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Esclave de la fille du seigneur – Chapitre 4




-Tu verras, la chose te sera très agréable.

Clément ne pouvait en croire ses oreilles tandis que Noémie était effondrée à lécoute de Flora.

-Caroline ma été dune grande utilité, et jai bien vu comme elle te regarde. Il est évident quelle aimerait tavoir pour amant.

-Il nen est pas question !

-Comme si tu pouvais te permettre de discuter. Dois-je te rappeler ce que tu es désormais et pour toujours ?

-Vous ne pouvez pas faire ça !dit Noémie.

-Ca et bien plus encore. Et ne te mêle pas de mes affaires ou je me débarrasse de toi sans tarder. Jen ai assez de tes jérémiades. Maintenant que mère est absente, jai les mains libres .Quant à toi esclave, tu passeras la nuit avec Caroline. Je lui ai déjà fait part de ma décision et je peux te confirmer quelle ne se contient plus de joie .En cas de refus de ta part, la maman continue à jeûner. Cela me fait dailleurs penser quelle ne doit plus guère avoir de réserves.

Clément regardait sa maitresse, de la fureur plein les yeux.

Une gifle vint mettre un terme à cet affrontement silencieux.

-Je te corrigerai jusqu’à te faire plier, esclave. Et ton oie blanche ne sera pas en reste.

Sur ce, Flora appela une servante qui se chargea de conduire Clément dans la chambre de Caroline .Celle-ci était désormais logée dans une aile du château et possédait sa chambre particulière. Cette faveur lui avait été grassement accordée par Flora pour lui avoir permis de semparer de Noémie.

La servante conduisit Clément dans un dédale de couloirs avant darriver devant une porte de bois vernissée sur le panneau de laquelle elle frappa un unique coup bref.

-Entrez !dit une voix posée.

La jeune guide seffaça et sans plus de cérémonie, prit congé de Clément.

-Te voilà enfin à moi, je naurais pas osé lespérer il y a peu encore.

-Je ne tappartiens en aucun cas, ni à toi, ni à personne. Le chantage de Flora ma amené ici mais ne compte pas aller plus loin.

-Ta maîtresse ne ta donc pas tout révélé ?

Devant lair interrogateur de Clément, Caroline cru bon de poursuivre :

-Le choix qui soffre à toi est très simple .Où tu te donne à moi ou bien tu seras livré à la voracité de toutes les femmes du domaine. Sur leur simple demande, elles pourront tavoir pour amant sans restrictions aucune. Toutes les femmes, Clément. Toutes, sauf Noémie qui devra subir cet affront sans pouvoir sy opposer. Ny aura-t-il pas là matière à la faire mourir de chagrin ? La séance avec les cousines de Flora a déjà dû marquer son esprit au fer rouge. Faut-il en rajouter ?

Le fait de se faire appeler par son prénom, sensation oubliée désormais, fit prendre conscience à Clément de létat de servitude dans lequel il était tombé. Cette nouvelle attaque contre Noémie, déjà bien éprouvée, ne fit que lemplir de colère.

-Cest de ta faute si elle en est là.

-Et je men vante mon cher, je nai jamais pu supporter cette sainte-ny-touche.

-Dis plutôt que tu étais jalouse de sa bonne fortune.

Caroline fulmina intérieurement devant cette accusation dautant plus blessante que vraie.

-Maintenant, assez discuté. Ou tu couche avec moi ou jen réfère à Flora .Cest moi ou toutes les femmes du lieu.

-Très bien, tu as gagné.

-Alors déshabille- toi immédiatement, mon beau mâle. Jai hâte de jouir de ton corps.

Clément sexécuta froidement, avec des gestes mécaniques. Caroline lavait déjà contemplé nu lorsque Flora lavait dévêtu en public .Ce déshabillage constituait néanmoins pour elle un plaisir sans cesse renouvelé. La jeune femme sapprocha et fit glisser une main ferme sur le torse de son amant, finissant son exploration en caressant la verge qui se tendait malgré la volonté de son propriétaire.

-Viens me dire que tu ne me trouve pas désirable. Ton corps parle pour toi.

