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Une histoire folle – Chapitre 4




Je serrais Vanessa dans mes bras, tout contre moi ; j’étais toute pantelante. À genoux, nous nous faisions face. Elle m’embrassa passionnément et, petit a petit, je repris mes esprits et lui effleurai doucement les seins du bout des doigts. Toujours à genoux sur le lit, face à face, nous nous tenions par les mains, nous nous embrassions goulûment ; et même si je venais de jouir, mon corps était toujours aussi excité. Pour la première fois de ma vie, j’aimais une femme ; mais pas n’importe laquelle, s’il vous plaît !

Tout en nous embrassant, nous jetions des coups d’il coquins en direction de mon père afin de voir ses réactions. Il se contentait de nous regarder nous aimer, tout simplement, mais sa grosse queue, toujours droite et encore brillante de la mouille de Vanessa indiquait que cela lui plaisait beaucoup. Moi, je continuais à jouer avec les seins de ma copine, du bout des doigts, passant sur les mamelons, agaçant les tétons qui bandaient. Je les lui pinçai entre le pouce et l’index, ce qui lui arracha un petit cri, étouffé par notre baiser langoureux, torride ou bien sauvage selon notre désir. J’arrêtai nos baisers, descendis du lit, et la plaçai doucement afin qu’elle puisse être face à mon père.

Toujours à genoux sur le lit, les cuisses écartées, elle était magnifique avec ses petits seins qui pointaient, son ventre plat et son physique diabolique. Je remontai sur le lit et me plaçai derrière elle. D’une main, je repris les caresses sur chacun de ses seins, avec la même délicatesse, et de l’autre main je descendis doucement sur son ventre chaud. Sa respiration était saccadée ; ses mains prirent possession de mon visage pour nous embrasser tendrement. Ma main descendit encore pour arriver à la rencontre d’un pubis doux comme une peau de bébé. Elle prenait vraiment soin d’elle, ça se voyait, puis je finis par rencontrer sa chatte dégoulinante de plaisir. Elle gémit doucement à ce contact, et j’entrepris alors de la caresser tendrement, amoureusement. Car oui, je crois que je tombais également amoureuse de mon amie d’enfance. Ses gémissements étaient plaintifs, doux à l’oreille, étouffés par nos baisers, et m’invitaient à continuer mes caresses. Je la regardai doucement : ses yeux étaient mi-clos, sa bouche entrouverte. Je pensai que mes premières caresses lesbiennes faisaient leur effet, j’étais contente de moi. J’approchai ma bouche de son oreille :

Tu aimes, ma chérie ? lui murmurai-je doucement.

Oui, souffla-t-elle péniblement. Tu es très douée…

J’exhibais Vanessa sans retenue à mon père qui avait quitté son siège pour se rapprocher de nous afin d’avoir un meilleur angle de vue du show lesbien qui lui était offert. Je le regardai alors d’un air vraiment vicieux.

Regarde un peu comme elle prend son pied ; regarde comme elle coule… lui dis-je doucement.

Vanessa n’était pas inactive : elle me caressait les fesses. Deux de mes doigts écartèrent ses lèvres vaginales et un troisième se mit à lui caresser le clito, tout dur et trempé de son huile intime. Tout à coup, elle trembla, hoqueta et se plaqua contre moi. Je lui léchai doucement le cou tout en continuant à regarder notre mateur adoré avec un air pervers ; elle se raidit dans un râle rauque, annonçant son délicieux orgasme qui trempa mes doigts. Je venais de faire jouir mon amie ! Et que ce soit mon père, Vanessa ou moi, tous les trois savions désormais que plus rien ne serait jamais comme avant.

Je laissai Vanessa s’allonger sur le lit afin qu’elle puisse reprendre ses esprits ; moi, je me délectais de son jus sur mes doigts. Je me levai pour embrasser mon père. Pendant que nous nous embrassions, ma main prit sa queue et commença doucement à la branler. Rapidement, notre baiser s’arrêta et je m’agenouillai devant lui. Ma langue lécha chaque centimètre carré de sa grosse queue chaude et dure qui avait le goût de Vanessa : rien d’étonnant, vu la façon dont il lavait prise tout à l’heure. Je m’attardai sur le gland violacé tout en le regardant amoureusement, ce qui ne manqua pas de lui plaire. Ma bouche l’accueillit et je le pompai délicatement, le sentant me caresser les cheveux. Je m’appliquais du mieux que je pouvais pour le sucer, le lécher tendrement, interrompant parfois ma fellation afin de lécher ou de gober complètement ses couilles, que je m’amusais à lécher simultanément.

