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Carole: dans la cabine d'essayage – Chapitre 2




Avec Virginie et les Cagoulés

Il est dix neuf heures, le carillon retentit. Cest Virginie, la vendeuse du grand magasin où jai acheté tout à lheure ma jupette à volants. Elle arrive la premièreelle ignore que jattends également les deux jeunes que jai allumés en passant la jupette dans la cabine dessayage.

    Comme à mon habitude, cest dans la tenue dEve que je lui ouvre la porte. Elle nen semble pas surprise et je lui propose aussitôt de se mettre à laise. Elle est moulée dans une petite robe noire qui lui colle à la peau et dessine merveilleusement ses fesses et ses seins aux mensurations généreuses. Auburn, cheveux courts, yeux dorés en amande, rieuse et mutine elle me parait encore plus sexy quau magasin tout à lheure. Elle descend la fermeture éclair jusquau nombril, libérant sa belle poitrine aux larges aréoles très brunes. Je ne peux retenir mon admiration et tandis quelle se hisse sur un tabouret du bar, je lui propose un petit cocktail de ma fabrication à base de gin. Nous trinquons, et malicieusement japplique mon verre entre ses seins, puis le promène contre ses tétons. La sensation de froid ne tarde pas à les faire dresser très forttout en lui donnant un baiser langoureux, je descend complètement la fermeture éclair, et fait glisser au sol sa robe. Son string cache encore son intimité.

La prenant par la taille, je laide à descendre du tabouret. Perchée sur ses hauts talons, ses fesses cambrées et charnues ont des courbes plaisantes que je me hasarde à caresser. Elle plaque alors ses mains sur mes fesses et me presse contre elle. Nos poitrines se touchent, se frôlent. Nos tétons se frottent et gonflent encorequelles merveilleuses sensationsdepuis le temps que jétais en manque !…jai passé deux doigts dans lélastique et fait glisser son string tout en maccroupissant devant elle. Sa chatte est aussi glabre que la mienne et je viens y poser un baiser légerelle frémit et me passe les mains dans les cheveux, pressant ma tête contre son ventre.

Elle se hisse de nouveau sur le tabouret et cette fois, les cuisses écartées, cambrée en arrière, mattire de nouveau le visage entre ses jambes, moffrant au regard ses chairs épanouies et déjà dégoulinantes. Je passe ma langue entre les deux petits anneaux qui traversent ses petites lèvres en ailes de papillon. Sa chatte ressemble à la mienne. Cherchant la meilleure position et le meilleur endroit pour se câliner, je lentraîne sur ma terrasse. Nous nous asseyons sur mon tapis de gymnastique installé sur lestrade, à coté du jacuzzi,. Tandis que nous sirotons notre apéro, Virginie scrute lhorizon, lève les yeux vers la terrasse du dessus, visiblement inquiète du voisinage :

— Tu sais Carole, moi je nai pas lhabitude de mexhiber comme toi ;

— Ne tinquiètes pas, Virginie, tous les jours, cest ici que je fais ma gym à poil. Je fais ainsi le bonheur de quelques voisins voyeurs qui me mâtent. Certains, de limmeuble den face sortent même le téléobjectifs !..je men amuse beaucoup et eux, si ça leur fait du bienpourquoi sen priver ? Quand jen découvre un, je lui fais mon show : grosses lunettes noires, grand écart, et je sors mon gode pour me branler la chatte. Bref le grand jeu. Alors aujourdhui, mes voisins vont être ravis avec une nouvelle nana à mater !…

— Oh, là là !..mais je ne suis pas si bien que toi !..

— Ne sois pas trop modeste !.. tu es fort sexy avec de belles formes généreuses mais élégantes. Tu me plais beaucoup !..cest lessentiel !..

Un peu plus détendue, à peine fini son verre, Virginie sallonge sur le tapis, et tel un appel, presse sa poitrine. Sans la faire languir, je mallonge aussi à côté delle, et, cuisses emmêlées nous commençons à nous caresser puis nous doigter : nos doigts senfoncent et coulissent sans difficultés dans nos vulves mouillées. Nous allons toutes deux nous besogner ainsi un petit moment. Nous nous accordons un voluptueux 69, puis je sors dun tiroir un énorme gode double dune bonne longueur. En un grand soupir de plaisir, je lempale dans ma grotte et propose lautre bout identique à Virginie, un peu hésitante à enfiler un tel chibre dans sa petite chatte. Nous sommes face à face, cuisses relevées, et javance mes fesses vers les siennes, présentant lengin entre ses petites lèvres. Alors, cest elle, soulevant son bassin, qui vient senfoncer profondément sur le gode, me provoquant ainsi un puissant orgasme. Alors dans un rythme effréné, ponctué des gémissements peu discrets de ma partenaire, nous nous branlons sans retenue sur lobjet tout entier absorbé par nos vagins gourmands. Nous sommes une nouvelle fois toutes deux en plein orgasme lorsque retentit le carillon de la sonnette.

— Tu attends quelquun ? sexclame inquiète Virginie.

— Oui, cest une surprise qui ne devrait pas te déplaire !..

— Comment çàmais je .

— Chut, calme toi. Tu vas voir ce que je tai préparé. Ça devrait te faire plaisir ?

— Ah oui ?..bien surmais là, tu me bouscules !.. ça va trop vite !..

Deuxième carillon, jactionne la télécommande de la porte de limmeuble et laisse la porte entrouverte.

— Virginie, baiser avec un jeune vigoureux et plein dallant, quen penses-tu?

— Évidemment, ça me fait envie, mais tu me prends pour une couguar ?

