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Sophie à l'EHPAD – Chapitre 3




Maîtresse Syl

Je l’espérais sans trop y croire, car bon nombre de rencontres avec Maître Lô n’avaient pas donné de suite. Je restais sur ma faim depuis presque un mois et mes espoirs semblaient sans lendemain.

Ce fut vraiment par hasard, alors que je ne m’y attendais pas, que j’eus des nouvelles de Maîtresse (j’ignorais toujours son prénom). C’est le nain qui, en dehors de la présence de mon maître et pour que je m’occupe sexuellement de lui, m’avait donnée l’information. Une soirée ou une sortie – il ne savait pas exactement – était prévue avec la magnifique brune.

En fait, il ne s’agissait pas de cela, mais je l’apprendrais plus tard : Maître Lô me louait pour deux semaines à Mme Sylvania Pétronitra, Présidente de région, moyennant l’autorisation d’utiliser un terrain appartenant à la collectivité pour un évènement de son parti politique.

Sans me prévenir de quoi que ce soit, nous partîmes un matin, Maître Lô au volant, et moi nue dans le coffre, les mains et les pieds liés. Je n’avais en guise de bagage que mon collier et ma laisse.

Nous roulâmes fort longtemps avec un seul arrêt pour qu’il fasse le plein du réservoir. Puis nous nous arrêtâmes dans un bois, sur une allée discrète. Il me sortit du coffre, me fit faire mes besoins, et je pus me dégourdir les jambes, manger et boire. J’en déduisis qu’il devait être aux alentours de midi. Comme nous étions partis vers neuf heures, nous devions être à 300 kilomètres de la maison. L’après-midi passa rapidement, car deux heures après, Maître stoppa sa voiture, descendit et en verrouilla toutes les ouvertures avec son bip.

Je me trouvais enfermée, sans savoir où je me trouvais. J’étais à l’écoute des bruits extérieurs, mais aucun son ne parvenait à mes oreilles. Il se passa un moment, sans que je puisse me repérer.

D’un coup, le coffre s’ouvre, m’aveuglant, et je suis forcée de fermer les yeux et de ne les rouvrir que progressivement pour les habituer à tant de clarté. Maîtresse est là ! Une grande joie m’envahit et me submerge ; j’en ai les larmes aux yeux.

Vous avez bien fait de transporter la marchandise de la sorte, c’est le moyen le plus tranquille. Elle ne se soulage pas dans le coffre au moins ?

Le ton était donné, j’adorais sa façon de parler de moi, de bouger, de me prendre à bras le corps pour me faire descendre de la voiture. Elle me déposa sur le sol, couchée sur le flanc droit. J’aimais tout de cette femme, son odeur, sa façon de parler, son léger accent. J’étais amoureuse. Elle était un peu une géante pour moi, nos gabarits étaient à l’opposé l’un de l’autre.

Tu te souviens de Mme Pétrone, Sophie ? Elle va s’occuper de toi durant ton séjour. Tu dois lui obéir comme à moi et si tu n’es pas sage, elle te punira. Elle a toute autorité te concernant.

Les choses étaient claires et j’étais aux anges, un peu triste de quitter Maître Lô, mais je savais que j’allais rencontrer les protégés de Maîtresse et mon bas-ventre s’en réjouissait déjà. Elle m’inspecta sans même me détacher, à même le sol, écarta mes fesses et ma fente par-derrière, tira sur mes tétines avec une joie non dissimulée, ouvrit ma bouche pour inspecter mes dents.

J’avais vu les maquignons en blouse noire faire de même avec les vaches qu’ils achetaient sur les foires aux bestiaux.

Je m’imaginais nue, attachée avec des animaux et des hommes me palpant de tous côtés pour tester ma viande. La foule autour ferait grand bruit et tout le monde pourrait voir mon abandon total et que je mettais à disposition mon corps à qui voudrait l’éprouver, sans aucune retenue.

Je ne le vis pas, mais devinai le départ de Maître Lô au bruit du moteur de sa voiture. Il avait la route à faire pour rentrer chez nous et sûrement des rendez-vous importants l’attendaient.

Tu m’appelles Maîtresse Syl, mais le mieux c’est que tu te taises. Ton maître dit que tu acceptes tout sans broncher. Néanmoins, je t’autorise, si tu en as le besoin de te servir d’un code pour tout arrêter. Dans ce cas-là, tu retournes chez ton Maître et tu ne me verras plus jamais. Bien sûr, il te punira et me remboursera de ta location. Le code d’urgence absolu est : Liberté. Sinon, c’est un aboiement pour oui, et deux, pour non.

Les choses étaient claires ! Maître Lö ne m’a jamais donné de code, je n’imagine même pas que cela puisse me servir un jour. Devais-je avoir peur ? Redouter des jeux ou situations qui pourraient me mettre en danger ?

Elle me redressa et me détacha puis me guida avec la laisse vers la splendide maison de pierres taillées, magnifique propriété avec un parc immense. Nous nous promenâmes un moment dans ce jardin fleuri qui contenait un plan d’eau avec des poissons et un jet en son centre.

Je m’imaginais nue dans le bassin avec du monde autour, genre la dolce vita de Fellini.

Envie de pipi ?

Je répondis d’un aboiement rapide. L’eau me faisait toujours cet effet-là ! Je gesticulai et elle s’aperçut de mon envie. Je m’accroupis et me soulageai sur la pelouse.

Elle releva mon visage pour me regarder droit dans les yeux quand je pissais. Je dus garder la pose et elle vérifia sous moi pour constater la petite flaque sous mes fesses. Avec une feuille, elle m’essuya les lèvres et l’entrée du vagin en écartant mon sexe avec deux doigts. La feuille finit dans ma bouche et je dus la mâcher sans recracher.