Caroline se dévêtit à son tour, dévoilant un corps solidement charpenté, aux seins lourds et aux rondeurs tentatrices. La jolie brune aux yeux rieurs se dirigea vers le lit et se glissa sous les draps de lin, invitant Clément à faire de même.

Les deux corps furent bientôt réunis en une étreinte brève mais intense. La sueur collait les cheveux de Caroline par paquets, caressants le visage de son amant de leur contact humide. La jeune femme recelait des trésors de savoir-faire, donnant du plaisir par la langue et le sexe. Elle faisait jouer les muscles de son vagin, enserrant le membre de son partenaire avec volupté. Pendant ce temps, sa langue sactivait dans la bouche de Clément qui pouvait sentir lappendice chaud et humide envahir sa cavité buccale et jouer avec sa propre langue. Les jambes de Caroline lui enserraient les hanches, accompagnant ses coups de boutoir. Bientôt, un ultime coup de reins amena Clément à la jouissance, libérant sa semence dans le ventre de sa partenaire qui à son tour connut un puissant orgasme qui la laissa vide de force et comblée.

Caroline roula sur le côté et se pelotonna contre Clément en se préparant à entrer dans un sommeil délicieux, les bras noués autour du torse de son amant forcé.

-Viens ici. Approche.

Noémie savança vers Flora, rongée dinquiétude.

Sa jeune maîtresse lui prit le visage à deux mains et plongea son regard dans le sien.

-Enfin seules. Tu sais que jattends cette occasion depuis longtemps ? Déshabille-toi !

-Quoi ?

La main fine et sèche de Flora la frappa de plein fouet.

-Je tai dit de te déshabiller, alors fais vite si tu ne veux pas que je me fâche.

Noémie frottait son visage endolori, contemplant sa maîtresse dun regard apeuré.

-En voilà assez, voilà qui tapprendra à mobéir !

Flora abattit soudainement sa main armée dun objet que Noémie nidentifia pas tout de suite. Létrange objet torsadé la frappa avec violence, la jetant à terre. Une Sensation de brûlure apparut très vite tandis quune marque violette apparaissait sur son visage, le barrant dune diagonale qui sépanouissait de lil gauche à la commissure droite des lèvres. Flora rejeta le nerf de buf et saisit violemment Noémie par les cheveux, lobligeant à se relever sous sa traction impitoyable.

-Je vais procéder moi-même puisquil le faut.

Des deux mains, elle attrapa la robe de son esclave au niveau du col et la déchira brutalement de haut en bas.

-Mmmh, tu es faites comme une diablesse, rien détonnant à ce que tu ais charmé le beau Clément. Si seulement mère navait pas une conception si étriquée de la bienséance, moi aussi je laurais pris comme fiancé. Quel dommage que nous ne soyons pas du même rang. Lavoir comme esclave est une bien infime compensation.

Flora faisait courir ses mains avec avidité sur la peau de Noémie, comme des araignées excitées.

-Puisquil mest interdit de perdre ma virginité avant mon mariage, je vais mamuser de façon un peu différente. Ton aventure avec Axelle ma donné des idées de stupre.

Noémie était maintenant nue, offerte au regard de Flora, dans le désordre de ses vêtements saccagés. Flora ne regardait pas son sexe, bien fourni. Sa poitrine opulente et bien dessinée lavait hypnotisée. Elle saisit les mamelles de ses mains avides et commença à les triturer sans ménagements.

-Pitié, arrêtez, je ne vous aie rien fait !

-Silence ou je te marque tout le corps de la tête aux pieds.

Pour suivre, Flora projeta son esclave sur le lit avant de se déshabiller à son tour. La beauté de sa maîtresse ne lassait pas détonner Noémie, dont les yeux sémerveillaient malgré elle du spectacle offert par ce corps splendide. Flora la rejoignit sur le lit, lécrasant de tout son poids. Leurs regards se croisèrent.

-Maintenant, tu vas me donner le plaisir dont jai toujours été privée.