Je vis Vanessa s’agenouiller à côté de moi, et ensemble nous nous sommes mises à lécher le membre de tout son long en faisant les mêmes mouvements simultanément avec nos langues. Mon père appréciait, nous guidant avec des caresses sur les cheveux. Quand je le suçais, elle lui léchait les couilles. Quand elle le suçait, elle n’y allait pas de main morte car elle avalait toute la queue de mon père jusqu’aux couilles ; j’étais impressionnée : j’avais une pratiquante de la gorge profonde juste sous mes yeux. Elle gardait le membre dans sa gorge tandis que je m’appliquais à manger les couilles de mon père. Vanessa faisait sortir sa langue et moi la mienne, qui se rencontrèrent à nouveau.

Oh, les filles, vous êtes trop bonnes ; vous me faites la pipe de ma vie ! articula-t-il péniblement, emporté par le plaisir que lui procuraient deux bouches gourmandes comme les nôtres.

Vanessa et moi arrêtâmes alors notre fellation, ne voulant pas que cela se termine si vite, et nous échangeâmes un nouveau baiser.

Vous êtes merveilleuses, les filles, dit-il en laissant retomber un peu la sauce. Ma chérie, allonge-toi sur le lit ; et Vanessa, ma puce, mets-toi sur elle : je veux vous prendre l’une après l’autre.

Nous obéîmes. Je montai sur le lit, m’allongeai sur le dos, cuisses écartées et genoux repliés, et Vanessa me rejoignit. Elle se plaça au-dessus de moi, me faisant face, et bloqua mes jambes avec les siennes. Je l’enserrai alors avec mes cuisses. Mon père entra sans problèmes en moi et commença ses va-et-vient. Il me remplissait ; c’était délicieux ! Sa queue coulissait en moi avec une grande facilité, me procurant des sensations incroyables. J’enlaçai mon amante dans mes bras pour l’embrasser passionnément, puis elle se redressa, tourna la tête et embrassa mon père à son tour, ce qui l’excita encore plus puisqu’il accéléra ses mouvements. Il agrippa les seins de Vanessa qu’il malaxa sans le moindre ménagement. Mon père devait être vraiment très excité par ce qu’il avait vu, puisqu’il se vida complètement de sa semence brûlante dans ma chatte dans un râle profond qui a duré pendant toute son éjaculation.

Ne bouge pas, ma puce, me dit-il. Et toi, tu es prête ? demanda-t-il à Vanessa.

Oui, répondit-elle.

Il se retira rapidement de moi, et sans que je comprenne ce qui se passait, Vanessa descendit du lit, plongea sa tête entre mes cuisses, plaqua sa bouche contre ma fente et pressa un peu mon ventre avec ses mains pour en faire sortir tout le sperme de mon père qu’elle recueillit avec une grande délectation. Certaine qu’elle n’en avait pas laissé la moindre goutte, je pensais qu’elle avait tout avalé, mais j’ai rapidement su que je me trompais étant donné qu’elle me fit ouvrir doucement la bouche afin d’y déverser tout le sperme qu’elle avait récupéré. Le nectar nacré de mon père était toujours aussi délicieux, avec un petit goût salé qui n’était pas déplaisant. Vanessa et moi échangeâmes alors un long et délicieux baiser au sperme dont nous avalions chacune notre part. Mon père, lui, n’avait sûrement pas dit son dernier mot car il bandait toujours autant. Vanessa s’approcha de mon oreille :

Dis-moi, ma chérie, j’ai envie qu’on se mange mutuellement ; pas toi ?

Je ne pouvais qu’accepter, évidemment. Nous nous plaçâmes de manière à ce que Vanessa soit au-dessus de mon visage, sa petite chatte en direction de mon père. Elle commença immédiatement les "hostilités" en plongeant sa tête entre mes cuisses, non seulement pour me dévorer, mais aussi pour finir de boire les dernières perles de sperme qui suintaient de ma chatte. J’avais l’impression de devenir une nymphomane, mais je voulais lui montrer que moi aussi j’avais du répondant en dégustant son clito, alternant avec l’entrée de sa petite grotte d’amour.

