EVOLUTION
Avis aux lecteurs : Le texte qui suit est sorti de mon imagination fantasmatique. Toute ressemblance avec des faits réels et (ou) des personnes existantes ne serait que pure coïncidence.
Chapitre 46 : Des jumelles en double.
Nous restons quelques instants emboîtés l’un dans l’autre, puis Alice se décide à descendre de la monture que je suis devenue, le temps d’une chevauchée. Lorsqu’elle est debout, une fois n’est pas coutume, c’est elle qui m’aide à en faire autant. Ensuite, sans se soucier du fait que nos sexes sont encore luisants de sa mouille, elle ouvre la porte de sa chambre qui en est le seul accès, car contrairement à chez moi, la salle de bain n’est pas communicante.
Mon petit bout de femme s’engage la première dans le couloir, tandis que je la suis, et c’est là qu’elle tombe nez à nez avec celle de ses filles qui est brune. Bien qu’elle me tourne le dos, je vois la maman rougir, en se rendant compte trop tard qu’elle a fait preuve d’optimisme, en pensant que nous pourrions aller nous nettoyer en toute discrétion, alors que Léo est visiblement amusée par la situation.
Cette dernière est aussi nue que nous, les clacs-clacs de ses mules à talons en bois ont été étouffés par la moquette qui tapisse le sol, et c’est pourquoi nous ne l’avons pas entendue arriver. Elle nous confirme son humeur, en nous disant sur un ton enjoué :
Apparemment, vous manquez pas une occasion de nous fabriquer un petit frère.
Je ne fais pas cas de cette impertinence, contrairement à ma compagne que je sens prête à répliquer, mais je décide de lui couper l’herbe sous le pied en posant une main qui se veut apaisante sur son épaule, et je parle le premier :
Bonjour Léo.
Oh pardon, salut Papa. On voulait pas vous déranger dans vos retrouvailles. Mais depuis le temps qu’on taffait, on a eu une envie de plus en plus pressante, et on pouvait plus se retenir.
On ?
A ce moment-là, une des portes qui se trouvent sur le côté du couloir s’ouvre, la jumelle blonde apparaît encore plus rouge que sa maman, et dans la même tenue que sa sur.
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Léa a la tête baissée et nous regarde par en dessous, comme une enfant qui s’attend à se faire gronder parce qu’elle vient de faire une bêtise. Je comprends d’ailleurs que c’est le cas puisque depuis les toilettes, dont elle vient de sortir, ne provient aucun bruit de chasse d’eau, ce qui me laisse penser que ces deux petites chipies sont venues jusqu’ici dans le but de nous espionner.
Cependant, je ne fais pas de remarque à ce sujet, et je lui dis :
Bonjour Léa. Je n’ai pas droit à un bisou aujourd’hui ?
Euh…bonjour Papa…si.
Elle est toujours aussi rouge, mais elle semble soulagée par ma réaction, et elle s’avance vers moi pour me faire la bise. Alors qu’elle repart après m’avoir embrassé, sa sur s’approche à son tour pour faire comme elle, et elle nous dit ensuite sur un ton ironique qui imite à la perfection celui de sa maman :
J’espère que vous allez prendre une douche avant d’aller au resto, parce que vous sentez la mouille.
Cette fois, je ne laisse pas passer, et je lui mets une bonne claque sur les fesses tandis qu’elle me tourne le dos pour s’en aller elle aussi. Elle pousse aussitôt un cri, plus provoqué par la surprise que par la douleur, étant donné que je n’avais pas l’intention de lui faire mal. Puis elle se retourne, et elle me dit sur un ton outré :
Eh !?! T’avais dit que tu me mettrais pas de fessées !
C’est vrai, mais il y a quand même des limites à ne pas dépasser.
