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L'histoire de Muriel – Chapitre 6




— Comme tu veux. La maison t’est ouverte. Appelle moi au téléphone quelques jours avant.

— C’est promis.

— C’est bien ! Conakry va te raccompagner. Bon courage pour cette semaine et embrasse ma sur de ma part.

— Je n’y manquerai pas.

J’embrasse ma tante et sors de la maison pour emprunter le chemin à la suite de la jeune africaine. Avant d’ouvrir le portail, Conakry se retourne vers moi.

— Vous reviendrez, Mademoiselle, n’est-ce pas ?

— Bien sûr, Conakry !

Sa bouche s’entrouvre. Cette fois, c’est moi qui prend l’initiative de poser mes lèvres sur les siennes puis de fouiller sa bouche de ma langue pour rencontrer la sienne. Je sens en contrepartie une de ses mains qui vient couvrir mon sein gauche, le caresse puis descend vers mon ventre. Ma jupe est soulevée par les doigts de Conakry.

— S’il te plaît Conakry, pas maintenant !

— La prochaine fois, alors.

— Oui peut-être.

Le portail s’ouvre et je gagne la rue avec la tête en feu. Pas seulement la tête en y réfléchissant bien. Je regagne la gare pour reprendre le train pour Paris. Pendant tous le trajet de retour, je repense à cette visite chez ma tante. Que dois-je penser ? Dois-je en parler à Maman ? Suis-je en train de devenir lesbienne moi aussi ? Je revois en pensée le corps de Conakry. Je m’imagine en train de couvrir son corps de crème Chantilly avant de la lécher aux endroits les plus inavouables. J’ai une envie folle de me caresser et je force à garder les jambes serrées l’une contre l’autre. Que ce train est lent !

Arrivée en fin à Denfert-Rochereau, je sors de la gare pour m’élancer en courant vers notre appartement. Arrivée à notre étage, j’ouvre fébrilement la porte.

Maman n’est pas encore rentrée ! Cela me laisse le temps. Je me précipite sur le bureau de papa et j’ouvre le tiroir et fouille au fond. Bon sang ! Où est passé le livre ? Je suis sûre de l’avoir remis à sa place la dernière fois ! Maman l’aurait-elle trouvée ?

Tant pis je n’en ai finalement pas besoin. Je gagne les cabinets et m’y enferme. Je retire ma jupe et ma culotte et m’assieds sur les toilettes. Après avoir uriné, je m’essuie et commence à frotter mes lèvres en repensant à Conakry. Ma main droite entrouvre mon chemisier et commence à caresser mon sein gauche pendant que ma main gauche erre en train mes poils pubiens à la recherche de ma félicité. Je vais bientôt sentir cette montée de fièvre qui va exploser dans ma tête.

On frappe à la porte ! Chez nous ? Ou chez les voisins ? Non, c’est chez nous !

Je me rhabille en vitesse, tire la chasse.

— Oui ? Qui est-ce ?

— Police !

Je blêmis. J’imagine un instant qu’ils viennent parce que je masturbais avant de chasser cette pensée ridicule. Ce serait peut-être plutôt à cause de mon père…

Je vérifie dans le miroir à l’entrée que je suis présentable avant d’ouvrir la porte. Deux agents se tiennent sur le palier.

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