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Ma femme a une drôle d'idée de l'Education / réécrit – Chapitre 11




Céline se leva :

« Bon messieurs il est temps de passer aux choses sérieuses, Guillaume est convaincu que je bluffe, il s’en mordra peut être les doigts !!

Vous allez vous débarrasser de vos Smartphones et les poser sur la table !

Oui même toi Guillaume et tu vas actionner le commutateur de la lumière pour l’éteindre quand je vais monter sur la table. A mon ordre tu la rallumeras, capito ??? »

Tout le monde s’exécuta, chacun curieux et excité à l’idée de peut être voir ma femme à poil, offerte debout sur la table

Ma femme m’ordonna d’éteindre, ce que je fis, et chacun retint son souffle

On entendit comme un froissement de tissu, un vêtement qui s’écroulait sur la tablepuis :

«  Alors messieurs vous êtes prêts ? Je suis sûr que le suspense est intolérable ! Alors rideau !

Guillaume, allume la lumière ! »

Fiat luxet la Lumière Fut !

Ma femme était nue, dans toute la gloire de sa nudité

Ses cuisses fuselées et bronzées se présentaient à hauteur de nos yeux, surmontées d’un sexe glabre, un ventre musclé et platet ses seins ! Ses seins

Galbés en forme de poire, bronzés, ambrés, juste la taille adéquateni trop gros ni trop petitsavec des tétons qui pointaient sous le coup de l’excitationcar Céline était excitée à l’idée de se dévoiler ainsi totalement nue et exposée à des étrangerselle n’en avait pas l’habitude et devenir l’objet de la convoitise sexuelle de plusieurs hommes en même temps, d’autant plus que c’était les potes de son mari, lui procurait une chaleur intense dans le bas-ventre.

Tout son corps était électrisé à la pensée de ce qui allait se passer dans deux minutes. Son sexe gonflait, et l’anneau qui avait été déposé pour rétrécir l’entrée de son vagin, commençait à lui procurer une tension, une petite douleur qui ne faisait que lui procurer d’avantage de plaisir solitaire.

Elle commença à se déhancher langoureusement, et à se caresser, ce qu’aucun mâle normal ne pouvait supporter

Les hommes la regardaient avec une gourmandise extrême, la luxure envahissait leurs regardsje ne revenais pas de l’imposture et de la goujaterie de « mes potes », qui reluquaient ma femme comme des clébards en rut.

Dans ma naïveté confondante, j’aurais au moins cru qu’ils y auraient mis les formesla suite ne faisait aucun doute pour moi : ma femme allait bien avoir ce qu’elle était venue chercher, un gang bang en règle !

Restait à savoir si elle aussi irait jusqu’au bout ??

« Bon alors messieurs on y va ou on prend le thé ?

J’espère que je n’ai pas affaire à des petits puceaux ou des fantasmeurs de première ??!!

Guillaume, tu peux me rouler une clope ?

— Mais tu ne fumes pas Céline ?

— Oh si tu savais tout ce qui a changé en moi depuis quelques temps »

Elle descendit de la table, aidée par Paul « en chevalier servant », puis elle s’assit sur une chaise, à l’envers, présentant son sexe grand ouvert à ces messieursmon Dieu qu’elle était érotique comme ça !

J’avais une érection d’enfer et je me retenais à grand peine de ne pas la mater plus ouvertement ; j’avais décidé de feindre l’indifférence.

Ma femme fumait tranquillement la cigarette que je lui avais passée.

Hervé s’approcha et penchant la tête, il scruta le sexe ouvert de ma chère et tendre, celle-ci le regardait, goguenarde, en fumant :

«  Céline je peux te poser une question ?

— Mais je t’en prie mon cher Hervé, je vois que tu t’intéresse à mon sexe, une vocation de gynécologue tuée dans l’uf ??

— Non, plutôt un intérêt de pur vicieux et amateur de petit minou, et qui va bientôt s’occuper de toi comme il fautdis moi c’est quoi cet anneau ?

— Un anneau infibulateur, je suis infibulée comme les esclaves sexuelles des riches romains, cela sert à rétrécir le diamètre de mon vagin, les lèvres étant transpercées et reliées par celui-ci. Cela augmente le plaisir de l’homme qui a l’impression de dépuceler une vierge, et celui de la femme qui y éprouve une sensation de gêne et de douleur pas désagréable du tout.

