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voyeurisme et inceste – Chapitre 1




Vacances à la campagne

Mon éducation sexuelle a vraiment commencé vers l’âge de 13 ,14 ans, pendant les grandes vacances nos parents travaillaient et ils décidèrent de nous conduire ma sur Sophie, d’une année mon aînée, et moi pour les deux mois de vacances scolaires chez notre oncle, nos parents avaient promis de venir passer tous les week-ends,

Celui-ci ayant une ferme assez modeste, il n y avait quune pièce pouvant nous servir de chambre, nos parents avaient de ce fait acheté une tente et il fut décidé que pour les week-end, lorsque les parents seraient présents les enfants laisseraient leur chambre aux parents et quils feraient du camping dans la pâture voisine

Dans la chambre le lit était rudimentaire composé de deux sommiers d’une personne que nous séparions en semaine, tonton avait tendu un câble en travers de la chambre et y avait attaché, sur une bonne partie, de la toile en guise de séparation, ma sur ayant le bénéfice de l’âge et s’installa côté fenêtre et avait de plus la lumière de son côté.

Les premiers jours se passèrent sans rien de particulier, je matais ma sur en ombre chinoise le soir avant quelle n’éteigne.

Un jour que nous étions dans une pâture près de la ferme, une envie pressante me contraint à courir aux toilettes, en arrivant à la ferme je fus surpris de voir le tracteur de tonton dans la cour.

Je couru aux toilettes me soulager, une fois terminer je passais par la cuisine demander à Tatie à quelle heure on devait rentrer ,des râles s’ échappaient de la cuisine, silencieusement j’y jetais un coup d il, et la j’aperçus ma tante la robe relevée s’arquebetoutant au plan de travail: tonton, le pantalon sur les chevilles, baisait Tatie tout en lui disant des assainîtés: grosse salope tu mouilles ,ta chatte est inondée, tu vas en prendre plein la cramouille: ma tante lui répondait gros cochon défonce moi je suis trempée

Mon oncle poussa soudain des grognements se raidit, ma tante haletait;

Ils restèrent un moment sans bouger, puis tonton se retira, je le vis s’essuyer la queue au tablier de Tati, celle-ci pris un essuie et le passa sur sa chatte et laissa retomber sa robe.

Mon oncle l’embrassa,

Perplexe je n’avais pas tout compris, comment Tatie pouvait avoir la chatte toute mouillée .

Je m’éclipsais silencieusement et retournais prés de ma sur qui commençait à trouver le temps long, peu de temps après tonton klaxonnait pour nous prévenir que le dîner était prêt.

Nous sommes donc rentrés pour déjeuner, j’ai bien essayé de voir si Tatie avait mis une culotte, mais sans succès.

Nous avons passé l’après midi dehors nous promenant dans les prés et les bois, nous sommes rentrés le soir à l’appel des coups de klaxon de tonton, nous avons soupé puis nous avons joué tous les quatre à un jeu de société puis nous nous sommes couchés.

je repensais à la scène que j’avais vu le matin tout en me branlant évitant de juter n’ayant aucun moyen d’essuyer ma semence et je ne voulais pas me rendre aux toilettes, j’aurai du passer devant le lit de ma sur et je craignais quelle ne voit la déformation de mon pantalon de pyjama. Je réussi quand même à m’endormir. Le lendemain matin, nous sommes retournés dans la pâture, vers midi je suis retourné à la ferme malheureusement sans succès.

L’après midi nous nous sommes baignés dans l’étang, puis nous nous sommes laissés sécher au soleil, allongés sur le ponton, on est bien là, on va passer de bonnes vacances murmura Sophie, jacquiesçai en pensant au spectacle de tonton et ma tante dans la cuisine.

Le soir venu, il faisait encore chaud, lourd, nous nous sommes couchés assez tard.

Au petit matin, je me suis réveillé pour un petit besoin urgent, je suis donc parti aux toilettes

En revenant dans la chambre, le jour se levait et la lumière était tamisée par les volets, je rentrais dans la chambre, je jetais un coup d’il à la couche de Sophie, celle-ci avait rabattu sa literie au bord du lit, elle était allongée sur le dos une jambe pliée, chemise de nuit remontée jusquau ventre je pouvais admirer sa chatte.

Je m’approchais du bord du lit, je ne pouvais pas détourner le regard de sa fine toison, sans trop réfléchir je portais la main vers son sexe, je touchais ses poils, mes doigts écartaient les lèvres et j’y passais un doigt, sa chatte était sèche, elle poussa un soupir, je pris peur et retournais me coucher

Excité, bandant comme un fou, je ne pensais qu’a ce sexe et au bout de deux minutes j’étais de retour près du lit, ma bite tendue était sortie du pantalon de pyjama, elle avait gardé la même position, mes doigts caressaient ses poils puis je repassais un doigt entre ses lèvres, à ma grande surprise l’intérieur était mouillé ,au plus que j’y promenais mon doigt au plus l’intérieur était mouillé, ayant peu de connaissance en matière d’anatomie féminine (c’était tabou à l’époque)je savais cependant que les femmes avait un petit bouton et quelles aimaient que l’on le titille.

Je comprenais maintenant les remarques de tonton au sujet de la mouille de Tatie et j’en déduisais que la caresse ne laissait pas indifférente Sophie, elle écarta un peu plus les jambes, mes doigts étaient trempés de son jus, je partais à la recherche de son bouton, je fus surpris car il n’était pas petit au contraire: au toucher je le devinais d une grosseur d’un doigt et d’une longueur d’une bonne phalange, il se gonflait sous l’effet de mes caresses, son clitoris s’étirait, il durcissait comme s’il bandait .

Sa respiration s’accéléra d’un coup, elle agrippa mon poignet et elle commença à remuer des hanches, elle jouissait, je sentais son jus s’écouler entre les doigts, puis elle repoussait ma main, elle avait gardé les yeux clos pendant toute la durée de ce petit jeu.

Elle les ouvrit son regard à croisé le mien, elle a souri, puis il s’est posé sur ma pine, elle murmura: elle est grosse et longue ta bite.

Elle agrippa mon pantalon, me ramena près d’elle, d’un geste brusque elle baissa mon pantalon, elle empoigna ma queue, je reçu comme une décharge électrique quand je senti sa main empoigne mon manche, elle était trop petite pour l’entourer complètement.

Elle commença un mouvement de va et viens, j’explosais rapidement.

Mon sperme giclait sur ses seins, ses cuisses, elle en avait plein les doigts, elle avait reçu un peu de sperme sur les lèvres, elle le récupéra d’un coup de langue et l’avala.

Tout en léchant sa main elle me demanda d’aller chercher un essuie tout dans le linge, ce que je fis, elle se nettoya puis me demanda de mettre l’essuie dans son petit linge à laver, quelle ferait la lessive dans la matinée. Je me suis assis à ses côtes, lui pelotant les seins, l’embrassant dans le cou, on entendit un réveil sonne c’était tonton qui se levait.

J’embrassais ma sur à pleine bouche, puis je regagnai mon lit.

Cette année là, les vacances vont être excellentes, me dis-je.

A suivre

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