Résumé des épisodes précédents :

Thomas est devenu lamant de sa mère Mathilde.

Il lentraîne dans des jeux particuliers : hier, elle a cru sucer et avaler le foutre de son fils, mais comme elle avait les yeux bandés, elle na pas vu que cétait Ludo, le meilleur copain de Thomas.

—————-

Le lendemain matin, ce qui réveille Thomas cest la délicieuse sensation dun baiser sur sa bite, heureuse victime de lérection matinale.

Il entrouvre les yeux pour voir sa mère qui lui sourit, avec sa queue bien au fond de la bouche.

Le voyant réveillé, elle stoppe le jeu : « Ce nétait quun amuse-bouche ! Je dois mabsenter toute la matinée !

— Fais-moi sentir ta chatte avant de partir que je vois si tu mouilles, adorable cochonne !

Mathilde sapproche, relève sa jupe. Thomas sassoit dans son lit et se penche vers lentrecuisse de sa mère. Il sort rapidement sa langue pour lécher la culotte humide quil a sous les yeux mais sa mère se recule :

« Tu es un tricheur ! Pas maintenant, cet après-midi, je serai toute à toi ! »

Et elle se sauve en laissant Thomas dans un terrible état dexcitation quil calme par une branlette dont il a le secret et il ne faut pas longtemps pour que le mouchoir (quil appelle le chiffon à foutre) quil prend sous son oreiller recueille le fruit de son plaisir.

Lhorloge de la cuisine indique deux heures et demie quand Thomas range les derniers morceaux de vaisselle quil vient dessuyer. Sa mère est tout sourire : elle le regarde, enlève le tablier quelle avait mis pour les menues tâches quelle vient deffectuer puis sapproche de lui :

« Je suis toute à toi mon amour ! Quas-tu imaginé pour cet après-midi ?

— Dis, tu y prends goût à nos jeux, on dirait !

— Bah oui ! Hier, jai adoré te faire jouir puis jouir de ta langue ! Quand même, tes un sacré cochon ! Ton idée de chien, ça ma excité !

— Tu aimerais te faire lécher par un chien !

— Mais non, quelle horreur ! Non, cest ton comportement avec ta langue, sans tes mains et me léchant de cette manière aussi sauvage ! Un vrai bonheur !

Thomas, excité par les propos de sa mère se colle à elle pour un de ces baisers fougueux dont ils ont le secret. Chacun à son tour remplit la bouche de lautre, de sa langue qui se faufile dans les moindres coins de lespace à fouiller ou qui joue avec lautre langue en senroulant le plus possible autour delle et aspirant au passage la salive du partenaire.

Quelque peu essoufflée par lardeur de son tendre fils, elle insiste :

« Alors quas-tu prévu pour cet après-midi ? Tu veux que je mette à nouveau ma guêpière ? (Un court silence et le sourire de Mathilde disparaît) Cest notre dernier câlin avant ton week-end avec Ludo ! Ça va être long plus de deux jours sans toi !

— Je taime mon amour ! Pour moi aussi, ça va être long ! (Thomas sourit à sa mère et lui caresse la joue.) Non, pas de guêpière aujourdhui, tu vas mettre ta nuisette mauve, pas de soutif, les bas noirs qui se fixent tout seuls et un string ou une de tes jolies culottes en dentelle, et par-dessus tout ça, ton peignoir en satin qui te va si bien ! Allez zou !

Sans mot dire, Mathilde monte à sa chambre et revient rapidement avec la tenue demandée. Elle en a profité pour se maquiller un peu. Elle est vraiment excitante avec cette tenue qui laisse entrevoir ses jambes bronzées quand elle marche et qui met en valeur sa poitrine aux belles courbes suggérées.

Thomas la fait tourner une fois sur elle-même, siffle pour montrer son contentement puis dit :

— On va dabord aller dans le salon comme hier.

— On recommence le même jeu quhier ?

— Je nai pas dit ça !

Thomas prend sa mère par la main et lentraîne dans la pièce voisine. Il pousse la table de salon de manière à laisser une large place devant le canapé puis sort dun tiroir le masque des yeux utilisé hier.

« Tu vas à nouveau avoir les yeux bandés pour que les sensations soient encore plus fortes ! »

Docilement, elle laisse son fils placer le masque sur ses yeux.