Nous remontions l’allée qui menait au plan d’eau quand la porte d’entrée s’ouvrit au loin. Un homme d’un autre âge tenait les chiens de Maîtresse en laisse. Les deux superbes lévriers étaient haut perchés, leurs pattes n’en finissaient pas. Maîtresse me fit mettre à quatre pattes, et tint ma laisse serrée. Une fois près de moi, ils jappèrent et tirèrent sur leurs liens, mais l’homme ne les laissa pas m’approcher.

Maîtresse ne me le présenta pas; par contre, elle me présentait à lui.

Charles, voici Sophie, elle passera deux semaines avec nous, sa principale qualité sera de satisfaire Phébus et Perceval. Vous pourrez également l’utiliser en dehors de ma présence si bon vous semble. Faites en sorte qu’elle soit toujours propre. J’ai donné congé à la femme de chambre.

Pas de réponse de Charles, mais une espèce de grognement et une courbette de sa part indiquèrent qu’il avait compris. L’idée de devoir subir cet homme ne me réjouissait pas plus que cela. Je lui trouvais une ressemblance avec Émile Louis; ce qui n’était pas pour me rassurer. Par contre, les chiens m’attiraient grandement. Depuis ma découverte à l’EHPAD des possibilités de rapports avec les animaux, mon univers s’était agrandi.

Maîtresse Syl tira sur ma laisse :

Dis bonjour à tes congénères Sophie, ma brave petite chienne ! Je te présente Phébus et Perceval, mes deux lévriers whippet. Embrasse-les, ils sont affectueux et aimants, ils sauront te rendre heureuse.

Je m’approchai d’eux; et la langue sortie, je cherchai à lécher leur museau. Je reçus des coups de langue baveux sur tout le visage. Et bien que Charles les tint fermement, je sentais leurs langues passer sur mon arrière-train. Mon odeur de chienne en chaleur ne leur échappait pas ! Leur belle couleur fauve tachetée de noir était magnifique. Leurs fourreaux semblaient bien remplis, ce qui laissait présager une bite de bonne taille. Tout était en délicatesse chez eux, comme chez leur maîtresse (qui était aussi la mienne).

Mais elle avait sans doute décidé que ce n’était pas le moment d’aller plus loin avec ses trois animaux.

Je gagnais la maison sur mes deux jambes. Elle m’interrogea sur mon intérêt pour ses chiens, et je ne manquai pas d’aboyer une fois. C’est elle qui m’intéressait pour le moment, et je me posais au sol dès l’entrée de la maison franchie, pour lui lécher les pieds. Elle me caressa les cheveux et m’entraîna dans le salon où elle s’assit les jambes écartées. Elle ne portait pas de culotte.

J’allais enfin pouvoir aimer cette femme si désirable. Ma langue se délectait de son goût légèrement salé, je pris ses lèvres longues dans ma bouche pour les sucer avec délice, les étirer en les gobant avec mes lèvres serrées. Son clitoris était de bonne taille, bien plus long que le mien. Je fourrageais entre ses cuisses de longues minutes.

Elle m’interdit l’usage de mes mains. Seules ma langue et ma bouche étaient autorisées à lui rendre hommage. Elle entra en pâmoison et un orgasme violent la secoua. Ses mains étaient agrippées à ma chevelure et je ne pouvais plus respirer durant tout le temps de son plaisir. Mon nez, comme ma bouche, était contre son vagin, forcé contre son corps. L’air me manquait. Je repris ma respiration quand elle s’aperçut que j’étouffais.

Elle me fit la lécher pour nettoyer son sexe chaud et devenu odorant. Ses leucorrhées étaient plus acides que le sperme, je m’en délectais, bien que je n’eus pas l’habitude – hormis celui de Gabrielle, la grosse femme noire à l’EHPAD- du jus de jouissance des femmes.

J’ai passé la nuit au pied de son lit. Au réveil, je n’osais pas bouger : j’attendais un signe de sa part.

Ici, sur le lit, vite ! Câlin toutou.

Alors je sautai sur le lit, et suivant son désir, je lui fis la fête à la mode toutou, léchouillant sa figure, ses mains.

Elle avait une préférence pour que je suce ses orteils et sa chatte bien sûr ! Je me sentais vulnérable, prête à toutes les bassesses qu’elle voudrait bien exiger de moi. Elle pouvait m’utiliser comme elle le voulait, j’étais conquise, dans le déni de ma propre personne, juste un corps pour son plaisir et un esprit en pleine osmose avec le sien.

Elle passe aux toilettes et c’est dans la baignoire que je dois m’allonger, car le pipi du matin c’est dans ma bouche que cela se passe. Je n’avale pas, je bloque ma glotte et le jet fait un bruit de fontaine en rebondissant dans ma bouche déjà pleine. Je recrache, et en avant pour le petit-déjeuner. Pour le coup, elle met un peignoir.

Charles nous attend dans la cuisine avec Phébus et Perceval, qui n’étant pas attachés, se jettent sur moi. Ils sont tellement grands que je peux passer sous eux à quatre pattes sans problème. Ils me lèchent tous les deux en même temps, personne ne bouge pour les en empêcher. Maîtresse Syl et Charles regardent avec intérêt. Phébus me saisit les hanches avec ses pattes et m’embroche sans préliminaires, ses mouvements de reins me font avancer sur le carrelage. Je suis aux pieds de Charles qui me tient par les cheveux. Le cabot décharge trop vite pour que j’aie le temps du moindre plaisir. A peine est-il descendu de mon dos que sa langue fait le ménage dans ma chatte baveuse. Perceval prend sa place et comme Charles me lâche, je suis en mouvement sous les coups de boutoir qui me font traverser la cuisine. Lui non plus ne tarde pas à décharger, et c’est maintenant les deux cabots qui me lèchent de concert l’entrejambe. Je prends un peu de plaisir, mais pas suffisamment à mon goût.

