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La détresse de l'aide soignante – Chapitre 4




J’étais prêt à partir à 19h30. Douché, barbe taillée, parfumé. Raymond, installé devant la télé, m’a regardé avec un petit sourire en coin. Sans doute se rappelait-il que, lui aussi, à un certain âge, il avait été un irrépressible charmeur. Je me demandais cependant s’il pouvait imaginer la teneur de la relation que j’entretenais avec Julie depuis deux jours. Avant de partir, je me suis assuré que tout irait bien pour lui. Il m’a assuré que oui. Que c’était le cas depuis 87 ans maintenant, et que j’étais gentil de m’en préoccuper mais qu’il était encore vivant. Sur cette note d’optimisme, j’ai pris mon sac et quitté les lieux.

Selon l’adresse que Julie m’avait donnée, elle était à un kilomètre et demi de chez Raymond. Vingt minutes de marche, juste ce qu’il fallait pour être pile à l’heure, peut-être un brin en avance si je forçais le pas. Vingt minutes de marche pour penser à toute cette situation, à ce que je prévoyais de faire à Julie, ce soir, et plus tard. Il m’aura fallu cinq minutes à peine avant de me sentir à l’étroit dans mon jean. Je suis arrivé en bas de l’immeuble avec trois minutes d’avance. Julie habitait dans une petite résidence, faite de deux immeubles, pas bien hauts. Je l’ai attendue entre les deux entrées pour être sûr de ne pas la louper, mais n’ai pas eu à attendre très longtemps. Il était 20h02 quand Julie a poussé la porte du bâtiment A. Tapi dans le noir, collé à la façade, je l’ai regardée s’avancer vers moi. Elle portait toujours son gros manteau, mais je devinais en-dessous les pans d’une robe, des bas, et des talons. Arrivée à ma hauteur, elle m’a vu, m’a souri, puis a regardé derrière elle, vers l’une des fenêtres éclairées.

Tu habites à quel étage ? lui ai-je demandé après l’avoir embrassée.

Deuxième.

Ton mec est là-haut ?

Oui. Mais il ne nous verra pas de cette fenêtre, c’est celle de la cuisine, il n’y va jamais.

Tant mieux, ai-je répondu en l’attirant vers moi. Qu’est-ce que tu lui as dis ?

Que je sortais avec des copines.

Parfait.

Une main sur ses hanches, j’ai ouvert son manteau de l’autre. Envie de l’admirer, lui ai-je dis. Julie portait une robe noire, plus légère que celles dans lesquelles je l’avais vue jusque là, plus raffinée également. Son décolleté, bordé de dentelle, mettait sa belle poitrine en valeur. J’ai dessiné le contour de l’un de ses seins du bout d’un doigt avant de descendre un peu plus sur son ventre.

Arrête, m’a-t-elle dit tout bas en regardant à nouveau la fenêtre. Et s’il nous voyait quand même ?

Ne sois pas bête, tu viens de dire que c’était impossible.

Ma main descendait toujours, jusqu’à ce que j’attrape le bas de sa robe. Je l’ai remontée sur sa taille, dévoilant ainsi ses bas noirs, ainsi qu’un porte-jarretelles et un string, noirs également, qui étaient du plus bel effet.

Tu t’es faite belle pour moi, on dirait.

Julie n’a pas pu réprimer un sourire, transformé en grimace de désir lorsque j’ai glissé ma main dans sa culotte. Planqués dans le noir, contre le mur, je l’ai branlée pendant quelques minutes, les doigts vissés à son clitoris, avant que son corps ne soit secoué par l’orgasme. Elle a mordu sa main pour ne pas trop crier, et j’ai dû la retenir, sans quoi elle serait tombée dans les fourrés. 

Tu es fou… a-t-elle soufflé en reprenant ses esprits.

Je sais, ai-je répondu en léchant mes doigts pleins de mouille. Depuis quand tu n’as pas joui si proche de ton mec ?

