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Le comte Mandrake – Chapitre 1




Ce soir-là, Julianne Morroni était particulièrement en beauté, elle devait dire. La robe en satin crêpé pourpre plutôt courte faisait paraître sa peau soyeuse d’une éclatante blancheur. Elle devait sembler délicate et fragile. Ses longs cheveux châtains avaient été remontés en un chignon sophistiqué, duquel retombaient quelques mèches habilement ondulées. Cette coiffure mettait en valeur la grâce de son long cou fin, la poitrine certes menue, était redressée comme jamais dans un bustier fort décolleté. Pour le reste, tout était en simplicité. Collier de perles et boucles d’oreilles assorties,

chaussures élégantes, mais discrètes… Néanmoins, Elle croit que la grandeur et la finesse de son corps svelte attiraient l’attention non seulement des hommes, mais aussi celle des femmes. Oh, elle n’était peut-être pas la plus belle femme de cette soirée, mais Julianne Morroni ne laissais personne indifférent.

La salle de bal était décoré de somptuex bouquets, Julianne contempla avec ravissement les roses, les lys et les pivoines, dont les parfums subtils s?entremêlaient et embaumeient la vaste pièce. Au centre de laquelle plusieurs danseurs virevoltaient déjà. Le diner avait été merveilleux et elle passait une soirée fort agréable. Tous les hommes présents s?étaient montrés avec elle d?une courtoisie exquise et pas un seul n?avait omis de lui adresser un compliment sur son charme et son élègance, les lignes soucieuses qui, quelques jours auparavant, barraient encore sont front avaient disparu.

Son visage était radieux et elle paraissait dans tout l?éclat de sa beauté, lorsque le comte vint l?inviter. Un ami lui l’avait présenté et ce fut ainsi qu?elle fîme connaissance. Elle affichait un large sourire. Julianne Morroni put admirer ses yeux noirs d’une profondeur troublante, et pénétrant et curieux, souvent illuminé par sa joie de vivre et sa spontanéité. Il avait des cheveux noirs très courts et un teint légèrement basané. Sa mâchoire carrée lui paraissait très virile. Il se présenta avec un large sourire invitant ; dès ce premier regard, elle eut le goût de le baiser.

?trangement, elle ne souhaitait point de grande romance, rien qu’une belle aventure sans conséquence. À voir ses yeux briller de désir, Julianne comprit tout de suite qu’il voulait la même chose qu?elle.

— Ma belle, tu vas vivre la nuit la plus excitante de ta vie, remplie de mystère et de beauté……..

Ils glisèrent greacieusement sur la piste de danse, au rythme d?une valse lente et romantique. Puis que la valse terminée, le comte se pencha vers Julianne et lui murmura à l?oreille :

— J?ai quelque chose à vous montrer. Je suis certain que ce que je veux vous faire découvrir à present vous enchantera.

Il l?entraîna le long d?un vaste corridor et lui fit traverser de nombreux couloir, le comte Mandracke ouvrit la porte et Juliane possa une exclamation, où se mêlaient la joie et la surprise. Le lieu a été complétement transporté en une sorte de palais des glaces miniatures, des grands mirois, semblabe à ceux que l?on trouve les portes des armoires modernes, tapissent entièrement les murs, le sol et le plafond de cette pièce, leurs images étaient renvoyées sous plus d?une quinzaine d?angles

différents. Julianne a impression d[ avoir atterri dans décor futuriste, à la fois irréel, amusant et intrigant.

Elle s?amuse à faire quelques grimaces et elle constate que les mirois ont été savament orientés pour se permettre de se voir simultanément de face, de profil, de desoous, et de dessus. Le comte la regarde jouer puis, passe derrière elle, se fraye un chemin entre ses cheveux et dépose un baiser voluptueux contre sa nuque, instantanément son corps se couvre de frisson,

la bouche de comte s?acharne dans son cou, et remonte pour mordiler le lobe de son oreille droite et replonge jusqu?a nuque. Julianne se tortille sous l?effet du souffle chaud, des titillements de la langue et des succions de la bouche coquine et elle lutte pour ne pas fermer les yeux et laisser ainsi emporter pleinement par ces délices de sensualité.

Les mains chaudes et douces de son amant, parviennent rapidement à se glisser sous le tissu de ses vêtements pour entrer en contact direct avec sa peau. Elle voudrait bouger, mais reste là, soumise et excitée par cette eshibition involontaire. Sa volonté est totalement annihilée par le désir sexuel que montre son ventre. Elle était soumis à ses désirs; tel un chat

jouant avec sa proie. Il glisse ses doigts sous sa culotte qu?il écarte avec soin. Il caresse ses lèvres qui sont maintenant bien humides et qui semblent aspirer ses doigts, ses langues se mêlent en un baiser torride. Puis dans un murmure elle lui demande de la suivre, elle lui regarde, et laisse tomber sa robe au sol, il la voit alors nue pour la première foi, et ses lourds seins, avec ses tetons tendus, le font bander comme jamais. Son regard s’arrête sur sa poitrine généreuse.

……elle ne resiste plus :

— Je veux que tu me prennes, que tu me baises, que tu m?enfiles, que tu m?encules, que tu me pilonnes de ton gros dard violacé.

Puis la main de Julianne se pose sur son sexe lui arrachant un soupir sudain de surprise, sensations inconnus, la main la caressa doucement tandis que l?autre lui petrissaient les seins, maintenant plus fermement. Julianne se laissa aller complétement.

— Je vais te faire bander ! Je vais te faire sucer ! Je vais le lécher les couilles et je ferais bien. Tu peux me faire ce que tu veux, m?enculer pendant heures, me fourrer de bite dans tous mes trous……………

Alors une chose douce et pleine se posa dans sa main, un instant d?hésitation l?homme lui indiqua gentiment comment à branler une bite d?homme.