Au pied Sophie !

Maîtresse veut observer de plus près le ravage de ses chiens sur mon vagin; elle écarte ma chatte et Charles y glisse une petite cuillère. Il récupère le sperme des lévriers pour me le faire manger en guise de petit-déjeuner. Maîtresse en veut plus : elle me fait nettoyer avec la langue, les bites de ses chiens, puis leurs couilles. Je dois pratiquer une feuille de rose à chacun des cabots. Charles écarte leur orifice anal afin que je puisse glisser ma langue à l’intérieur. Le goût n’est pas pire que celui du nain, seule la satisfaction n’est pas au rendez-vous. Le petit homme laissait échapper des soupirs de plaisir. Avec les chiens, rien du tout ! Maîtresse fait des photos de ma soumission canine.

Je m’applique pour plaire à Maîtresse Syl, en bonne esclave docile. J’ai les yeux pleins de reconnaissance. Je leur embrasse le museau, unis ma langue avec la leur ; nos baves se mélangent. Je m’accroche au cou de Phébus, saisis son corps avec mes cuisses, je suis sous lui, ma figure contre sa gueule.

Le poids est sûrement trop important pour lui. Il s’affale sur moi, nous sommes ventre contre ventre, je sens sa cage thoracique bouger au gré de sa respiration. Charles nous maintient dans cette position que l’on pourrait prendre pour celle du missionnaire.

Maîtresse Syl ne s’y trompe pas et masturbe Phébus pour qu’il me pénètre de cette façon. Elle écarte mes lèvres en passant son autre main entre nos deux corps et glisse le pénis de Phébus dans ma chatte. Le cabot n’avait pas besoin de dessin pour commencer son coït.

Charles ne le lâchait pas, car pour le chien, la position n’était pas aisée. J’avais littéralement fusionné avec le cabot, il remuait beaucoup, et à chaque mouvement, s’excitait sans le vouloir. Je sentais bien son sexe battre en moi, j’adorais l’idée que Maîtresse et Charles participaient à mon plaisir. Le lévrier termina, lâcha son sperme, et la chaleur du liquide me fit jouir sur le coup.

Mon ventre était ruisselant quand le bestiau échappa à la poigne de Charles. Je restai sur le sol, le sexe ouvert, et le sperme qui coulait de mon ventre. Perceval n’était pas loin et il me lécha rapidement la fente, nettoyant ce que son frère m’avait laissé comme cadeau.

Je rampais vers ma loueuse dans l’espoir fou de quémander un geste d’affection. Une caresse sur mes cheveux fut ma seule récompense. Elle redevenait sûre d’elle !

Fais-la déjeuner. Tu la prépares ; j’en ai besoin à 14 heures.

Toujours pas de réponse de Charles. Je comprends alors qu’il est muet. Cela me fait penser à Bernardo, le fidèle serviteur de Zorro. L’idée du fouet et les yeux masqués de noir du justicier me font mouiller à nouveau.

Elle s’éclipse et je reste pour le petit-déjeuner avec Charles et les chiens allongés dans un coin de la pièce qui nous regardent du coin de l’il.

II a l’esprit échauffé, et peut-être la queue également. Je pensais que vu son âge, il exigerait seulement quelques gâteries de ma part, mais sûrement pas à un plan aussi élaboré.

Il me lie les mains derrière le dos, m’assied sur une chaise face à lui et se charge de me donner la becquée pour me faire petit-déjeuner. C’était histoire sans paroles ! Je ne comprenais rien à ce qu’il voulait et à chaque incompréhension, j’avais droit à une pichenette sur le téton ou une claque avec la main bien à plat sur le dessus d’un de mes seins. Mes cuisses grandes ouvertes lui permettaient de taper sur ma fente offerte.

Les déplacements se faisaient à plat main et sur les genoux, les lévriers toujours sur mes talons.

Je devrais dire plutôt : toujours à vouloir me monter dessus. Et quand ce n’était pas possible, j’avais des coups de langue râpeuse sur ma chatte, mon trou du cul ou toutes autres parties qu’ils pouvaient atteindre.

Leur haute taille leur permettait de me dominer en toutes situations. Charles était content pour ses chiens, plus que pour lui, me semblait-il.

Ma toilette se déroulait dans l’enclos des chiens et avec eux. Moi qui imaginais un luxe exagéré, des marbres et des parfums hauts de gamme, j’étais plutôt mal pourvue.

Le jet d’eau et le savon de Marseille tenaient lieu de douche. Il dirigeait le jet sur mes lèvres pour les écarter avec la force de l’eau, c’était divin ! Mes cheveux qui avaient l’habitude du shampoing, de l’après-shampoing et du démêlant, étaient lavés au savon, utilisé pour mon corps.

Les gestes de Charles pour procéder à ma toilette étaient sans ambiguïté : masturbation, pénétration avec tout ce qui se présentait à portée de main. La séance durait toute la matinée. Il me faisait branler les lévriers pour que je récupère le sperme et que je l’utilise en guise de dentifrice. Plus il me faisait me brosser les dents, plus le sperme moussait. J’en avais partout ! Cela dégoulinait sur ma poitrine et mon ventre…

Mon intimité n’avait déjà plus aucun secret ni pour lui ni pour les cabots. J’étais épuisée par des orgasmes à répétitions.