Arrête…

Elle m’a souri en réajustant sa robe, et nous avons pris la route. Il nous a fallu un quart d’heure pour atteindre le restaurant. Un quart d’heure durant lequel Julie était accroché à mon bras et durant lequel nous avons parlé d’un tas de choses. Un quart d’heure durant lequel nous nous sommes comportés comme un couple plus que basique. Je me suis montré aussi galant que possible, lui ai ouvert la porte du restaurant, pris son manteau, tiré sa chaise. Raymond aurait été si fier de moi s’il m’avait vu à ce moment-là. Le dîner s’est déroulé de la même manière. Comme un vrai premier rancart. Je lui ai posé des questions sur sa vie, et elle en a fait de même avec moi. Bien que la nourriture, en elle-même, n’ait pas été fameuse, nous sommes restés près de deux heures dans l’établissement.

On va prendre un verre ? ai-je finalement proposé.

Avec plaisir !

J’ai réglé l’addition et nous sommes allés dans un bar que j’avais remarqué sur le trajet. Je me suis rendu compte en entrant qu’il s’agissait d’un pub irlandais, ce qui n’allait pas vraiment avec l’image que j’avais du rencart et du romantisme. Mais Julie souriait, et avait l’air d’être heureuse ici. Alors pourquoi pas. Julie a commandé un cocktail à base de rhum, et j’ai pris un Gin Tonic, puis nous nous sommes installés à une table. La musique était forte, trop forte pour avoir une réelle discussion, alors nous avons bu nos cocktails, puis les deux suivants, tout en nous dévorant des yeux.

Si on rentrait ? lui ai-je demandé à l’oreille.

Julie a repris son manteau et nous sommes partis. Julie a été des plus surprises quand, trente mètres plus loin, j’ai poussé la porte d’un hôtel.

Quoi ? ai-je demandé. Tu croyais quand même pas que je te ferais dormir sur le vieux canapé de Raymond !

Non mais… c’est-à-dire que je ne pensais pas découcher, et…

Ah oui. Et bien envoie un message à ton mec pour dire que tu rentreras pas.

Je l’ai prise par le bras, et pendant qu’elle pianotait sur son téléphone, j’ai vu avec la réception pour récupérer les clés de la chambre que j’avais réservée. La chambre était au troisième étage. Dans l’ascenseur, Julie s’est mise à rigoler.

Qu’est-ce qu’il y a ?

Rien, a-t-elle dit en gardant son sourire. C’est juste que… j’ai l’impression d’être une prostituée, à te suivre comme ça dans un hôtel.

Je comptais bien faire de toi ma pute, cette nuit. Alors… tu n’as pas tout à fait tort.

La porte de l’ascenseur s’est ouverte au moment où je terminais ma phrase. Julie rougissait à nouveau, j’ai dû la pousser un peu dans le couloir, ma main sur son cul, pour qu’elle sorte de la cabine. Puis j’ai ouvert la chambre et l’ai laissée rentrer en premier. La chambre était grande mais basique. Un lit king size, une salle d’eau, des toilettes, une télé dont nous n’aurions pas besoin à priori. La décoration était kitsch, mais je n’étais pas venu ici pour leur style. Comme au restaurant, j’ai pris le manteau de Julie pour l’accrocher dans la penderie. Mais contrairement au restaurant, elle ne savait pas trop quoi faire, elle tenait ses mains pour se donner une contenance. Je la comprenais. Moi-même je redoublais d’effort pour avoir l’air à l’aise. 

Viens voir par là, lui ai-je dis en l’attirant au centre de la pièce. 

Je suis passé derrière elle et ai défait la fermeture éclair de sa robe, qui est tombée au sol. Bien moins pudique que la veille, Julie a gardé ses bras le long du corps. J’ai fais le tour de son corps, laissant traîner mes doigts ça et là, comme pour évaluer la marchandise. Je me suis attardé un moment sur sa poitrine, qui ne demandait qu’à être libérée du soutien-gorge, mais j’ai décidé qu’il ne fallait pas être trop pressé. Je me suis alors éloigné un instant, le temps d’aller chercher mon sac à dos que j’avais laissé dans l’entrée.

Tu te demandes ce qu’il y a dedans, n’est-ce pas ? lui ai-je demandé en fouillant dedans.

Un peu, oui.

Ne t’en fais pas. Tu auras tout le temps de le découvrir.

Dans un premier temps, j’ai sorti une petite sangle. Après le départ de Julie en fin d’après-midi, j’avais fouillé dans les vieilles affaires de bricolage de Raymond. C’était une vraie mine d’or, j’y avais trouvé tout l’attirail nécessaire pour une soirée de domination.

