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Aux pieds de ma cousine… – Chapitre 1




Il y a plusieurs années maintenant, j’allais souvent dormir chez ma cousine…

Nous passions nos journées à jouer (quand nous avions environ 8 ou 9 ans) innocemment. Mais en grandissant, nous avons commencé à avoir des attitudes un peu plus "câlines". Elle commençait à avoir des seins et moi, je bandais souvent (et me soulageais en cachette). Nous en étions au début de l’adolescence.

Notre relation Maîtresse-Esclave avait débuté tout à fait naturellement. Elle m’avait donné des ordres du type "Va chercher ceci, va chercher cela, fais attention à ne pas renverser mon verre, retire-moi mes vêtements qui sont sur le lit et range-les,…" Elle essayait de nouveaux ordres à chaque fois… Et elle remarqua un jour que lorsqu’elle me donnait des ordres, une petite bosse se formait au niveau de mon pantalon.

Un soir, elle ferma la porte de sa chambre à clef et me dit :

-Viens ici.

Moi, je m’approche d’elle. Elle m’arrête.

-Non ! Rampe jusqu’à mes pieds.

Je la regardais, incrédule, ne comprenant vraiment pas ce qu’elle me voulait.

"Comment ça ?", me permis-je de demander.

-Ne discute pas, fais-le.

Son ton était doux… Ses yeux sévères. Je me mis à genoux et avançai à quatre pattes vers elle.

-On va jouer à un nouveau jeu, me dit-elle.

-Ah ? Lequel ?

-Le maître et l’esclave. Pour le moment, tu seras l’esclave. Nous changerons au moment venu.

-C’est quoi comme jeu ?

-Tu dois m’obéir, un point c’est tout.

Là, je ressentis un brin d’excitation… Je m’en souviens comme si c’était hier.

"J’accepte".

Elle sourit, se retourna et s’assit sur son lit, laissant ses pieds dans ses pantoufles sur le sol.

-Approche-toi encore à quatre pattes, mon esclave.

J’obéis.

-Retire mes pantoufles et embrasse mes pieds.

Je retirai ses pantoufles, les lançais sur le côté et me prosternais à ses pieds que j’embrassais respectueusement… J’avais probablement ma plus grande érection de l’année…

-Tu as l’air d’aimer ça… Arrête-toi et baise-moi la main comme à une Princesse.

Je m’exécutai sans sourciller.

-Comme c’est bon d’avoir un esclave… Dommage que tu ne connaisses pas cela… Prosterne-toi encore !

J’avais eu le malheur de trop me relever pour lui baiser la main…

-C’est mieux. Viens derrière moi et masse-moi les épaules…

Je me levai et me mis derrière elle, je commençai les mouvements doucement en m’appliquant bien… Elle m’arrêta, irritée :

-Non ! C’est nul, t’es vraiment nul pour les massages aux épaules ! Reviens à mes pieds !

Je reviens à genoux devant elle.

-Prends mon pied droit et masse-le-moi.

Je lui prends son pied et le masse précautionneusement, m’appliquant encore plus que pour l’autre massage.

-Tu aimes vraiment mes pieds, hein… Tu en prends soin, c’est bien. Mais maintenant, tu vas me les nettoyer, avec ta langue.

-Mais…

-Pas de "mais" ! Juste un "Oui, Maîtresse, vos désirs sont des ordres" !!

Ces mots m’excitèrent. Je les prononçai et sentis ma verge devenir encore plus dure. Elle le remarqua et posa son pied dessus.

-Couché, esclave ! Sur le dos, maintenant ! Bien… Maintenant, abaisse ton pantalon.

J’obéis. Je suis en slip sous ses pieds, à sa merci, en totale érection.

-Mmmh, tu aimes vraiment mes pieds… Ton zizi devient bien plus dur quand je frotte mon pied dessus ou quand tu me l’embrasses…

-Han, arrête !

-Comment ?! Tu oses lever la voix et me donner un ordre en plus ? C’est "Maîtresse" et "vous", pour toi !

-Haan…

-Excuse-toi comme il se doit !

-Pardon Maîtresse, je vous en prie, arrêtez ça, han han !

-Ce n’est pas assez, excuse-toi mieux que ça !

-Han han han…

Trop tard.

-Ah mais qu’est-ce que c’est que ça !? Tu ne sais pas te retenir ? Sale porc !

-Toutes mes excuses Maîtresse, mais c’était trop bon…

-Je n’en doute pas, ça venait de moi… À genoux et lèche mes pieds maintenant. Oui comme ça, bien entre mes orteils, mmmh… J’adore quand ta langue s’occupe de la plante de mes pieds, esclave…

Nous avons continué pendant une partie de la nuit puis avons dormi. Malheureusement, nous n’avons pas pu refaire cette magnifique expérience. Sa mère et mon père (frère et sur) se sont engueulés et nous n’avons plus pu refaire de soirées chez l’un ou l’autre…

Aujourd’hui, je n’ai plus de nouvelles d’elle, juste ces souvenirs.

[Notez qu’elle a un an de plus que moi, c’est pourquoi elle s’exprimait déjà d’une manière plus aisée que je ne le faisais… J’ai essayé d’être le plus fidèle possible à mes souvenirs…]

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