La fameuse publicité concernant les cinq fruits et légumes par jour n’était pas un vain mot pour Charles qui me les introduisait avec une méticulosité poussée à un point si extrême qu’il faisait pénétrer ledit fruit ou légume entièrement dans la chatte ou dans le cul. Pour ma part, mes préférences allaient vers le concombre et la banane, plus aptes à me satisfaire du fait de leur taille adaptée à ma morphologie.

Dans la buanderie, j’avais droit, une fois mes mains liées à la poutre du plafond, à une mise en place systématique de dizaines de pinces à linge. Mes seins, ma chatte, mon clitoris, ma langue, mes paupières. J’en avais partout ! Son jeu consistait à les faire sauter ensuite avec le bout d’un cintre.

Le déjeuner – j’étais toujours nue, les mains liées dans le dos – je le prenais dans les gamelles des chiens, au chenil. Ils cherchaient à accaparer ma pitance. Mais Charles veillait à ce que je me nourrisse.

Il finissait par sortir son sexe rabougri ; je lui donnais un âge à ce moment-là ! Je jugeais qu’il avait au bas mot 75 ans. Il me le collait dans la bouche, mais dans l’impossibilité de bander, il se secouait la bite devant ma figure, et finissait par m’uriner dessus.

Avant que Maîtresse Syl ne vienne me chercher, il me donnait une dernière douche et me parfumait.

J’avais choisi cette vie et je ne le regrettais pas. Parfois, c’était dur; mais être la soumise d’une telle femme valait bien quelques sacrifices. J’étais fragile et vulnérable, une victime toute désignée. J’acceptais tout, pourvu que l’on s’intéressât à moi.

La pire des punitions aurait été que l’on ne m’utilise pas, que des gens, même des inconnus, ne me portent pas attention. Ma timidité m’obligeait à une retenue naturelle, et jamais je ne provoquais les actions des autres envers moi. Mais je les espérais tellement fort, que des personnes plus réceptives que d’autres captaient mes envies et mes désirs, enregistraient ma disponibilité à leur égard, et savaient qu’elles pouvaient faire de moi ce que bon leur semblerait. C’est probablement la qualité première de tout Maître ou Maîtresse.

Je crois que je révélais leurs possibilités, sans le vouloir, à des personnes douées, de soumettre leur prédisposition. Etait-ce moi qui étais atteinte de troubles paraphilies, ou ceux qui me soumettaient ?

Le centre équestre

Cet après-midi-là, Maîtresse Syl décida de faire du cheval. Elle nous conduisit au centre équestre. Ma tenue était particulièrement élégante et cela m’étonnait beaucoup ! Robe de soirée, noire et longue à ma taille, avec un décolleté généreux, escarpins à hauts talons – m’empêchant de marcher normalement sur la terre inégale du manège à chevaux. Le but de Maîtresse Syl était que l’on devine ma fente par l’ouverture longitudinale de la robe lors de mon déhanchement pour marcher ! Elle partait de la ceinture et descendait jusqu’en bas. Pas de fermeture : juste le pan du tissu qui s’ajustait quand j’étais droite fermait la robe.

Maîtresse était vêtue avec une élégance inouïe, toujours très classe, et tous, hommes et femmes, l’admiraient. Ses bottes de cuir noir, son pantalon beige spécial équitation, et en haut, son chemisier blanc pigeonnant renforçaient son autorité naturelle. Sa cravache qu’elle battait le long de sa jambe et sur le côté de sa botte était une promesse d’extase pour moi. J’étais fière d’être son esclave, sa protégée aux yeux des autres.

Elle faisait du trot et du galop avec une classe folle, je mouillais juste à la regarder, si fière, sur son magnifique destrier.

Après que Maîtresse eut terminé son entraînement, la fin d’après-midi étant proche, elle me proposa d’essayer à mon tour. Le moniteur m’encouragea à accepter. De toute façon, c’était un ordre, alors j’allais m’exécuter ! Dans le manège il y avait encore plusieurs personnes : une femme et un couple que Maîtresse ne semblait pas connaître.

Tu ne peux pas monter comme ça Sophie ! Retire-moi tout ce bazar. Je t’avais bien dit que ce n’était pas le bon habillement pour venir ici !

Elle parlait haut et fort, sûrement pour faire profiter aux autres de la façon dont elle me traitait et l’ascendant qu’elle avait sur moi. Son rire en cascade suivit ses propos ; je coulais entre mes cuisses, juste à l’écouter. Du cristal !

Il ne s’agissait pas d’une option, mais d’un ordre qui ne méritait aucune interprétation.

Elle vint à mon aide. Le moniteur près de moi observait la scène, tout comme les personnes qui se trouvaient à proximité.

Elle n’avait pas grand-chose à faire pour que je me retrouve nue; un simple cordon sur le côté de la robe, et elle s’ouvrit en grand. Bien évidemment, elle tournait le dos aux autres, mais je leur faisais face. Personne ne pouvait ignorer ma fente parfaitement lisse ni mes tétons aux pointes longues et raidies.

D’un tour de main, pour lequel elle avait le secret, elle la fit s’envoler. Le cheval rua à côté de moi dans le mouvement qu’elle fit. Le silence qui s’était imposé me glaça le sang. J’avais adopté la position parfaite de la soumise obéissante en projetant mon ventre en avant et j’avais écarté mes cuisses au maximum. Le groupe se formait autour de moi, sans un mot. Chacune et chacun s’étaient rapprochés de nous.

Allez, Robert, faites-la monter sur ma monture, mais à cru !

Pendant que Robert allégeait la charge du cheval en ôtant la selle, Maîtresse expliquait que nous devions nous rendre à une soirée, mais que j’avais un peu anticipé le plaisir de mettre ma belle robe du soir.

Les femmes avaient des rires forcés qui sonnaient faux. Ils justifiaient sûrement leur énervement à voir une jeune femme nue au milieu d’un apanage bien habillé, en tenue de cavaliers et cavalières.