Sa maman qui semble avoir retrouvé une certaine contenance, et qui n’avait pas encore ouvert la bouche, me donne aussitôt raison :
Je n’aurais pas dit mieux ma fille, et celle-là, tu l’as bien cherchée. Maintenant, file, car nous devons effectivement aller nous laver.
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Léo, consciente d’avoir dépassé les bornes, sort du couloir sans demander son reste, et lorsque nous nous retrouvons seuls, Alice ouvre la dernière porte s’y trouvant, qui donne celle-là sur la salle de bain. Après que nous y soyons entrés et qu’elle en ait refermé la porte, elle me fait sur un ton navré et en rougissant légèrement :
Je suis désolée de ce qui vient de se passer…
Je lui réponds, après avoir souri :
Tu n’as pas à l’être, et je trouve normal qu’elles soient curieuses.
Puis j’ajoute malicieusement, ce qui la fait devenir carrément écarlate :
Et puis, ce n’est pas comme si nous étions un couple conventionnel, puisque tu as déjà décidé que tes filles pourraient participer à nos relations sexuelles, s’il leur en prenait l’envie.
Cette fois, c’est mon petit bout de femme qui ne sait pas quoi répondre, ce qui me rend on ne peut plus fier de moi.
La pièce d’eau dans laquelle nous nous trouvons est assez spacieuse, et un meuble ouvert encombré d’ustensiles de toilette et de crèmes diverses, ce qui est typiquement féminin, me laisse penser que c’est la seule de la maison. Cela m’est confirmé par le fait que trois brosses à dents se trouvent dans un gobelet en plastique, posé sur une tablette juste au-dessus du lavabo. Cela doit être également le cas des toilettes, puisque les filles ont été obligées de descendre pour s’y rendre.
Contrairement à chez moi, il y a ici une grande baignoire, mais pas de douche italienne. Cependant, un rideau en plastique souple permet d’en faire un espace clos où l’on peut s’y laver sans être obligé de se plonger complètement dans l’eau. C’est d’ailleurs ce que nous faisons d’un accord tacite, comme à notre habitude ensemble, et après qu’un jet nous ait mouillés, nous nous savonnons mutuellement, sans nous priver de nous doigter l’anus.
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Une fois propres, nous nous séchons avec une grande serviette, Alice retourne dans le vestibule tandis que je l’attends dans la pièce à vivre, et elle en revient avec à la main une paire d’espadrilles toutes neuves, et au visage un petit sourire satisfait.
Je suis en effet resté pieds nus après que nous avons fait l’amour, ce qui ne m’a pas dérangé sur la moquette, mais un peu sur le carrelage de la salle de bain et en ce moment, sur celui qui est sous mes pieds, car ils sont nettement plus froids. Par conséquent, j’enfile ces chaussures en toile après avoir remercié ma compagne, et une fois que je suis paré comme un vrai nudiste, elle me fait visiter sa maison.
Cette villa est plus petite que la mienne, mais la façon dont elle est aménagée lui donne un air plus chaleureux, sans doute parce que les trois personnes qui y vivent y ont apporté une petite touche personnelle, et féminine. Cependant, tout est propre et ordonné, même si quelques affaires qui doivent être utilisées tous les jours sont posées çà et là, par exemple le sac à main de ma compagne qui est accroché au dossier d’une chaise.
L’état des lieux ne me surprend pas de la part de mon petit bout de femme, et je dois dire que je n’étais pas vraiment inquiet sur ses capacités à tenir un logis.
Lorsqu’elle me montre la terrasse, à l’arrière de la maison, qui est prolongée par un petit bout de terrain sur lequel se trouve un portique avec deux balançoires, un trapèze et des anneaux, je constate que l’ensemble est effectivement bien abrité des regards des voisins, puisqu’entouré par une haie de thuyas assez dense.
