Chapitre 1: La découverte
Je m’appelle Steve et j’ai 18 ans, je suis en couple avec josée une fille de deux ans plus jeune que moi. Une belle brunette avec une belle paire de seins à remplir les mains et un fort joli cul. Nous sommes en couple depuis 1 an, j’ai été le premier homme qu’elle a connu et elle a vite été accroc au sexe, je lui ai vite fait découvrir les joies du cul et elle en redemandait souvent, bref, nous avions une vie sexuelle très active. Depuis quelques semaines elle s’est dénicher son premier emploi comme serveuse dans un petit restaurant, malheureusement, elle travaille de soir alors nous nous voyions moins souvent. Notre vie de couple s’est légèrement dégradé et les parties de baises étaient moins fréquentes. Je commençais même à la trouver un peu distante. Lors de nos rares parties de jambes en l’air elle semblait blasée, voir peu convaincante.
Je commençais même à douter de quelques infidélités de sa part mais malgré tout, nous étions encore ensemble.
Mes doutes commençaient à s’aggraver lorsqu’elle revenait du travail tard le soir et recevait des appels fréquents de son patron pour aller travailler un peu à n’importe quelle heure de la journée. Je ne pouvais malheureusement pas prouver son infidélité mais cette idée trottait dans ma tête. Je rencontra son patron un vendredi en allant la chercher après son travail et mes craintes se dissipèrent aussitôt, un homme fin cinquantaine, pas très joli, légèrement ventru et un peu rustre se présenta à moi, il était sympathique avec moi mais semblait traiter ses employés comme des moins que rien et déshabillait ses jeunes serveuses du regard, surtout ma belle, qui ne se s’était jamais plaint de son supérieur à moi.
Vînt le temps des fêtes, notre situation amoureuse ne s’était pas vraiment améliorer mais nous nous fréquentions encore, son patron avait organiser un party de noël et je l’accompagnai malgré qu’elle ait tenter de me convaincre de rester à la maison de peur de m’ennuyer. Elle était vêtu d’une chemise noire décolletée, une jupe lui arrivant quasiment à la hauteur des fesses et elle avait attacher ses cheveux en queue de cheval, je ne put m’empêcher de la peloter un peu tellement elle m’allumait mais elle repoussa mes avances froidement me disant que ça nous retarderait. La ballade en voiture fut sans
conversation, étant de mauvaise humeur chacun de notre côté.
En arrivant au vestiaire son patron nous salua gaiement, son haleine empestait déjà l’alcool, il fit la bise à ma douce la complimentant sur ses choix vestimentaire m’oubliant quasiment. Il me serra la pince en m’offrant un verre pendant que Josée allait discuter avec des collègues, il me dit que j’étais l’homme le mieux accompagné de cette soirée, j’essayais de retrouver ma bonne humeur noyant ma colère dans l’alcool que son patron me fournissait à volonté. Il me servait des verres de plus en plus alcoolisés et je dut arrêter un peu car la tête commençait à me tourner, je retrouva ma compagne qui semblait elle aussi avoir un peu bu, riant des blagues ennuyant-es de son patron, je lui dit que j’allais faire un tour aux toilettes et fumer une cigarette mais elle semblait m’avoir déjà oublier. J’entrai aux toilettes uriner et me maudissait de m’être déplacer à cette fête que je trouvais ennuyeuse, je ne connaissais personne à part son patron qui n’avait d’attention que pour Josée. En sortant des toilettes je scruta rapidement la salle du restaurant pour m’apercevoir que Josée était seule à discuter avec son patron dans un petit coin discret, les deux semblaient très proche l’un de l’autre mais je ne m’attarda pas à eux et sorti fumer ma cigarette.
Arrivé à l’extérieur je rencontra une collègue de Josée, une serveuse dans la quarantaine, elle fumait seule et je décidai de l’accompagner étant seul moi-même
-Bonsoir, lui dis-je en m’allumant ma cigarette
elle se retourna vers moi
-Allo, t’es le copain d’une fille qui travaille ici?
