Je m’appelle ève je vous avais raconté le mois dernier un de mes aventures avec mon fuckfriend ?ric, vous vous souvenez? Mais je n’ai pas qu’?ric dans ma vie…

Je travaille comme secrétaire dans une firme d’avocats bien connue à Québec. Trop connu peut-être. Mon patron, en fait ce n’était pas vraiment mon patron, c’était le patron ’suprême’ de la boîte… qui avait l’embarras du choix mais qui devait évidemment tomber sur moi!

J’adore aguicher les hommes, savoir que je leur plais, que je les fais saliver et, si l’homme en question me plaît que ça aille plus loin. Sinon, on oublie ça. Du moins je croyais que je pouvais résister… Mais comment résister à un homme puissant, âgé, riche, plein de contacts et avocat en plus? Je n’aurais jamais réussi à gagner une poursuite en justice.. Il le savait bien. Et il voulait m’humilier, me faire savoir qu’il était le plus foir et ça m’angoissait.

Chaque qu’il en avait la chance, il disait à qui voulait l’entendre qu’une chance que j’avais un beau cul, sinon je ne serais pas rendue où je suis.. ?a c’est ce qu’il disait quand j’étais là je vous laisse deviner ce qu’il disait quand j’étais pas là… Il me pognait les seins ou les fesses quand il en avait l’occasion. Un jour, penché vers l’avant cherchant un dossier classé bas, monsieur x arriva derrière moi me donna une claque sur les fesses et simula un coup de rein.. il entra un doigt sous ma culotte accrocha mon anus au passage en plus. et me dit que si je ne mettais pas de culotte je pourrais avoir une augmentation substantielle.

-Non mais vous êtes malade ou quoi?

Y a des fois où vaudrait mieux se taire! Un autre jour tandis que j’allais porter un dossier il me plaqua contre le mur, son souffle chaud dans mon cou, sa jambe se frottant entre les deux miennes..

Le jour fatidique, il m’obligea à faire du temps supplémentaire, un lundi soir ou sinon c’était la porte. je devais accepter, je n’avais aucune autre option… Le soir arriva, il vint dans mon bureau on était seul sur l’étage. Il me donna des ordres, tous plus humiliants les uns que les autres. c’était ce qu’il voulait par dessus tout: m’humilier. Ainsi, j’enlevai mes vêtement un par un, me trouvant toute nue.

Il voulut que je me masturbe avec une bouteille de vin qui était sur sa table. Non pas ça. Je le fis mais je n’éprouvais aucun plaisir. C’était parce que je n’allais pas assez loin paraît-il.. Donc il s’approcha et sans aucune délicatesse entra la bouteille au plus profond de mes entrailles. Le souffle me fut coupé. quelle douleur.

-tu manques d’huile ma pitoune, on va y remédier, il commenca donc à tournoyer la bouteille dans mon bas-ventre.

-ça c’est mieux, fit-il me forçant à licher ses doigts enduits de ma mouille.

Quelle honte, mon patron!

-Penche toi sur le bureau, les jambes écartées, accote tes coudes fais pendre tes seins de tous les bords. Oui c’est ça fais les bouger dandine-toi. écarte tes fesses. Entre tn index dans ton anus. PLus vite que ça. Et sans que je m’en aperçoive il s’approchae, me lia les mains et m’encula d’un seul coup.

Tout ce qu’il voulait c’était m’humilier. À l’époque j’étais vierge de ce côté-là et mon patron avait une grosse queue ça faisait mal. Je donnais des coups de bassin afin qu’il vienne au plus vite.. Ce qu’il fit mais la soirée n’était pas fini.. Il n’était malheureusement pas seul dans l’édifice et la pièce était remplie d’objets donnant des idées étrange à ceux qui ont un esprit pervers…..

donnez-moi vos commentaires, vos idées… pour correspondre, pour avoir la suite..

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