Nous sommes une de ces chaudes journées d’août. Le boulot est au point mort. Personne dans le bureau depuis déjà plusieurs jours. Je pianote quelques mots sur mon ordinateur. Coup de fil sur le portable: Linda est devant le jardin du Luxembourg. Il est bientôt midi. Je la rejoins. Nous décidons d’aller déjeuner dans un restaurant grec. Nous allons vers la rue de la Huchette. En chemin, nous discutons de choses et d’autres et de coquineries en particulier. Linda est venue en jupe et ma main sur ses fesses s’assure qu’elle ne porte pas de culotte dessous. Je le lui fais remarquer. Nous arrivons au restaurant. Nous nous asseyons et regardons la carte. Nous nous regardons et commençons à nous allumer mutuellement. Nous déjeunons. Le repas est fini. Je lui demande si elle a envie de quelque chose d’épicée en dehors du repas. ’hummm , sans doute’ répond-elle. Je lui dis que j’aurais quelque chose à lui faire déguster en dessert. Nous nous levons et allons tous les deux aux toilettes. Nous nous y enfermons. Nous nous enlaçons et commençons à nous frotter l’un contre l’autre. Mon sexe se tend dans son slip. Linda défait ma braguette et en extirpe une verge frémissante. Elle s’abaisse et l’embouche. Ses lèvres commencent à coulisser sur le gland. Sa lange en dessine les contours. Elle est maintenant accroupie sur ses escarpins. Je lui caresse les cheveux. Le plaisir diffus de sa bouche sur mon sexe provoque de petits spasmes en moi. Je la redresse. Elle s’appuie contre le mur. Je remonte sa jupe et découvre ainsi son petit minou. Je commence à le caresser. Il se lubrifie assez vite. Bientôt je commence à déclencher en elle une de ses inondations intimes dont elle a la particularité. Je couvre alors mon sexe toujours tendu d’un préservatif. Je viens me coller à elle. Je soulève une de ses jambes et pointe mon sexe à l’entrée du sien. Je soulève alors son autre jambe et l’élève à la bonne hauteur. Elle vient alors s’empaler sur mon glaive de chair. Je m’appuie contre elle sur le mur. Je commence des va et vient tout en couvrant son cou de baisers. Mes mains glissent sur ses fesses et les pétrissent. Nous commençons à gémir tous les deux. Je sens son intimité enserrer mon sexe et son humidité dégouliner sur mes bourses. J’accentue l’amplitude de mes mouvements. Je la placarde par accoups contre le mur. Notre plaisir monte de concert. L’instant divin est pour bientôt. Elle me demande d’y aller franchement. J’accélere encore et devient presque brutal. Elle se mord les lèvres pour ne pas crier. Nous voilà enfin au sommet du plaisir. Je sens monter en moi une éruption spectaculaire. Nous voilà tout a coup foufroyés. Je sens mon sperme se déverser par jets puissants. Linda se crispe sur moi et son vagin se contracte autour de mon intimité. Nous nous embrassons. Nous nous rajustons et sortons des toilettes. Quelques personnes nous voient remonter tous les deux les vêtements un peu défaits. Leurs visages ne laissent apparaître aucun doute, ils savent ce que nous venons de commettre dans les sous sols. Nous sortons alors en nous tenant la main , vers une prochaine aventure.