J’ai ensuite la surprise de découvrir qu’il y a un deuxième cabinet de toilette à l’étage, ce qui me confirme que la rencontre avec Léo et Léa au rez-de-chaussée n’était pas du tout accidentelle. Nous trouvons d’ailleurs peu de temps après ces deux dernières allongées sur le même lit, toujours nues, et en train de réviser, dans une attitude un peu trop innocente pour être honnête.
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Leur maman qui les connaît mieux que personne ne s’y trompe d’ailleurs pas, puisqu’elle leur dit :
Si vous voulez venir manger avec nous les petites voyeuses, il est temps de vous préparer.
Seule la blonde a le bon ton de rougir, tandis que la brune dissimule un sourire avec sa main en faisant semblant de bâiller. Et c’est elle qui répond :
Super. Parce qu’étudier, ça donne les crocs.
C’est pourquoi nous allons tous nous habiller dans le but de nous rendre ensuite au restaurant.
Je souris lorsque je constate qu’Alice enfile un petit bustier de couleur rouge qui moule parfaitement sa superbe poitrine. Il a des manches qui lui arrivent en haut des coudes, ce qui fait qu’il est plus court au niveau du ventre, puisque son nombril reste à l’air. Elle complète sa tenue avec un pantalon corsaire noir, lui aussi très ajusté, et ses habituelles mules à talons en bois de dix centimètres de haut.
Bien évidemment, c’est moi qui lui ai acheté ces vêtements qui lui vont à ravir, et que je suis très fier de la voir porter. Si ma réaction qui ne lui échappe pas la fait sourire, la façon dont elle est vêtue ne semble par contre pas étonner les jumelles, et je devine que leur maman a dû déjà leur montrer sa nouvelle garde-robe, et peut-être même l’essayer devant elles.
Mais la surprise pour moi vient de Léa qui, comme sa sur, porte ce soir un débardeur serré sous lequel on voit qu’elle n’a pas mis de soutien-gorge, et qui épouse parfaitement ses petits seins tout ronds avec ses tétons, eux aussi sphériques, qui pointent. Cependant, elle n’a pas poussé l’audace jusqu’à mettre un petit short en jean qui lui arriverait au ras des fesses, comme celui de Léo, puisqu’elle a enfilé un bermuda beaucoup plus sage.
Néanmoins, elle fait tout comme sa maman des efforts pour être sexy, et si elle s’empourpre lorsque je la regarde, je gage que c’est autant à cause de sa tenue que parce qu’elle se souvient avoir voulu un peu plus tôt jouer les voyeuses.
De cela, je ne lui tiens pas rigueur, d’autant plus que je suis convaincu que c’est sa sur qui l’a entraînée dans cette mauvaise action. Pour le lui faire comprendre, et la mettre en confiance à l’idée de sortir habillée de cette manière, je dis à la jumelle blonde après lui avoir souri gentiment :
Tu es superbe, mon Bébé.
Bien que toujours aussi rouge, je vois que mon compliment lui fait plaisir tout comme à sa maman qui affiche son petit air satisfait; et nous sortons de la maison, pour aller monter dans ma Challenger, accompagnés par la musique des clacs-clacs joyeux que font trois paires de mules à talons en bois.
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Notre soirée au restaurant se passe à peu près comme la précédente, si ce n’est que tandis que Léo anime la conversation, Léa reste pensive, et qu’elle semble gênée à chaque fois que je la regarde. Au départ, je me dis que c’est à cause de son petit haut qui est beaucoup plus osé que ceux qu’elle a l’habitude de porter, d’autant plus qu’Alice ne semble pas remarquer l’humeur de sa fille.
Mais à la réflexion, je pense qu’il s’agit plutôt du fait que les deux surs nous ont matés à travers le trou de la serrure de la chambre de mon petit bout de femme, et que par conséquent, elles étaient aux premières loges pour voir mon sexe s’enfoncer dans le vagin de leur maman.
