aussi, presque 40 ans. Il arborait une épaisse barbe de 3 jours et était très poilu et brun. Sa queue était encore plus grosse que celle de son pote, luisante, avec une paire de couilles phénoménale!

Même si je faisais croire pendant 2 minutes que je ne comptais certainement pas faire quoi que ce soit avec eux, ils n’eurent pas à dire grand chose pour que le commence à les peloter moi aussi. Le grand roux décalottait sa verge énorme sur mon visage, elle sentait bien fort et avait un peu de fromage. D’ailleurs les deux mecs sentaient vraiment le mâle de la campagne. Un peu hésitant au début, il m’engouffra son chibre parfumé au fond de la gorge. Le goût était hallucinant. Tout en branlant son pote barbu, je pompais le mec roux comme un dingue accro à la vraie queue made in France!

Je passais d’un gars à l’autre, suçant leurs queues, gobant leurs boules bien chaudes et transpirantes. J’étais fou! Le barbu commença à se mettre à genoux et me pelota la queue, tout en me roulant une bonne grosse pelle baveuse, puis enchaîna en suçant son pote, tout en m’embrassant. Il m’ouvrit alors la braguette et avala ma queue comme un goinfre tout en me doigtant la chatte avec ses gros doigts de paysans bien rustres. Son pote roux commençait quant à lui à violer ma bouche en me tenant la tête. J’avais envie de vomir, mais le plaisir d’être traité comme une pute était hallucinant!

Rapidement le barbu me retourna et commença à me bouffer le cul: j’avais compris la prochaine étape. Un bon raclement de gorge, un mollard sur la chatte et ni une ni deux il rentra en moi. Il n’avait pas de capote mais j’étais dans un tel était de plaisir que je réfléchissais plus. Et même si je comptais parler, le grand roux avait toujours son 25 cm au fond de ma gorge!

Alors qu’ils alternaient mon trou et ma bouche, je commençais à avoir de plus en plus envie de jouir, les coups de bite dans mon petit étaient de plus en plus rapide et d’un coup je larguais 2 grosses giclées de foutre sur les pieds du mec roux. Il retira alors sa queue de ma bouche puis avec un air glacial me dit: "Nettoie!" J’étais mal à l’aise, pourtant lorsqu’il posa son énorme pied légèrement poilu sur le bord de la botte de foin je m’exécutais dans broncher. Ses pieds puaient la transpi, mais c’était trop bon et je passais consciencieusement ma langue entre chacun de ses orteils.

A peine eu-je le temps de finir que le roux m’éclaboussa la gueule de sperme bien chaud! C’était le rêve, il se branlait lentement pour finir de décharger dans ma bouche alors que je pinçait son épais prépuce rose et veiné. D’un coup le mec brun se retira de mon anus subitement et vint vers moi en enfournant sa queue dans ma bouche. J’eu l’impression d’avoir un raz-de-marée de foutre dans ma bouche! Jamais quelqu’un n’avait joui une telle quantité de sperme brûlant dans ma gorge. Avec une pointe d’hésitation je finis par tout avaler dans un "GLOUPS" sonore.

Les deux mecs rigolèrent soudain et me tapèrent sur l’épaule, avant de se rhabiller avec moi. Je partais sans demander mon reste alors que le mec roux ajouta "on espère que tu reviendras vite à la campagne…" En effet j’allais être amené à revenir le plus souvent possible maintenant…

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