« Comme hier, nous allons nous taire. Pas le moindre bruit ! Je vais dabord te déshabiller. Tes mains devront absolument rester dans ton dos (à lécoute de ces mots, elle les place comme il le souhaite). Pour que ce soit plus sensuel ce déshabillage, je vais mettre des gants ! Tu verras, ils sont très doux !

Quand tu seras nue, tu te retourneras ; le canapé est juste derrière toi. Tu te mettras en position comme pour une levrette et tu placeras tes mains sur le dossier du canapé et elles ne devront plus bouger quoi que je fasse !

— Que me feras-tu ?

— Tu verras. Le but est toujours le même : te faire jouir et jouir aussi de toi ! Tu es prête !

Mathilde hoche la tête pour lui indiquer son accord. Elle se tient bien droite, les mains derrière le dos attendant le début du jeu.

Quelques instants de silence et elle entend le même bruit quhier. Thomas se déshabille près delle. Enfin, cest ce quelle croit toujours !

Pourtant Thomas est à plusieurs mètres de là ; il se met à poil également puis prend le caméscope en main et commence à filmer.

Auprès delle, cest Ludo qui est à nouveau là.

Il est nu comme un ver et vient denfiler les gants noirs, longs, brillants comme ceux que lon voit dans des scènes sadomaso.

Il bande comme un diable, Thomas zoome sur sa bite qui paraît plus grosse quhier : lexcitation est tellement forte ! Il sait quil va baiser, baiser, lui le puceau qui a connu hier sa première pipe, et quelle pipe !

Et qui va aujourdhui déshabiller sa première femme. Et quelle femme ! La mère de son copain ! Il la connaît depuis si longtemps, sest branlé tant de fois en imaginant des moments torrides, persuadé de ne jamais pouvoir réaliser une pareille chose. Aujourdhui, pourtant, il va la baiser. On peut imaginer facilement son émotion, lémotion de la première pénétration !

Il tremble un peu quand il pose ses doigts sur le cordon retenant le peignoir de Mathilde.

Il sest mis légèrement en côté et tire sur le bout de tissu qui permet de découvrir les trésors cachés dessous.

Avant daller plus loin, il glisse sa main gauche sous le peignoir entrouvert pour empoigner le sein droit de Mathilde, qui immédiatement réagit. Le téton se dresse et semble vouloir transpercer le tissu qui le recouvre.

La mère de Thomas gémit, espérant visiblement que la caresse dure, dure.

Ludo en profite pour admirer le spectacle qui est devant lui. Il bande encore plus fort, si cela est possible. Quelle bite !

Les veines ressorties donnent un caractère encore plus obscène à limage quil dégage.

Dun geste félin, il glisse la seconde main sous le vêtement protecteur et le peignoir se retrouve vite sur le sol.

Une douce transparence lui permet de distinguer les aréoles brunes des seins gonflés de Mathilde.

Il pose maintenant ses mains sur les épaules de la femme qui va bientôt accueillir sa bite et dune simple tirée, la nuisette rejoint le peignoir sur la moquette du salon.

Ses mains nont pas quitté le corps de Mathilde. Elles redescendent doucement sur les belles et grosses mamelles que Ludo, dans un premier temps, frôle du bout des gants. Les tétons, fièrement, pointent vers lavant.

Puis, la main droite reprend sa marche en descendant le long du flanc de Mathilde. Celle-ci sourit, ravie de cette douceur sur son corps. Ludo, encouragé, laisse cette main arriver à la culotte de dentelle fine de couleur blanche qui cache le tendre sexe féminin. Trois doigts gantés se faufilent sous lélastique et gagnent rapidement les lèvres vaginales quils entrouvrent avant de se glisser à lintérieur et de se baigner dans le jus de chatte.

Mathilde ne peut alors sempêcher de manifester sa joie par des gémissements et transgresse le silence imposé : « Vas-y mon amour, fouille-moi avec tes doigts ! Tu peux en mettre dautres, ma chatte est tellement ouverte et dégouline de cyprine ; ça va glisser tout seul ! »

Ludo nen demandait pas tant. Ce sont maintenant quatre doigts qui pénètrent le vagin de cette femme si respectueuse quil fouille amoureusement.

Alors quil se rend compte que Mathilde va bientôt jouir, il retire immédiatement sa main de la culotte de la Belle.

