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La petite salope – Chapitre 1




1. DeliSensuel

Je me dirige vers la boutique de lingerie pour me trouver une nouvelle tenue coquine pour ma soirée avec mon homme ce soir. Je veux le séduire, l’exciter, le rendre fou. Et quoi de mieux que d’acheter une nouvelle tenue ? Mais j’ai un souci au niveau de la taille du haut, je suis hors norme avec mon 120E. Je suis plutôt bien foutue, je m’habille en 44, mais j’ai une poitrine énorme et mon homme l’adore. Le souci c’est de trouver des dessous à ma taille et une seule boutique sur ma ville en possède, la boutique DeliSensuel.

Ils ont une collection ultra-sexy en toute taille, quel bonheur d’aller les voir ! Je connais d’ailleurs la patronne, je suis devenue une cliente fidèle, toutes les semaines, je viens agrandir ma collection de dessous.

Mais ce jour-là, rien n’est comme d’habitude. En entrant dans la boutique ; personne, la patronne n’est pas là, elle doit être dans la réserve ou aux toilettes, je ne sais pas si c’est bizarre. Je flâne dans les allées à chercher ma lingerie pour ce soir. Tout à coup, j’entends des gémissements qui proviennent des cabines d’essayage. Que se passe-t-il ? Un client a dû se cogner l’orteil, cela fait mal.

Bref, je continue mes recherches et là je trouve plusieurs ensembles sexy : un ensemble léopard soutiens-gorge et boxer, un ensemble noir en dentelle avec son tanga, et un ensemble rouge passion corset, et boxer. Il va falloir choisir, mon budget ne me permet pas de tous les prendre aujourd’hui. Hum, bon, il va falloir essayer, mais je veux voir s’il n’y a pas d’autre modèle encore. Je continue donc ma balade dans les allées du magasin.

Je m’inquiète ; la patronne n’est toujours pas là, mais où est-elle ?? Qui gère le magasin ? J’entends toujours de petits bruits venant des cabines, mais cela doit être un client qui essaye des dessous, cela ne peut être rien d’autre.

Mes recherches m’ont rapporté encore 2 corsets et un ensemble minijupe en vinyle avec corset assorti, à lacer dans le dos. Ho là ! Mon banquier va hurler si je prends tout cela.

Bon, maintenant plus le choix, il faut arrêter de flâner et aller essayer pour choisir une tenue.

2. la cabine d’essayage.

Je me dirige vers une cabine vide et vois celle devant la mienne, fermée ; des bruits de frottement et des halètements s’en échappent. Bon, rien d’inquiétant ; sûrement une cliente enrhumée, après tout nous sommes en décembre à quelques jours de Noël. Je mets donc toute ma lingerie sur les portants installés dans la cabine et referme le rideau. C’est là que je vois 4 pieds dans la cabine devant moi. Hummmm ! Que se passe-t-il ? Peut-être que Monsieur a accompagné sa femme pour voir le rendu ; bon, c’est possible, après tout, moi aussi je le fais.

Je finis par fermer le rideau et commence à me déshabiller. Au même moment, j’entends de petits gémissements venant de la cabine d’en face. J’entrouvre légèrement le rideau pour regarder ce qu’il se passe. Le rideau bouge et les pieds aussi. Mais que font-ils dedans ?

Je décide de laisser mon rideau un peu ouvert et je commence à enfiler mon premier ensemble. Le rideau continue à s’ouvrir et là je perçois les fesses d’un jeune homme nu. Waouh ! Quel fessier, et son dos, un corps de sportif c’est sûr !

Un frissonnement m’envahit à la vue de ces fesses. Qui est la femme qui l’accompagne et où est la patronne ? Bon, tant pis, le spectacle me plaît trop, je vais rester derrière mon rideau à regarder, à jouer les voyeuses.

Le boxer que je suis en train d’essayer est déjà trempé, merde, je vais être obligée de l’acheter. Tant pis. Dans le miroir face au couple, je distingue la chevelure de la femme, une belle brune d’au moins 50 ans. Mais, mais c’est la patronne ! Merde ! Et le mec il doit avoir 20ans, cela pourrait être son fils, Oh ! Mais quelle cochonne ! Je la pensais mariée, ferait-elle cocu son mari ? Est-il au courant ou en sont-ils à divorcer réellement comme elle m’en a parlé la dernière fois ? Tant de questions qui au final ne me regardent pas.

