Nous avons repris nos anciennes habitudes et nous promenions souvent dans des bois ou près détangs ayant « quelque réputation » (pas facile dans la région ou nous habitons, il nous fallait faire des kilomètres) mais nous y fîmes dagréables rencontres.

Généralement on trouve dans ces lieux des homos ou des hommes à la recherche de sensations homos plutôt que des couples. Mais cela ne nous dérangeait pas.

Même eux aiment profiter du spectacle dune femme qui se montre.

Généralement, lorsque lendroit était assez discret, pas trop près dune route ou dun chemin trop fréquenté, je remontais la jupe de Louise jusquau milieu des fesses (sans culotte), lui ouvrait son chemisier pour faire apparaître ses seins (sans soutien-gorge) et nous nous promenions ainsi. Au début elle refusait mais après quelques caresses elle se laissait aller.

Nous marchions ainsi, moi une main sur les fesses et elle sa main posée sur la bosse de mon pantalon.

Je me souviens de cet après-midi de printemps ensoleillé : les arbres verdissaient, les fourrés commençaient à sépaissir dans ce bois près de Saint-Amand.

Nous marchions lorsque je remarquais un homme jeune nous suivre. Il se cachait parfois derrière un arbre mais il néchappa pas à mon regard, à la recherche justement de quelquun comme lui.

Nous nous enfonçâmes un peu plus dans le bois nous éloignant du chemin afin de ne plus en être visible.

Lorsque jestimai que nous étions dans un endroit suffisamment tranquille nous nous arrêtâmes.

Nous nous embrassions à pleine bouche, nos mains se promenaient sur nos corps, nous découvrant un peu plus afin que notre voyeur, qui sétait rapproché, mais était toujours derrière un arbre, pu voir ce pourquoi il nous avait suivi.

Louise avait aperçu elle aussi lindividu.

« Cest un jeune me dit-elle ! »

Mais manifestement elle le trouvait à son goût, vu la façon quelle avait de provoquer. Elle sorti ma queue, se pencha et la prit à pleine bouche, tournant le dos, comme par hasard, à ce voyeur qui avait une vue imprenable sur ses fesses et la chatte quil apercevait parfois en fonction des mouvements quelle faisait.

Mes mains pelotaient ses fesses, que jécartais le plus possible pour dévoiler son anus et je glissais aussi mes doigts dans sa chatte, venant gratouiller de temps en temps sa rosette.

Je fis signe discrètement à lindividu de se rapprocher, ce quil fit après sêtre assuré quil était seul. Il arriva tenant à la main sa queue quil masturbait lentement.

Je relevai Louise et, me mettant derrière elle, offrit au regard de cet homme son corps dévoilé. Je pris ses seins à pleines mains et les pelotaient fortement puis je descendis vers sa chatte que jécartais tout en demandant à Louise décarter ses jambes.

« Elle te plait ? »

« Elle est pas mal ! On voit quelle aime la bite ! »

« Tu veux la toucher ? Tu veux quelle te branle ? «

« Elle peut me sucer ? »

« Elle va déjà te caresser, après on verra, cest elle qui décide. De toute façon pas de pénétration, ok ? »

« OK, pas de souci »

Il sapprocha près de nous, et commença à caresser les seins, le ventre et pénétra à lintérieur de la chatte de Louise qui, les yeux fermés, se laissait faire. Jétais toujours derrière elle et une de ses mains me caressait. Javais la bite plus que tendue. Lindividu prenait de plus en plus confiance et sétait collé à nous. Une de ses mains rejoignit celle de Louise et me caressait les couilles et la queue en même temps.

« Tu aimes ? »

« Oui, et vos deux mains en même temps, un régal ! »

Je pris la main libre de Louise et la menait vers sa bite quelle commença à caresser. Jen profitais pour lui peloter les couilles et tâter son engin, plutôt fin mais long.

Nous jetions régulièrement un il pour vérifier notre intimité. Le coin était tranquille.

Louise se tordait littéralement : les caresses appuyées sur son clito lui donnaient visiblement beaucoup de plaisir. Elle jouissait sans retenue, offrant sa chatte aux caresses. Je lui glissais un doigt dans lanus, et avec les mouvements quelle faisait, il senfonçait seul profondément.

« Je peux te sucer ? »

La question me surprit :

« Est-ce que tu veux quil me suce ?, demandais-je à Louise »

« Je voudrais que tu me baises avant ! Jai trop envie !»

