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Ma tentation incestueuse – Chapitre 3




Ma langue s’enroulait délicatement autour de son gland ; il était temps pour moi de lui montrer ce que je savais faire, désormais. J’ouvris les yeux et le regardai, toujours avec son gland doux, chaud et au goût légèrement salé qui palpitait sur ma langue. De sa main libre il s’appuyait sur le lavabo, et à ce moment-là nos regards se croisèrent. Le sien était doux, amoureux, fièvreux, tout comme devait l’être le mien. Puis, lentement, en maintenant mon regard, j’engouffrai son gland dans ma bouche tout en lui caressant doucement les couilles bien gonflées. Je l’entendais pousser un soupir de plaisir.

Je l’accueillais de la meilleure façon possible, vu sa taille imposante. Je le suçotais très délicatement, comme si je tétais la plus douce et précieuse des friandises qu’on ne m’ait jamais offerte ; je voulais prendre tout mon temps. J’entamai de lents va-et-vient, enduisant peu à peu sa queue de salive, ce qui me permettait de pouvoir la sucer à chaque fois toujours plus en profondeur. Lorsque j’avais un peu mal à la mâchoire, je stoppais ma pipe pour m’occuper de ses couilles. Elles aussi méritaient leur part de caresses, il ne fallait surtout pas les négliger.

Oh, putain, mais t’es vraiment incroyable, toi. Je peux t’assurer que même Sophie n’est pas aussi tendre que toi pour les pipes !

Merci, mais fais-moi plaisir, dis je après avoir sorti son membre de ma bouche avec un bruit de succion très sonore. À partir de maintenant, lorsqu’on sera que tous les deux et surtout dans ces moments-là je ne veux plus jamais t’entendre prononcer le nom de ma belle-soeur. Compris ? lui demandai-je avec un petit sourire rempli de malice.

D’accord.

Je te remercie, dis-je en reprenant son membre en bouche.

Je continuai ma fellation le plus tendrement possible pendant plusieurs longues minutes, suçant et dégustant sa verge avec une gourmandise non dissimulée tout en continuant à flatter ses couilles de ma main libre. Malgré ma bonne volonté, je me trouvais dans l’impossibilité de lui faire une gorge profonde, mais je pourrais toujours apprendre pour plus tard. Il me caressait les cheveux, me faisait comprendre que chacune de mes caresses lui convenait parfaitement, ce qui m’excitait comme jamais je ne l’avais été en faisant une pipe, que ce soit à mes ex ou à mes conquêtes d’un soir.

Il n’avait pas besoin de parler : ses gestes, sa respiration et son comportement le faisaient pour lui. Ma langue ne quittait pas sa queue une seule seconde, et c’est avec une grande douceur que je léchais la base de sa tige afin de lui lécher et sucer les couilles chaudes et pleines de jus qui ne demandait qu’à sortir. Je m’amusais à les aspirer, les mordiller, tout en le branlant très doucement. Je me sentais d’humeur coquine et joueuse. Je voyais son visage se crisper sous leffet du plaisir qu’il prenait ; j’en étais heureuse.

Oh, Cécile, j’en peux plus, il faut que je te baise ! J’ai tellement envie de toi… me dit-il, haletant. Tu préfères qu’on aille dans ta chambre ou dans la mienne ?

Je stoppai ma fantaisie buccale et remontai vers sa bouche ; nous nous sommes embrassés longuement et tendrement pendant que je continuais à malaxer sa queue. Moi aussi, j’étais désireuse de passer à la suite, de savoir de quoi mon frère était capable au lit. Ce moment était enfin arrivé, et j’aurais tué quiconque aurait voulu nous interrompre.

Ni l’une, ni l’autre. J’ai une meilleure idée : viens, on va faire ça dans le lit des parents ! l’invitai-je avec un sourire complice en l’emmenant dans la chambre de nos géniteurs pour concrétiser notre amour incestueux dans la luxure.

T’es sûre de toi ?

Absolument certaine.

Une fois allongée sur le lit parental complètement défait, il m’arracha le peu de fringues qu’il me restait et se précipita sur ma chatte trempée pour la dévorer à pleine bouche. La douceur de sa langue, sa chaleur, son agilité, son savoir-faire, tout cela était un vrai bonheur. Je ruisselais comme une pucelle en chaleur dans sa bouche, et il lapait tout mon nectar avec une gourmandise extraordinaire. Il écarta mes lèvres vaginales de ses doigts pour faire entrer sa langue dans ma petite grotte trempée. Je ne pouvais m’empêcher de me caresser les seins comme une folle, de gémir, de feuler comme un animal, de couiner comme jamais ; je réalisai à quel point j’étais en manque de sexe… et dire que l’occasion s’était présentée en la personne de mon propre frère !

Ta chatte et ton jus sont délicieux, petite sur, me complimenta-t-il.

Oh, bois-moi, ouiii… suppliais-je en maintenant sa tête plaquée contre ma vulve offerte.

J’étais proche de l’explosion finale lorsqu’il se mit à me doigter furieusement avec deux doigts tout en continuant de me manger le clito. Cette fois, c’était trop ; je me laissai emporter par mon plaisir et me tendis comme un arc. J’avais les yeux écarquillés, la bouche grande ouverte, et je criai lorsque l’orgasme libérateur me secoua, rapidement suivi d’un deuxième tout aussi délicieux, puis dun troisième. Mon frère se mit debout, releva mon bassin avec une seule main, présenta sa queue à l’entrée de ma chatte, poussa juste un peu et je sentis son membre chaud et dur coulisser à l’intérieur de moi et forcer mes parois intimes pour notre première fois.