Comprenant que la frustration exacerbait la méchanceté de sa maîtresse, Noémie se soumis à ses désirs, sefforçant de répondre aux mieux à ses attentes. Elle avait déjà pu apprécier la douceur de sa peau et la fermeté de son corps, mais sans pouvoir simprégner des senteurs subtiles qui en émanaient. Le fumet délicat associé aux caresses de Flora la transportait dallégresse. Flora, constatant les bonnes dispositions de sa partenaire, se détendait, mettant une certaine douceur dans ses caresses. Leurs langues explorèrent les bouches tandis que les mains partaient à la découverte des corps. Flora finit par glisser vers lentrejambe de sa partenaire et entreprit de lui lécher le sexe, la langue dardée humectant les lèvres avant de titiller le clitoris par mouvements mesurés.

Sous laction de tous ces stimulis, Noémie atteignit la jouissance, ponctuant son orgasme dun flot de cyprine dans la bouche de sa maîtresse. Flora réclama le même traitement, tâche dont Noémie sacquitta de bonne grâce.

Une fois comblée, Flora prit en bouche les seins pour lesquels elle manifestait toujours autant de fascination. Les mouvements saccadés de ses lèvres et les bruits de succion entêtants renseignaient Noémie sur la passion quentretenait sa maîtresse pour ses attributs de sa féminité.

Les deux jeunes femmes finirent la nuit dans les bras lune de lautre. Les corps en sueur mais libérés dune tension trop longtemps accumulée.

Le lendemain, Clément réintégra les appartements de Flora et remarqua immédiatement la marque violacée qui zébrait le visage de Noémie.

-Quest-ce que tu lui as encore fait ?

-Tu es bien hardi de parler ainsi ;

-Il était temps que quelqu’un le fasse !

-Et tu nes pas le mieux placé pour cela. Quant à ton oie blanche, elle na eut que ce quelle méritai. Mais rassures toi, elle a trouvé beaucoup de réconfort dans mes bras. Jai pris grand plaisir à la plumer.

Clément réagit aussitôt, et dune seule détente gifle Flora dont le visage pris aussitôt une expression stupéfaite. Puis, la colère illumina ses yeux, faisant apparaître un éclat dangereux au plus profond de ses prunelles.

-Tu naurais jamais dû me frapper et tu vas regretter amèrement ce que tu viens de faire. dit-elle dune voix métallique. Demain, je te castrerai de mes propres mains. Je te laisse ce délai pour te laisser méditer sur ton sort.

Les paupières de Noémie sétaient sensiblement rétrécies, laissant apparaître des yeux ou se lisait leffroi le plus primaire.

-Non, pas ça ! Vous nallez pas faire une chose pareille !?

La jeune file sétait rapprochée de Clément et lui tenait la main dune poigne tremblante.

-Pas de prière qui tienne. Demain, ton beau mâle sera privé de sa virilité. Quant à ta mère, esclave, tu peux loublier définitivement.

Clément fût emmené sans ménagement dans une geôle du château en attendant son supplice. Malgré les supplications de Noémie, Flora resta intransigeante et refusa de revenir sur sa décision.

Ayant besoin de trouver un exutoire immédiatement, Flora se fendit dune visite à la mère de Clément.

-Toujours en vie, cela est provisoire à ce quil me semble.

De fait, la prisonnière avait déjà atteint le stade de la cachexie et ne nourrissait plus dillusion quant à son sort.

-Que viens-tu faire ici ?

-Tapporter des nouvelles de ton fils. Jai la joie de tannoncer que demain, je vais lémasculer pour avoir osé porter la main sur moi.

-Tu nas pas le droit !

-Vis-à-vis dun esclave, jai tous les droits. Désormais, je lui infligerais une amputation pour chaque manquement vis-à-vis de moi. Quand il sera complètement estropié, il finira par revenir vers de meilleures dispositions.

-Si tu touches à mon fils, je te tue de mes propres mains, sale putain !

— Crois-tu vraiment mimpressionner ? Tu ne peux quagir verbalement. Ce nest pas mon cas. Lorsque tu pousseras ton dernier soupir, ce qui ne devrait tarder, tu nauras droit à aucun sacrement. Je ferais jeter ta dépouille en pâture aux cochons dans la porcherie. Je me délecte déjà de voir leurs groins rougis de ton sang lorsquil te dévorerons les entrailles. Il ne restera rien de toi. Les charmantes bestioles vont te broyer les os et avaler jusquà ta moelle.

-Tu paieras pour tous tes crimes !

