MONIQUE DEVIENT CHIENNE
Elle s’est agenouillée au pied du lit pour lui présenter sa croupe, en vraie petite femelle qu’elle était devenue .
Et quelle femelle !
Le dos creusé, la taille fine, les hanches larges, les fesses rondes bien ouvertes laissant apparaître son oeillet sombre qui frémissait, ses lèvres charnues, nacrées de sa liqueur intime, comme soulignées par sa touffe noire …
Quel mâle aurait pu résister à ce corps offert de manière impudique et lascive à la fois, à cette invitation, à cette offrande ?
Luc reniflait bruyamment ses cuisses, enfouissait son museau vers cette grotte odorante, léchait nerveusement ses fesses, fouillait sans ménagement cette raie accueillante insistait sur le petit trou sombre qui se crispait …
Elle, la joue posée sur le lit, les yeux fermés, couinait comme une petite souris, tremblait de tout son corps, dans l’attente …
Luc continuait son manège, léchant goulument cette nouvelle femelle comme une exquise friandise .
C’est vrai qu’elle à bon goût notre petite pucelle, pensais je brièvement !
Brusquement, il l’a chevauchée, l’agrippant par les hanches de ses pattes avant, l’attirant vers lui, agitant son bassin ….
Sous son ventre, son fourreau d’ ou s’échappait déjà son long sexe blanchâtre, tressautait, cherchant sa cible .
Lentement, il gagnait du terrain, et d’un coup de reins plus violent, il s’est enfoncé dans ce ventre offert qui n’attendait que ça .
Aaahhhhh !
La langue pendante, haletant, il la pistonnait sans ménagement, s’échappant parfois pour mieux la reprendre .
Elle était secouée comme un vulgaire pantin, ses petits seins pourtant si fermes ballotaient en tous sens et elle griffait les draps en gémissant.
Baises moi ! Baises moiiii !!! fais moi jouiiiir !!!
Et bien, quelques coups de reins d’un mâle déchainé avaient suffit : notre petite pucelle n’était plus qu’une belle salope avide de jouissance.
Lui, insensible à ses prières, en mâle égoïste, continuait avec la même ardeur à remplir sa mission : s’enfoncer au plus profond de ce ventre pour y déverser sa semence !
Il a continué un long moment encore, avant de se caler contre ses fesses, la langue pendante, les yeux hagards ….
Il grossit,! il grossiiit !!!
Aah ! c’est bon !! c’est booonnn !!! Continue !!!! continuuuuuee !!!!!
La petite souris oubliait sa timidité et gémissait de bonheur à chaque jet de sperme chaud qui s’écrasait dans son ventre .
Il continuait de la remplir avec application, tandis qu’elle griffait les draps en gémissant .
Enfin, il s’est arrêté, tentant de la quitter , mais ils étaient soudés.
Il l’a enjambée , ils étaient cul à cul .
Elle a ouvert les yeux, apeurée .
Je me suis approchée, et, posant ma main sur ses reins, lui ai dit : il est collé à toi, n’ai pas peur , ne bouges pas !
Il va dégonfler et te libérer . Ils font toujours ça aux femelles qu’ils veulent féconder .
J’ai posé un baiser à la commissure de ses lèvres, elle a fermé les yeux ……
Sa respiration se calmait peu à peu, tandis que je caressais doucement son dos .
Luc aussi, attendait ……. un long moment, ….. avant de se retirer enfin dans un bruit incongru .
Il s’est éloigné, s’est allongé sur le sol pour s’occuper de son sexe qui pendait sous son ventre .
Je continuais de caresser la peau veloutée de son dos, de ses reins toujours creusés, remontais sur ses fesses, …… elle gardait les yeux clos .
Tu as eu l’air d’aimer, dis je .
Heureusement que c’est vous les plus proches voisins et qu’André est au boulot, tu te serais entendue !!!
C’est de votre faute aussi, dit elle en souriant . Depuis quelques jours vous me faites grimper au ciel dès que j’arrive ici !
Je crois que je n’ai jamais autant mouillé mes culottes !
C’est ça ! dis en plaisantant . On doit te tirer par le bras pour t’obliger à venir jusqu’ ici,hein ?
Et puis, tes culottes, je crois qu’elles restent bien sagement dans ton armoire depuis quelques temps !
Heureusement, d’ailleurs, sinon elles seraient transformées en serpillères ! Regardes, ça dégouline sur tes cuisses !
Mon index indiscret caressait sa petite fente d’ ou s’échappait la semence encore chaude de Luc .
J’ai l’impression que tu n’as pas finie d’être trempée comme ça ! Je crois que tu es devenue sa petite chienne préferéee.
Il est devenu tout excité quand il t’a vue. Il n’avait plus qu’une idée en tête : te sauter !
Il était si pressé que j’ai même cru qu’il allait te prendre par là, dis je en tapotant son petit cul qui s’est crispé sous ma caresse .
Oh non ! , j’aurais trop peur qu’il me fasse mal .
André ne t’a jamais prise par là ?
Non, répondit elle. Avec lui, c’est toujours pareil : enlève ta culotte, écarte les cuisses, et hop ….
Et quand il a déchargé, il s’endort la plupart du temps !
Avec vous, c’est pas pareil.
Lucie, l’autre jour ….. d’abord, j’avais honte, j’étais gênée d’être caressée par une femme ….. et puis j’ai aimé .
Et quand je suis repartie toute nue sous ton tee shirt ça m’a fait un effet !
J’avais peur de rencontrer quelqu’un sur le chemin …… c’était drôlement excitant .
Et quand André est arrivé, je passais juste ma robe . Pas le temps de mettre de culotte, alors je suis restée comme ça .
Je me demandais s’il allait s’en rendre compte, et ce qu’il allait faire .
Mais il ne s’en est même pas aperçu !
Mais j’ai bien aimé les sensations. C’est pour ça que j’ai recommencé .
Et puis, il y a eu toi …. et puis Luc ….
Maintenant, je ne penses plus qu’ à ça !
Autrement dit, tu es en train de devenir une vraie petite salope toi aussi, quoi .
Je suis sûre que tu vas aimé te faire prendre par là !
Je continuais de caresser ses fesses, mon doigt s’insinuait dans sa raie, descendait plus bas, cherchant sa mouille, remontait lentement ….
Son ventre venait buter sur mon doigt, comme pour éprouver les sensations que lui ferait ce que lui décrivais, sa respiration s’accélérait ..
C’était elle maintenant qui venait vers mon doigt en soupirant d’envie … je sentais son petit oeillet palpiter, s’ouvrir doucement, quand brusquement elle s’est déchainée allant et venant en longues poussées ..
J’ai envie ! j’ai enviiiiieeee !!!!
j’ai poussé un peut plus, son petit cul s’est ouvert, me livrant passage .
Oohhhh !!!!
C’est booonnnn ! continue, s’il te plaît, continuuuuuueeee !!!
Elle continuait de s"empaler sur mon doigts en gémissant .
Soudain, j’ai entendu un bruit de moteur .
Je crois que c’est Lucie .
A regret, je l’ai abandonnée avec douceur.
Je refermais la porte de la chambre quand Lucie est entrée .
Tu allais te baigner ? fit elle en déposant un baiser sur mes lèvres .
Puis ajouta:,! oh ! j’ai l’impression d’être arrivée trop tôt .
J’ai tourné la tête : Monique venait d’apparaître, nue, les cheveux défaits …..
J’ai trop envie de me baigner fit Lucie en se dirigeant vers la terrasse .
Vous venez ????
J’ai pris la main de Monique et nous l’avons suivie .
Le chien noir et Bobby arrivaient en courant ………