4 Vie de famille
Le lendemain matin Marie se réveilla et son esprit fut rapidement envahit des événements de la veille. Le tourbillon démentiel provoqué par lexcitation et lalcool cétait dissipé, lorgie sexuelle de la nuit précédente lui semblait surréaliste et la perturbait fortement.
Comment avait t-elle put sadonner a de tels actes ? Son esprit était en lutte, sa morale la faisait se sentir salle, souillée et détestable. Elle culpabilisait de sêtre adonnée a des actes aussi ignominieux. Pourtant elle sentait son corps réagir à ses souvenirs, notamment entre ses cuisses. Etait til possible quelle soit réellement attiré par de telles pratiques, par des conduites aussi malsaines ?
Elle retrouva sa mère dans la cuisine qui lui dit bonjour, mais totalement perdue dans ses réflexions elle resta prostrée dans un mutisme.
« – Ca vas ma chérie ? »
« -Non. »
« -Qui a til, cest par rapport a hier soir ? »
« -Évidemment, que veux- tu que ce soit dautre, ce que nous avons fait est totalement abject, ça ne te pose pas de problème a toi ? »
« -Voilà tes principes qui reviennent. »
« – Bien sur quils reviennent, hier javais trop bu et vous avez abusé de moi. »
« -Je nai pas eu cette impression. Tu savais parfaitement ce qui tarrivait et tu las apprécié. »
« -Et bien cest faux, tout ça était horrible. »
« -Allons, je suis ta mère et jétais là, ne me raconte pas dhistoire. »
« -Vous mavez violée »
« -Tu étais parfaitement consentante, ne te raconte pas dhistoire pour te déculpabiliser. »
« -Mais enfin maman, tout cela est si anormal, si, si immoral. »
« -Hé bien cest cela qui le rend si excitant, si bon. Je vais te donner un conseil, ne rejette pas tes pulsions sinon tu souffriras, comme je lai fait. »
« – A propos de ça, jai bien compris ce qui cétait passé entre toi et grand-père. »
« -Ah oui ? »
« -Tu tes enfui parce que tu couchais avec lui et que tu es tombée enceinte. Tu savais que cétait mal, de forniquer avec son père. Cest dépravé, cest un crime, alors tu as eu honte et tu tes enfuie. Ce que je ne comprends pas cest pourquoi est tu revenue et pourquoi tu veux mentraîner avec toi maintenant ? »
« – Parce que je me trompais, jaime mon père et je ferais tout pour lui. La morale puritaine je lui crache dessus, elle a gâché plusieurs années de ma vie. Cela mas pris du temps mais jai fini par comprendre que dêtre loin de lui me détruisait. Et je lui ai permis de taimer aussi parce que cest ce qui peux tarriver de meilleur.»
« -Comment tu peux dire ça, tu es folle ! Ton esprit est malade et tu veux me compromettre dans votre relation. Ca te rassure de te dire que tu nes pas seule a être perverse, mais je ne suis pas comme toi. »
« – Ne lutte pas Marie, jai vu comment tu le regardais et comment tu as jouis hier soir. Accepte le, fait table rase de toute ces conneries moraliste et adonne toi a toute tes envies, sinon tu ne seras jamais satisfaite. »
« -Mais enfin maman ce nest pas possible dentendre ça. Tout seffondre autour de moi, tout me semble si irréel, toutes les valeurs que tu nous as apprises tu les fais maintenant voler en éclat. »
« -Oui car elle sont fausses, elles mont longtemps induit en erreur et comprend que si javais respecté ces valeurs idiotes tu ne serais pas là aujourdhui. »
« – Cest vrai, je suis votre enfant, lenfant de la honte et du péché! »
« – Tu es lenfant de lamour le plus pur et le plus puissant qui existe, celui du sang. Cest cela que je navais pas compris ma chérie. Je me trompais lourdement quand je me suis enfuie dici. Ne fais pas la même erreur, libère toi de ses carcans qui emprisonnent ton esprit. Ecoute ton corps, il sait ce dont tu as besoin.»
