C’est la bouche de Julia sur mon sexe qui me réveille. La petite cochonne a trouvé mon point faible. J’adore être stimulé de cette manière pour commencer la journée. Mon érection matinale ne lui facilite pas la tâche car je suis gros et dur mais elle s’applique si bien qu’en quelques minutes j’éjacule dans sa bouche. Elle avale tout avec délectation, en guise de petit-déjeuner. Elle se redresse. Je l’attire à moi et prends ses lèvres pour un baiser profond. Nos dents se heurtent, nos langues se mélangent. J’aime le goût de ma bite qui imprègne sa cavité buccale. Je le lui dis. Elle se serre contre moi pour montrer que ça lui fait plaisir. Elle murmure à mon oreille :

— Je t’aime Hervé. Je suis bien avec toi mais quelque chose me tracasse.

— Dis-moi !

— Lors de la réception, tu as baisé ma mère ? Tu n’as pas répondu à ma question lorsque je te l’ai posée.

— Oui je l’ai fait et depuis je la revois régulièrement. Tu es jalouse ?

— Oui mais, vu ta réponse, je sais maintenant qu’il faut que j’accepte que tu sois partagé entre elle et moi. C’est bien ça, je ne me trompe pas ?

— Non, je vous aime toutes les deux et je ne veux pas choisir.

— Elle est au courant que tu tronches sa fille ?

— Non et elle ne doit pas le savoir.

— Elle fait bien l’amour ? Mieux que moi ? On dit que les vieilles ont plus d’expérience.

— Non tu te trompes, ta mère n’a eu qu’un homme dans sa vie, ton père. Je suis son premier amant. Vous êtes toutes les deux au même stade sexuel : inexpérimentées. Vous avez beaucoup à apprendre de moi et vous êtes douées. Vous progressez très rapidement. Tu l’as d’ailleurs démontré cette nuit. Tu t’es faite démonter ta gorge, ta chatte et ton petit cul et tu as accepté. J’ai dû juste te punir ; et je le referais sans hésiter ; en te fouettant les seins et la chatte. J’ai l’impression d’ailleurs que tu as aimé. Je me trompe ?

— Non c’est dur, mais j’aimerais que tu recommences. Tu l’as fait à ma mère ?

— Pas encore mais ça ne saurait tarder.

— Je suis en avance sur elle alors ?

— Oui et pour l’instant elle n’a eu droit qu’à un seul homme. Je ne l’ai pas prêtée à mes copains. Toi tu as eu ce privilège. Et tu vas recommencer encore la nuit prochaine avant ton départ. On va te laisser reposer toute la journée pour que tu sois en forme pour de nouvelles expériences.

— Vous allez me reprendre tous les trois. Même Julien avec sa grosse bite ?

— Oui il faut que tu t’y habitues.

— C’est vrai qu’il me remplit bien mais je préfère la tienne. Vous allez me faire quoi de nouveau ?

— Ce sera la surprise… Allez ! Debout et à la douche !

Mes amis sont déjà partis. Ils doivent revenir ce soir pour une nouvelle nuit de débauche. J’emmène Julia au restaurant près d’ici. Tous les regards ; envieux des hommes, haineux des femmes ; se portent sur elle tellement elle est jolie.

Nous discutons de tout : de son départ en stage demain pour dix jours ; je vais lui manquer ; de notre relation amoureuse. Elle me prend la main, la serre. Ses yeux bleus profonds me fixent avec amour. Elle est vraiment accroc. Mon regard est plus cochon. Il est porté sur son décolleté, trop sage pour moi. Je le lui dis en des termes triviaux :

— J’aime beaucoup ta poitrine. Tu ne la fais pas assez voir. Tu vois à cet instant, j’aimerais beaucoup faire coulisser ma bite entre tes seins et t’inonder la figure de mon sperme.

— Tu n’es qu’un cochon libidineux. Tu me fais baver. Moi aussi j’adorerais mais difficile au restaurant devant tout le monde… Tu veux qu’on rentre, je te donnerai mon petit cul ?

— Je veux bien parce que là je bande grave.

Je règle l’addition et nous partons, main dans la main, jusqu’à ma maison. A peine le seuil franchi, nous nous jetons dans les bras l’un de l’autre et nous nous étreignons sans aucune retenue. Chacun se déshabille. En un temps record, nous somme nus. Je dirige Julia vers l’escalier tout proche et la penche sur les marches, son cul bien en évidence. Son anus est là, palpitant. Mon gland se pose sur sa rondelle et je l’encule d’une seule poussée. La tension est tellement forte que je jouis immédiatement et je la laisse inassouvie. Elle ne dit rien, se relève et me nettoie la bite comme elle le fait désormais, de peur probablement d’être fouettée.

Il est temps de préparer la soirée, un buffet campagnard. Julia m’aide dans cette tâche après que nous ayons pris une douche – sage – en prévision. Elle reste nue comme je lui ai demandé.

