Au petit matin, la fraîcheur hivernale m’accueillit lorsque mes paupières s’ouvrirent. Mon visage, reposant sur un oreiller douillet, me semblait totalement rafraîchi par cette folle nuit. Pendant les quelques secondes durant lesquelles je tentai de me réveiller, les images de cette nuit érotique me revinrent en mémoire. Je rougissais rien qu’en y repensant, mais je n’avais aucun regrets. Strictement aucun. Enfin, lorsque mes yeux se furent accommodés à la luminosité ambiante, je m’aperçus que ce que j’avais pris pour un oreiller était en fait la poitrine d’Alexia. Mince, pensais-je alors. J’avais dormi sur elle, la tête appuyée contre ses seins accueillants. Je tentai de me relever jusqu’à ce que quelque chose frottât contre ma vulve. Au toucher, je reconnus le propre vagin de mon amie. Je compris alors que, la nuit dernière, nous nous étions endormies dans la position ciseau, celle qui nous avait donné, à Alexia et à moi, un puissant orgasme. Nous n’avions même pas dormi dans les couvertures, mais la chaleur de nos corps semblait avoir suffi pour nous réchauffer pendant la nuit. Je me levai alors hors du lit, enjambant le corps de mon amie. Je m’habillai sans tarder et réveillai Alexia qui, comme un loir, dormait encore.

-C’est déjà le matin ? demanda-t-elle en bâillant.

-Mieux, c’est l’heure du petit-déjeuner, souris-je en retour.

Alexia se releva et s’aperçut qu’elle était nue comme un ver. Dans un premier temps gênée, elle se souvint alors de notre folle nuit et ôta le bras qu’elle avait placé devant ses seins.

-Qu’est-ce que c’était bien, la nuit dernière, murmura Alexia suffisamment fort pour que je l’entende.

-Pour une première fois avec une fille, j’ai adoré, répondis-je en me dirigeant vers la salle de bain.

-Tu vas prendre ta douche ? me demanda-t-elle.

-Ouais, j’en ai pour trois heures, pas moins, plaisantai-je.

Elle sourit tandis que je sortis. Je vis alors les garçons ainsi que Mathilde, assis autour de la table. Ils semblaient discuter de la partie d’hier, et à en juger par les regards qu’ils me lancèrent, j’en conclus qu’ils parlaient de moi, et peut-être d’Alexia également.

-Alors, ça t’a plu ? demanda Mathilde.

-Qu’est-ce qui m’a plu ? l’interrogeai-je.

-Tu sais, les murs ne sont pas insonorisés. On a tout entendu.

Je me mis alors à rougir, si bien que je courus vers la salle de bain afin d’échapper à leurs regards. Espérant qu’ils ne nous taquineraient pas trop, Alexia et moi, sur le sujet, je me déshabillai après avoir fermé la porte à clé et pris une bonne douche chaude. J’en ressortis trempée mais propre. Je m’essuyai à l’aide de ma serviette et branchai mon sèche-cheveux afin qu’il fît son office. Au total, j’avais dû prendre une vingtaine de minutes. Une fois prête, je m’habillai et sortis de la salle de bain. Aussitôt derrière moi, Alexia prit ma place, déjà en tenue d’Ève. Je me permis de lui mettre une petite claque sur les fesses, juste pour rire. L’effet fut immédiat : mes quatre voyeurs d’amis se levèrent et sifflèrent. Je m’assis alors à la table, à nouveau rouge de honte.

-Tu peux décompresser, me dit alors Mathilde. T’es pas la première à coucher avec une fille.

Je lui lançai un regard qu’elle interpréta immédiatement.

-Oui, j’ai déjà couché avec une fille, répondit-elle à ma question sous-entendue.

Cette fois, ce fut elle que les garçons sifflèrent. Mathilde se contenta de rire, en les qualifiant de chimpanzés. Nous discutâmes alors de ce que nous voulions faire aujourd’hui, et après une bonne demie-heure, Alexia sortit de la douche, cette fois vêtue d’un pull à rayures blanches et noires, d’un pantalon de survêtement et de chaussettes blanches.