-Rien nest moins sûr. Dailleurs, une idée me vient à lesprit. Il serait amusant de donner les parties intimes de ton fils à une truie pour quelle sen régale. Je crois même que je vais le faire moi-même. Après tout, les plaisirs sont plutôt rares ici. Mieux vaut ne pas laisser passer cette occasion de samuser.

-Tu brûleras en enfer, sale garce !

-Même si cela se concrétisait, mon sort serait encore bien enviable comparé au tient.

Sur cette dernière sortie, Flora prit congé de sa prisonnière.

Au cours de la soirée, une grande agitation sempara du château. Un espion avait été découvert fortuitement parmi le personnel. Une armée de mercenaires renégats sévissait en effet dans la province et cet élément ne pouvait être quun des leurs.

-Où est le gros de votre horde ? Quels sont vos projets immédiats ?

Lhomme gardait un silence butté face à Flora.

-Parle ou je te forcerai à coopérer.

Linconnu ne réagissait pas, se contentant de regarder son interlocutrice sans rien laisser paraître.

-Très bien ! Quon le conduise à la salle de torture, je vais linterroger moi-même.

La salle, sinistre et sombre à souhait, se situait dans les profondeurs du château. On ne pouvait y accéder quen empruntant un étroit couloir en colimaçon desservi par un escalier aux marches ébréchées.

-Alors, tu nas toujours pas lintention de te montrer raisonnable ?

Une gifle cinglante vint frapper lhomme qui ne manifesta aucune émotion. Au contraire, une lueur ironique commença à apparaître au fond de ses yeux inexpressifs quelques secondes auparavant. Cela néchappa point à Flora dont la colère décupla.

-Je vais faire disparaître linsolence qui je lis dans ton regard.

Se saisissant dune braise avec une pince métallique, elle la porta tout prêt des yeux de son captif.

-Je pourrais te brûler les yeux mais je préfère que tu puisses tout voir. Sinon tu manquerais le meilleur.

Se saisissant dune hache, elle en éprouva le tranchant avant deffectuer quelques moulinets, faisant siffler lair autour du prisonnier. « Avec cet outil en main, je vais mutiler Clément du premier coup et sans aucune difficulté »pensât-elle.

Elle se saisit dune barre de fer quelle introduisit sans ménagement dans le fondement de lhomme qui se tortilla vigoureusement, un rictus de douleur sur le visage.

-Tu te décides à parler ou je lenfonce plus profond ?

-Très bien.

La jeune fille enfonça la barre métallique très vigoureusement, le propulsant aussi loin que possible, forçant tous les muscles .Lhomme poussa un hurlement de douleur tandis que Flora, imperturbable, tentait daller plus loin, ahanant sous leffort.

-Je vais te fouiller les entrailles jusqu’à te faire ressortir ceci par la bouche sil le faut. Et je ne parle pas dans le vent.

Très vite, lhomme perdit connaissance, se réfugiant dans un miséricordieux évanouissement.

-Ah non, ce serait trop facile.

Un seau deau fit émerger lhomme de son inconscience.

-La prochaine fois, je te brûlerai avec un tison pour te ranimer. Tu auras un réveil moins agréable. Mais reprenons notre tâche.

Flora continua à enfoncer la barre de fer dans le fondement de lhomme doù séchappait à présent un liquide sombre et visqueux.

-Je déchirerais tout dans ton ventre de fils de putain mais tu parleras ou je te ferais crever sur place. Je te promets une mort lente et douloureuse.

-Flora, je pense quil faudrait pimenter la chose en lui introduisant une barre chauffée à blanc dans le derrière.

Lhomme savisa de la présence de cette jeune femme jusqu’à présent dissimulée dans lombre. Caroline avait en effet tenue à assister à la séance, émoustillée par avance du spectacle. Elle faisait déjà chauffer une barre de fer dans un brasero, donnant le métal à rougir à la chaleur des flammes.

Ayant atteint le dernier stade de la souffrance et nayant pas envie de subir cette dernière torture, le captif fini par céder et livra à Flora toutes les informations quelle souhaitait obtenir.

-Bien. Si tu mavais révélé tout ça sans plus de manières, tu te serais évité bien des désagréments.

Et après un bref instant :

-Il est à toi Caroline, amuses toi bien.

