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Ma mère soumise à moi sans le savoir – Chapitre 3




PARTIE 3 : Offerte

Comme je lavais vu den bas, lappartement était plongé dans le noir. Seule la pièce du fond éclairait le couloir, cétait la chambre de ma mère !

Je nentendais aucun bruit. Par habitude en rentrant chez elle, je faillis enlever mes chaussures mais je me ressaisis et les gardas au cas où je dû menfuir, sait-on jamais

Mon cur battais a tout rompre lorsque je traversai le couloir me dirigeant vers la lumière. Devants la porte entre-ouverte je ne passai quun il ne sachant toujours pas si mon plan avait fonctionné

OUI ! Mon plan fonctionnait ! Je vis sur le lit de ma mère un superbe cul me faisant face. Je rentrai dans la pièce tout doucement, toujours méfiant. Bien évidemment, nue, je ne reconnus pas le corps de ma mère mais remarqua sa chevelure et je vis surtout lélastique dun masque de nuit.

Bon sang, ma mère était vraiment bandante pour ses 50 ans !! Pas un poil. Une belle chatte toute épilé avec de belles lèvres bien dessinées. Des jambes aussi magnifiques que je les imaginais. Un cul bien rebondis qui mavait lair bien ferme. Ses seins avaient lair assez volumineux mais à 4 pattes, caché entre ses bras je ne les voyais pas bien.

La respiration de ma mère était forte, cétait lexcitation sans aucun doute. Ma mère avait envie !

Je me déshabillai et la scrutant du regard. Ma mère, pensant toujours que cétait Yves qui était dans la pièce émis un petit « humm » dimpatience et dandinait légèrement ses fesses comme pour appeler la queue de son amant. Jétais nu comme un vers et je bandant comme un âne en regardants ma mère ainsi offerte.

Je tendis ma main pour caresser sa vulve. Quelle douceur, quelle moiteur ! Elle était trempée dexcitation. Je glissais deux doigts longeant sa fente de haut en bas marrêtant de temps en temps sur ses clitos déjà gonflé. Elle gémissait fort maintenant, je nen puis plus, je lui enfonçai 2 doigts dans la chatte ce qui eut pour effet de lui faire relever violement la tête. Lintérieur de la chatte de ma mère était brulant. Je fis des va et vient de plus en plus appuyer la faisant se trémousser dans tous les sens. Je ressortis mes doigts de ses entrailles, ils étaient complètement gluants.

Je me leva et me dirigeas de lautre côté du lit, vers le visage de ma mère. Son front était en sueur. Sa bouche était mi-ouverte et sa langue passait de sa lèvre supérieure à sa lèvre inférieure. Je nen revenais pas ! Ma mère si sage, si stricte ! Elle savait que son amant était devant elle et elle voulait le sucer ! Cétait LE moment le premier orifice par lequel jallais prendre ma mère. Devais-je vraiment le faire ? Car la doigter étais une chose mais introduire ma bite en elle en est une autre Il était encore temps de faire marche arrière.

Jétais train dabandonné quand soudain la main droite de ma mère attrapa ma queue qui lui faisait face, elle avança son visage et la pris en bouche. Elle reposa sa main une fois ma queue à moitié dans sa bouche. Quelle sensation extraordinaire ! Ma queue dans la bouche de ma mère, sa langue tournant autour de mon gland. Une pulsion bestiale me pousse à mettre ma main droite sur sa tête et pousser mon bassin plus en avant.

Sans me vanter je dois dire que jai une assez belle queue, longue et épaisse, non circoncis. Je nai pas à rougir face à la plupart des acteurs de porno. Je me dis dun seul coup : «  et si elle sen rendait compte à cause de ma queue qui ne serait pas de la même taille que celle de Yves ? »

Mais ça na pas eu lair de la choquer, elle me suçait maintenant goulument et bruyamment. Mon sexe lui remplissait bien la bouche. Apres 5 minutes de ce traitement je me retira, sinon jaurais éjaculé et je ne voulais pas en finir là. Je revins derrière sa croupe. Sa chatte étais vraiment magnifique, un vrai petit abricot.

Lune des questions que je me posais en échafaudant mon plan était : Capote ou pas capote ? Lors de mon interrogatoire au pub, Yves mavais dit quil nen mettait plus depuis 3 mois car ils avaient fait tous les deux le test HIV et était tous les 2 sains. Je sais que je le suis aussi car jen ai fait un ressèment aussi suite à un bilan sanguin. Ma mère étant ménopausée, pas de risque pour elle de tombé enceinte. Et puis si elle le sentait, elle se demanderait pourquoi Yves remettais des capotes. Donc, javais décidé, si mon plan fonctionnais, de ne pas mettre de capotes.

Et mon plan fonctionnait tellement bien que je jouais à présent à titiller ses lèvres intimes avec mon gland. Je sentais que ma mère nen pouvait plus et jétais dans le même état dailleurs.