-Alors, on va skier ! tonna alors la nouvelle venue.

Nous hurlâmes tous gaiement en quittant le chalet afin de nous changer dans la cabane voisine.

Mes cheveux roux étouffaient dans ce bonnet fait de laine beige, mais c’était ça ou risquer de finir avec des cheveux blancs et gelés, et non plus roux. Sur les pistes, je m’éclatais en glissant sur la neige, arrosant mes mains protégées par mes gants, en laine beige également. Au loin, je vis Alexia tomber et rouler sur plusieurs mètres. Je manquai d’exploser de rire, mais je me retins lorsque je faillis glisser et tomber à mon tour. J’enchaînai alors les pistes noires, bleues, rouges et vertes avec une aisance variant selon la difficulté du parcours. Pour ma dernière piste, une piste noire bien entendu, j’avais glissé plus souvent sur les fesses que sur mes skis. Mes amis s’étaient même moqués de moi sur le chemin du retour, disant que mon pantalon était plus blanc que la neige elle-même.

La nuit commençait à se lever lorsque nous rentrâmes au chalet. Nous étions en tenue de soirée, pour ma part j’étais habillée comme la veille. Après tout, m’étais-je justifiée, je n’avais pas gardé mes habits bien longtemps. Ils rirent en soulignant la véracité de ma remarque. Nous nous assîmes ensuite tous autour de la table, dans les mêmes positions que la veille. Nous nous mîmes alors à chercher un jeu, jusqu’à ce qu’Aurel proposât de jouer au téléphone arabe. Il nous exposa ses règles que nous acceptâmes tous de bon cur ; ce jeu semblait extrêmement amusant, surtout avec un groupe d’amis tel que nous.

-Il faut aussi trouver un gage au perdant, dit alors Damien.

-J’ai une idée, proposa alors Alexia. On n’a qu’à dire que la première fille à faire une erreur doit échanger de vêtements avec le premier mec à en faire une.

-Et pourquoi tout le monde ne devrait-il pas échanger de vêtements ? proposai-je. Le jeu consisterait plutôt à trouver son binôme : les deux perdants ensemble ; les deux gagnants ensemble ; et les deux seconds ensemble. Bien évidemment, les binômes seraient mixtes.

Tout le monde approuva l’idée, mais avant de commencer, Aurel raviva les flammes de la cheminée qui menaçaient de s’éteindre à tout moment.

-J’ai remis deux bûches, je pense que ça devrait suffire.

Aurel se rassit alors, et la partie put commencer. Mathilde se proposa pour commencer, ce fut donc Damien qui entama la partie.

-Un groupe d’amis dans la montagne, commença-t-il.

-Un groupe d’amis dans la montagne partageait le même chalet pour leur séjour, compléta Alexia.

-Un groupe d’amis dans la montagne partageait le même chalet pour leur séjour, et le soir venu ils entamèrent une partie de strip-poker, ajouta Aurel.

-Un groupe d’amis dans la montagne partageait le même chalet pour leur séjour, et le soir venu ils entamèrent une partie de strip-poker que Marion et Alexia perdirent, s’enthousiasma Mathilde.

-Un groupe d’amis dans la montagne partageait le même chalet pour leur séjour, et le soir venu ils entamèrent une partie de strip-poker que Marion et Alexia perdirent, c’est pourquoi ils durent passer la nuit ensemble, totalement nues, ricana Thomas.

-Un groupe d’amis dans la montagne partageait le même chalet pour leur séjour, et le soir venu ils entamèrent une partie de strip-poker que Marion et Alexia perdirent, c’est pourquoi ils durent passer la nuit ensemble, totalement nues. Elles se retrouvèrent alors à se goutter l’une l’autre avant de frotter leurs vulves jusqu’à ce que jouissance s’ensuive, rougis-je.

La partie dura longtemps, notamment à cause du fait que nous avions tous une bonne mémoire. Après environ dix minutes de jeu, ce fut au tour de Mathilde.

