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Alice au pays des cartes vermeil – Chapitre 3




Les jours suivants, Alice sétait astreinte à suivre le régime étrange de son grand-père. Outre une alimentation à base de sperme et ses courses folles dans la campagne, les orgasmes à répétition quelle endurait sous les doigts et la langue de papy Louis lavaient fait fondre de près de 5 kilos !

Un soir que la jeune femme était allongée dans son lit en train de lire, elle entendit le fauteuil roulant de papy Louis approcher de son alcôve dans un léger grincement. Son grand-père écarta le rideau de velours et manuvra son fauteuil pour le placer contre le petit lit :

— « Jarrive pas à dormir », se plaignit-il

Alice connaissait le remède à ces insomnies et posa une main sur la cuisse de son grand-père. Elle la fit glisser lentement jusquà laine où elle sentit sous ses doigts la colonne de chair qui prenait déjà de belles proportions et tendait le tissu du pyjama :

— « Oh ! Pauvre papy qui narrive pas à dormir », minauda-t-elle. « Attends, je sais ce quil te faut » Elle descendit le pantalon de pyjama et approcha ses lèvres de la bite gonflée de désir.

Mais papy Louis ne lentendait pas de cette oreille. Il demanda à Alice de se pousser contre le mur et en se tortillant, vint sallonger contre la jeune femme qui lui tournait le dos. Le manque de place avait obligé Alice à lever largement une jambe pour la passer au-dessus de celles de son grand-père et ce dernier sétait littéralement niché entre les fesses de sa petite fille. Alice sentait lénorme boudin de chair buter contre son cul et un frémissement craintif la parcourut. La situation était nouvelle. Jusqualors papy Louis se contentait de jeux innocents mais cette fois-ci, les choses avaient lair de prendre une nouvelle tournure :

— « Tu Tu ne vas pas menculer hein ?

— Non, pas tout de suite mais savoir ton trou de balle si serré et si accueillant juste là, sous ma queue, men donne sacrément envie ! Attends : laisse-moi tripoter ta chatte »

Alice écarta les cuisses comme elle pût et laissa les doigts de son grand-père parcourir sa toison. A cause de la promiscuité et de lexcitation qui la gagnait, elle avait incroyablement chaud et des filets de transpiration lui coulaient le long du ventre et du dos. Elle ne savait même plus si cétait de la sueur ou de la mouille qui tapissait les replis de son sexe mais papy Louis y englua ses doigts en la faisant gémir. Sa bite avait réussi à se nicher elle aussi dans les replis baveux et papy Louis en saisit lextrémité pour taquiner le clitoris à laide de son gland. Alice avait limpression dêtre caressée avec une éponge dune incroyable douceur. En ondulant du bas-ventre, elle sentit une mouille épaisse ruisseler littéralement dans sa chatte.

Elle ne se rendit pas compte que la bite de Papy Louis se nichait de plus en plus profondément entre les petites lèvres de son sexe et quand elle écartela lentrée du vagin gluant de sécrétions, il était déjà trop tard. Papy Louis avait entamé une lente poussée et fit pénétrer sa bite dun bon tiers dans le ventre de la jeune femme. Une brûlure intense mais brève lui arracha un cri. Alice avait limpression de vivre un accouchement à lenvers. Comme si la tête du bébé quelle avait vu lors dun stage à lhôpital apparaitre entre les cuisses écartelées dune femme qui accouchait, rentrait au lieu de sortir. En grimaçant, elle posa une main sur la hanche de son grand-père pour bloquer sa progression et pour shabituer à la colonne de chair qui lui remplissait le ventre. Dune main passée sous le corps dAlice, papy Louis avait saisi un sein quil malaxait en étirant le téton. De lautre, il écartait la raie du cul pour faciliter la progression de sa bite. Celle-ci senfonçait de plus en plus profondément, par petits à-coups.

Alice avait des étoiles qui dansaient devant ses yeux. Un peu éblouie, elle sentait des ondes de plaisir lui parcourir le ventre et remonter le long du dos jusquà la nuque. Elle ne savait plus vraiment où elle était tant la sensation lui paraissait irréelle et elle se mit à pousser de petits gémissements vite étouffés par la main de son grand-père pour ne pas alerter la maisonnée.

Papy Louis était enfoncé jusquaux couilles dans le vagin dAlice. Celui-ci, incroyablement serré lui comprimait la queue de façon délicieuse et il dut faire un effort considérable pour ne pas jouir tout de suite. Il entama un lent va et vient, facilité par la mouille abondante qui coulait du vagin. Contre lui, la jeune femme respirait bruyamment, essayant de retenir ses cris de plaisir sous la main qui lui bâillonnait toujours la bouche. Lorsquelle sentit un orgasme monstrueux monter dans ses entrailles, elle se mit à faire des mouvements de plus en plus désordonnés et à couiner avant de mordre violemment la main de son grand-père en jouissant.

Celui-ci parvint à la retourner sur le ventre et au risque de létouffer lui enfonça la tête dans loreiller. Dans cette position, sa bite coulissait avec encore plus de facilité dans les entrailles de la jeune femme et papy Louis lui infligea des coups de reins de plus en plus puissants. La bouche tout près de loreille de la jeune femme, il lui murmura : »

— « Tu aimes ça hein ? Tu aimes ma bite qui te ramone la chatte ? Moi je sens ton gros cul contre moi et ça mexcite. Tu verras, ça sera encore meilleur quand je te sodomiserai et quand je lâcherai mon jus de couilles dans ton derrière. Là tu pourras danser et couiner comme une bonne petite salope ! »

Sous leffet de ces mots crus et des coups de boutoir quelle subissait, Alice jouissait sans retenue. Un deuxième orgasme la secoua quand elle sentit les jets brûlants de son grand-père asperger sa matrice et elle étouffa des hurlements dans loreiller. Le corps trempé de sueur et le cur battant la chamade, Alice sentit son grand-père saffaler sur elle de tout son poids et passer une main sous son ventre pour glisser un doigt sur son clitoris tendu à lextrême :

— « Jai pris une pilule de Viagra ce soir et je ne vais pas débander tout de suite. Si on en profitait pour remettre ça ? »

En ondulant doucement du ventre pour accentuer la pression du doigt sur son bouton, Alice répondit :

— « Oui papy ! Je veux encore jouir De la chatte et du cul »

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