« Je peux te sucer en même temps ! »

« Après que je laurai baisé si tu veux ! »

Je demandai à Louise de sappuyer sur larbre qui nous cachait en partie, la fit bien pencher en avant et la pénétrai dun seul coup. Sa chatte était trempée et ma bite coulissait à merveille. Notre voyeur lui caressait tantôt la chatte, tantôt les seins qui ballotaient à chaque coup de queue. Louise était fortement penchée en avant, et soudain elle perdit léquilibre. Elle se rattrapa à lindividu, qui pantalon baissé, avait la bite en avant.

« Suce le, prends le dans ta bouche ! Je vais te baiser en même temps ! Regarde cette belle queue, me souviens pas que tu en as sucé une aussi longue un jour ! »

Elle prit la bite dans la main, la caressa un petit moment.

Elle mit ce sexe offert en bouche. Je continuai pendant ce temps à la besogner, doucement mais fortement et sous mes coups de queue, son corps faisait des mouvements davant en arrière et je voyais cette queue pénétrer entre ses lèvres.

Je ne voulais pas jouir trop vite, je voulais profiter de cet instant le plus possible.

« Je voudrais te sucer pendant quelle me suce, tu veux bien ? Javale tout ! »

Louise me jeta un regard consentant.

Il se pencha en avant, Louise changea de position pour pouvoir continuer à le sucer, et il prit ma bite à pleine bouche, la faisant entrer longuement jusquau fond de sa gorge.

« Doucement, lui dis-je, je vais tout lâcher ! »

« Ne te retiens pas, vide toi dans ma bouche. »

Louise se releva et entreprit de le branler.

Quel spectacle ! Louise le cul et les nichons à lair, me caressant dune main et branlant un inconnu de lautre tout en membrassant ! Lâchant la queue quelle tenait dans la main, elle appuya sur la tête de notre complice pour quil prenne plus de queue en bouche.

« Je jouis ! Va doucement ! »

Je laissais partir toute la sauce dans la bouche de lindividu qui continuait à me pomper. Il avalait tout, aspirant pour ne pas en perdre une goutte. Louise avait recommencé à le branler et le regardait faire. Elle prenait une véritable leçon !

« Je voudrais quil te baise, jai envie de te voir prendre par une queue aussi longue ! »

« Sil a une protection je veux bien ! »

Sa réponse me surprit ! Cétait la première fois quelle acceptait de se faire baiser par quelquun dautre que moi ! Jen étais abasourdi.

« Tu es sûre ? »

« Jai envie «

Il ne se fit pas prier : il sortit une capote quil enfila rapidement, Louise sappuya de nouveau à larbre, et il la pénétra, doucement au début, puis il la besogna rapidement, enfonçant sa longue queue qui faisait lâcher des petits cris à Louise. Jétais là, en train de récupérer, regardant ce spectacle de mon amie en train de se faire défoncer par un inconnu et ce pour la première fois.

« Et dans le cul, tu aimes ? Tu sais ma bite nest pas grosse, elle te fera pas grand mal, et puis je nirai pas trop loin ! »

« Il a raison, elle est beaucoup plus fine que la mienne, tu nauras pas beaucoup doccasion comme celle-là ! »

Je me rapprochai et entrepris de caresser son clito. Cest son endroit sensible, celui qui lorsquil est bien manipulé lui fait faire ce que lon veut, ou presque.

Elle ne répondit pas.

Je vis la bite sortir de la chatte et se glisser vers ce cul offert. Il lui écarta un peu plus les jambes et se présenta à lentrée de la grotte, senfonçant doucement, la capote lubrifiée par le jus de la chatte. Il fit quelques va et vient lentement puis accéléra le mouvement.

Visiblement cela ne faisait pas souffrir Louise qui, le clito en feu, les yeux fermés, gémissait.

Soudain il se retira, ôta la capote et, faisant quelques mouvements avec la main, lâcha sa semence dans la nature.

Nous avons mis quelques instants à nous remettre de ces émotions. Nous nous sommes nettoyés avec des mouchoirs en papier, avons remis de lordre dans nos vêtements, donné un coup de peigne et de maquillage pour elle.

Il y avait un tronc couché un peu plus loin. Nous nous y sommes assis et avons allumé une cigarette. Même Louise qui ne fume pas en voulu une ! Il sappelait Jean-Luc, avait environ 30 ans, était marié mais il aimait aussi les hommes et il fréquentait cet endroit lorsquil passait dans le coin.

« Jaurai jamais pensé quune femme qui a votre âge pouvait baiser comme ça ! »

« Merci pour lâge, mais à 60 ans, le cul on aime toujours ! »

Il était sympa mais pas galant !

Nous nous sommes relevés, dis au revoir.

Il partit de son côté et nous nous sommes dirigés vers le chemin.

Cest là quon le vit ! Appuyé contre un arbre !

« Pour une partie de cul, cétait une partie ! »

A suivre

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