Oh, merde, ma salope chérie… Non seulement t’es trempée, mais en plus tes carrément en train de m’aspirer ! déclara-t-il en commençant à me besogner.

Mon Dieu, oui, baise-moi, baise ta salope de petite sur, défonce-la ! soufflai-je, emportée par une vague de plaisir.

Il me prenait avec une fougue délicieuse. Je sentais qu’il devait être frustré sexuellement. La masturbation, ça va un moment ; mais là, c’était différent puisqu’il m’avait, moi, désormais. Nous étions dans un corps-à-corps fusionnel et incestueux. C’était fantastique ; plus rien ni personne ne comptait, il n’y avait plus que lui et moi. Mes jambes enlacèrent sa taille ; je voulais l’attirer au plus profond de mon être : je lui appartenais, et réciproquement. Nous faisions cocue ma belle-sur, et aussi étrange que ça eût pu paraître, je m’en foutais royalement.

Nous nous enlaçions et nous nous embrassions tendrement pendant lacte, et j’enchaînais des orgasmes tous plus tonitruants les uns que les autres. Je n’avais jamais soupçonné mon frère d’être un aussi bon coup au lit… Tout à coup, en restant en moi, il arrêta ses mouvements et me retourna sans ménagement ; je me retrouvai en position de levrette allongée contre le lit. Il profita de cette posture bestiale pour me frapper avec de violents coups de reins. Le bruit des claquements de nos peaux lune contre lautre envahirent la chambre parentale ; nous comporter comme des animaux en rut nous procurait un bonheur sans pareil !

Je me relevai un peu ; ses mains s’emparèrent de mes seins qu’il malaxa avec fermeté. Je sentais son souffle chaud sur ma peau et je remuais des hanches pour lui offrir un maximum de sensations. Je devais vraiment lui avoir fait perdre tous ses moyens parce qu’il lâcha un de mes seins et me saisit fermement les cheveux pour les tirer avec force. Je sentais sa queue aller toujours plus profondément en moi, à tel point que ses couilles cognaient contre mon clito, augmentant les sensations déjà très fortes. Ma chatte dégoulinait de bonheur à se faire remplir ainsi, et moi je ne pouvais plus m’empêcher de gueuler mon plaisir comme une vraie possédée.

Cécile, putain, t’es trop bonne… Ta chatte est un véritable écrin de plaisir, et tes cris sont vraiment excitants. Je crois que je vais pas tarder à exploser !

Oui, explose en moi, remplis ma petite chatte incestueuse et affamée de ton foutre chaud et onctueux… hoquetai-je pour l’inviter à jouir en moi.

J’ai pas mis de capote et je risque de te faire tomber enceinte, s’inquiétat-il en haletant.

Je prends la pilule, t’as pas à t’en faire ; alors lâche-toi.

Je le sentis se plaquer fortement contre moi et nos langues s’entremêlèrent dans un fabuleux et long hot kiss. Je l’entendis alors râler durant de longues secondes lorsque, simultanément, je sentis, à la manière d’un volcan qui entre en éruption, son jus d’amour se répandre en moi. Il resta un instant sur moi ; je sentais la chaleur réconfortante de son amour de tous les côtés. Il m’avait imprégnée, remplie, honorée, mais j’en voulais encore et encore et je me mis à ressentir une sorte de manque lorsqu’il se leva et sortit de moi. Je me précipitai pour nettoyer sa queue enduite de nos deux fluides sexuels mélangés. Mon geste a dû le surprendre parce qu’il me regarda faire avec étonnement. Moi, je prenais tout mon temps pour le savourer, trouvant fort agréable son goût salé et âcre mélangé au mien.

Oh, mon Dieu, mais t’es incroyable : tu acceptes de me la nettoyer après un rapport… T’es vraiment la femme parfaite, sexuellement parlant, toi ! déclara-t-il en souriant.

Merci beaucoup, répondis-je après l’avoir longuement et délicieusement astiqué. C’est vrai, ça t’a vraiment plu ? l’interrogeai-je, tout de même curieuse de son ressenti de notre première expérience.

T’es la meilleure amante que j’ai jamais eue ! m’assura-t-il en conservant son beau sourire et en m’embrassant sur le front. J’espère qu’on pourra remettre ça rapidement…

Toi aussi, t’es le meilleur coup que j’ai jamais eu, et je te promets qu’on remettra ça dès que l’occasion se présentera, lui souris-je tendrement. Au pire, on se donne rencard dans un petit hôtel ou autre part à l’extérieur, ni vu ni connu. C’est pas ça qui va m’arrêter si je veux faire l’amour avec toi.

Moi non plus, et ce sera avec grand plaisir… me dit-il en m’aidant à me relever.

Bon, et si on allait se laver ? lançai-je.

Oui, allons-y !

Épuisés mais vraiment satisfaits, nous prîmes une douche en silence, mais non sans nous embrasser tendrement à plusieurs reprises. Après nous être restaurés de quelques restes piochés dans le frigo et s’être habillés chaudement, nous partîmes chacun de notre côté afin de faire des achats de Noël. Je réalisai que j’aimais mon frère au-delà de la normale ; j’avais envie de toujours me dépasser rien que pour lui, mais finalement je ne pouvais pas m’empêcher de me demander comment tout cela allait se finir, si tant est que ça dût se terminer un jour.

En tout cas, une chose était sûre : je garderais ce secret jusqu’à mon dernier souffle, et jétais certaine qu’il en ferait de même.

Une suite ?

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