Mets tes mains dans le dos, lui ai-je dit. Ce n’est pas que je n’ai pas confiance, mais je préfère te savoir attachée.

Julie n’a pas répondu, elle s’est contenté de sourire. Mais dans ce sourire, je pouvais aisément lire toute son approbation. Être attachée ? Avec plaisir. Une fois ses mains attachées dans le dos, j’étais libre de jouer. Encore une fois j’ai tourné autour d’elle, laissant glisser le bout de mes doigts sur son ventre, ses fesses, son dos, ses seins, que j’ai fait glisser hors de son soutien-gorge. Ses tétons pointaient fièrement, et j’ai dû me retenir pour ne pas les maltraiter sur le champ. Un petit pincement et une petite gifle sur chaque suffisait pour l’instant. Délicatement, avec ma main sur sa hanche, j’ai invité Julie à s’assoir sur le lit, tandis que je restais debout face à elle. Je me suis déshabillé, lentement. La chemise, bouton par bouton, et le pantalon, centimètre par centimètre. Mon boxer a suivi et je me suis retrouvé entièrement nu devant elle, en état d’érection intense. Je me suis approché d’elle, jusqu’à ce que mon sexe soit à quelques centimètres de son visage, et instinctivement Julie a ouvert la bouche. Mais c’est une gifle qu’elle a reçue. Un peu surprise, elle m’a regardé droit dans les yeux en se demandant ce qu’elle avait fait.

Tu as accepté d’être ma chienne tant que je serais à Rochefort. Et ce soir je vais te traiter en tant que tel.

D’accord.

Une autre gifle est tombée, sur son autre jour.

D’accord, monsieur, a-t-elle rectifié d’elle-même.

Sa soumission m’excitait terriblement et j’ai dû me retenir pour ne pas me branler sur son visage immédiatement. Au lieu de ça, je l’ai faite allonger sur le lit. Puis en lui tirant les cheveux, je lui ai fait faire un quart de tour, jusqu’à ce que sa tête pende en-dehors du matelas. Elle m’a regardé en sachant ce qui allait lui arriver, mais cette fois-ci elle n’a pas osé prendre d’initiative en ouvrant la bouche. Elle s’est cependant exécutée lorsque j’ai poussé le bout de mon sexe contre ses lèvres. Dans cette position, je n’ai eu qu’à pousser. Lentement. Centimètre par centimètre, tout le long de sa langue. Quand mon gland a poussé un peu plus à l’entrée de sa gorge, Julie a toussé mais je n’ai pas arrêté, et me suis enfoncé entièrement, jusqu’à ce que mes couilles s’écrasent sur son nez. Julie a toussé encore plus fort, et cette fois-ci je me suis retiré. Un épais filet de bave a coulé de sa bouche. Ma chienne allait être souillée comme jamais elle ne l’avait été et cela m’excitait terriblement. J’y suis retourné. Jusqu’au bout. Julie a toussé encore, et je me suis retiré quand elle a eu un haut-le-cur. Son visage était recouvert de salive, et je m’amusais à caresser ses joues sales en lui disant à voix basse quelle bonne chienne elle était. J’y suis retourné une troisième fois, Julie a de nouveau toussé, mais rapidement a su comment gérer cet intrus dans sa gorge. Alors j’ai commencé à aller et venir en elle, comme je l’aurais fais dans son sexe. Elle toussait encore, mais je ne me suis pas arrêté. Je n’ai pas pu m’empêcher, cette fois, d’attraper ces deux tétons dressés devant mes yeux, de les pincer, de les tirer, de les tordre sous mes doigts. C’était délicieux de pouvoir enfin torturer cette poitrine qui me faisait tant envie depuis le début. Je me suis retiré pour laisser un peu de répit à Julie, le temps qu’elle reprenne ses esprits et sa respiration, mais sans jamais lâcher ses seins.

Ouvre grand ta gueule, lui ai-je ordonné avant de me planter à nouveau en elle.