Bien entendu, ce ne sont que des suppositions de ma part, mais cela expliquerait qu’à cause de leurs caractères bien différents, la jumelle brune considère que cela n’a pas une bien grande importance, alors que la blonde en éprouve à présent de la honte. Malheureusement pour elle, je ne sais pas comment faire pour décoincer la situation, d’autant plus que je ne suis sûr de rien, et que si j’en parlais, cela pourrait aggraver son malaise.
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Par conséquent, je me tais, et ce n’est qu’une fois que nous avons raccompagné les filles jusqu’à chez elles, tandis qu’Alice et moi prenons seuls le chemin de ma villa, que je lui demande :
Tu as remarqué que Léa n’était pas dans son assiette, et qu’elle a d’ailleurs très peu mangé ?
Evidemment, je suis sa mère, par conséquent, rien ne m’échappe la concernant.
Et tu en penses quoi ?
Je pense que tu te fais des idées, mon Amour. Elle est en train de passer son bac, ce qui est la plus importante épreuve qu’elle a à subir depuis qu’elle est née. Par conséquent, elle est stressée, ce qui vu son caractère est plutôt normal.
Je ne suis pas de son avis, et je lui dis :
Et si c’était à cause du fait qu’elles nous ont vus en train de faire l’amour, et qu’elle se sent coupable d’y avoir assisté.
Mon petit bout de femme réplique en rougissant légèrement :
Elles m’ont avoué avoir vu bien pire sur internet, et cela ne les a pas dérangées.
Je trouve qu’elle prend la chose à la légère, ce qui ne me choque pas, pourtant je continue :
Peut-être, mais ce soir, ce n’était pas en vidéo, et il s’agissait de leur maman…
Cette fois, elle s’empourpre carrément avant de répondre :
Si c’est le côté incestueux qui te dérange à nouveau, figure-toi qu’elles ne nous ont pas attendus pour franchir le pas.
Que veux-tu dire ?
Tout simplement que je les ai surprises, à quatre pattes sur le lit de Léo, en train de se trémousser, avec un gode-double dont les bouts étaient enfilés dans chacun de leurs petits trous du cul.
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En entendant cela, je manque d’emboutir la voiture qui est juste devant la mienne, et qui vient de s’arrêter à un feu rouge. Cette fois, je suis carrément stupéfait, et Alice, qui est très amusée par ma réaction, me dit sur un ton goguenard :
Eh oui, telle mère, telles filles.
J’arrive à bafouiller avec peine :
Elles…te… t’ont… vue ?
Seulement Léo, parce que sa sur tournait le dos ainsi que tout le reste à la porte.
Et…c’est pour ça que par moments tu avais l’air préoccupée ?
Absolument; car découvrir que mes filles sont non seulement lesbiennes, mais en plus incestueuses m’a beaucoup donné à réfléchir sur la tournure que va prendre notre vie, lorsque nous habiterons tous ensemble. Mais je t’avoue que j’avais déjà pensé à ce genre de choses avant; et l’important n’est pas de savoir qui de la poule ou de l’uf est venu en premier…
Tandis que je me fais, cette fois, klaxonner par la voiture qui est derrière, car je suis resté sur place alors que je feu est redevenu vert, je lui dis en redémarrant :
En attendant, si elles sont homosexuelles, ça met ton plan à l’eau.
Pas du tout, car figure-toi qu’après cela, nous avons discuté parce qu’il me fallait savoir où elles en étaient exactement; et, si je pouvais un jour avoir des petits-enfants. Heureusement pour moi c’est le cas, puisqu’elles sont également attirées par les hommes, et un en particulier.
Et lequel d’entre eux a cette chance ?
Mon petit bout de femme me dédie une petite moue ironique avant de lâcher sa bombe :
Il se trouve que c’est toi qui les fais craquer toutes les deux, mon Amour. Elles sont unanimes pour dire que malgré ton âge, tu es l’homme idéal, même si Léa a mis beaucoup plus de temps que sa sur avant de passer aux aveux.
A suivre…