« -Mais si je fais ça, cest réagir à ses plus bas instincts, comme les animaux. »
« -linstinct nous guide parfois bien mieux que la raison. »
Je mapprochais de ma fille et la pris dans mes bras, Marie avait besoin de ce réconfort. Au fond delle, elle savait que malgré toutes ses répulsions, elle voulait encore faire lamour avec nous. Mais elle ne comprenait pas pourquoi, elle cherchait désespérément une explication à ses envies dépravées.
« – Je suis le fruit de votre inceste, lenfant de, de, de la fornication incestueuse. Je suis lincarnation de votre perversion. Maman, je suis damnée et corrompue depuis ma naissance, depuis ma conception. Je suis donc moi-même impure et dégénérée. »
Il me fallait abattre les dernières barrières pour la délivrer, quelle accepte ses tendances sexuelles. Linceste, le lesbianisme et probablement bien dautre à découvrir.
« -Ne dis pas nimporte quoi Marie. Personne ne né déjà souillé de quoi que ce soit ! Mais oui, tu es née dun inceste, un inceste consenti, un inceste résultant dun grand amour. Et si tu as hérité dune chose cest juste de mon grand appétit pour le sexe et la virtuosité avec laquelle tu le pratique. Tu es tombée amoureuse de Guy comme moi, cest un homme il ny a rien de mal a ça. »
« -Cest mon grand-père et mon père. »
« -Oui, mais il taime, il ne te ferra jamais de mal et tinitiera a des plaisirs sans fin. Je sais que cest ce que tu désire au plus profond de toi. Seule la barrière morale de ton esprit tempêche dy accéder. »
« -Maman, cest si, cest si »
« -Je tai bien regardée hier soir, tu as pris beaucoup de plaisir et je devine que tu as envie den avoir encore. »
« – Oui, mais »
« – Considère maintenant que ce nest quun aperçut, tu imagine tout ce que tu pourrais découvrir et ressentir. Laisse nous touvrir ces portes.»
« -Maman, elles elles sont interdites, cest »
« -Jai constaté que tu es aussi très douée pour donner du plaisir, vraiment très douée. »
« -Cest vrai ? »
« -Oh que oui. »
« -Maman. »
Je ne laissais pas Marie continuer, je savais que cétait désormais inutile, quelle était prête. Je collais mes lèvres aux siennes et lembrassais. Ma langue se glissa dans sa bouche, Marie fit de même. On sembrassa longuement, éperdument. Je lui caressais les seins qui avaient durcis à travers sa chemise de nuit. Je lui fis glisser des épaules et elle tomba à terre laissant Marie nue au milieu de la cuisine. Je là poussai contre la table, lui faisant poser ses jolies fesses dessus. Je lui écartai les cuisses et en magenouillant y plongeai le visage. Jadministrai de furieux coups de langues sur la chatte de Marie qui se mit aussitôt à gémir. Ma fille dégoulinait de jus dans ma bouche et sur mon visage, elle était au bord de la jouissance quand je cessai lapement. Marie frustrée supplia :
« – Encore maman, continue cest si bon. »
« -Attend un peu mon amour, une cuisine recèle de trésor dévoué au plaisir, du moins si on a un peu dimagination. »
« -Que veux-tu dire ? »
« -Tu vas voir. »
Aussitôt je memparais dune bombe de crème chantilly et dun concombre avec un sourire coquin. Jappliquais lembout de la bombe sur la fente de Marie et projetais de la crème dessus. La fraîcheur et la douceur de la chantilly transmirent un frisson à Marie. Je me dépêchais de la récolter tout en ly étalant de ma bouche. Lopération se répéta plusieurs fois et Marie me félicita de mon idée. Je répandis la chantilly sur tout son corps. Je la dispersais sur ses tétons que je suçai avidement ensuite, je létalais aussi abondamment sur son ventre. Enfin je lui en enduisis les lèvres que je léchais aussitôt. Marie ouvrit la bouche et la crème sy déversât avec abondance, puis on se roula une pelle gargantuesque. Quand nos bouches se séparèrent, je glissais vicieusement la bombe entre les cuisses de Marie et introduisis lembout dans sa fente. Je la fixais du regard, elle mencouragea.