-Un groupe d’amis dans la montagne partageait le même chalet pour leur séjour, et le soir venu ils entamèrent une partie de strip-poker que Marion et Alexia perdirent, c’est pourquoi ils durent passer la nuit ensemble, totalement nues. Elles se retrouvèrent alors à se goutter l’une l’autre avant de frotter leurs vulves jusqu’à ce que jouissance s’ensuive. Le lendemain, quelqu’un frappa à la porte, alors Aurel, déguisé en Père Noël, alla ouvrir. Il trouva alors sur le seuil de la porte un renne qui lui apporta un long parchemin, sur lequel il était écrit : « Père Castor, raconte-nous une histoire ».

-Perdu ! hurla-t-on en chur. C’était : « Père Cafard, raconte-nous une histoire ».

Mathilde se frappa le front et admit sa défaite. La partie put alors se poursuivre. Cinq minutes passèrent, et ce fut au tour de Damien de faire une erreur. Les deux suivants furent alors Thomas puis Aurel. Nous savions déjà que Mathilde allait devoir échanger de vêtements avec Damien, il ne restait plus qu’à déterminer qui d’Alexia ou de moi allait perdre et changer avec Thomas. Nous étions de loin les meilleures à ce jeu, si bien que la phrase devenait interminable. Finalement, ce fut au tour d’Alexia.

-Un groupe d’amis dans la montagne partageait le même chalet pour leur séjour, et le soir venu ils entamèrent une partie de strip-poker que Marion et Alexia perdirent, c’est pourquoi ils durent passer la nuit ensemble, totalement nues. Elles se retrouvèrent alors à se goutter l’une l’autre avant de frotter leurs vulves jusqu’à ce que jouissance s’ensuive. Le lendemain, quelqu’un frappa à la porte, alors Aurel, déguisé en Père Noël, alla ouvrir. Il trouva alors sur le seuil de la porte un renne qui lui apporta un long parchemin, sur lequel il était écrit : « Père Cafard, raconte-nous une histoire ». Ne comprenant pas ce qui se passait, il apporta le parchemin à Marion qui, de tout le groupe, ressemblait le plus à un cafard. Nous invitâmes alors le renne à aller skier avec nous, et il put être témoin de la glissade de Marion sur les fesses sur une sacrée piste noire. Le soir, nous nous retrouvâmes tous dans le chalet, dans lequel une télévision allumée nous attendait. Nous zappâmes jusqu’à tomber sur un film porno. Le cerf nous observa alors étrangement lorsqu’il nous vit tous en train de nous masturber, sauf Damien qui n’avait plus de couilles. Au final, les garçons ont fini par redécoré les murs en blanc tandis que les filles ont éteint le feu avec des orgasmes puissants.

-Perdu ! hurlai-je. C’était pas « avec des orgasmes puissants», mais « avec de puissants orgasmes».

Alexia se maudit de cette erreur stupide, mais accepta son erreur.

-Alors comme ça, j’ai perdu mes couilles, dit Damien en feintant d’être vexé.

-T’inquiète pas, Mathilde va pouvoir vérifier ça, dis-je en ricanant.

Cette dernière me tira la langue.

-La ramène pas trop, tu vas faire la même chose avec Aurel, dit-elle en se mordant presque la langue.

Nous rîmes tous ensemble, incapables de croire que nous allions faire ce genre de choses

-Oh, et je propose que chacun déshabille son partenaire, ce sera plus drôle comme ça, ajouta Alexia.

-Et comme hier, les slips avec les dents, intervins-je.

Sans contester, chaque groupe alla se réfugier dans une chambre différente afin de pouvoir se déshabiller en paix. Ainsi, je me retrouvai dans une chambre, Aurel avec moi. Aucun de nous deux n’était vraiment à l’aise, si bien que nous parlâmes à peine. Il ferma la porte après être entré dans la chambre avant de se rendre à côté de moi, au milieu de la pièce, juste devant le lit.

