Une pute officialisée
S’était presque midi, Lydie décida alors d’aller préparer à manger. Mais avant ça elle passa dans sa chambre pour se changer une nouvelle fois.
Moi qui la suivait: qu’est ce que tu fais?
Lydie: je me change.
Moi: encore?
Lydie: oui, je compte mettre une petite jupe fendue et ça, regarde.
Tout en me disant ça, elle me tendait un de ses string. Il faut dire que celui la je le trouvait génial. Il était ouvert sur le devant! En regardant le petit bout de tissus je savais que cette journée allait se poursuivre d’une excellente manière. Je savais pertinemment que ma partenaire voulait plus. Que ce qui s’était passé ce matin ne lui suffisait pas. Elle se déshabilla et enfila le sous-vêtement devant moi, en prenant soin de bien tirer sur ses petites lèvres pour les faire dépasser à travers l’ouverture. Elle enfila une de ses jupe, celle ci, en l’occurrence, s’arrêtait ras sa salle de jeux. Elle se baissa et posa un regard dans ma direction.
Lydie: comme sa tu risques pas de me louper.
Moi: ça c’est sur!
Lydie: je te fais envie comme ça?
Moi: oui, beaucoup.
Lydie: d’accord, bon, en haut je mets juste un soutien gorge, sa suffira.
Je remarquais un sourire satisfait sur le visage de la belle.
Lydie: bon, je vais préparer à manger maintenant.
Moi: tu veux un coups de main?
Lydie: oui, je veux bien.
Nous allions donc tous les deux préparer à manger, ma belle mère étant déguisé en vrai péripatéticienne, pour ne pas dire pute.
Lydie: tu commences à éplucher les carottes?
Moi: dac.
Lydie: tu sais, je veux faire le point sur cette histoire de cul qui est en train de se passer entre nous.
Moi: oui… Tu veux qu’on arrête?
Lydie: non, absolument pas, je trouve ça très excitant. Je voulais juste te dire que j’aimerais que ça ne soit pas que passager. Par contre, il faudra être très discret, ton père risquerait de ne pas apprécier s’il venait à nous surprendre.
Moi: je sais, j’ai un peu peur de ça mais je veux que ça continue le plus longtemps possible, moi aussi, j’adore ça.
Lydie: ça te plait le cul, hein?
Moi: non, c’est ton cul qui me plait!
Lydie, en rougissant: t’es gentil. Tu as finis d’éplucher les carottes?
Moi: oui.
Elle prit une des carottes épluchées, monta sur la table puis se mit à quatre pattes.
Lydie savait pertinemment que les carottes crues étaient mon pêcher mignon.
Lydie: Je te propose d’en manger une en l’agrémentant avec un assaisonnement particulier. Je te propose, ou goût anal, ou goût vaginale.
Sur ces mots, le petit jeu commençait à me plaire. Aussi, sans plus me poser de question j’assaisonnais mon légume comme bon me semblait en le mangeant. J’avais deux manières de la faire: Soit en faisant pénétrer ma carotte dans son anus, soit en essuyant quelques gouttes de cyprine qui coulaient sur sa belle chatte. Quand j’eus fini de déguster ma deuxième carotte elle descendit de la table et me dit que s’était à son tour à présent de lui trouver quelque chose de bon à manger.
Moi, commençant à déboutonner mon pantalon: tu veux manger ma grosse queue?
Lydie: oui je voudrais bien mais trouve plutôt quelque chose de plus original.
Il fallait donc que je me prêtre à son petit jeu. Je sortis alors du frigo un pot de compote de pomme que je posais sur la table. Elle, s’assit sur une chaise et prit un air intriguée en me voyants sortir ça.
Moi: mange ta compote salope!
Lydie: …?
Moi: à pardon j’ai oublié de te donner ta petite cuillère, tien.
Je sortis mon sexe de mon pantalon, ouvris le pot de compote et trempa mon membre dedans. Je raclais ensuite un peu de compote avec mon engin et lui donnais à manger.
Moi: c’est bon, hein salope?!
Lydie: oui.
Moi: benh dis donc, quand j’y pense, tu cachais bien ton jeu, grosse pute. Oh, excuse moi ça m’a échapper.
Lydie: non, t’as raison, t’as vu comme je suis habillée?! On dirait vraiment un pute!