« – Vas y maman appuie. »
Instantanément elle sentit la crème se rependre en elle telle une immense décharge de foutre onctueuse. Je la fis allonger au sol, me déshabillais et collais ma chatte a la sienne après lavoir également remplie de crème. On se frotta les fentes enlacées en ciseaux dans un clapotement de chantilly. Notre masturbation dura un grand moment durant lequel nous échangeâmes de langoureux baisers. On se massa et se lécha également les seins, tout en se pelotant les fesses et en introduisant même quelques doigts dans nos anus. Enfin je saisis le concombre, y déposais a chaque bout une noix de crème et vint caresser avec lun deux la fente de ma fille. Comme auparavant je linterrogeais du regard.
«- Tu peux lenfoncer, maman, tu peux tout me faire. » prononça Marie dans un halètement fiévreux de désir.
Avec un sourire satisfait, je poussais le légume, les lèvres vaginales de ma fille souvrirent et le concombre pénétra en elle. Je ly fis aller et venir soutirant des plaintes jouissives de Marie. Je rapprochais mon entrecuisse pour reprendre notre position précédente. Le concombre me pénétra de son autre extrémité. Nos hanches se balançaient en rythme se retirant puis se renfonçant sur le long et dur légume. Quand nos clitoris se touchaient nous pratiquions quelques mouvements circulaires, ce qui accentuait notre plaisir. Le concombre ruisselait de mouille et de crème, il nous prenait, nos langues sunissaient et nos jouissances furent nombreuses et dévastatrices. La sueur perlait sur nos corps souillés de chantilly, la satisfaction était peinte sur nos visage, cest a ce moment que papa fit son apparition.
« – Bonjour mes chéries. »
« – Bonjour papa. »
« – Je vois que vous commencez agréablement la journée. »
« – Japprenais à Marie à ne pas réfréner ses envies. »
« – Quelle bonne idée, ça te plait ce que tenseigne ta mère ? »
« – Oh oui grand-père, elle sait comment sy prendre. »
« – Je vais également tinstruire, les leçons du matin sont celle que lon retient le mieux. »
Guy ouvrit son peignoir sous lequel il était nu, il sempara de la bombe de chantilly et en aspergea sa queue puis loffrit a nos bouches avides. Alors quon le suçait il nous bombardait le visage mais aussi sa bite et ses couilles de crème. Toujours enchevêtré avec ma fille, il se mit entre nous et laissant sa queue à Marie il moffrit son cul. Papa fit couler de la crème le long de sa raie, elle se déversait dans ma bouche alors que je lui léchais lanus. Il approcha rapidement de la jouissance, aussi il nous interrompit. Il fit allonger Marie sur moi, le concombre toujours fiché dans nos chattes, puis il inséra lembout de la bombe dans lanus de sa petite fille. Avec un sourire pervers qui métait destiné, il appuya, déversant la chantilly dans les boyaux de Marie. Son cul dégoulinait de crème, son rectum rejetant le trop plein de blancheur. Papa bandait comme un taureau, il positionna son chibre sur le petit trou de ma fille, mais sentant cela, elle protesta.
« – Non grand-père, pas ça, je ne lai jamais fait. »
« – Ne tinquiète pas, je serai très doux. »
« – Jai peur davoir mal. »
« – Ai confiance mon amour, la rassurais-je, il ne te fera jamais de mal. Ton père sarrêtera si vraiment tu naime pas ça. »
« – Cest vrai, papa, si je te dis darrêter, tu le feras. »
« – Bien sur, ma princesse, je taime et je ne te ferai jamais souffrir. »
Guy poussa sur ses hanches, son gland força avec douceur sa collerette imbibée de crème. Quand le gland fut à demi entré, il lui caressa le dos et lui susurra :
« – Jaime quand tu mappelle papa. » Marie miaula en retour :
« -Jaime être ta princesse, jaime être a toi, jaime lidée que tu mencule et que tu fasses de moi ce que tu veux. Je taime papa. »
Papa nen pouvait plus, ses mots lexcitèrent au plus haut point et il dut se maîtriser pour continuer à la pénétrer avec douceur. Quand il fut bien en elle, il restât quelques instants sans bouger pour que son cul sacclimate à cette intrusion. Marie haletait, je lembrassais pour la rassurer et lencourager. Jagitais également mon bassin pour mouvoir le légume dans la chatte de ma fille. Guy sanima enfin avec délicatesse, faisant attention a ne pas brusquer ses premiers vas et viens. Marie émis un râle, lenculage avait été douloureux mais supportable. Par contre les premiers mouvements de son grand-père furent atroces et elle faillit lui demander de tout arrêter, mais elle voulait lui faire plaisir et elle serra les dents. A sa surprise, la douleur sestompa assez rapidement, puis le ravissement naquit dans ses intestins. Un feu salluma dans ses entrailles décuplé par celui que je lui procurais. Bientôt un énorme brasier la consumait et son plaisir fut immense. Son père /grand-père, lui pétrissait les seins, lui léchait la nuque et lui caressait le clitoris tout en lenculant. Moi, sa mère /sur, je lui léchais les seins, le cou et lembrassais a pleine bouche tout en la baisant avec un concombre. Papa la pilonnait comme une bête furieuse, je lexhortais avec véhémence.