Je crois que la présence du cheval, l’odeur de la bête leur tournait la tête. Le lieu lui-même était en complète contradiction avec le fait d’y voir une fille dévêtue et visiblement sous les ordres d’une maîtresse autoritaire.

Une fois le cheval prêt, Robert me hissa sur la bête en m’attrapant à bras le corps, écrasant mes seins au passage. Je passais mes jambes de chaque côté du poitrail de l’animal, mon entrejambe en contact avec l’encolure. Robert se saisit de la longe et commença à me faire tourner dans le manège.

Bien sûr, je n’allais pas bien vite, mais le vent de la vitesse me fouettait le visage et le torse; mes seins tressautaient au rythme de l’animal. Mes cuisses ne me permettaient pas de me tenir, mais je serrais fort la sangle de cuir; ma position me projetait vers la tête de la bête et ma chatte en contact avec les poils s’y frottait dans un mouvement saccadé qui m’excitait au plus haut point. Je devais avancer mon corps en le montant et le redescendant en fonction du trot du cheval, ce qui me donnait un mouvement de haut et de bas qui frottait mon clitoris sur le crin de la bête. Trois tours plus tard, je fermais les yeux et profitais de ce moment de plaisir pour exprimer un orgasme tonitruant. Les spectateurs devaient être ravis du spectacle que j’offrais et de mes manifestations orales.

Tu as mal ma chérie ?

Maîtresse Syl fit stopper le cheval afin de voir si mon clitoris ne s’abîmait pas. J’étais hallucinée par la façon dont elle parlait, mais je devais être la seule. Tous voulaient voir si ma chatte était irritée.

Elle aimait m’humilier, me faire vivre des moments qu’elle ne pouvait envisager pour elle, son ego ne le supporterait pas. Mais me faire vivre cette humiliation était pour elle une jouissance véritable, ses yeux ne pouvaient mentir et j’étais heureuse d’être le réceptacle de son plaisir. Je me prêtais avec abandon à ses désirs.

J’étais descendue, portée par plusieurs bras qui m’allongèrent sur un banc de bois. Mes jambes maintenues en l’air, Maîtresse écarta à l’extrême mes lèvres, pour montrer les dommages causés à mon vagin.

Chacun évaluait le degré de ma blessure et de mon excitation. La cyprine couvrait ma chatte.

Maîtresse fit un exposé sur mon corps ; toutes les parties étaient explorées. J’étais toujours admirative devant sa façon de gérer l’ingérable. Des gens qu’elle ne connaissait pas se laisseraient mener dans une aventure sexuelle sans broncher.

La cravache d’une des dames ne resta pas longtemps inactive. Maîtresse Syl encouragea sa propriétaire à me punir sur les parties de mon corps qui n’étaient pas dans l’exposé qu’elle faisait.

Après la position allongée, c’est à genoux, non plus sur un banc, mais sur deux que j’étais installée. Bien évidemment, les deux bancs étaient très largement espacés de manière à ce que mon poitrail (dixit une des femmes) et mes cuisses soient ouverts au maximum. Un des hommes se glissa d’ailleurs sous moi pour me mordiller les tétines. Le manche de la cravache ne tarda pas à servir de pénis improvisé et il fut rejoint par un second, celui de Maîtresse, qui envahit mon trou du cul, distendu par la manuvre.

Maîtresse était toujours très occupée à entraîner les personnes présentes à plus d’initiatives sur mon corps de jeune femme offert.

Robert n’était pas en reste et avait apporté une selle pour poney qu’il me posa sur le dos. Les étriers étaient contre mes flancs. Les sangles passées furent serrées sous mes seins par l’homme qui était sous moi entre les bancs, un mors en plastique et métal fût introduit dans ma bouche et relié à une lanière de cuir me transformant en cheval de parade.

Je bavais abondamment durant tout le temps que j’avais cet instrument dans la bouche. Maîtresse demanda un coup de main pour me poser sur la piste, et ce n’est plus le cheval sur lequel j’avais paradé nue tout à l’heure que l’on faisait tourner, mais bien moi qui devait obéir aux injonctions de Robert et de Maîtresse, pour garder la tête haute, les fesses relevées, monter ma jambe, et saluer en baissant mon encolure.

Maîtresse aida la femme à me monter, mais malgré son faible poids, j’avais du mal à avancer. Ma corpulence de 45 kilos et ma taille de moins d’un mètre cinquante-cinq ne me permirent pas de porter son poids bien longtemps. Je fis tout de même un tour de piste. Elle tirait sur mon mors et je bavais de plus belle. Les pointes de ses bottes s’enfonçaient dans mes côtes. Je sentais ses cuisses serrer mes flancs. Elle prit un grand plaisir à me faire trotter.

Elle se fit photographier ainsi ; elle avait fait de moi des clichés depuis le début, mais j’avais bien noté qu’à chaque fois, Maîtresse Syl se poussait pour ne pas être sur l’image. Ce qui ne l’empêchait pas de me prendre avec son smartphone dès que la situation lui paraissait intéressante.

J’aimais l’idée que l’on puisse me regarder sur une photo, nue, complètement soumise et que des hommes et des femmes puissent se masturber en me regardant sur un écran ou sur du papier glacé.

Tant pis, tu vas servir quand même, Sophie la jument !

Tout le monde rit en écoutant Maîtresse Syl me traiter de la sorte.

J’avais eu depuis L’EHPAD, beaucoup de surnoms, mais celui-ci, c’était une première !

Je n’avais pas fait automatiquement le rapprochement de « jument » avec cheval, mais tous autour l’avaient fait : un couple animalier.