Ce spectacle m’enivre, m’excite, je ne peux détacher mon regard de ce couple insolite qui baise à la vue de tous. Je glisse une main dans le boxer et commence à me caresser. Ce jeune homme pilonne avec fougue la patronne de la boutique, des cris de plaisir s’échappent de leurs bouches puis j’entends le jeune homme lui dire :

Tu aimes ça ? Faire cocu ton mari, hein ? Cochonne ?

Oh oui ! J’aime ça. Il ne sait pas où ma chatte a traîné la journée et le soir il me la bouffe avec plaisir.

Tu es une vraie cochonne, je vais te bourrer tellement fort que ton mari découvrira ta chatte en feu ce soir, il ne pourra rien te faire.

Oui, vas-y, bourre-moi.

Ces mots crus m’excitent encore plus, je glisse un doigt le long de mes lèvres et joue avec mon clito ; mon autre main attrape l’un de mes seins et le malaxe avec force. Devant moi, le spectacle est de plus en plus intense. Je vois le jeune homme se retirer de la chatte de la patronne et découvre un sexe de taille normale, mais d’une largeur à faire peur à Hulk. Son membre est tellement gros que je ne suis pas sûre qu’il rentre dans ma chatte ou ma bouche.

Waouh ! Quel engin ! Où va-t-il le mettre là ? Pourquoi se recule-t-il ? Que vont-ils faire ? Il ne faut pas qu’ils me voient.

3. voyeurisme

Me voilà calée au fond de ma cabine à me caresser la vulve tout en jouant les voyeuses. Pourquoi cela m’excite-t-il autant, je ne sais pas, peut-être l’interdit ou la peur de me faire prendre ; en train de les regarder.

Je vois le couple de la cabine changer de position. La patronne se met à genoux devant le sexe du jeune homme et commençait à le masturber. Les mains de ce jeune homme descendent sur la poitrine opulente et commencent à les pétrir, à pincer ses tétons. Elle pousse un petit cri. Elle ouvre sa bouche pour goûter ce monstre. J’en peux plus ; ma vulve a doublé de volume ; mes doigts titillent mon clitoris qui a aussi doublé de volume.

Cette scène me rend folle, je ne vais pas tenir. Je la vois sucer le jeune homme avec passion, d’un coup il la soulève et l’embrasse avec fougue. Il la plaque contre le mur de la cabine, lui soulève une jambe et la pénètre de nouveau. Je vois toute la scène depuis ma place, je glisse 2 doigts dans ma chatte dégoulinante de cyprine et commence un long va-et-vient sur le même rythme que le leur. Ma jouissance monte en moi, je ne tiens plus, j’explose de plaisir dans un râle incontrôlable.

Je vois leurs têtes se tourner vers moi, merde ! je me suis fait prendre. Mon plaisir n’est pas terminé, je sens un liquide le long de mes jambes comme si je me faisais pipi dessus, mais non, je découvre que c’est ma jouissance. Y en a partout une flaque énorme, 3 ensembles sont trempés de mon plaisir.

Je vois le jeune homme ouvrir mon rideau en grand, son sexe, toujours en érection devant moi ; mais c’est une machine, ce mec, sachant qu’il était déjà dans la cabine à mon arrivée. Je me vois regarder de honte la patronne qui me fait un grand sourire et qui s’approche de moi.

tu aimes ce que tu vois ?

Ma réponse toute timide sort après quelques secondes de silence.

Oui, beaucoup. Je prends un plaisir inouï à vous regarder, ne vous arrêtez pas s’il vous plaît.

Le jeune homme me regarde, et me dit:

Oui je vois que tu prends ton pied, tu es une sacrée fontaine. J’adore ça. Alors, regarde-nous et préviens-moi quand tu sens que tu vas jouir.

Heu !!! Oui.

La patronne est allée fermer le magasin pendant que le jeune homme me parlait. Elle revient et plaque le jeune homme contre le mur comme si je n’étais pas là.

Nous en étions où ? A oui ! Tu étais à me pistonner. Alors, reprends ta place dans ma chatte, elle t’attend.

