Histoires de sexe Histoires de sexe arabes Histoires porno

Tiffany, l'allumeuse – Chapitre 3




Ce matin, je me branle plusieurs fois de suite. Je pense au goût , à la douceur et à la chaleur de l’ intimité, à l’odeur de la peau, et à la beauté de Tiffany. Je me sens fiévreux et il n’y a pas un bruit chez moi, ma mère est donc partie. J’appelle mon père, pour lui expliquer que je suis malade et que je ne peux pas aller en cours, et il comprend.

La journée passe, je meurs de chaud dans ma chambre, et finis par me mettre tout nu. À midi, j’attends toujours un signe de vie de Tiffany, en espérant qu’elle pense à me demander pourquoi je ne suis pas là.

Je ne reçois rien, mis à part une publicité pour une pizza gratuite. Je n’ai pas faim, mon estomac est noué.

Soudain, on frappe à la porte. Je sursaute, enfile un caleçon, et ouvre timidement la porte. À ma grande surprise, je découvre Elisa, qui m’adresse un grand sourire et me fait la bise.

-Salut Alex ! Je peux rentrer? Je suis venue t’apporter les cours de ce matin, vu que j’avais promis à Tiff" que ça serait moi qui lui apporterait les leçons hier soir, et que tu l’as fait à ma place. Je suis désolée, mais j’avais complètement zappé.

Je la salue, et la fait entrer. Elle me regarde en souriant. Je ne la connais pas du tout, même si elle habite dans la même rue que moi. Elle est très mignonne, assez petite, elle doit mesurer 1 mètre 60, blonde, et bien proportionnée. Ses yeux sont d’un vert mignon sans être éblouissant, et elle a un très beau visage.

Soudain, je réalise que je suis en caleçon devant elle, et que je commence à bander. Elle rigole :

-Ne sois pas gêné, ça ne me dérange pas !

Je vois qu’elle veut rajouter quelque chose mais s’abstient.

-Je suis désolé Elisa, je vais enfiler un truc.. Tu peux venir dans ma chambre si tu veux

Elle m’adresse à nouveau un joli sourire, et m’emboîte le pas. Je la fais entrer, et elle s’assoit sur le lit très naturellement.

C’est à ce moment que je remarque le petit tas de mouchoirs que j’ai utilisé ce matin, sur le bord de mon lit. Son regard suit le mien, et elle voit ce que j’ai aperçu, et se met à sourire, en en saisissant un.

-Mais qu’est-ce que c’est que ça? me dit-elle d’un air faussement idiot, un petit sourire sur les lèvres.

-Euh, rien… J’étais… J’étais enrhumé cette nuit, c’est tout !

-Je ne t’ai pas entendu renifler une seule fois depuis tout à l’heure, et les mouchoirs sont encore humides, pourtant.

Son sourire paraît bienveillant, mais je sors de mes gonds. Je lui arrache le mouchoir des mains et le jette à travers la pièce.

-Oh, et puis merde, je me suis branlé ce matin, ça te va? J’ai quand même le droit de me branler dans ma chambre non? D’ailleurs, qu’est ce que tu fous là? Tu ne m’as pas adressé la parole depuis le CM2, et tu débarques comme une fleur, toi et ta pote, vous me prenez pour un jouet, à faire les allumeuses dès que vous le pouvez? Vous vous foutez bien de ma gueule toutes les deux, et ça commence à me saouler ! Donc maintenant, merci de m’apporter les cours, mais si c’est pour me faire tourner en rond comme un con pendant une heure, tu peux prendre des clics et tes clacs et partir !

Elle me regarde effarée, très surprise, presque choquée par ce pétage de plombs. Son air est désolé.

-Alex… Je ne t’ai jamais adressé la parole, mais toi non plus… Je ne voulais pas t’énerver, seulement te rendre un service… Et je trouvais ça marrant, mais je te jure que je ne me moque pas de toi… Tiffany, c’est ma meilleure amie, mais ce n’est pas moi…

Je ne répond pas, et m’assoit par terre.

Elle se lève, et se met accroupie devant moi, en me caressant la main.

-En fait, je me disais que ça serait le bon moment pour passer un peu de temps seule en ta compagnie. J’ai un peu forcé ta porte, mais ce n’est que pour être avec toi…

Je lui jette un regard noir.

-Mais oui… Bien sûr.