« On ! Non ! Tu nas pas le droit de me faire ça ! Jallais jouir ! »

Mathilde est décontenancée. Elle sinquiète de ne plus sentir la moindre présence près delle : « Tu nes plus là ? »

Pour toute réponse, elle sent avec ravissement, se poser sur ses hanches les deux mains de son fils (cest toujours ce quelle croit !). La voilà rassurée !

Ludo est à genoux, la tête à la hauteur de la chatte de Mathilde. A laide de ses deux mains, il fait glisser la culotte de la mère de Thomas mais sarrête à mi-cuisse.

Il rapproche son nez du con féminin pour respirer les effluves qui sen dégagent.

Il voudrait mettre sa langue mais hésite de peur quelle ne se doute de quelque chose.

Le parfum de cyprine savère délicieux et Ludo, apercevant les tâches sur la culotte en partie descendue, se dit que ce slip est un trophée quil a bien lintention de garder. Il fait donc glisser le sous-vêtement jusquaux pieds de Mathilde qui les soulève sans attendre pour être totalement nue.

Elle se retourne alors et se met dans la position indiquée tout à lheure par son fils. Se voulant provocante pour lui, elle se cambre et il faut dire que le spectacle quelle donne ravit les deux jeunes hommes.

Elle attend la suite des opérations guettant le moindre son. Elle ne peut quentendre un léger froissement qui correspond au rangement de la culotte dans une poche du jean de Ludo.

Puis, elle sent sur ses hanches la douceur des gants que celui-ci vient de poser en bas de son dos. Il caresse longuement les fesses de Mathilde qui se tortille de bonheur. Par instants, elle sent ce quelle croit être (à juste titre) une pointe de bite qui se frotte contre ses cuisses.

Ludo, tout tremblant démotion prend sa queue dans sa main droite, se penche un peu sur le côté pour la voir sengouffrer dans la chatte de Mathilde. Il pousse son engin jusquà ce que son ventre vienne se coller contre le cul féminin.

Il entame de lents va et vient et sent que la jouissance va arriver trop vite. Il se retire complètement du ventre de Mathilde, laquelle grogne son mécontentement. Il en profite pour saisir le tube de vaseline que lui tend Thomas.

Il se remet en position, plonge dans le vagin trempé de mouille. Une fois bien calé au fond du con de Mathilde, il prend le temps de verser de la vaseline en haut des fesses de sa Belle qui ronronne de plaisir sous les coups de bite que donne maintenant Ludo.

Ludo se débarrasse alors du tube en le jetant sur le canapé.

Voulant ressentir au mieux ce quil va faire, il ôte son gant droit puis approche ensuite le pouce dénudé, de la vaseline, sen enduit le doigt avant de le glisser lentement le long de la raie qui sépare ces fesses majestueuses de provocation jusquà frôler lentrée du cul quil a bien lintention de pénétrer avec sa queue.

Mathilde glousse de plaisir quand Ludo entame une caresse circulaire autour de sa tendre rondelle. Il prend son temps, le bougre, aux anges de vivre un tel moment de luxure. « Encore, mon amour, encore, que cest bon ! Continue, oui, doucement, doucement ! Hum ! Tu es en train de me louvrir mon cul, tu vas menculer, hein gros cochon ! Tu vas me dilater la rondelle avec ta grosse queue !

Ludo, sentant quelle est prête enfonce le pouce dans le cul de Mathilde.

Dabord, quelques millimètres, ressortant son doigt avant de le remettre au chaud puis de sortir à nouveau, dentrer encore mais un peu plus loin jusquà ce que Mathilde, le feu au cul lui lance : « Mets-le en entier, à fond, à fond, oui, comme ça ! Oh ! Le salaud qui me transperce avec son pouce ! Ta queue ! Je veux ta bite, maintenant ! Défonce-moi le cul tout de suite sinon je vais jouir avant !

Ludo na aucun mal à obéir ! Il abandonne sa caresse, reprend sa bite en main, la place à lentrée du cul de Mathilde et, dun vif coup de rein, lencule jusquà la garde, dune manière si frénétique que Mathilde ne peut sempêcher de crier.

Un cri de surprise mais aussi de plaisir ! Plaisir de sentir cette queue bien au fond de ses entrailles !