Je saisis ses hanches entre mes 2 mains et lui enfonça ma queue dun grand coup sec. Elle émit un cri, que dis-je, un grognement de plaisir. Je la pilonnais littéralement, faisant de grand va et vient dans sa chatte. Nos chaires claquaient. Ses fesses rebondissaient à chacun de mes assauts.

Prenant la confiance, je lui attrapai les cheveux pour lui tirer la tête en arrière. Je massurais de prendre une poignée capillaire du dessus de sa tête pour ne pas faire tomber son masque. Ma mère gueulait comme une truie. Je me pencha sur elle, lui tirant un peu plus les cheveux pour lui rouler un patin. Nos langue se mélangeais, elle avait encore le gout de ma queue dans sa bouche.

Je sortais maintenant mon membre et posant ma main droite sur sa hanche gauche, je la fis se retourner. Tout à coup, une sueur froide ! Son masque ?

Ouf ! Il est bien en place et lui cache bien la vision. Ma mère était sur le dos cuisses écarté, essoufflée

Je vis enfin sa poitrine. Ses seins son magnifique. Très opulent, un bonnet D je dirais. De beaux mamelons bruns et des tétons pointés. Encore assez ferme.

Je prit mon téléphone qui etait dans la poche de mon blouson pour prendre une photo de l’instant présent.

Je lui écartai les cuisses et les relevas au niveau de son visage. Je me mis au-dessus delle et lempala dun coup. A nouveau je lui donnai de forts coups de reins, vraiment très fort. Son visage presque contre le mien, elle criait son plaisir

Une dizaine de minutes passa et je sentis la sève monter en moi, je me retira illico pour ne pas Jouir.

Je me mis à coté de ma mère, la doigtant de nouveau et lui mordillant les seins pour la garder dans cet état de transe.

A linverse de tout à lheure, je lui fis comprendre de se mettre à nouveau à 4 pattes. Jétais décider à lexploiter à fond et je voulais maintenant la sodomiser. Je mis cette fois-ci un préservatif car à la fin je comptais bien jouir dans sa bouche et je ne voulais pas la dégouté avec lodeur de ma queue sortant de son anus. Je saisis le tube de vaseline dans la table de chevet (Yves men avait parlé).

Je menduis dabord le membre puis largement lanus de ma mère. Tout à coup, pour la première fois, elle prit la parole :

— Hé ! Tu es sur de vouloir réessayer ? Je ne suis pas sûr daimer ça

Je me reteins de lui répondre mais lui enfonça mon index droit en guise daffirmation. Javais remarqué, quand je la chevauchais en levrette, que ma mère avait un anus très serré. Là, jen eu la confirmation en y insérant mon doigt puis plus cela allait, plus jallais profondément. Jinsérai maintenant un deuxième doigt (mon majeur). Ma mère retient son souffle puis au fur et à mesure son a nus se dilatas assez pour que je me décide à lenculer.

Mon gland passa sa petite porte. Ma mère se figea, pris une grande inspiration.

Jallais et venais doucement puis plus amplement. Jarrivais à enfoncer la moitié de mon membre dans son fondement. Elle, était toujours silencieuse, crispéeµ. Je continuais jusqu’à appuyer mon pubis contre ses fesses. Ca y est, jenculais ma mère complètement !

Je pouvais enfin empaler son anus de toute la longueur de ma queue. Ce dont je ne me privai pas. Ma mère recommençais enfin à prendre du plaisir au fur et à mesure que de rentrais en elle jusqu’à hurler à nouveau son plaisir. Jarrivais maintenant à claquer mes reins contre son cul, lui prodiguant quelques fessés assez forte.

Ma jouissance arrivait. Je me retirai de son fondement et retira le préservatif en me dirigeant vers son visage masqué. Tenant la base de ma queue avec ma main droite et ses cheveux avec ma main gauche, jintroduis fougueusement ma bite dans la bouche de ma mère.

Comme poussé par mon instinct bestial, je lui baisais la bouche. Mon éjaculation me parut violente et abondante. A chaque jets dans la bouche de ma mère jeu cru que jétais aspiré en elle.

Je restais cette position, javais du mal à retrouver mes esprits. Ma mère sétranglas un peu puis jentendis ma mère déglutir, elle avalait mon sperme.

Je sortis mon sexe de sa bouche. Je pris mes vêtement et me rhabillât. Sans un mot je quittais lappartement de ma mère en claquant doucement la porte derrière moi.

Je longeais sont bâtiment de lautre coté afin quelle ne me voit pas par la fenêtre si jamais elle cherchait Yves du regard.

Lorsque jarrivais chez moi, je regardai lhorloge, il était 22h20. Jétais resté un peu plus dune heure à baiser ma mère ! Une demi-heure après je dormais profondément, épuisé physiquement et nerveusement.

Pour le fun, jallais voir ma mère le lendemain pour prendre le café. Par amusement, je lui parlai de ma soi-disant soirée télé et lui demanda ce que, elle, avait fait de sa soirée. En baissant les yeux, elle me dit avec une petite voix :

Yves a passé sa soirée ici, nous aussi on a regardé la télé

Je rigolais en moi-même. Je pensais déjà à comment jallais encore exploiter la situation !

A suivre

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