-Oui, je suis l’amoureux de Josée, lui répondis-je
-Ah ok…
Elle semblait un peu troublée de ma réponse, un léger sourire apparut sur ses lèvres, à la limite de la moquerie. Je sourit aussitôt timidement.
-Qu’est-ce qu’il y a ? lui demandai-je
-Je ne savais pas que la préférée du patron avait un copain, me répondit-elle
-La préférée ?
-Oui, sa préférée, sa nouvelle coqueluche, quelques nouvelles passent souvent par là, elles ont plus d’avantages que les autres, j’ai déjà moi même été la préférée du patron, mais ça n’a pas durer avec toutes ses jeunes qui rentrent
-Je ne comprends pas
-Tout ce que je peux te dire, c’est de ne pas trop t’attacher à elle
Elle jeta sa cigarette puis retourna à l’intérieur me laissant interrogateur de cette discussion. Se pouvait-il que mes doutes sur la fidélité de Josée étaient fondés ? Comme tout homme, j’avais le fantasme de voir ma belle en action
avec un autre mais ce vieux dégueulasse ? Le faisait-elle par plaisir ou pour la paie ? Tant de questions et la tête qui me tournait encore dû à l’alcool. Se pouvait-il qu’il m’ait fait boire pour me divertir pendant qu’il se tapait ma douce dans mon dos ? Je finît ma cigarette, des images de plus en plus perverses à l’esprit et retourna à l’intérieur.
En entrant je scruta la salle, je ne voyais plus ma compagne, son patron non plus d’ailleurs. La majorité des employés étaient saouls, les lumières tamisés, on entendait une musique langoureuse et la plupart des couples qui dansaient se
caressait plus que ne dansaient, l’ambiance était quasiment perverse. Je pris une bière et traversa la pièce du restaurant jetant des regards furtifs aux mains baladeuses des danseurs. J’avais en tête de plus en plus d’images provocantes, tombant dans un état excité, je ne m’inquiétais presque plus de Josée, au contraire l’idée de la voir avec son patron commençait à m’intéresser. La jeune salope avec le vieux vicieux, j’en bandais quasiment. Je me rendît au bureau de son patron espérant les surprendre dans l’acte, je n’entendais pas un son, j’entrouvît la porte mais la pièce était vide. Je
commençai à chercher où ils pouvaient se trouver. Je découvris un petit escalier qui descendait à la cave.
Je descendis délicatement l’escalier sans faire de bruit, la cave était un petit entrepôt remplis d’étagères, l’endroit était éclairée et je me dit qu’ils devaient sûrement se trouver ici, c’était l’endroit parfait, à l’abri des regards et où on ne les dérangeraient pas. Je me déplaça le plus silencieusement possible à travers les nombreuses étagères. À mesure que je me
rendais vers le fond je commençais à entendre du bruit, quelqu’un parlait, je m’arrêta pour écouter.
-Hmmm oui caresses la
-Faudrait pas que je m’absentes trop longtemps, Steve va s’en rendre compte
-Il est tellement bourré qu’il doit dormir sur une chaise en haut, hmmm oui vas-y salope
Je reconnut les voix de Josée et de son patron immédiatement, je m’approcha pour mieux voir et fut renversé de la scène, elle se trouvait à ses genoux, la jupe remontée et la chemise ouverte laissant pendre ses énormes seins que caressait d’une main son patron, lui tenant la tête par la queue de cheval. Elle avait le sexe de son patron dans la main, sexe d’une taille très impressionnante d’ailleurs et le pompait tout en lui lichant le gland. Je fut pris d’une érection monstrueuse en les voyant. Il lui pris la tête par la queue de cheval et commença à s’enfoncer plus loin son membre, lui baisant quasiment la bouche.