Comme, vous allez le constater je suis très masochiste

Cela dit, qui commence ? »

Hervé commençait à se déshabiller devant moi, le mari bientôt cocu (quoique avec ce que je savais, cela me faisait bien rire )

Paul, sans doute celui qui éprouvait le plus de remords quant à la situation, voulut retenir son copain :

«  Attends Hervé, on ne peut quand même pas baiser Céline comme ça, devant son mari !

— Mais qu’est-ce que j’en ai à foutre ! Depuis le temps que j’ai envie de me la faire sa femme, on serait trop con de ne pas profiter de l’aubaine ! Et puis c’est elle qui le demande et Guillaume est d’accord, n’est-ce pas Guillaume ?

— Disons que je n’ai pas mon mot à dire dans l’affaire !

— Et bien voila, tout le monde est d’accord, tu vois bien !

— De toutes façons les mecs, si vous me laissez sortir d’ici « intacte » je fais du stop comme ça, à poil, et le premier mec qui s’arrête, je lui fais tout ce qu’il veut, et ensuite je lui demande de m’amener dans la pire banlieue voisine où je serai l’esclave sexuelle de toutes les racailles qui passeront

Alors vous choisissez quoi ?

— Bon bah, je crois qu’on n’a pas le choix, si c’est pour rendre service à Guillaume (Hervé ne manquait décidément pas d’air !)

— Ben voyons les gars, vous êtes trop bons ! C’est dans des coups comme ça qu’on voit la valeur de ses amis »

Je me demandais s’il avait compris le sarcasmesans doute non, de toute façon son cerveau n’était plus apte à tenir un raisonnement cohérent ! 

Ma femme termina sa cigarette, et levant les bras, elle fit signe à mes copains de venir s’occuper d’elle.

Ne se faisant pas prier ils l’entourèrent, à genou, Steph plaça sa bouche sur son sexe et la lécha, Paul lui caressait les seins tandis qu’Hervé, l’embrassait à pleine bouche !

«  Guillaume, tu te tiens à l’écart, sinon c’est la séparation définitive !

Et tu n’as pas le droit de quitter la pièce, je veux que tu assistes en direct à ma dépravation !! Et tu regardes tout connard !!

Les gars allez-y violemment, je veux de la baise hard et vicieuse, pas du romantisme !! (Ça je n’en doutais pas une seconde, mais Céline ignorait que je connaissais déjà «  presque ?? » tout de ses performances de salope en rut).

Faites quand même gaffe à mon infibulation

— Désolé vieux c’est pour toi qu’on fait ça, pour pas qu’elle aille se faire violer dans une cave de cité !!! », me dit Paul, en me regardant, des trémolos dans la voix  »

Quel culot ! Ils allaient baiser ma femme par grandeur d’âme !!

Ça c’était des super potes !!!

Attends que leurs petites femmes ou filles, voient le petit film X que je suis en train de réaliser avec la camera bouton à haut rendement !!!

Elles aussi, elles vont découvrir de nouvelles sensations.

Dans mon rôle de cornard zen, je fumais tranquillement, en train de voir Hervé finalement introduire son engin dans la bouche gourmande de ma trainée de femme ; depuis le temps qu’il attendait ça !! Il ne tarda pas à éjaculer d’ailleurs

Attends, je suis sûr que ta Marie suce aussi bien qu’elle.

Tiens je prendrai aussi mes deux pervers de fils pour la sauter ta conasse, avec les idées qu’ils ont, on a va passer un bon moment

Ils prirent alors Céline par les bras et les jambes et la couchèrent sur Steph, qui prit le rôle de sodomisateur, la queue bien tendue, l’anus de ma salope de femme lubrifié par de la graisse à vélo (c’est tout ce qu’ils avaient trouvé en terme de lubrifiant), dont ce dernier avait généreusement enduit les bords de l’anus, et le rectum en le travaillant avec ses doigts.

« Argh !!!! Gémit Céline empalée jusqu’à la garde par la grosse queue de Steph.

— Hervé, viens pénétrer ma petite chatte d’amour et toi Paul je vais te sucer la queue. »

La disposition des rôles ainsi distribuée, Hervé, à poil, se coucha sur Céline et la pénétra rapidement tant la petite fente mouillait ; à chaque va -et -vient, sa bite, venait caresser le clitoris démesuré, percé de son bijou, de mon épouse qui gémissait , puis passait l’anneau , lui tirant des râles de jouissance:

«  Oui ! Oui ! Oui ! ouuuuiiiiii !!! Et toi Steph encule moi plus fort, plus vite, Hervé donne moi à fond !!!! huuummmmmm !!! »

Notre « Sauron » de la baise y prenait aussi beaucoup de plaisir

Puis elle se mit à sucer Paul à genou devant sa bouche de pute.