C’est à ce moment là que j’ai su que ma partenaire aimait être salie, la position de femme soumise ou d’objet sexuel l’excitait. Il faut dire que c’était pas pour me déplaire et je m’en donnais à cur joie.
Moi: tien, prends en encore un peu. Tu vas tout finir, comme une bonne petite chienne.
Une fois le pot de compote terminé je savais que c’était le bon moment pour lui faire comprendre une bonne fois pour toute qui était le mâle dominant.
Moi: ouvres grand la bouche!
Lydie: qu’est ce que tu veux faire???
Moi: je vais marquer mon territoire.
Lydie ouvrait une large bouche et attendait de savoir ce que j’allais faire. Je crachais alors un énorme mollard qui vint littéralement s’exploser au fond de sa gorge.
Elle ferma la bouche et me dit: ça y est, je suis ta pute, c’est officiel!
Moi: bon, benh puisque c’est officiel, maintenant on va manger un bon repas. Quand on aura fini je t’enculerais sur la table!
Lydie: whaoo, tu me laisses plus respirer maintenant, un vrai étalon.
Moi: je sais mais j’aime bien faire des trucs polissons avec toi.
Lydie: oui, je vois ça, mais à ce rythme là je vais pas tenir longtemps. Bon, après manger je veux bien que tu me sodomises sur la table, comme tu me l’as demandé, par contre après j’irais me reposer sur le canapé.
Nous commencions alors à entamer le vrai repas de midi. A peine avions nous fini de manger que je soulevais ma partenaire pour l’asseoir sur la table. Je soulevais sa jupe et baissais son string. Je lui écartais les jambes et pris ses fesses à pleines mains pour orienter son fion vers le haut. Je lui écartais les fesses avec mon index et mon pouce pour bien voir sa rondelle. Sous l’excitation son trou du cul subit quelques spasmes musculaires avant que je fasse rentrer ma bite à l’intérieur. Aussi, en ouvrant et en se refermant je pouvais sentir le doux parfum de son cul.
Moi: comme tu pues du cul Lydie!
Lydie: ça te fais bander mon salaud!?
Moi: oui, maintenant je vais te défoncer l’ognion!
Lydie: vas chercher le lubrifiant.
Moi: non.
Lydie: comment sa non?
Moi: ah, tu voulais que je te défonce. Benh je vais te prendre à sec ma grande.
Lydie: mais je vais avoir mal…
Moi: t’as le choix, c’est ou ça, ou pas de sodomie.
Ma proie était à ma Merci. Je faisais donc rentrer en force ma verge au fond de son cul sans ménagements. Après quelque va et vient bestiaux la pauvre avait l’anus tout enflé et rouge sang. Je me retirais et admirais mon uvre…
Moi: regardes comme je t’ai élargi le fion Lydie!
En effet, sous mes coups de bites, l’anus de ma partenaire avait carrément épousé le diamètre de ma queue.
Lydie, presque les larmes aux yeux: aie, sa me brule.
Moi: bichoune, attend je vais aller te chercher de la crème.
En fait, j’allais surtout chercher de la crème de peur que son anus reste dans cet état là et que mon père en voyant ça se doute de quelque chose. Je revins enfin avec mon tube de crème dans la main.
Lydie: t’es gentil, tu me la mets… Heu… Je voulais parler de la crème bien sur.
Moi: oui, t’inquiètes pas je te referais plus jamais ça.
Lydie: ouf..
En fait, je m’en foutais complètement quelle est eut mal. Ce que je ne voulais pas c’était que mon père, en regardant son anus, se rende compte qu’elle s’était déjà fait défoncer par un autre. J’ étalais donc la crème sur sa petite rondelle fragilisée. Elle, était encore assise sur la table, le cul grand écarté, attendant la fin des soins que je lui prodiguais.
Moi: c’est bon j’ai fini.
Lydie: merci. J’aurais jamais imaginé que tu sois aussi violent. T’avais pas baisé un fille depuis combien de temps.
Moi: pas longtemps mais c’est juste que tu m’excites beaucoup, c’est tout. En plus on dirais une vraie pute dans ces vêtements! C’est pour ça que je t’ai labouré le trou de balle. Enfin… T’inquiètes pas je serais plus doux la prochaine fois.
Lydie: ok mon petit cochon.