-Hmmm oui vas-y dépêche toi à me faire venir salope, si tu veux pas faire attendre ton cocu de copain
Elle le suçait avec vigueur, n’étant pas capable de prendre tout ce monstre en bouche, ses mains caressaient ses testicules aux poils grisonnants et pompait ce qui ne rentrait pas. Elle gémissait tout en lui taillant cette merveilleuse pipe, ralentissant quelques fois pour licher en longueur le fixant d’un air salope que je n’avais jamais vu. Je commença à mon tour à me masturber complètement excité par cette vue, ma copine toute fragile et si jeune devenue une vraie pute pour ce vieux vicieux et son gros membre. Il lui palpait les seins, en pinçant les mamelons, les tordants même sous ses gémissements pendant qu’elle travaillait sur son sexe.
-Ohhh oui continues salope, tu va me faire venir ma petite pute, si t’avais pas amener ton ami, j’aurais pu te prendre pendant une bonne partie de la nuit, t’aurais aimé ça, hein?
elle acquiesça en gémissant, le membre de son patron dans la bouche, elle continue sa fellation en y mettant plus de vigueur. Je vît sa main descendre vers son minou et commencer a se caresser. Mes sentiments de jalousie étaient complètement disparu, je me masturbais sentant arriver l’orgasme, la situation m’excitait vraiment, son patron l’était encore plus.
-Oh oui Josée, je viens, avale tout petite pute
-Hmmmmppff
Il lui tînt la tête enfoncer en gémissant, Josée se caressait farouchement le clitoris, elle avala tout son foutre comme une bonne chienne.
Il semblait avoir une quantité phénoménale de sperme qui se déversait dans sa gorge, de mon côté, j’explosais par terre en retenant mon souffle. Elle finit de boire son jus et licha son membre avec un sourire pervers
-hmmm oui nettoie moi bien tout ça ma bonne petite salope, lui dit son patron
-J’adore boire ton jus, lui répondit Josée, lui lichant le sexe et ses testicules
Elle se releva et son patron l’approcha pour lui rouler une pelle, caressant son cul le tapant même un peu
-Ohhh ma jeune salope, si tu savais comment j’avais le goût de te défoncer la chatte ce soir
Il glissa ses doigts vers son sexe, les faisant aller sur ses lèvres, elle gémissait en tentant de tenir sur ses jambes. Il sorti ses doigts devenus humide et les glissa dans la bouche de josée qui s’empressa de les sucer
-Hmmm petite salope va, t’es toute mouillée, t’avais envie de faire ta pute encore ce soir ?
-J’avais envie que tu me remplisses de ton sperme, lui répondit-elle
Je profita de ce moment pour remballer ma quincaillerie discrètement et effacer toute trace de mon propre plaisir, je me savais maintenant cocu et j’aimais ça. Je quitta discrètement la cave déçu de ne pas pas pouvoir voir ce qui se passerait ensuite. Je jeta un dernier coup d’oeil vers les deux amoureux interdits, son patron la tirait par les cheveux pour l’embrasser pendant qu’elle caressait son sexe devenu mou en gémissant.
Je me dépêcha de remonter l’escalier sans bruit, alla s’asseoir dans la salle avec une bière à la main, excité mais un peu incrédule. J’avais donc raison, Josée me trompait, elle était devenue la petite salope d’un homme qui pourrait être son grand-père et à ce que je vît, elle adorait ça, jamais dans notre vie sexuelle j’avais vu Josée se comporter de la sorte. La situation m’excitait, je ne pouvais le dénier, j’avais adoré la voir agir en pute avec ce vieux vicieux et je comptais bien tenter de les revoir en action.
Josée vînt me rejoindre quelques minutes plus tard, elle avait pris le temps de se refaire une beauté, elle me demanda si je voulais partir qu’elle s’ennuyait et était fatiguée. Je lui donna les clés lui disant que j’étais trop saoul pour conduire. Son patron venait nous saluer alors que nous partions. Il me serra la main me souhaitant une bonne nuit, comme je sortais je le vit faire la bise à Josée en lui glissant une main au cul.
Je devais à tout prix les revoir ensemble…