-Bon, tu veux commencer par me déshabiller ou on fait l’inverse ? demandai-je enfin.

-Je vais commencer, si ça ne te dérange pas.

Je ne m’y opposai pas. Il s’approcha alors de moi, et je le laissai descendre les bretelles de ma robe le long de mes bras nus. Il fit alors tomber ma robe qui glissa jusqu’à mes pieds. Il me découvrit alors en sous-vêtements, avec ma culotte et mon soutien-gorge noirs. Je me retournai, non sans éprouver une pointe de gêne qui se trahissait par le rougeoiement de mes joues. Lorsque je fus torse nu, je me retournai pour lui faire face.

-Désolée, dis-je. En général, les hommes adorent mater les seins des femmes, mais il n’y a pas grand chose à regarder chez moi.

-Moi, je les trouve sublimes, dit-il en les regardant.

-Arrête de te foutre de ma gueule, c’est pas drôle.

Là, il attrapa l’un de mes seins et le pressa légèrement.

-J’ai toujours adoré les petits seins, avoua-t-il alors. Je ne sais pas pourquoi, mais c’est comme ça. Et les tiens sont parfaits.

Visiblement touchée, je le laissai me caresser la poitrine. Après tout, rares étaient les hommes à apprécier ces deux minuscules bosses qui surplombaient mon torse.

-Je peux les lécher, me demanda-t-il.

-C’est bien la première fois qu’on me le demande, dis-je.

Et pour lui montrer mon accord, je passai ma main droite à l’arrière de son crâne et le guidai jusqu’à mon téton gauche. J’eus un petit gloussement lorsque je sentis sa bouche accueillir cet organe sensible, et les sensations évoluèrent lorsque sa langue se mêla à la danse.

-Qu’est-ce que c’est bon, lâchai-je malgré moi.

Aurel ne dit rien, mais il semblait ravi. Il s’arrêta alors quelques secondes plus tard, se rappelant que nous devions échanger nos vêtements. Il se mit alors à genoux et mordit dans ma culotte avant de la faire descendre. Contrairement à Alexia, il avait réussi à la faire en un seul coup, malgré mes petits mouvements lorsque son souffle était venu chatouiller mon sexe qui, parce que j’étais légèrement gagnée par l’excitation, s’était légèrement humidifié. Mes vêtements, reposant à présent sur le sol, attendaient la venue de ceux d’Aurel. Ainsi, je déboutonnai chacun des boutons de sa chemise avant de la jeter au sol. Je m’attaquai alors au pantalon : je détachai sa ceinture ; la lui enlevai ; dézippai son pantalon ; et enfin le fis tomber au sol. Il ne lui restait que ses sous-vêtements, et ce fut alors que je découvris une énorme bosse à travers celui-ci.

-Désolé, dit-il gêné. C’est juste que t’avoir tétée m’a fait de l’effet.

-Il n’y a pas de mal, lui répondis-je en rougissant.

Sans perdre de temps, je mordis dans le tissu de son caleçon gris et commençai à le faire descendre le long de ses hanches. Je perdis prise lorsque j’atteignis son sexe, totalement tendu devant moi. Ce dernier était encore masqué par le tissu, mais je pouvais déjà imaginer ce bout de chair qui pendait. Je repris alors ma course, et dus à nouveau m’arrêter après que le tissu m’échappât des mains, ou plutôt des dents. Cependant, son sexe était entièrement visible, mais ses testicules étaient masquées. Je ne pouvais alors m’empêcher de fixer cette chose qui, je le sentais, me faisait envie. Je le fixais tellement que, sans m’en apercevoir, au lieu de coincer le tissu entre mes dents, je pris son membre en bouche et le mordis légèrement.

-Aïe, cria-t-il aussitôt.

Reprenant mes esprits, je me rendis aussitôt compte de mon erreur et reculai mon visage de son membre.

-Excuse-moi, sursautai-je presque.

-Et moi qui croyais que tu voulais la sucer, ça m’apprendra.