A vingt heures comme prévu, Julien et Marc débarquent. Ils embrassent Julia sur la bouche et en profitent pour lui peloter, qui les fesses, qui les seins. Ils ont l’air en forme. En aparté, ils me disent qu’ils sont contents que je les ai mis sur ce coup et que j’ai beaucoup de chance d’avoir dégotté cette perle du sexe.

Nous nous dirigeons vers le buffet. Marc voit un saucisson sur la table et dit :

— Pimenté avec du jus de femme ça doit être délicieux. Vous en pensez quoi ?

Nul besoin de réponse, Julia est immédiatement couchée sur la table, jambes écartées. Nous faisons quand même remarquer qu’il est bien gros et qu’on devrait au préalable lui élargir la chatte. Je prends la direction des opérations. C’est d’abord un doigt que j’introduis, suivi de deux autres. Elle ne mouille pas encore. Nous ne l’avons pas chauffée au préalable. Pour accélérer le processus Marc verse du champagne sur sa poitrine et, pour le boire, lui bouffe les seins. Julien se fait sucer.

J’ai besoin d’aide. Je prends la bombe de lubrifiant, je pulvérise l’intérieur de son con et m’en mets sur la main et l’avant-bras. Je fore son sexe pour bien lui distendre ses chairs intimes. Julia transpire, pousse de petits cris quand Julien lui en laisse le loisir. Je progresse, encore un effort et j’y suis, jusqu’au poignet. Mon intention n’est pas de la faire jouir mais d’enduire le saucisson. Je retire ma main que je remplace par celui-ci, enfariné. Il ressort nettoyé et luisant, tellement elle mouille.

— A table !

Nous rions tous les trois de cette bonne blague. Je renquille ma main dans la chatte de Julia car cette fois-ci j’ai décidé de la faire jouir. Je ne lui laisse aucun répit. Je la défonce à la vitesse d’un marteau-piqueur. Au bout de quelques minutes de ce traitement, son corps s’arc-boute et s’affaisse suite à l’orgasme d’une puissance inouï qu’elle vient d’avoir.

Julien veut profiter de l’élargissement de son con. Il la fait mettre debout et l’enconne par-devant. Ça rentre tout seul. Il lui demande de se suspendre à son cou et fait un signe à Marc. Celui-ci comprend vite, il se colle à Julia, lui empoigne les seins et finalement l’encule sans préparation, à sec. Elle pousse uniquement un petit cri, plus de surprise que de douleur. Son anus commence à s’habituer aux pénétrations violentes.

Ils la font monter et descendre sur leur vit. Sa tête ballotte dans tous les sens. Marc lui étire ses tétines et les tord. Elle crie. Julien la bâillonne avec sa bouche par un baiser vigoureux auquel elle répond activement.

— Le moins qu’on puisse dire c’est que c’est une bonne salope, dit Marc, je suis au fond de son cul et on sent qu’elle aime ça. T’en penses quoi Julia ?

— J’adore être doublement pénétrée. C’est bon vos queues qui me liment comme ça. Continuez c’est trop bon.

— On ne va pas s’en priver, rétorque Julien.

Mes deux compères, déjà en sueur, se déchaînent entraînant jouissance sur jouissance de la part de Julia. Ils sont tellement excités de baiser une gamine qui en veut autant qu’ils ne tardent pas à envoyer leur semence dans ses deux orifices.

Ils la déposent, l’entraînent vers le canapé où elle s’écroule, épuisée. Nous allons nous restaurer laissant Julia se reposer.

Marc me demande si, hormis hier soir après sa désobéissance, je la fouette et la fesse régulièrement. Je lui réponds que non, hier soir c’était la première fois.

— Tu devrais le faire plus souvent, sinon elle va t’échapper dès que tu relâcheras la pression. Ce genre de fille a besoin d’être dressée. Elle cherche l’autorité, pas la compassion.

— Oui mais là je n’ai pas de raison de la punir.

— Si elle ne nous a pas nettoyé après que nous ayons fini. Tu as de quoi l’attacher bras en l’air ?

— Oui dans la pièce de loisirs en bas.

— Alors allons-y. On la réveille et on la travaille au fouet et au paddle.

Ni une, ni deux, on l’amène dans la salle aménagée en auditorium. Elle semble surprise. Elle se demande ce qui va lui arriver.

— Tu vas en baver ma belle, lui dit Julien. Tu es punie !

— Mais je n’ai rien fait.

— C’est justement ce que l’on te reproche. Tu as oublié de nettoyer nos sexes après qu’on ait fini.

— J’étais fatiguée.

— Ça n’est pas une excuse.

— Vous allez me fouetter comme hier au soir.

— Oui mais là tes fesses vont prendre aussi.