-Alex, je te jure que j’ai rêvé de ce genre d’occasions, mais je n’ai jamais osé..

-Mais de quoi tu me parles? Tu sais très bien que je t’ai toujours trouvé belle, et que j’ai toujours eu de l’estime pour toi !

-Oui, mais ce n’est pas évident.. Au collège, je te trouvais mignon, mais tu étais vu comme un looser. Quand je parlais de toi à mes copines, elles se moquaient de moi, et j’étais trop naïve pour les ignorer. Quand j’ai rencontré Tiffany en seconde, j’ai rencontré mon ex, et j’ai arrêté de penser à toi. Je ne t’ai pas trop vu l’année dernière, mais au début de cette année, j’ai rompu avec mon copain. Il y a peu de temps, j’ai parlé de toi à Tiffany, et elle m’a dit que tu étais gay, qu’elle en était certaine, et-cetera, et elle s’est mise en tête de vérifier ces derniers temps. Je crois que depuis que je lui ai parlé de ça, elle a envie de passer avant moi, et de… de te conquérir…

Je baisse les yeux, je suis persuadé qu’elle se fout de moi.

Mais à ce moment, elle pose sa main sur mon menton, relève doucement ma tête, et dépose un petit baiser timide sur mes lèvres, pendant quelques secondes.

Je fais des yeux ronds, je n’en revient pas. Elisa m’a embrassé ! Je me méfie, certes, mais bon, au collège, mes potes auraient tué pour un simple bisou sur la joue de sa part.

Je ne suis pas fou d’elle comme je suis fou de Tiffany, mais elle est très belle, et je me suis même déjà branlé en m’imaginant coucher avec.

Je souris malgré moi, et elle aussi. C’est un sourire franc, un sourire heureux, et aussitôt, elle m’embrasse à nouveau, très amoureusement. Je me laisse faire, elle me mord la lèvre, la caresse de sa langue, puis me fais tomber sur le dos, et se met sur moi pour m’embrasser langoureusement. Elle attrape mes mains, et les pose sur ses fesses, avant de commencer à caresser mon torse et à couvrir mon cou de petits baisers.

Ça dure peut-être dix minutes, moi malaxant ses fesses, elle qui embrasse le haut de mon corps, ma bouche, mon torse, mon cou, mon nez, mon front, mes tempes, mes joues, mes oreilles… Sa langue file sur mon cou, elle est entrain de me lécher, les yeux fermés. Je sens son bassin remuer, et son entre-jambe appuie sur l’érection qui s’est formée dans mon boxer.

Soudain, elle se lève, en me tirant vers elle, puis me fait m’allonger sur le lit.

Elle enlève son pull noir très sexy, dévoilant un débardeur moulant, qui laisse entrevoir un soutien-gorge rose. Elle frotte ses seins contre mon torse nu, en embrassant mon cou, puis ôte son débardeur.

Délicatement, elle fait sauter lagrafe de son soutien-gorge, et baisse les bonnets dans un geste très lent. Ses seins sont dévoilés, et ils sont petits, mais très jolis. J’ai beau adoré les gros seins, mon pénis fait un bon contre les fesses d’Elisa. Elle l’a senti, et me sourit. Elle attrape mes mains, et les pose sur sa poitrine, que j’empoigne, et caresse instinctivement, sans vraiment savoir ce que je fais.

Sa main glisse sur ma hanche, puis sur ma cuisse, derrière ses fesses, et se pose sur mon boxer. Elle saisit mon sexe à travers, et commence à le caresser, le tenir dans la longueur, palper mes testicules en les massant délicatement, avant de revenir sur ma bite tendue, qu’elle entoure de sa main et commence à masturber malgré la présence de mon boxer.

-Tu es monté comme un Dieu… Je veux que tu me fasses l’amour Alexandre…

Je pense à Tiffany. J’ai l’impression de la tromper, mais en même temps, si elle se fout de moi, je ne vais pas passer à côté de Elisa, qui vient de me tomber dans les bras, alors qu’elle est le centre des fantasmes de nombreux mecs !

J’hésite avant de répondre. Que faire…

(À suivre…)

Related posts

Exposé nu devant les amies de sa mère – Chapitre 2

historiesexe

Mes gentilles cousines – Chapitre 2

historiesexe

Cambriolage – Chapitre 3

historiesexe

Laissez un commentaire

Ce site Web utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que cela vous convient, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. J'accepte .