Le lendemain matin, je me réveillai vers 10h, Axel n’était plus dans son lit. J’envisageais la possibilité qu’il soit occupé avec sa mère mais en regardant mon téléphone je vis un SMS de sa part:
— Salut mec, bien dormi ? Je suis désolé mais j’ai dû partir aider mes grands-parents… Je rentre vers 18h donc fais comme chez toi, ma mère doit rentrer vers 12h normalement. À ce soir frérot
Je décidais donc de me promener à poil et étant donné l’érection matinale que j’avais, c’était mieux pour moi. Cela faisait 15min que je me promenais tout nu et je décidai d’aller à la salle de bain. J’arrivai donc devant la porte, l’ouvris et ce que je souhaitais le plus au monde venait de se produire. J’entendis Stéphanie hurler et je remarquai qu’elle était nue au milieu de la salle de bain, elle me tournait le dos et prit une serviette pour cacher ses gros seins. J’avais une vue sublime sur ses grosses fesses, ce qui provoqua chez moi une nouvelle érection. Je ne pus m’empêcher de mater son gros derrière magnifique.
Elle enchaîna ensuite:
— Mais que fais-tu là ? Tu n’es pas parti avec Axel ?
— Euh non… il est parti aider ses grands-parents.
— Ah d’accord mais pourquoi est tu tout nu et pourquoi rentres tu comme ça sans frapper ?
— Pardon mais Axel m’a dit que j’étais seul et de faire comme chez moi donc je me suis mis à l’aise.
— Parce que tu te promènes nu chez toi ?
— Oui ça m’arrive quand je suis seul.
J’étais mal à l’aise de l’avoir surpris comme ça mais de l’avoir nue devant moi m’excitait tellement que je ne faisais que de regarder ses formes au point qu’elle le remarqua:
— Veux-tu bien arrêter de regarder mes fesses ? Et tu pourrais sortir s’il te plaît !
J’étais toujours complètement nu devant elle et je ne cherchais pas à cacher mon sexe. Je remarquai d’ailleurs qu’elle ne put s’empêcher de regarder mon paquet plusieurs fois.
— Oui Stéphanie désolé, que puis-je faire pour me faire pardonner ?
— Tu pourrais tout bonnement sortir mais tu pourrais aussi aller me chercher quelques trucs au magasin ça m’arrangerait. La liste est dans la cuisine.
— D’accord pas de soucis, je m’habille et j’y vais.
Je la vis sourire et parti m’habiller. Dans la voiture je ne pensais qu’à son gros cul magnifique que je venais de voir mais deux choses me tourmentaient: la première c’est que j’avais terriblement envie de lui faire l’amour et la deuxième c’est que c’est la 3e fois qu’elle se retrouve nue et je n’ai toujours pas vu ses seins.
Je me dépêchai d’aller faire ses courses et rentra. Je les posais dans la cuisine qui se trouvait juste à côté de l’entrée et parti en direction du salon. Je marrêtai soudain quand j’aperçus Stéphanie à quatre pattes sur le canapé, muni d’un soutien-gorge blanc en dentelle avec des fleurs et le string assorti au soutien-gorge mais ce n’est pas tout. Je remarquai aussi que son string était décalé et elle se caressait le clitoris tout en se doigtant l’anus mais surtout quelle avait un gode de la taille de mon sexe dans la bouche et elle le suçait.
Elle tourna la tête dans ma direction, continua de se doigter et dit:
— Ah tu es déjà là ? Désolé mais je n’ai pas pu m’empêcher de m’occuper en attendant ton retour.
— Oh ce n’est pas grave vous avez bien fait.
— Bah qu’est-ce que tu attends ? Viens me rejoindre, me dit-elle.
J’étais désormais à côté d’elle, elle me regardait avec un regard coquin et posa sa main sur mon short et me dit:
— Tu sais ça fait maintenant, 7 mois que mon mari ne m’a plus baiser et j’ai de grosses pulsions sexuelles…
— Oui je sais c’est pour ça que vous avez sucé et baisé Axel hier soir
Elle se mit à rougir et reprit des caresses plus sensuelles au niveau de mon short.
— Comment le sais-tu ?
— Je vous ai surpris en pleine fellation et pour la baise c’est le bruit du lit qui m’a réveillé.
— Et au fait ils te plaisent mes sous-vêtements ?
— Euh oui pourquoi ?
— Parce que je les ai retrouvés couverts de sperme dans le panier à linge.
— Désolé mais je fantasme sur vous depuis plusieurs années et de vous voir sucer Axel, ça m’a donné envie de me masturber sur vos sous-vêtements.
— Ah oui bah ça me fait plaisir d’être l’objet de tes fantasmes. Quest-ce qui te plaît le plus chez moi ?
— Vos grosses fesses magnifiques et votre énorme poitrine.
Sur ces paroles, elle se leva et me tourna le dos. J’avais la tête en face de ses grosses fesses, elles sont grosses mais bien rebondies et très jolies à regarder. Je posai mes mains sur ses fesses, les malaxais. Je posai mes lèvres sur ses fesses et mis quelques coups de langue dessus. J’étais excité comme jamais je ne l’avais été. Elle enleva son string et écarta ses fesses avec ses mains pour me montrer son joli anus et une partie de son sexe. Elle me demanda de me lever et frotta ses fesses magnifiques contre mon sexe par-dessus mon short. Elle bloqua mon sexe entre ses fesses et remua ses fesses. Cela m’excitait tellement que j’avais envie de la prendre maintenant au milieu de salon.
Elle se retourna et m’embrassa langoureusement avant de me pousser sur le canapé et me dit:
— Tu m’excites tellement avec ton gros sexe.
— Vous aussi vous m’excitez avec vos formes.
— Ah oui ? Elles te plaisent mes formes ?
— Oui beaucoup…
Elle enleva l’agrafe de son soutien-gorge et enleva son soutien-gorge pour libérer des deux gros seins énormes qui me faisaient tant fantasmer. Elle avait des seins magnifiques, gros, des mamelons marron/roses et des tétons magnifiques qui pointaient. Elle se mit sur mes genoux et me présenta sa poitrine. Je posai mes lèvres sur ses tétons et je l’entendis gémir. Je mis quelques coups de langue et commença à les mordiller et à les aspirer fort. Ensuite elle me tourna le dos, posa ses fesses sur mon sexe toujours couvert du short et je posai mes mains dessus et lui massa ses gros seins. Je lui massais, caressais ou encore tripotais le bout de ses tétons. Elle gémissait de plus en plus fort.
Puis d’un coup elle se leva et me dit:
— C’est bon maintenant… tu en as assez profité
— Oh non vous n’avez pas encore profité de moi.
— Qui t’a dit que je le voulais ?
— J’ai entendu votre conversation avec Axel et si c’est pour s’arrêter maintenant, pourquoi m’avoir chauffé comme ça ? Lui répondai-je.
— Écoute si tu veux me baiser tu n’as qu’à me rejoindre nu dans ma chambre dans cinq minutes.
Elle partit vers les escaliers et je ne pus m’empêcher de regarder ses grosses fesses magnifiques et lorsqu’elle monta les escaliers je vis sa sublime poitrine remuée à chaque marche. Je n’en pouvais plus il fallait que je la baise et j’avais juste à me mette nu et à monter la rejoindre. Je devais faire un choix et vite.