Mon père nous observait nous manger la chatte dans un concert de gémissements, et quand je léchais le clito, je le regardais bien, comme pour l’exciter davantage. J’écartai les lèvres de Vanessa afin d’y récolter le plus de jus possible. Ma partenaire, de son côté, léchait divinement bien ; j’étais vraiment aux anges, et c’était si bon que j’avais de plus en plus de mal à me concentrer sur mes caresses. Mon père tournait autour de nous afin de nous voir nous dévorer mutuellement. Je sentis que Vanessa arrêtait ses caresses : je compris qu’elle lui faisait une pipe. Mon père se plaça rapidement derrière elle, plaça son membre à l’entrée de sa chatte, prit les hanches de Vanessa entre ses mains puissantes et la pénétra sans vergogne, lui arrachant un cri de surprise mélangé de plaisir.

Je voyais la queue de mon père faire des va-et-vient dans une jolie chatte trempée, et je trouvais ça fascinant. Mon père retira sa queue de la chatte baveuse de Vanessa pour la mettre dans ma bouche. Vu que ma tête était à l’envers, sa queue pénétra un peu plus profondément. Elle atteignit ma gorge sans grosse difficulté. Comme je suffoquais, il se retira de ma bouche mais je léchai sa queue couverte de bave et de mouille. Il se remit alors à l’intérieur de Vanessa, qu’il baisa sauvagement. Mon père alterna entre nous plusieurs fois. Prise avec autant de force, elle prenait tellement de plaisir qu’elle avait de plus en plus de mal à se concentrer sur ses caresses buccales. Je me détachai alors d’elle et me plaçai à ses côtés, lui pétrissant les seins, la caressant son oeillet brun et l’embrassant pour accentuer son plaisir.

Elle était prise avec force, puissance ; j’en étais presque jalouse. Je me mis derrière mon père pour caresser ses couilles qui cognaient avec force contre le clito de Vanessa qui criait de plus en plus. Il sortit de sa partenaire et s’allongea sur le dos. Vanessa s’empala immédiatement sur lui et elle le chevaucha comme une vraie déesse, leurs hanches bougeant à l’unisson. Je décidai de m’asseoir sur le visage de mon père afin qu’il me mange la chatte et me mis en face de Vanessa qui se perdait dans un océan de bonheur. Elle fermait les yeux, son visage était crispé par le plaisir, et mon père me dégustait, me buvait ; c’était royal ! Nous étions plongés dans l’extase sexuelle plus total lorsque je me mis à feuler de bonheur. Mon dernier orgasme me secoua, suivi rapidement par Vanessa, qui visiblement était arrivée à bout. Totalement épuisée, elle quitta la queue de mon père, et moi sa bouche.

Nous embrassâmes tendrement mon père pour le remercier du plaisir qu’il venait de nous procurer.

Lève toi, papa, s’il te plaît, lui demandai-je en souriant.

Entendu.

Il se leva du lit, se mit debout, et je pris sa queue que j’emprisonnai entre mes seins ; elle était bien bloquée. J’entamai une branlette espagnole et Vanessa lui titilla simultanément le prépuce du bout de la langue, tout à fait ce qu’il fallait pour finir en apothéose.

Oh merde, ma puce, tes seins sont si moelleux, si doux… Et toi, ma chérie, ta langue est si experte… gémit-il doucement. Vous êtes de vraies reines !

Je continuais tendrement mes va-et-vient lorsque je sentis sa queue vibrer. Il accompagna mes caresses avec des mouvements de bassin.

Oh, meeeeeeeerde, ne t’arrête plus ma chériiiie ! hurla-t-il presque.

Il tremblait ; ça y était : il était au point de non-retour. Et vu sa façon de me le dire, ça allait être explosif ! Vanessa retira sa langue, et quelques secondes plus tard mon père râla et cria en éjaculant sur mon visage plusieurs généreuses giclées de sperme chaud qui me zébrèrent le visage et les seins. Vanessa suçota les dernières gouttes de sperme, qu’elle avala égoïstement. Mon père, épuisé, se laissa tomber sur le lit, puis elle vint me nettoyer scrupuleusement avec sa langue et sa bouche. Elle me lécha le visage comme un petit chien. Nous échangeâmes une dernière fois ce sperme délicieux dans un somptueux baiser crémeux, et nous nous sommes allongées afin de goûter à une nuit de repos bien méritée.

Nous formions maintenant un triangle amoureux idéal.

Quelle nuit fantastique et orgasmique… J’en voulais encore !

Une suite ?

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