Je fus donc amenée vers lui. Je comprenais qu’ils voulaient me faire baiser par le bestiau, et j’avais franchement peur. Mais il ne s’agissait pas vraiment de cela.

Ils voulaient me voir sucer la bite et les couilles du canasson. Robert excitait le sexe du cheval à la main, la femme avec sa cravache, et Maîtresse Syl me l’offrait avec cérémonie. A genoux sous le poitrail de la bête, je m’aidais de mes mains pour tenir la bite à la hauteur de ma bouche. Pas question pour moi de me l’introduire, le sexe était énorme. Je passais la langue sur le bout, aspirais, léchais comme un cornet de glace, attrapais ses boules et le masturbais vivement. Le goût était âcre et n’avait rien à voir avec celui des sexes d’hommes ou même de femmes.

La femme du couple branlait son mari qui, avant le cheval, m’aspergea la bouche de son sperme chaud. Robert avait sa bite à la main également, mais attendait le dénouement du plaisir de son protégé avant de prendre le sien.

Maîtresse me doigtait fortement, et mes seins n’étaient pas laissés à l’abandon non plus.

Enfin, le cheval lâcha une vague de jus sur mon visage. Chacun voulait voir ma langue lécher le liquide visqueux, et Robert avec la cravache ramassait les éclaboussures pour me les faire avaler. Il ne tint pas longtemps à me regarder faire. De plus, mes seins maltraités me faisaient remuer en tous sens.

Il m’éjacula dans les cheveux.

Je tombais sur le sol, Robert ôta les attributs chevalins : la selle, le mors qui pendait sur mon torse, et la lanière. Je pus respirer deux minutes. Une bouteille de whisky circulait et j’eus le droit de me « rincer les amygdales » avec.

Le cheval ramené dans son box, je fus lavée au jet, frottée à l’étrille par la femme toujours très excitée. Ma chatte n’était pas épargnée et j’eus un orgasme qui me cloua au sol. La dureté des poils de la brosse était un délice que je goûtais comme le plus suave des tourments. J’étais éreintée ; Maîtresse Syl se chargea de me ramener à la voiture et de récupérer ma robe du soir.

De retour à la maison, je dus me mettre à quatre pattes devant le canapé. Elle me cracha sur l’anus pour mieux entrer ses doigts dans mon trou. Elle comptait elle-même, et à voix haute, combien elle pouvait en faire pénétrer. Elle me fit lécher un à un ensuite, les quatre doigts qu’elle avait rentrés. Elle s’assit sur ma figure, je neus d’autre choix que d’ouvrir ma bouche pour respirer, et bien sûr ma langue se ficha dans sa chatte brûlante. Je m’occupais de Maîtresse Syl en la léchant durant de longues minutes. Mon visage était trempé de cyprine.

Je fus triste quand elle m’abandonna aux soins de Charles et lui ordonna de me faire une séance de désintox ’’. Je ne voyais pas trop en quoi j’avais été intoxiquée suite à mon passage au centre équestre.

Mais j’eus droit à un lavage en règle.

Ma journée n’était pas encore terminée : je devais subir Phébus et Perceval, ainsi que les tripotages de Charles, jamais avare de trouvailles vicieuses.

Je pris son sexe rabougri entre les doigts et décidai de la faire jouir coûte que coûte.

Sa bite n’était plus qu’un objet entre mes doigts, je le pressais en le masturbant bien, de haut en bas, recouvrant le gland que j’avais humidifié et descendant la peau jusqu’aux couilles. J’utilisais mes deux mains, sa verge durcissait, je le regardais droit dans ses yeux qui chaviraient. J’augmentais ma cadence d’une main et saisis ses boules de l’autre, que je faisais rouler dans ma paume. Je le sentais venir et pressais ses couilles en même temps que j’écrasais son gland. Un jet puissant finit sa course sur le tapis, vite léché par Phébus. Il était épuisé et dut s’asseoir pour reprendre ses esprits.

Il me remerciait sans arrêt en faisant des gestes désordonnés. Il n’avait sûrement pas joui depuis plusieurs années.

Je me félicitais de ne pas avoir avalé son sperme, car si les bons vins sont meilleurs une fois vieillis, je ne suis pas certaine que ce soit la même chose avec le sperme stocké dans une vieille paire de couilles.

J’étais fière de cette petite victoire qui pouvait me servir pour peser sur les décisions de Charles.

J’avais eu des expériences de lavements à l’EHPAD. Charles était également clystérophil et je n’y coupais pas. Je pensais que si c’était le remerciement pour l’avoir fait jouir, j’étais bien mal payée en retour.

Je pensais que nous allions monter dans la salle de bains, mais il choisit de nous faire sortir alors qu’il était déjà tard et que le jour déclinait. Il m’installa allongée, jambes relevées et écartées sur le banc en pierre près du plan d’eau, et me laissa avec les chiens.

Après un bon moment où je subis (non, subir n’est pas le bon mot !) où je me faisais lécher la chatte et la raie des fesses avec plaisir, Charles revint avec, dans les mains, les objets pour satisfaire son désir clystérophilique. Assez étonnamment, il écarta Phébus et Perceval en attachant leurs laisses à un anneau qui se trouvait sur le bord du bassin.

Il fixa à une petite branche sur l’arbre la poche et déroula le tuyau muni de la canule. Sans précaution, et avec une grande facilité – mon anus était bien lubrifié par les langues canines-, il me l’introduisit dans le trou du cul.

La surprise fut énorme pour moi quand je le vis sortir de son sac, deux bouteilles remplies d’un liquide brunâtre. Je l’interrogeais pour savoir ce que c’était. Bien sûr, il ne risquait pas de me répondre ! Il s’avança en débouchant une des bouteilles et me fit sentir.

