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Une maman surprenante – Chapitre 2




Après une nuit de sommeil nous nous sommes réveillés presque en même temps. Maman me regardait en me caressant les cheveux et entamait un discours sérieux sur les relations interdites une mère fils et surtout de ce qui s’était passé entre nous la veille. Elle me faisait comprendre que je ne devais dévoiler à personne ce qui venait de se passer entre nous. Comprenant la situation je lui faisais une promesse solennelle. Elle me confiait alors ne rien regretter de cette nuit de folie et qu’elle était soulagée que j’avais découvert son armoire secrète. D’ailleurs depuis ce jour-là ce meuble n’était plus fermé à clef. Nous nous sommes levés pour prendre notre petit-déjeuner et ensuite une douche ensemble à la demande de maman. Bien sûr l’excitation était présente et les caresses de l’éponge n’ont fait qu’augmenter notre désir de faire l’amour. Elle était appuyée contre la paroi, sa croupe bien offerte, je glissais mon sexe vers ce magnifique fessier pour m’introduire dans sa grotte d’amour.

Elle m’encourageait dans un langage un peu cru et me suppliait de la prendre sauvagement. Bien accroché à ses hanches je la pénétrais vigoureusement. Elle ne tardait pas à jouir, je ressentais les contractions de sa vulve et à mon tour je lâchais ma semence dans le ventre de ma génitrice. Cette première relation interdite s’était passée lors de vacances scolaires, je pouvais m’adonner à mes fantasmes naissants sans limite mais avant de partir pour son magasin ma mère m’autorisait à disposer de tous ses accessoires sexuels, de sa lingerie, de ses vêtements et de ses chaussures. Avec cette bénédiction maternelle je profitais pleinement, je me travestissais et je circulais ainsi dans la maison en alternant les séances de masturbation et de sodomie. Un jour je n’ai pas entendu ma mère rentrer, elle me surprenait dans sa chambre en lingerie avec un gode planté dans mon anus. Elle n’était pas surprise de me trouver ainsi et elle me complimentait sur la lingerie que je portais. Elle s’approchait de moi, empoignait le gode et le faisait coulisser d’une main agile mais ferme.

Son langage se vulgarisait, elle me traitait de vicieuse, de salope, de petite chienne en chaleur. Tout ce langage et le gode dans le cul me déclenchaient une énorme éjaculation. Elle empoignait mon phallus et dirigeait les jets de sperme vers le lit. Elle me retirait le gode de ma chatte anale pour y mettre à la place un plug que je devais garder jusqu’au soir. Elle ôtait ses vêtements et plaçait le gode encore lubrifié dans son anus et m’ordonnait de lui lécher la chatte. A peine ma langue au contact de son bouton que maman jouissait. Sa mouille coulait en abondance sur mon visage et dans la bouche, je me délectais de ce jus pendant qu’elle coulissait le gode dans son anus. Elle se positionnait à quatre pattes sur le lit, retirait le gode de sa rondelle dilatée et m’invitait à y mettre mon sexe. Placé derrière maman je glissais avec aisance mon chibre dans cet orifice accueillant et je commençais quelques va-et-vient. Le plaisir était très intense pour nous deux, elle contractait son sphincter, je sentais mon sexe emprisonné dans son ventre.

J’essayais de tenir le plus longtemps possible, mais avec le Plug bien enfoncé dans mon rectum cela était quasiment impossible, j’éjaculais et envoyais une énorme quantité de foutre dans ses entrailles. Ma mère jouissait violemment, elle fut prise de spasmes et je sentais son ventre se contracter sous la pression de mon étreinte. Elle se laissait tomber sur le lit, collé à elle je la suivais et je me retrouvais allongé sur son dos la queue bien plantée en elle, elle suppliait de ne pas me retirer et nous sommes restés collés un très long moment à savourer ce moment intense que nous venions de vivre.

Depuis ce jour je devenais l’amant de ma mère et son jouet sexuel: ma mère était accro au sexe et j’avais hérité de ses gènes, au fond de moi je la remerciais.

Quelques règles avaient été établies entre nous. Je pouvais disposer en totalité de sa garde-robe, de son maquillage et bien sûr des accessoires destinés au plaisir charnel. Le soir et le week-end maman aimait que je me travestisse et que nous nous comportions comme des vicieuses. Elle m’avouait aussi aimer être dominée et que je pouvais utiliser les accessoires BDSM qui se trouvaient dans l’armoire.

C’était le début d’une nouvelle vie… et d’autres récits…

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