« -Vas y papa, encule là, encule ta petite fille. Défonce-lui le cul, cest une bonne chienne, une bonne salope de fille comme sa mère. » A ma surprise Marie me rejoint dans ma verve perverse.
« – Oui papa, encule moi, défonce moi le trou du cul, je suis ta pute, ta chose, ta chienne, ton esclave. Oh papa, cest bon, cest bon, cest merveilleux. Guy ni tint plus, il jouit dans un hurlement sauvage, éjaculant tout son foutre dans le cul de Marie. Il propulsa de long et nombreux jets de sperme chaud dans ses entrailles. Nous ses filles jouirent à notre tour, celui de Marie fut si intense quelle faillit perdre connaissance. Nous restâmes un moment dans cette position vautrés et imbriquées les uns dans les autres en échangeant des baisers de langues humides et baveuses à trois. Papa se retira, libérant lanus de Marie qui se mit aussitôt à laisser écouler le résultat de leur accouplement. Elle se releva à son tour, laissant le concombre planté dans ma chatte. Javais les yeux fermés récupérant de cette séance torride quand je sentis des gouttes frapper mon visage. Je vis alors le cul de ma fille se coller sur ma bouche, cette petite salope apprenait vite et devenait très rapidement vicieuse. Je lui écartais les fesses pour faciliter lincursion de ma langue dans cet orifice fraîchement dépucelé. Je buvais littéralement le sperme de mon père qui jaillissait de lanus de ma fille. Marie quand a elle retira le concombre de ma chatte pour me la lécher. Papa était ébahi par notre appétit sexuel. Il bandait de nouveau et dit à Marie décarter sa tête pour quil me prenne. Elle obtempéra et écartât de deux doigts mes lèvres. Une fois papa en action, elle retourna vers ma bouche pleine de sperme ou elle vint déguster le foutre de notre père en échangeant un très long baiser. Papa finit par jouir dans ma chatte, la chatte de sa fille et Marie nettoya avec bonheur de sa bouche les sexes de ses parents. Quand elle eut fini elle me posa une question irréelle.
« -Maman, tu es encore jeune. Papa pourrait te mettre enceinte encore au moins une fois. Ca te plairait ? »
« -Jai adoré être enceinte de lui et si il le souhaite je serais vraiment heureuse de porter un autre de ses enfants. »
« -Tu imagine maman on serait enceinte de papa en même temps, ça serai génial ! »
« -Hé bien tu es totalement libéré des principes moraux que tu arborais il a encore quelques minutes a ce que je vois. »
« -Oui tu mas convaincue, jaime le sexe, jaime baiser avec vous et je vous aimes. Alors nous deux enceinte de papa tu en dis quoi ? »
« -Le pied, surtout quil adore baiser des femmes enceintes. Il va être insatiable quand on aura nos gros ventres. »
« -Oh oui, ça mexcite énormément. Quel bonheur quand ça arrivera ! »
On baisa ainsi toute une semaine quand un matin le téléphone sonna. Cétait Anaïs qui voulait revenir, elle avait lair ébranlée, une chose grave cétait produite mais elle ne voulait rien me dire au téléphone.
A suivre dans la saison 2 : le retour dAnaïs