Il s’agissait de café ! Pourquoi voulait-il me faire un lavement au café ?

Je n’avais pas la réponse à ce moment-là et c’est Maîtresse Syl qui me la donna le lendemain : une méthode pour se désintoxiquer venant d’un professeur américain faisait fureur aux USA et était d’une grande efficacité.

Charles versa le liquide tiède dans la poche en plastique, et je pus suivre, malgré la pénombre qui gagnait, le cheminement du liquide dans les tuyaux qui me reliaient à la poche. Je sentis rapidement la chaleur qui gagnait mes intestins, et qui me remplissait. Au bout de quelques minutes, le liquide fit gonfler mon ventre comme si j’étais enceinte. Mon bidon s’arrondissait et je me sentais remplie comme après un repas trop copieux.

La seconde bouteille vidée dans la poche déclencha une vraie gêne dans mon ventre. Je devais serrer mon anus pour que le liquide ne coulât pas. Mes jambes, toujours en l’air, commençaient à me peser, la position était inconfortable. Et comme je n’avais pas été punie d’avoir parlé, je me permis de le lui faire savoir. Bien m’en prit : il me fit mettre les pieds à plat sur le banc, et avancer mes fesses au ras de l’assise; mais toujours allongée. Il surveilla l’avance du café, et le régla pour un débit plus lent, la pince à clamper qui était sur le tuyau.

Pour patienter, il caressait ses chiens qui tiraient toujours sur leur lien pour aller dans ma direction.

Ne pouvant rien leur refuser, il prit la laisse de Phébus – décidément, c’était son chouchou – et le guida jusque devant mon entrejambe ouvert. Le cabot me lécha tout le temps que dura le remplissage de mes intestins. En fait, cela m’aidait à patienter, et comme je remuais, le canin y trouva matière à satisfaire son envie de langue.

La poche vide, je ne restais pas en place, je secouais mon cul dans tous les sens, implorais Charles de me laisser me soulager. Mais il ne voulait pas et me punit d’avoir parlé en me tordant sans relâche mes deux tétons à la fois. Mon sphincter se relâcha, et du liquide brun sortit de mon cul, vite avalé par Phébus.

Mes tétines me cuisaient, mais je l’avais bien cherché : j’avais parlé et je méritais un châtiment. Il les tournait en même temps qu’il les tirait et les pinçait. Mes tétons étaient raides, et comme à chaque fois, ils s’étiraient et finissaient par ressembler à une tétine pour les biberons !

Le temps passait et Charles m’avait débarrassée de Phébus. Je me tordais, tellement mon ventre était rempli. Je pensais aux femmes qui accouchent.

Enfin, Charles me donna le feu vert en ôtant la canule et me fit signe d’aller évacuer.

Je n’eus pas la force d’aller bien loin et me vidai devant lui en cascades brunes et odorantes. La honte m’envahit, mais le fait qu’il était muet me rassura. Il ne pourrait pas faire de remarques désobligeantes.

Même les chiens me regardaient me rependre devant leurs yeux. Charles s’était baissé et reluquait mon anus distendu et le liquide qui s’échappait de mon trou du cul. Il n’en finissait pas d’en sortir et je poussais comme pour chier afin qu’il ne reste plus rien à l’intérieur. Charles me maintenait au sol et me faisait avancer vers les lévriers qui se firent un plaisir de me nettoyer le cul et en passant, la chatte aussi.

Au moment de me faire manger, Maîtresse Syl interrogea Charles pour savoir si mon lavement s’était bien passé. Je baissais la tête. A y repenser, la honte me gagna à nouveau.

Je passais la nuit sur le tapis de la chambre de Maîtresse.

Le centre commercial

Maîtresse était curieuse de tenter de nouvelles expériences, j’avais vite compris que c’était la première fois qu’elle disposait d’une soumise à qui elle pouvait tout faire. Au début, elle me réservait à son usage domestique : Charles, Phébus et Perceval. Mais après quelques jours, elle décida d’élargir les champs des possibles en m’introduisant dans la vie extérieure à la maison, non pas qu’elle se lassait, mais je la sentais curieuse de me tester en milieu ouvert.

Elle me mit à l’épreuve constamment en organisant des sorties impromptues et me mettant dans des situations de plus en plus gênantes.

Charles avait été chargé de trouver une personne dans le milieu médical, en l’occurrence un infirmier, pour poser dans mon vagin un tout petit engin cylindrique en aluminium. La particularité de cet appareil était de décharger par l’un ou l’autre bout, suivant la force désirée, de petites décharges électriques. Sans danger ! avait dit Maîtresse Syl qui l’avait acheté à un ami qui vivait à New York. Elle le pilotait de son smartphone.

La mise en place était plus compliquée que prévu, car il fallait qu’il soit introduit tout au fond de mon vagin, près de mon méat urinaire. Il était fixé un peu comme un stérilet. C’était donc allongé sur la table de la salle à manger, les jambes en l’air, un spot dirigé en direction de ma chatte, que l’opération se déroula.

Maîtresse avait posé des pinces à linge sur mes lèvres et les avait liées à mes cuisses par des élastiques pour que mon orifice restât grand ouvert en permanence.

L’infirmier, grassement payé d’après ce que je compris, pratiquait avec deux longues pinces qu’il manipulait à l’intérieur de ma vulve. La sensibilité de mes organes sexuels était mise à rude épreuve, et mon envie était visible, trahie par la cyprine qui s’échappait à la vue de tous, de mes muqueuses internes.

L’objet fut placé, c’est Maîtresse qui eut l’honneur de tester l’application du bout de ses longs doigts fins.