Ludo enlève sa main gauche restée sur la fesse de Mathilde et Thomas qui filme voit que les deux amants ne sont désormais reliés que par une bite qui va et vient dans le cul de sa mère. Il se déplace un peu pour bien être derrière son copain, se baisse un peu pour prendre en gros plan la pénétration. Ludo voyant cela, pose son pied droit sur le canapé offrant ainsi une vue imprenable sur une belle chatte surmontée dune grosse tige qui va et vient dans le cul de sa mère et une paire de couilles qui viennent buter de manière régulière contre le fessier maternel.

Que démotions aussi pour Thomas. Voir sa mère se faire défoncer le cul lexcite au plus haut point ! Il a le sentiment den avoir fait sa pute, sa putain damour comme il dit et il pense que ce nest quun début et que ces films dhier et daujourdhui sont un excellent moyen de pression. Il en sourit, imaginant la suite quil a déjà programmée !

Ludo voudrait pouvoir faire durer le plaisir encore et encore mais la jouissance le frappe rapidement et il fait un effort surhumain pour ne pas crier sa joie ! Son corps est collé à Mathilde, il est tendu à lextrême !

En réponse, la mère de Thomas, sentant les giclées de foutre couler en elle, laisse exploser la jouissance quelle aussi retardait !

Thomas jubile devant le spectacle de ces deux êtres qui viennent de jouir et il continue de filmer ces deux corps inertes reliés encore quelques instants par la bite de Ludo puis ny tenant plus, se soulage sur un mouchoir quil avait posé près du caméscope. Frustré dun côté mais tellement heureux du comportement de sa putain damour !

Ludo se relève, prend rapidement ses vêtements, montre son contentement à Thomas en levant son pouce droit avec en prime, un clin dil et se sauve sans demander son reste.

Thomas sassoit à côté de sa mère et la prend dans ses bras. Elle a toujours le masque sur les yeux.

« Oh ! Mon amour ! Mais, tu vas me tuer de plaisir à me faire jouir comme ça ! »

Thomas lui glisse la langue dans sa bouche chaude et accueillante.

Un baiser tendre, rempli de complicité, de sérénité, de bonheur effréné.

« Jai soif, tu vas me chercher un verre !

— Oui, ma ptite maman ! »

Quand il revient, il découvre sa mère allongée sur le ventre sur le canapé. « Quelle est belle ! » pense-t-il.

Dès quelle a bu, Mathilde reprend sa position initiale.

Thomas est à même le sol et caresse ce tendre corps féminin quil aime plus que tout.

Sa queue nen demande pas plus pour se redresser à nouveau.

Il se relève, enjambe le corps de sa mère pour bien placer ses jambes de part et dautre de cette belle paire de fesses quil sempresse de pétrir une fois assis sur les jarrets de Mathilde. Celle-ci sent la bite de son fils effectuer des soubresauts sur son corps.

« Mais tu es insatiable ! Une vraie bête de sexe ma parole ! »

Pour toute réponse, Thomas se penche en avant jusquà se coller au corps de sa mère. Il lembrasse tendrement.

Cette douce chaleur irradie le corps de Mathilde qui se laisse bercer par le câlin de son fils.

Ses mains sont entrées dans la danse et elle ne tarde pas à ronronner de plaisir.

Thomas se glisse légèrement en arrière avant de pousser en avant. Le premier essai nest pas le bon. Sa bite glisse sur les fesses de sa mère.

La seconde fois, il glisse sa main gauche entre leurs deux corps et cette fois, sa bite retrouve le chemin emprunté par son copain.

« Tes vraiment un cochon ! Deux fois dans mon cul, à suivre !

— Mais tu adores ça, mon adorable salope ! Tu aimes être enculé, je le sais !

— Oui, jaime quand tu mencules ! Surtout quand tu es bien au fond et que tu me donnes des coups de bite ! Les sensations sont encore plus fortes ! Et puis aussi, quand tu vas et viens et que jai tes couilles qui me tapent les fesses comme des petits marteaux ! Et ton foutre qui me coule du cul ! Jai encore celui de tout à lheure et tu vas men remettre une bonne giclée ! Hummmmm ! Que cest bon davoir le cul rempli comme ça ! Et dire que sans toi, je naurais jamais connu ça !

— Hummm ! Ma putain damour ! Tu nes pas au bout de mes jeux, tu sais ! Je vais faire de toi une vraie grosse salope !

— Tout ce que tu veux mon amour ! Tant que je nai que du plaisir, tu peux faire tout ce que tu veux de moi !

— Je retiens ta phrase : je peux faire tout ce que je veux de toi si tu as du plaisir ! Je ten promets de belles !

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