-Vous maviez promis !

-Moi ? Oui. Mais elle non. Fallait-il le préciser ? En tout cas, laffaire ne me concerne plus.

Flora quitta la pièce. Ce ne fût quune fois arrivée à mi-parcours de lescalier quelle entendit un cri inhumain, sorte de hululement venu dentrailles mises à vif. Le tout répercuté à linfinie entre les parois de pierre.

« Il faudra que je pense à faire jeter cette charogne dans un trou dans la forêt. pensât-elle. Après tout, il nest pas rare de trouver des corps au bord des chemins au petit matin .Surtout après une rencontre expéditive avec de prétendus brigands. »

Après mûre réflexion, Flora décida de faire taire son orgueil et proposa un marché à Clément. Sil acceptait de prendre le commandement de la troupe de lancien seigneur, son supplice lui serait épargné.

-Certes, ta proposition et intéressante, mais il faudrait également que tu nous affranchisses et que tu quittes les lieux dans la foulée.

-Et tu crois que je vais accepter de telles conditions ?

-Oui, car tu es tout sauf une imbécile et tu sais quen cas de défaite des tiens, tu risques de perdre plus quune possession territoriale. Et ne compte pas sur une intervention des troupes royales. Tes pratiques relèvent du moyen-âge alors que nous sommes désormais sous lautorité de la couronne de France. Ta féodalité risque dêtre mal perçue à Versailles.

-Je possède encore des réserves.

-Oui, mais pas en nombre suffisant, surtout contre des éléments aguerris. Le gros des gens darmes de ton père sont avec lui en Autriche pour lutter contre les troupes de lempire Ottoman et elles ne risquent pas de revenir de campagne sous peu. En admettant quelles reviennent un jour.

Flora réfléchissait à toute vitesse. Il est vrai que les Turcs assiégeaient Vienne depuis un an déjà en cette année 1684 et nul ne savait ce que lavenir réservait.

-A prendre ou à laisser, Jolie demoiselle .Et mes anciens compagnons darmes ne se battront pas sils ne sont pas fixé sur leur sort par avance. On nobtient rien pour rien en ce bas monde.

Se saisissant de Noémie, Flora pointa la lame acérée dun poignard vers le cur de la jeune femme.

-Si tu nassures pas la défense du domaine avec succès, je pique au cur. Cette mort te sera plus cruelle que la tienne.

-Si je peux réussir, je réussirais, et tes menaces ny seront pour rien. Maintenant, range ce poignard et laisse Noémie tranquille. Les termes de notre accord sappliquent à partir de cet instant.

-Très bien, il en sera ainsi.

-Et bien sûr, tu fais libérer ma mère immédiatement.

Lancée avec peu de moyens et sans grande conviction, la timide attaque ennemie naboutit pas. Le tout se résuma à quelques escarmouches au cours desquels quelques coups de feu tirés par les mousquets suffirent à mettre en déroute un ennemi dont le château ne figurait pas parmi les objectifs.

Flora neût pas dautres alternatives que de tenir sa promesse face à une troupe plus nombreuse que la sienne. Elle sexécuta avec une rage mal dissimulée et enfourcha son cheval, cavalière montant en amazone se découpant dans un ciel teinté de sang par le soleil couchant. Le crépuscule tombait déjà en cette fraîche soirée dautomne.

-La prochaine fois, toi et Noémie, je vous entraverais et je vous emmènerais aussitôt dans le château familial. Il ne sera plus question déchappatoire.

-A la bonne heure Flora .La chance na quun seul cheveu, il faut savoir le saisir. Je doute toffrir cette joie un jour.

Sur ce, Clément porta une tape sur la croupe du cheval qui sélança à travers la prairie, emmenant sa délicieuse cavalière vers dautres horizons. Clément venait tout juste de sapercevoir que la nature avait revêtu ses atours dautomne, couleurs sombres mêlées aux teintes multicolores de certains arbrisseaux qui jalonnaient les chemins du domaine.

Flora cavala encore quelques instants avant de disparaître derrière un bosquet.

Clément sen revint auprès de Noémie qui le regardait venir à elle, avec dans le regard lexpression du regret de son innocence dont les rives, ce soir, séloignaient à jamais.

FIN

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