On l’attache les mains en l’air à une poutre au plafond. Je lui ferme la bouche avec du sparadrap. Son corps suspendu est maintenu en extension. Ses pieds sont à peine posés sur le sol. Ce qui permet de la faire tourner à loisir. Ses seins bien dressés, pointent vers nous. Marc et Julien se munissent d’un fouet et moi d’un paddle. Je lui claque sèchement une fesse, puis l’autre. Je la vois tressauter sous les coups. Ses fesses deviennent rouge. Ses cris sont étouffés par l’adhésif sur ses lèvres. Ses yeux se remplissent de larmes. Je redouble mes coups et m’arrête après en avoir compté cinq sur chaque partie de son popotin.

Marc et Julien se mettent alors à la fouetter en évitant son visage mais en privilégiant ses seins, sa chatte et son cul. Leur travail est facilité par le tournoiement du corps suspendu de Julia. Elle prend au moins vingt coups de suite. On voit qu’elle souffre, rien qu’aux larmes qui ruissellent le long de son visage. Des zébrures couvrent sa peau mais n’ont pas entamé sa chair. Je passe ma main sur et dans sa chatte. Elle est tellement trempée qu’il y a une flaque de mouille sur le sol. Je suis sûr qu’elle a joui.

La séance a particulièrement émoustillé mes compères. Ils décident de la reprendre en sandwich alors qu’elle est encore suspendue. Ils vont la « massacrer » pendant encore vingt bonnes minutes tellement ils sont endurants, changeant de trous régulièrement. Ils ne pensent qu’à leur plaisir jusqu’au moment où ils finissent de concert, terminant son supplice.

On la libère de toute entrave.

Elle a juste une phrase en se tournant vers moi : « Je t’aime. » Je la prends dans mes bras et la porte dans ma chambre en lui répétant plusieurs fois que je l’aime aussi. Je la dépose sur le lit, la couvre. Elle s’endort immédiatement, recrue de fatigue.

Il est près de deux heures du matin quand mes amis quittent la maison, repus de sexe, après m’avoir encore félicité d’être tombé sur un tel numéro. Je leur dis alors :

— Vous avez connu la fille, dans quelques jours vous allez connaître la mère. Elle est seule pendant dix jours, son mari part en voyage et sa fille sera en stage. Vous allez voir, c’est une furie. Attention ! Elle ne sait pas que je baise sa fille… Je vous contacte.

Une fois partis, je vais me coucher et rejoindre Julia dans mon lit. Depuis notre retour du restaurant où je l’ai sodomisée, je nai plus joui en elle. Elle a rejeté la couette au pied du lit. Elle est là, abandonnée, fragile dans son innocence, allongée sur le dos les jambes écartées, son pubis et ses seins zébrés par les coups de fouet reçues. Elle est belle malgré le rimmel qui a coulé de ses yeux.

Je me penche sur elle et je lui baise les lèvres avec tendresse. Je fais courir ma bouche sur sa peau et je lèche ses blessures comme pour atténuer les dégâts qu’elle a subis. J’insiste sur ses seins en suçant ses tétons. Elle gémit dans son sommeil mais ne se réveille pas. Je fais basculer mon corps sur le sien. Je la désire tellement que mon sexe me fait mal tellement il est dur. Mon vit, aux contacts de ses petites lèvres, écarte ses chairs meurtries pas les coups et les assauts multiples qu’elle a supportés. Je sens une petite résistance que je vaincs sans problème. Sa chatte m’accepte au même moment où, pleinement réveillée, elle me prend dans ses bras.

— Oh oui mon chéri, j’ai très envie de toi, mais tout en moi est meurtrie. Prends-moi doucement s’il te plaît. Je te veux malgré ça.

Je la regarde avec tendresse. Je lui baise les yeux, le nez, les oreilles et je continue ma progression en elle, attentif à son plaisir naissant. Son vagin contracte ma verge et son gland turgescent. A peine quelques allers et retours, elle pousse un cri, plante ses ongles dans mon dos, me mord les lèvres et s’écroule envahit par un orgasme fantastique qui précipite le mien. Ma semence inonde ses parois intimes. Je suis libéré de la tension qui m’animait. Encore une fois, nous avons joui ensemble. Des sanglots l’envahissent alors. Je lui demande pourquoi ?

— Tu me rends tellement heureuse que ça me fait pleurer. Je n’ai plus envie de partir pendant dix jours loin de toi. D’autant que je suis certain maintenant que tu vas en profiter pour baiser ma mère. Je me trompe ?

— Non ! Je lui ai réservé un programme plus dur que le tien.

— Tu me raconteras ?

— Mieux je te montrerai le film de ses ébats. Je vais mettre des caméras partout et tu verras comme elle se révèlera cochonne. A propos de ta mère, il est temps que tu rentres chez toi car tes parents reviennent de leur voyage dans quelques heures.

— Oui je prends une douche et je file.

Après un dernier baiser, Julia est rentrée chez elle. Dans l’après-midi ses parents reviennent.

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