Je ressentais, en même temps qu’elle appuyait sur l’écran de son téléphone, une décharge au tréfonds de mon sexe qui me laissa pantelante : comme un orgasme, mais en plus sourd et plus rapide.

Une violence rare comme un pincement de mon clitoris en même temps qu’un millier de fourmis sortait de ma chatte.

L’infirmier s’y essaya également, je mordais mes lèvres pour ne pas jouir, mais le fait que ce soit un inconnu m’excitait encore davantage et j’eus un orgasme plutôt bruyant.

Autant vous dire que je passais ma journée dans la maison et dans le jardin à subir des décharges jouissives. La variation était très nette entre un bout du cylindre et l’autre. Le second était plus doux, moins agressif, cela me donnait l’impression qu’un mouvement circulaire s’opérait à l’intérieur de mon sexe.

La journée fut épuisante et Maîtresse décida que le lendemain nous testerions l’engin dans des lieux publics.

Nous partîmes avec Charles, qui veillait au grain dans toutes nos sorties. J’avais pour habitude de porter un haut blanc sans manches, mais avec de larges emmanchures qui laissaient apercevoir mes petits seins pointus si l’on se plaçait sur mon côté. L’encolure ne faisait pas pigeonner ma poitrine trop modeste pour faire un effet de ce genre. Par contre, dès que je me baissais, on pouvait les voir libres.

J’étais toujours en jupe plissée courte et sans sous-vêtement, Maîtresse voulait avoir accès à mon sexe immédiatement. Je devais être disponible à sa moindre demande.

Le terrain privilégié était le centre commercial avec ses anonymes, semblables à des ombres qui ne font attention à rien. Restait à capter l’attention de quelques-unes !

Elle me fit essayer des vêtements dans une boutique bon marché et ouvrit en grand le rideau de la cabine d’essayage. Elle s’arrangea pour qu’un homme seul arrive en faisant mine de ne pas l’avoir vue, et m’aida à me déshabiller. Une fois nue, elle me fit passer un chemisier qu’elle avait choisi trop petit.

Je dus sortir de la cabine avec seulement le haut, le cul à l’air, pour me regarder dans le grand miroir entre les cabines. Le motif était de vérifier si les épaules tombaient bien, mais le constat était qu’il était trop petit.

De toutes les façons, ce qu’elle choisissait était toujours trop petit !

Elle me parlait pendant tout le temps, mais ne souhaitait pas que je lui réponde. En fait, elle justifiait avec ses paroles, ce qu’elle me faisait faire et s’adressait ainsi à l’homme sans le faire directement.

Elle m’entraîna là où il y avait peu de monde, dans une partie du vaste magasin, dans le rayon, pour changer l’article trop petit, tout cela entièrement nue bien sûr. L’homme nous suivait, ne voulant rien rater. Maîtresse Syl feignait de ne prendre pas garde à lui, l’ignorant parfaitement. Je devais attendre devant le rayon qu’elle ait choisi un autre haut « car décidément il n’y avait pas ma taille » !

Nous retournâmes aux cabines, elle, en tête, moi, la suivante, et l’homme, derrière, matant mon petit cul à l’air.

Elle me fit prendre des positions scabreuses pour passer ce tee-shirt pour le coup trop grand pour moi. Cette gymnastique avait pour but de faire découvrir à mon admirateur mon sexe ouvert et mes seins qui bougeaient.

J’attendais, un pied sur la chaise et les jambes bien écartées, que Maîtresse sorte son smartphone et le manipule devant l’homme qui n’en manquait pas une miette.

Mon corps réagissait en dehors de ma volonté et je devais lui sembler envoûtée, tellement ma gestuelle était désordonnée. Mais il comprit vite ce qui se passait, et sans un mot, arriva à se faire comprendre de Maîtresse et il se saisit de l’émetteur.

Lui aussi jouait avec mon corps, et Maîtresse se régalait de me voir me tordre sous les doigts numériques de l’inconnu. Les décharges électriques titillaient l’intérieur de mon ventre, je ne pouvais garder la pose et me retrouvais allongée sur la moquette de la cabine. Elle l’autorisa à me toucher. Il trempa ses doigts dans ma mouille et tritura mes seins. Il voulait aller plus loin, mais elle préféra couper court et me fit passer mes vêtements pour repartir rapidement du magasin. Je crois qu’elle était snob et ne voulait pas entretenir de rapports avec les gens du peuple qui fréquentait ce type de commerce.

Elle ne risquait pas de l’inviter à la maison pour une soirée chaude !

Nous sommes maintenant, chez le chausseur, c’était une jeune vendeuse qui me complimenta quand, la jambe relevée sur le marchepied, elle me fit essayer une chaussure et avait une vue sur ma chatte écartée par le mouvement. Elle avait d’entrée la confiance de Maîtresse. Elle avait compris rapidement où ma pseudo maman voulait en venir, et se prenait au jeu en maintenant mon pied en l’air tout en regardant Maîtresse Syl.

Cette dernière lui parlait et lui faisait m’écarter un peu plus les jambes. Elle lui expliqua que j’avais dans mon vagin un engin merveilleux et lui en fit une démonstration. Je passais pour ce test plusieurs minutes en pleines vibrations, Maîtresse laissait son doigt appuyé en permanence. Je coulais et tout le monde pouvait voir sur mes cuisses le résultat du test.

Maîtresse riait, et les clients devaient se demander ce qui se passait.

Un couple plus curieux que les autres s’assit face à moi. La vendeuse se tourna pour leur dire qu’elle finissait avec la demoiselle et qu’elle viendrait vers eux rapidement.

Bien sûr, Maîtresse avait jugé le couple, et ne fut pas surprise d’entendre la femme dire :

Prenez votre temps Mademoiselle, nous admirons la fille de Madame qui mérite qu

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