Je devenais plus bestial et plus sévère, dans mes mots comme dans mes gestes. Je me suis mis à baiser sa gorge et à gifler ses seins, sans retenir ma force ou presque. Entre mes cuisses, ses gémissements se mélangeaient aux bruits moins romantiques de gorge et de salive qu’on recrache. Je me suis néanmoins retiré juste avant de jouir. Il fallait que je me calme si je voulais faire durer le plaisir pour nous deux. Je l’ai à nouveau tirée par les cheveux pour lui remettre la tête convenablement sur le lit, et du bout du doigt, j’ai tenté de remettre un peu d’ordre sur son visage souillé par la bave et le maquillage qui avait coulé dans tous les sens. 

Tu te débrouilles de mieux en mieux ma chérie, lui ai-je dit tendrement.

Merci, monsieur.

J’ai souri en pinçant une de ses joues, ses réflexes de soumise m’impressionnaient. Le sexe toujours fièrement dressé au-dessus d’elle, j’ai commencé à caresser son corps avec délicatesse. De sa gorge, je suis allé à ses seins que j’ai malaxé doucement cette fois-ci, puis sur son ventre, et jusqu’à arriver à l’orée de son string. En passant mes doigts sur la dentelle, je me suis rendu compte à quel point elle était trempée. J’ai caressé un moment sa fente à travers le sous-vêtement, le faisant glisser entre ses grandes lèvres qui s’ouvraient comme par magie. Elle coulait littéralement.

On dirait que tout ça t’excite énormément.

Oui monsieur, je n’en peux plus ! m’a-t-elle avoué dans un souffle.

A ces mots, mes doigts ont écarté la dentelle pour dévoiler sa chatte baveuse. Deux doigts y ont glissent, avec une facilité déconcertante. Julie s’est mise à gémir à nouveau, tandis que je me mettais à la masturber. 

Oh, c’est si bon, a-t-elle soupiré.

Mais une claque sur son sexe lui a rappelé qu’elle n’était là que pour subir, et qu’elle devait rester silencieuse. Julie avait cependant du mal à se retenir, et les gémissements se faisaient de plus en plus forts. Mes doigts en elle produisaient un son de clapotis qui se mêlaient aux gémissements. Je sentais son corps se tendre face à la vague de plaisir prête à la submerger, aussi je me suis arrêté complètement. J’ai claqué son clitoris encore une fois, et j’ai remis sa culotte en place. Julie m’a regardé avec un air de chienne désespérée, ce qu’elle était sûrement. Je l’avais amenée au bord du précipice, et l’avais laissée là. Sadiquement. 

Il n’est que 23h15, lui ai-je dis en regardant l’horloge de la télé. Prends ton temps.

J’ai contourné le lit pour être face à elle, au niveau de ses jambes. J’ai fait glisser mes doigts sur ses bas, de ses pieds jusqu’à ses cuisses, et ai entrepris de défaire minutieusement ses jarretelles. L’une après l’autre. Me permettant ainsi de tirer sur sa culotte, et la faire glisser le long de ses jambes. Suite à quoi j’ai remis ses jarretelles en place. Cette lingerie m’excitait et je voulais la garder en l’état pour le reste de la nuit. J’ai pris quelques secondes pour admirer son sexe, parfaitement épilé, et dégoulinant de plaisir, avant de me lever, sa culotte à la main.

Ouvre ta bouche, lui ai-je ordonné en me replaçant à côté d’elle.

Julie s’est exécutée, suite à quoi j’ai fourré le string trempé contre sa langue, derrière ses dents. Pour être sûr qu’il ne s’enfuirait pas, j’ai pris dans mon sac un rouleau de gros scotch, et en ai recouvert la bouche de Julie. Elle me regardait avec un air un petit peu apeuré, mais se concentrait pour bien respirer par le nez. Elle était à ma merci et elle le savait. En la tirant à nouveau par les cheveux, je l’ai forcée à se relever. Elle était déjà un peu chancelante, et ce n’était que le début de la soirée. Je l’a faite s’assoir dans le fauteuil qui se trouvait à côté du lit. Un grand fauteuil en cuir qui avait l’air des plus confortables. Je suis ensuite revenu vers elle avec mon sac, duquel j’ai sorti deux nouvelles sangles. Par chance, j’avais vu large. Je lui ai fais écarter les cuisses et lever les jambes. Dans cette position, Julie m’exhibait totalement ses deux orifices. Et bien que cela m’ait donné très envie de me jeter entre ses jambes, j’essayais d’être le plus calme possible. C’est donc très sereinement que j’ai pris l’une de ses chevilles, et que je l’ai attachée avec la sangle à l’un des pieds du fauteuil, derrière elle. J’ai recommencé l’opération avec l’autre cheville, attachée à l’autre pied, et Julie s’est retrouvée dans la position désirée. Les genoux presque au niveau de sa tête, son cul au bord du coussin. Complètement ouverte, et offerte. Ma main a d’ailleurs glissé entre ses cuisses. Impossible de résister. Sa fente ruisselait toujours autant. J’ai glissé trois doigts en elle aisément, provoquant chez Julie un gémissement étouffé par la culotte fichue dans sa bouche. Mais une claque sèche sur son sexe l’a faite redescendre un peu de son nuage. J’ai alors fouillé à nouveau dans mon sac. J’en ai ressorti un petit sachet en plastique transparent, au travers duquel Julie pouvait voir un tas de pinces à linge en bois. Je l’ai entendue geindre, aussi j’ai tenté de la rassurer en caressant sa cuisse.