— Et alors, jen suis bien une moi aussi !.. quel mal y a-t-il à se faire ramoner par une jeune bite vigoureuse ?

— Oui, mais enfin faut-il que je sois accro de toi pour me laisser mener comme çà !..

— Virginie, tu es empêtrées dans tes contradictions.la morale ou le plaisir !…moi il y a longtemps que jai choisi mon camp !…

    Devinant, bien avant son arrivée, les réticences que pourrait avoir, bien légitimement, Virginie à me suivre dans mes fantasmes, jai préparé toute une mise en scène avec les deux jeunes rencontrés tout à lheure à la cabine dessayage. Ils avaient très envie de baiser avec moi, alors je leur ai imposé mes conditions. Je leur avais proposé deux magnifiques masques vénitiens qui auraient eu un caractère plus romantique, mais, dans ces conditions ils préféraient porter leurs cagoules de motard pour cacher leur visage. Ça ferais plus banlieue et SM, pensaient-ils. Pourtant Ils ne se doutent pas quon est deux et quon va les recevoir à poil

Juste avant que nentrent nos visiteurs, Jentraîne Virginie dans le jacuzzi où nous nous immergeons jusquau couEt voilà que se pointent Boris et Vivien. Comme ils me cherchent, je les appelle, et ils nous découvrent toutes deux dans le jacuzziils semblent décontenancés

— Déshabillés vous, et venez nous rejoindreil fait si bon dans leau bouillonnante !..

Ils ont lair gauche et embarrassés, mais nosent rien dire de peur de tout perdre ils savancent nettement plus timides quau magasin tout à lheure. Ils ont forcément reconnu Virginie la vendeuse. Ils ont gardé leur caleçon et bien sûr leur cagoule blanche. Le deal pour avoir droit à baiser. Virginie affiche de nouveau une certaine inquiétude, à la vue des cagoules. Je lui explique que cest mon idée, pour donner du piment à cette rencontre impromptue. Elle se détend, sallongeant un peu plus dans le bain.

— Alors, les jeunes, nous sommes impatientes de découvrir vos outils ?..Quattendez vous pour tout enlever ?lancé-je le sourire coquin.

Alors ils descendent lentement leur culotte, libérant de belles bites encore molles mais prometteuses. Virginie nen perd pas une, et semble résignée à mon plan. Je me lève pour masseoir à coté de Virginie et propose aux jeunots de sasseoir face à nous. Dés quils sont installés, leurs attributs immergés, ils commencent à se détendre. Je tend mes jambes entre les cuisses de Boris, puisquil a choisit de me faire vis-à-vis, et commence à lui caresser lintérieur des cuisses, remontant jusquà sa verge. Celle-ci ne tarde pas à se tendre et je lenserre entre mes orteils. Je maperçois que Virginie fait de même avec Vivien. Dommage, la cagoule nous cache leurs réactions.

Nous nous rapprochons les uns des autres, et sous les tourbillons deau qui masquent nos gestes, nos mains entrent en action, se promenant partout sur les corps !…nos jeunots semblent moins nerveux et dirigent maladroitement leurs mains dans nos entre jambesje guide les mains de mon cavalier là où jattends quil sactivesur ma poitrine et sur ma chatte en particulierVirginie fait de mêmesilencieux, goûtant à la sensualité et au raffinement de ces préliminaires, nous nous retournons et, à genoux, offrons à nos partenaires nos fesses à leurs mains, ma fois pas si maladroites. Impatiente, Jen profite pour leur ôter la cagoule et levant mes fesses hors de leau, je demande à Boris un cuni, quil sempresse à me prodiguer.

Virginie mimite sans fléchir et déjà Vivien lui arrache quelques gémissements. Boris me lèche avec empressement, menfonçant profond une langue vigoureuse et nerveuse qui fouille ma grotte dans tous ses recoins. Là il commence à me faire jouir drôlement et je ne peux retenir, moi aussi, de petits cris

Maintenant, cest à nous de les sucer. Ils se lèvent, nous nous retournons accroupies, et prenons en main leurs outils. Virginie, prise dans un tourbillon de jouissance, na même pas levé le nez pour découvrir le visage de son partenaireelle semploie à astiquer vivement le membre tendu de celui-ci, lapant nerveusement le gland violacé Je fais de même avec Boris, mais avec plus dapplication et de sensualité. Tandis que je le branle de mes mains, Je prends en bouche ses bourses et remonte ma langue sous sa verge, titillant le dessous du gland lui arrachant un râle de satisfaction en même temps quun puissant jet de foutre qui me macule le visageil sexcuse, tandis que je lèche avidement sa semence sur mes lèvres et vient téter son gland qui éjacule encore son nectar Son copain se retient encore, moins bien traité par Virginie, puis finit lui aussi par cracher sa semence dans la bouche de celle-ci, semble-t-il ravie elle aussiet malgré leur éjaculation, ils bandent encore !..

Ah ces jeunesIls vont ainsi nous épuiser toute la soiréeremettant fréquemment le couvert, ils bandent comme des malades et sont encore raides après léjaculationNous baiserons dans toutes les positions, changeant souvent de partenairesils me prendront tous les deux sur le canapé, lun dessous, la bite dans ma rondelle, lautre devant la bite dans ma chatte et me feront jouir intensément, se retirant à temps pour nous asperger à chaque fois dune rafale de jets de foutre dont nous nous délecterons Virginie et moi.

Que de bons souvenirs de cette soirée denferde ces parties carrées avec Boris et Vivien. Vigoureux et endurants ils nous ont baisées par tous les trous, nous ont défoncées furieusement. Mais nos deux jeunes coquins ont aussi, agréablement comblé nos solitudes passagères

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