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Ma vie de prof – Chapitre 2




Quelques jours après son dépucelage, mon élève me rapporta la décision que son père avait prise suite à leur discussion qu’il me rapporta en ces termes:

En arrivant chez lui le jour de son dépucelage, mon élève salua son père.

«Salut, papa.

— Salut, fiston. Où étais-tu? Tu rentres plus tôt d’habitude. Il s’est passé quelque chose?»

Mon élève rejoignit son père dans le salon.

«Papa, il y a quelque chose que je dois te dire. Voilà… Depuis que maman est partie, je lis un magasine porno pour m’évader dans le monde du sexe lorsque que j’en ai besoin. Y compris durant les pauses entre les cours. Ma prof d’histoire a vu que je lisais ce magasine et a voulu m’en parler en privé. Elle a été très indulgente même beaucoup…

— C’est-à-dire?

— Elle m’a dépucelé. Avec elle, j’ai appris à faire l’amour.

— Quoi?! C’est pas sérieux, ça! Je vais tout de suite appeler le lycée. Il faut que le dirlo sache quelle prof perverse il a engagé!»

Le père se saisit du téléphone mais son fils le retint par le bras.

«Ne fais pas ça! Tu ferais une grosse erreur! J’ai tout raconté à ma prof. Elle sait que tu as besoin d’une femme qui puisse te donner du plaisir. Elle m’a dit qu’elle était tout à fait disposée à coucher avec toi. Il faut juste que je lui rapporte ta réponse. Réfléchis, papa.»

Le père, calmé par les propos de son fils, reposa le combiné et regarda son fils. Il se passa de longues minutes avant que le père ne brise le silence.

«Bon, on se voit demain soir à la réunion des parents, c’est bien ça? Dans ce cas, dis-lui de bien se préparer. Je suis le dernier à la voir, c’est ça? Dis-lui que je veux la voir nue dès que je rentre dans la classe.»

Je remerciai mon élève puis donnai mon cours comme à l’ordinaire. Lorsque la sonnerie eut retenti et lorsque tous les élèves furent sortis, je refermai la porte derrière moi et rentrai chez moi me préparer pour la réunion. La réunion des parents devait avoir lieu le soir même. Je n’avais que trois parents à voir dont le père de mon élève. Je pris une douche puis revêtis un jean et pull sans mettre de sous-vêtements. Après m’être mis un peu de déodorant, je repartis pour le lycée.

Je vis la maman d’une élève puis celle d’un autre. Je leur dis à toutes les deux que leur enfant s’en sortait très bien en cours d’histoire et qu’il s’adaptait très bien à la classe. Je serrai la main des deux mamans et attendis que la deuxième qui devait venir me voir soit loin de la salle de classe pour recevoir mon troisième et dernier rendez-vous de la soirée.

Je me déshabillai tranquillement et attendis que le père de mon élève fasse son apparition. La porte s’ouvrit quelques minutes plus tard sur un homme d’environ la cinquantaine de 1,90m aux cheveux bruns. Il semblait plutôt musclé et portait une chemise blanche simple et un jean.

«Bonsoir, monsieur!

— Bonsoir, madame! Vous êtes très belle.

— Vous n’êtes pas mal non plus.

— Merci. Bon, trêve de bavardage. Donnez-moi ce pourquoi je suis venu.»

Sur ces derniers mots, il retira sa chemise puis son jean, me laissant admirer un torse puissant et une paire de jambes sculptées. Il fit ensuite glisser son boxer au sol, me présentant une magnifique verge d’au moins 20 cm et une paire de couilles hors norme. Plus aucun doute possible. Le père avait beaucoup transmis à son fils. Je m’agenouillai au sol, attendant qu’il vienne me prendre. Il s’avança vers moi et me donna sa bite à sucer. Dans ma bouche, le sexe de mon partenaire avait un agréable goût salé. Il avait probablement dû uriner avant de venir me voir. Je fis quelques va et vient sur cette impressionnante colonne de chair en m’appliquant à sucer mon partenaire jusqu’à la garde, ce qui ne manqua de le faire soupirer de plaisir.

«Hum. C’est bon. Vous êtes bonne. Vous sucez mieux que mon ex. Continuez.»

Je continuai donc avec plaisir à sucer cette bonne grosse bite d’homme divorcé en manque. Je le suçai encore durant une dizaine de minutes avant qu’il ne retire sa queue de ma bouche et m’ordonne de me coucher au sol. Il me couvrit ensuite de son corps et introduisit son énorme verge dans ma chatte. Ses va et vient dans mon sexe se firent d’abord lents puis de plus en plus rapides et puissants. Ses coups de queue me firent jouir comme une truie.

«Hummmm. C’est bon. Oh oh oh!!! Allez, encore. DÉFONCEZ-MOI BIEN LA CHATTE!!!»

L’homme ne se fit pas prier pour accéder à ma requête. Il poursuivis ses va et vient pendant un bon quart d’heure toujours avec la même force puis il se retira de ma chatte et souleva mes jambes pour les passer sur ses épaules. Ainsi, mon anus était bien en vue et sans attendre, le père de mon élève m’enfonça sa queue dans le petit trou. Comme dans la chatte, ses va et vient furent d’abord lents puis de plus en plus puissants. Son ventre claquait contre mes fesses. Ses mains étaient crispées dans mes hanches. Après m’avoir ramoné le cul durant une vingtaine de minutes, il se retira de mon petit trou. Il contempla mes seins dont les tétons étaient durcis par l’excitation et pointaient fièrement vers mon partenaire. D’une main, il me caressa un sein et commença à se masturber de l’autre.

«Wouah!!!! Vos seins sont plus gros que ceux de mon ex-femme. Je pense qu’une paire de mamelles comme la vôtre mérite de branler une bonne bite.»

Comprenant ce qu’il voulait, je compressai mes seins et l’invitai à se branler entre mes deux boules. Mon partenaire ne tint pas plus d’une minute avant de me crier:

«OHHHHHH!!!!! OUI!!!!! JE VAIS JOUIR!!!ROHHHHHHHHHHHHHHHH!!!!!!!!!!!»

Six giclées de sperme me maculèrent les seins et le menton. Je mis ensuite le sexe de mon partenaire en bouche afin de sucer ce qui restait de sperme sur son gland.

Apaisé par sa jouissance, le père de mon élève s’allongea à mes côtés et me caressa les cheveux. Comme un mari le ferait avec sa femme.

«Vous êtes incroyable, madame. Je vous aime pour ce que vous m’avez offert. Accepteriez-vous de passer à la maison de temps en temps pour vous occuper de moi et de mon fils?

— Bien sûr, avec plaisir. Des bites comme la vôtre, ça ne se trouve pas à chaque coin de rue. Et puis, au fait, appelez-moi Joanna.

— Très bien, Joanna. Moi c’est Laurent. Quand pourriez-vous passer chez moi?

— Quand vous voulez! Votre fils et vous êtes des hommes superbes!

— Dans ce cas, peut-être pourriez-vous emménager chez nous et nous pourrions commencer à nous tutoyer. Qu’en dites-vous?

— J’accepte sur-le champ!

— Très bien. À partir de demain, nous déménagerons tes affaires, mon amour.»

Il me donna un dernier baiser puis nous nous rhabillâmes et rentrâmes chez lui. Son fils dormait déjà.

«Nicolas va avoir une belle surprise quand il se réveillera demain.» me souffla-t-il en me faisant un clin d’il plus qu’explicite. Laurent me fit monter dans sa chambre. Nous nous déshabillâmes et passâmes la nuit dans les bras l’un de l’autre.

La suite dans le prochain récit…

Joanna

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