Tu as décidé d’être ma chienne, et je vais te traiter comme tel. Mais ne t’en fais pas, je vais prendre soin de toi. Fais moi confiance. Tu me fais confiance ?

Julie a hoché la tête de haut en bas, alors j’ai pris une première pince dans ma main, tandis que de l’autre j’attrapais son sein, titillant son téton, le faisant durcir sous mes doigts. La pince est venue se mettre dessus, et Julie a grogné, se tordant dans tous les sens. Une claque sèche sur son sein lui a rappelé qu’elle devait rester tranquille. J’ai recommencé l’opération sur son deuxième téton, et Julie s’est mise à crier. De nouveau, une gifle. J’ai rajouté une pince de chaque côté de chacun de ses tétons.

Ne me force pas à en rajouter à des endroits encore plus douloureux, lui ai-je dit en écrasant son clitoris sous mon pouce.

Comprenant la menace, Julie a secoué la tête pour me montrer qu’elle avait compris. Je regardais ses seins, pincés, rougis par les gifles, et me disais qu’il y avait largement de la place pour plus, mais je me suis gardé d’en rajouter pour le moment. Je me suis relevé un instant pour admirer mon uvre, et j’ai trouvé qu’elle était parfaite. Malgré la peur, Julie ruisselait encore de plaisir. Et peut-être d’ailleurs que les deux étaient liés. J’ai voulu immortaliser ce moment de grâce, où Julie était offerte à moi et à notre plaisir commun et où plus rien ne pouvait l’empêcher d’être la chienne qu’elle rêvait d’être. J’ai pris son téléphone qui était dans son sac, et l’ai prise en photo, avant de me l’envoyer sur mon propre téléphone.

Comme ça, tu as mon numéro, ai-je dis en souriant.

Je me suis accroupi devant elle, qui ne pouvait pas bouger. Entre ses cuisses. Mon visage à quelques centimètres de son sexe. Incapable d’y résister, j’ai passé la langue dessus, et je l’ai sentie frémir quand j’ai atteint le clitoris. Sa fente dégoulinait dans ma bouche et je me régalais du nectar qu’elle m’offrait. Je l’ai ainsi léchée, avalée, et sucée jusqu’à ce que je la sente, encore une fois, sur le point de jouir. Alors je me suis arrêté, et me suis relevé. Je la torturais à coups de plaisir, et cela me faisait bander tellement fort que dans un sens, je me torturais également. Je l’ai doigtée encore un moment, puis mon doigt a glissé entre ses fesses. Julie a sursauté tandis que mon majeur caressait lentement sa rondelle.

Tu t’es déjà faite enculer, Julie ?

Je l’ai sentie hésitante, mais elle a fini par acquiescer d’un mouvement de la tête.

Tant mieux.