Elle contemple un instant, d’un regard admiratif, la bite dressée et si tendue qu’elle en vibre, elle la trouve incroyablement dure, et quel étonnement de sentir dans sa main le sexe changer de consistance, de forme et de raideur.

Elle l?enfourna alors sans hésitations et commença à faire des allers-retours la bite entre ses lèvres. Julianne était désolée que sa bouche ne puisse accuellir qu?à peine la moitié de cette grosse queue bien tendue. Elle suce goulûment en donnant des coups de langue furtifs sur son gland mouillé. De ses mains, elle fait des allers-retours à une cadence infernale. Elle le frictionne les bourses pour accompagner sa fellation.

— Ohhh ! Vous êtes formidables ! Toute la bite ! Tu m’avales toute la bite ! C’est si bon…………… Tu vas me faire jouir salope ! C’est bon, Julianne !!!

Alors, elle lèche ses testicules. Ses lèvres remontent le long de sa verge, dont elle perçoit le tressaillement annonciateur d’un nouveau jet. Vorace, elle engloutit ce membre pour le recevoir au fond de sa gorge, pour la dernière fois de la soirée. Déjà moins abondant, plus liquide, et moins savoureux, c’est dans ses entrailles qu’elle recevra maintenant son amant puisque, comme prévu, le phallus reste fièrement dressé, indépendant de la volonté de son maître mais soumit aux désirs de sa maîtresse. Julianne vient à côté du comte, saisit sa queue d’une main et la branle doucement. Elle sent sa liqueur imbibée sa chatte.Elle serre fort la bite tant elle en a envie. Elle s’installe de part et d’autre d’une jambe de son amant et, tout en l’embrassant à pleine bouche, elle frotte sa vulve sur la cuisse de lui, l’engluant carrément. Elle finit par monter sur lui, elle est tellement échauffée qu’elle veut être baisée à tout prix. Elle tient la queue raide, la frotte sur sa fente. Et, brutalement, elle s’empale en poussant un cri, tant son plaisir est grand. Elle s’est emmanchée à fond et, déjà, elle l’entraîne dans une cavalcade, elle se donne entièrement, jetant aux orties toute dignité de femme excitée. Le Mandrake apprécie d’être chevauchée par une telle cavalière. Il n’aurait jamais imaginé baiser une telle femme. Il la laisse faire, prenant garde à ne pas jouir, ayant une autre idée en tête. Pendant qu’elle s’empale, il saisit ses fesses, les écarte, les malaxe et chatouille d’un doigt mouillé le petit trou. Il l’enfonce doucement et le fait aller et venir au même rythme que Julianne lui impose. Elle gémit soudain plus fort et elle est saisie par un orgasme dévastateur, qui la laisse pantelante

quelques secondes.

— Aahh ! Tu me fais jouir ! C’est bon ! Ouuiiii !

Le Mandrake se lève alors et, debout, il lui présente sa bite toujours raide. Julianne l’avale d’un trait, jusqu’à ce que son nez bute sur le pubis du jeune mâle. Elle le suce comme une friandise. Elle ne se reconnaît pas.

— Mets-toi à quatre pattes ! lui demande t’il.

Il s’agenouille derrière elle et glisse un doigt dans son petit trou. Il l’enfonce vite à fond, puis il en met un second. Julianne a une petite grimace, mais elle le laisse faire et les deux doigts la pénètrent vite à fond. Il les retire, guide son gland dans la raie et le glisse sur son anus entrouvert. Il pousse doucement, à petits coups. Le fin anneau cède le

passage peu à peu, il s’assouplit bien qu?elle soit crispée par l’appréhension. Julianne pousse un cri en sentant le gland franchir l’obstacle de son sphincter. Elle grimace, mais serre les dents et ne se dérobe pas. Toujours en petites poussées, le comte l’emmanche et il l’encule enfin jusqu’aux couilles.

— J’adore ça ! Ton cul est tellement serré !

Elle a un peu mal, son rectum lui paraît être en feu, elle a la sensation d’une énorme présence dans ses reins, elle exprime le plaisir qu’elle ressent

— Oui, comme ça ! Plus loin, plus fort ! Dans mon cul..

L` homme commence à la sodomiser, retirant son manche à chaque fois un peu plus. Il voit s?amante gémir de douleur et il a la présence d’esprit de glisser une main sur sa chatte. Julianne s’habitue de mieux en mieux à la grosse présence dans ses reins et, bien qu’il l’encule avec vigueur, elle entreprend de petits mouvements de va-et-vients. La jolie femelle est secouée de longs frissons. Le Mandrake a l’impression de lui remplir le trou du cul, à le lui faire éclater.

— Oui salaud ! Encule-moi ! Défonce-moi le cul ! Plante-moi ta grosse bite dans le cul ! Oui, comme ça ! Plus fort ! Plus loin ! ’. Maryline se tord, elle rue afin de mieux sentir la queue au fond de ses intestins.

Son sperme n’en finit pas de gicler arrosant les boyaux de la belle femme.

La tête de Maryline est sans dessus dessous, elle jouit comme une démente.

Complètement vidée, je me laissai retomber sur son amant aux yeux noirs.

D’ailleurs, tout le monde était exténué.un immense sourire de satisfaction illuminant son visage. Quelle nuit endiablée elle avait vécue… Julianne allait en fantasmer longtemps de cette expérience !

Fin

Ici, S?o Paulo – Brésil  ?crivez-moi [email protected]

Ivan Ribeiro Lagos

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