Le voilà qui la soulève et la pénètre, tout en me regardant du coin de l’il. Ma main est repartie sur ma chatte gonflée et douloureuse de ma jouissance précédente. Je me caresse doucement, le temps que cela soit moins douloureux.

Il attrape les 2 mamelles de la patronne et les tête, les gobe, les lèche, les suce avec passion. La scène m’excite terriblement. Elle doit avoir les seins plus petits que les miens sûrement un 105D, mais quelle poitrine, pour son âge, après 4 grossesses, ils tiennent bien. J’ai envie de les goûter ; mais non, je ne suis que voyeuse.

4. un plaisir inattendu

Je m’installe sur le banc de la cabine d’essayage et les regarde baiser tout en me caressant. Ma chatte pulse sous mes doigts, mes tétons pointent et deviennent douloureux.

Je vois le jeune homme se retirer de la patronne et la plaquer sur un tas de carton, le cul bien en évidence et les jambes écartées. Il se baisse au niveau de la vulve de la patronne et la lèche. Il entame un cunni digne d’un dieu et glisse vers son anus pour lui pratiquer un anulingus. Hum, quelle vision ! Mieux qu’une vidéo porno.

Le jeune homme place un doigt sur l’anus de la patronne et commence à l’introduire dans ce petit trou serré. Sa langue aide à la dilatation et son doigt commence un lent va-et-vient. Au bout de quelques secondes, l’anus de la patronne s’ouvre plus grand et un second doigt rejoint le premier. Puis un troisième. Les va-et-vient continuent et s’accélèrent. Je positionne une de mes mains sur mon clito et l’autre sur mon anus et les titillent tous les deux pour faire monter ma jouissance à un cran supérieure. Mon anus se dilate et mon doigt s’aventure à l’intérieur. Je suis le même rythme que ce couple devant moi et mon anus se contracte de plaisir. J’entends le jeune homme dire :

Je vais éjaculer dans ton petit cul serré et tu rentreras toute dégoulinante chez toi. Ton mari découvrira alors qu’il est cocu et devra te nettoyer et t’honorer pour se faire pardonner toutes ses infidélités envers toi.

Oui, vas-y, enfonce ta grosse queue dans mon cul, bourre-moi et éjacule dedans. Hum, je n’attends que ça.

Le jeune homme se redresse et positionne son engin devant le trou devenu béant et l’entre sans difficulté ; il s’arrête quelque seconde, le temps que sa queue s’adapte à cet espace serré, puis commence un va-et-vient intense puissant. Je suis le même rythme toujours, mon clito palpite. Mon cur s’accélère. Mon excitation est encore montée d’un cran, mais le dernier cran, je vais jouir et ce couple devant moi en est au même stade.

D’un coup, je vois le jeune homme s’arrêter et se crisper ; il éjacule, c’est sûr. J’entends son râle de jouissance et celui de la patronne le suit. Il se dégage de ce petit trou qui est devenu béant. La patronne glisse une main pour récupérer quelques gouttes de sperme qui en ressort et elle les porte à sa bouche pour goûter ce mélange. Elle se retourne et s’agenouille devant le jeune homme pour lui nettoyer la queue avec sa bouche. Une fois le nettoyage fini, ils m’entendent pousser ce petit gémissement, se retournent vers moi et viennent se placer devant ma chatte en ouvrant la bouche. Je n’y crois pas, ils veulent que j’explose sur eux. Hummm. Ma jouissance arrive et là, c’est l’explosion. Une vraie fontaine, cela ne s’arrête pas, j’arrose tout : leurs visages, leurs corps, le sol, les lingeries… Ils se lèchent les lèvres et s’embrassent pour récupérer toute la cyprine. Quel plaisir ! Je suis au paradis.

Une fois redescendue de mon nuage, mon regard se baisse au sol pour voir les dégâts et je réalise que tous les ensembles de lingerie que j’avais sont inondés, la patronne voit mon mal-être et m’informe qu’elle m’offre la totalité de cette lingerie en guise de remerciement pour avoir réalisé son fantasme : se faire asperger par une femme fontaine. Je la remercie, me relève, me rhabille et rentre chez moi.

Une fois rentrée, je raconte tout à Ayrton, mon chéri. Une nuit torride m’attendait.

Fin.

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