Mon doigt a appuyé un peu plus fort contre son anus, et doucement, s’y est enfoncé. La respiration de Julie accélérait, elle geignait, et je n’en étais qu’à ma première phalange. Cela ne m’a pas empêché cependant de continuer, et d’enfoncer un deuxième doigt. Progressivement, je voulais écarter son sphincter, le préparer à plus gros. Je la doigtais lentement, le pouce de mon autre main plaqué contre son clito, quand je l’ai entendue gémir. Je la sentais prête. Alors j’ai posé mon gland contre son anus, et tout doucement, me suis enfoncé. Uniquement le gland, dans un premier temps, que je faisais aller et venir pour l’élargir encore un peu plus. Puis j’ai poussé. Et cette fois je me suis enfoncé entièrement dans ses entrailles. Julie a grogné, et je ne sais pas s’il s’agissait de plaisir ou de douleur, mais pour moi c’était divin. Alors je me suis mis à aller et venir en elle. Progressivement, j’accélérais. Ma main, qui n’avait pas quitté son clitoris, s’est mise en action, et je l’ai masturbée tout en la sodomisant. Julie grognait encore plus fort, mais je ne lui laissais pas de répit et augmentais la cadence. Jusqu’à ce que j’aille vraiment fort entre ses fesses. J’entendais crier Julie, à présent, malgré la culotte qui la bâillonnait toujours. Mais sous mes doigts, je la sentais se liquéfier littéralement, aussi je me suis dis qu’il devait s’agir de cris de plaisir. Je suis redevenu bestial, et je l’ai enculée comme il se doigt. Mes cuisses claquaient contre ses fesses, et ma main claquait ses cuisses, puis ses seins. Une par une, je faisais sauter les pinces de ses tétons à grands coups de gifles. Julie grognait comme un animal à présent. Les sentiments devaient se mélanger dans sa tête comme dans un lave-linge. La douleur provoquée par les gifles et les pinces se mêlaient au plaisir provoqué par mes doigts qui branlaient son clito avec un peu plus d’ardeur à présent.

Vas-y ma chienne, lui ai-je dis en serrant les mâchoires, jouis ! Jouis pendant que je t’encule !

Julie ne s’est pas faite prier plus longtemps. Je l’ai sentie se tendre d’un coup. Tous ses muscles se sont contractés, et j’ai particulièrement senti celui de son cul, qui se serrait très fort autour de mon membre. Elle s’est mise à grogner à travers son bâillon, et sa chatte s’est mise à déborder. Elle coulait en continu. J’ai dû lâcher son clitoris devenu ultrasensible, et sentait ma jouissance arriver également, je me suis retiré d’entre ses fesses. Après avoir pris plaisir à regarder son anus dilaté le temps d’une seconde, j’ai saisi mon sexe, me suis relevé, et à quelques centimètres de son visage, me suis vidé de mon plaisir. Une grande giclée de sperme barrait son visage, s’ajoutant aux restes de bave. Elle en avait de partout, dans les yeux, les cheveux, la joue. Elle m’avait tellement excité, et je m’étais tellement retenu.

Oh putain ! ai-je dis, tenant mon sexe d’une main au-dessus de son visage, et me tenant au fauteuil de l’autre main. Voilà ce que j’appelle de la baise !

Puis j’ai attrapé le scotch sur la bouche de Julie, qui reprenait lentement ses esprits, et l’ai retiré d’un coup sec. J’ai retiré le string d’entre ses lèvres, et m’en suis servi pour nettoyer un peu son visage.

Oh mon Dieu, Marc ! a-t-elle finit par dire. C’était tellement bon ! J’en veux encore !

On a toute la nuit, ne t’en fais pas.

J’aime être ta chose. Je veux que tu continues de faire de moi ta chienne, ça m’excite tellement !

J’ai caressé sa joue salie avec tendresse, et je l’ai regardée en souriant. Oui, j’allais continuer, autant que je le pourrais. Je ne l’ai pas détachée tout de suite, cependant. Je me suis d’abord levé, et suis allé dans la salle de bain, où j’ai fait couler de l’eau dans la baignoire. Et alors seulement je suis retourné vers Julie, et j’ai défait les sangles qui l’attachaient au fauteuil. Je l’ai aidée à se relever et on est allés tous les deux prendre ce bain dont on avait bien besoin. Dans cette baignoire, il n’y a que tendresse, caresses, et douceur. J’ai certes caressé ses seins, mais c’était pour calmer la douleur causée par les pinces. Quand, après le bain, j’ai passé mes doigts entre ses fesses, c’était pour lui passer de la crème apaisante. La pauvre chérie avait bien morflé. Après ça, nous nous sommes mis au lit. Julie s’est endormie, entièrement nue, au-dessus de la couette. Je me suis mis à côté d’elle en regardant son corps, et ai fini par m’endormir à mon tour.

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