Décidant de me faire pardonner, je rapprochai mon visage de son entrejambe et ouvris légèrement la bouche. Lorsque son membre y entra, il eut un petit soubresaut de surprise, mais se laissa aller au plaisir que lui apportaient ma langue et ma bouche. Je lui suçai le pénis pendant plusieurs minutes, puis lorsque je sentis qu’il s’apprêtait à jouir, je stoppai net.

-Eh, mais c’est pas gentil, ça ! se plaignit-il.

-Tu auras la suite tout à l’heure. Pour l’instant, il faut que nous nous changions.

Il bouda légèrement, mais nous nous mîmes rapidement à changer de vêtements. Il passa alors ma culotte, puis s’arrêta en me regardant avec un sourire de malice.

-Ta culotte est mouillée, s’amusa-t-il de me faire remarquer.

Je rougis de plus belle en enfilant son caleçon.

-Et ton slip risque de finir dans le même état, osai-je répondre.

Il sourit en tentant d’enfiler le soutien-gorge, en vain.

-Tu peux m’aider, s’il te plaît. J’ignore comment vous faites pour vous l’accrocher dans le dos, ce machin.

Je me levai, toujours torse nu, afin d’agrafer ce petit bout de tissu noir. Il me remercia d’un regard et enfila la robe en vitesse. Je le regardai alors de la tête aux pieds. Voir Aurel portant une robe était bien plus amusant que ce que je ne m’étais imaginée. Je me rendis alors compte que je ne m’étais pas habillée, alors j’enfilai le pantalon et la chemise de mon ami, et ensemble nous rejoignîmes les autres dans la pièce principale du chalet.

La soirée avait été amusante, mais elle prit vite fin. Ainsi, Aurel et moi retournâmes dans la chambre dans laquelle nous nous étions changés quelques minutes auparavant afin d’aller nous coucher. Nous avions proposé de dormir avec notre partenaire précédent, mais Mathilde considérait qu’il fallait parfois savoir changer ses petites habitudes.

-Bon, bah je suppose qu’il va falloir que nous nous rendions nos fringues, maintenant, suggéra Aurel.

-Pourquoi ? Tu te plais pas en robe ?

Il sourit, gêné pour une raison qui m’était inconnue.

-C’est pas ça, admit-il. En fait, tout à l’heure, tu avais promis de finir ce que tu avais commencé, et je me suis dit que

-Désolé, je ne suce pas les filles, plaisantai-je en faisant allusion à la robe.

Il rit légèrement, bien que je sentisse de la frustration dans le son de sa voix.

-Dis, continuai-je. Tu pensais ce que tu as dit, tout à l’heure ?

-À propos de ?

-De mes seins. Tu les aimes vraiment ?

Il ne répondit rien. Il se contenta plutôt de déboutonner ma chemise, qui en réalité était la sienne, jusqu’à ce que ma poitrine apparût à ses yeux. Il porta alors l’un de mes tétons à sa bouche et l’embrassa.

-Je pourrais les reluquer toute la journée tellement ils sont magnifiques. Tellement tu es magnifique.

Touchée par ce compliment, j’entourai mes bras autour de son cou et, dans mon élan, je collai mes lèvres aux siennes. Initialement surpris, je sentis qu’il me rendit mon baiser avec tendresse. Nous nous reculâmes alors jusqu’à ce que nos corps tombassent sur le lit, lui au-dessus de moi. Entraînés par nos pulsions animales, je jetai ma main sous sa robe afin de descendre la culotte qui était supposée cacher ses parties. Lorsque j’eus terminé, mon pantalon et mon caleçon étaient tous deux descendus jusqu’à mes chevilles. Le bougre avait eu la même idée que moi. Nous nous embrassâmes plus fougueusement lorsque son pénis entra en contact avec mes lèvres intimes. Peu de temps s’écoula avant la pénétration, et ainsi cette soirée s’acheva par un homme en robe me faisant ardemment l’amour jusqu’à ce que je sentisse sa semence emplir mon intérieur.

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