Tout ce petit monde jouit de concert. Et les hommes repus se rhabillèrent.

Céline demeurait sur la table, le cul un peu douloureux, l’anus béait de sperme qui s’écoulait sur ses fesses et ses cuisses, mais elle se frottait encore la vulve d’une main rapide, à genou, la tète contre la table et le derrière en l’air.

Elle n’était pas encore arrivée à son orgasme final.

La vision de ma femme en train de se masturber frénétiquement la vulve, le trou du cul complètement dilaté, dans une position au delà de toute morale et de toute décence, m’éblouissait, me donnait une satisfaction érotique intense, je n’étais plus que désir et feu intense pour cette femme que j’avais épousée et qui s’était transformée en objet de fantasme, en archétype de la jouissance féminine, en icône de la pornographie et de la dépravation !!

Rien que pour toutes les exultations tant mentales que physiques qu’elle m’avait données, j’étais prêt à passer l’éponge, et même à lui pardonner toutes ses horribles déviances sexuelles incestueuses, par lesquelles elle s’était avilie avec nos deux garçons !

Bien sûr elle m’avait rendu plus que jaloux, en baisant comme une pute avec mes trois meilleurs amis, mais j’avais aussi ressenti beaucoup de trouble, d’émoi sexuel, de plaisir vicieux et intense à la regarder faire l’amour ainsi.

J’avais l’impression d’être le maitre d’uvre de cette petite cérémonie dédiée au sexe absolu.

Cela me rappelait le temps, lorsque j’étais enfant où je ramenais mon plus beau jouet dans la cour de recréation.

Jouet qui faisait ma fierté et excitait la convoitise des mes camarades

Quel plaisir, mêlé de peur et d’égoïsme, en les voyant utiliser l’objet de mon désir, avec mon assentiment.

Seulement, Céline me rappela bien vite à la dure réalité.

Elle était folle de rage devant mon inaction et mon calme olympien.

Elle s’était imaginé m’humilier, me voir éclater d’une rage folle, peut être même la violer sauvagement sur la table.

Peut être était-ce d’ailleurs ce qu’elle désirait en tendant son cul en l’air avec son rectum prêt à recevoir une nouvelle queue en pleine forme : la mienne !!

Ou à me mettre à genou devant elle, à lui demander pardon

Mais non rien de tout cela !!

Elle demanda alors à Paul et Steph de lui amener son sac, elle en sortit deux godes de très belle longueur, et intima l’ordre aux deux hommes de la pénétrer le plus profondément et le plus sauvagement possible.

Paul se plaça derrière elle et introduisit d’un coup rapide et violent l’engin, dans les profondeurs de ses entrailles ; tandis que Steph couché sur le dos, le visage sous sa chatte, prit plus de précautions avec le second.

Céline hurla : «  haaannnnn ! !» puis avec les deux va- et-viens simultanés :

«  aaaahhhhaaaaaa !!!! nnnnoooonnnn !!!! aurgh !!!! mmmmhhhhhuuuummmm !aaaaaahhhhhh !!!!!!! OUIIIIII !!!!!!!

Je viens !!!

je viiiieeeeeeeeens !!! »

Écrasée sous l’afflux d’émotion et de plaisir, elle s’écroula en pleurs sur la table, les deux godes encore figés dans ses petits trous intimes..

Ainsi terminais-je la prise de vue, après cette scène extraordinaire.

Quel beau film ce serait !

Je suis sûr que Sarah, la femme de Steph, jolie femme châtain aux cheveux longs, allait admirer son mari qui avait si bien défoncé la chatte de Céline pour la mener à l’orgasme !!

Quant à Brigitte petite brune un peu gironde, et Martine leur fille de 18 ans, joli petit canon aux seins aguichants, elles allaient décerner un oscar pour la performance d’enculeur avec gode de leur mari et père !!

Préparez la vaseline mesdemoiselles, on va venir vous défoncer mes fils et moi, je prendrai peut être même Céline, tiens, ce sera encore plus vicieux !!

J’étais quasi certain, que quand elles verraient toutes les performances de leur époux sur grand écran, lors d’une soirée à la maison par exemple, elles ne manqueraient pas de venir réclamer leur part de luxure pour rendre jaloux leurs moitiés !

Arroseur, arrosé !!

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