Quand elle eut fini son verre et qu’elle le posa sur la table, je lui posai donc la question.
— Alors, Steph, quelle est ta réponse ? Acceptes-tu ma proposition ?
Rien, pas une parole ne sortit de sa bouche.
Je réitérais alors ma question, sur un ton un peu plus sec, arguant maintenant que pas de réponses équivalait à un NON et à ses conséquences.
Elle me regarda alors droit dans les yeux et me dit : – OK. Oui, j’accepte. Com…
Je la coupais dans la suite de sa phrase.
— Bien. Dorénavant, tu ne parleras que lorsque je te poserai des questions. Nous nous octroierons 30 minutes le matin et 30 minutes le soir pour parler plus librement.
Tu m’appelleras "Monsieur". Tu n’as qu’une chose à faire, m’obéir. Petit à petit les explications viendront. As-tu bien compris ?
— Oui
— Oui, qui ?
— Oui Fabien.
Je la recadrais d’office.
— Ici, c’est "Monsieur". Dehors, ça pourra éventuellement être Fabien, mais ici c’est "Monsieur". Alors, je répète : as-tu bien compris ?
— Oui Monsieur.
— A la bonne heure. Lève-toi. Je voudrais vérifier quelque chose.
Elle se leva. Mon regard la scruta de haut en bas.
— Tourne-toi !
— Ok. Enlève ta robe, mais garde tes chaussures.
Elle fit glisser sa robe vers le bas. Ses seins jaillirent. Elle se trémoussa un peu plus au niveau de la taille puis continua à faire glisser sa robe jusqu’à ses pieds.
Je découvrais alors sa petite chatte, parfaitement épilée.
— C’est bien, tu m’as écouté. Dorénavant, je ne veux plus voir, jamais, aucun poil. Sil le faut, on te prendra RV chez une esthéticienne pour te faire épiler au laser.
— Oui Monsieur.
— Bien ! Ca commence à rentrer. Des petites questions maintenant, pour te connaitre un peu plus. Mais avant ça, je veux que tu te postes devant moi, jambes un peu écartées, les bras tirés en arrière derrière la nuque. Dans cette position, ses seins étaient bien mis en valeur.
Une fois la position prise, j’enchainai sur mes questions
— Te considères-tu comme une bonne suceuse ?
— Je ne sais pas Monsieur. Avec Marc, ce n’était pas quelque chose dont il était friand. Je l’ai juste sucé quelques fois, mais je ne peux pas dire si c’était bien.
— OK. On va voir cela très prochainement. Ici, sache que c’est primordial.
— Pas la peine de te poser la question pour savoir si tu avales ? La encore, et j’y tiens particulièrement, il faudra t’y faire. De toutes façons, une des bases de ton contrat de soumise sera que tu seras nourrie au sperme.
— Ta relation avec la sodomie ?
— Aucune Monsieur.
— Bien. On va donc travailler ton joli petit cul pour ça.
— Tu prends la pilule ?
— Oui Monsieur.
— Niveau MST, t’es clean ?
— Oui Monsieur.
Je faisais le tour de son corps. Mes mains palpaient ses seins, son cul, sa chatte. Elle ne bronchait pas. Je passai un doigt délicatement sur ses lèvres et titillais son clitoris. Elle mouillait. La situation, si elle ne lui plaisait pas, l’excitait.
— Tu peux te resservir un verre, ça te détendra un peu. Je vais chercher quelque chose. Je reviens. Interdiction de t’assoir.
Après un aller-retour furtif dans ma chambre, je revenais avec un bout de tissu.
— Tiens, essaye ça. C’est un body noir, entièrement en tulle, transparent.
Il lui allait comme un gant. Cela moulait encore plus ses seins et faisait ressortir les lèvres de son sexe.
— C’est parfait. C’est bon, tu peux l’enlever. Tu le remettras tout à l’heure. En attendant, c’est l’heure de la douche. Tu vas donc aller dans la salle de bain, te préparer.
Te doucher, bien te savonner, partout. Tu verras une deuxième douchette, en forme de plug. Tu vas bien savonner ton cul et tu vas t’enfiler le pommeau dans le cul. Je veux que tu sois nickel propre de ce côté.
Avant de sortir, tu tireras bien tes cheveux en arrière et te feras un chignon. Habillée avec le body et tes chaussures. Tu as 20 minutes.
20 minutes après, la voilà sortant de la salle de bains. Les cheveux tirés en arrière et formés en chignon. Le body en tulle noir, entièrement transparent et lui couvrant corps, bras et cou. Des chaussures à talon aiguille. Parfaite panoplie que voilà.
— C’est très bien Steph. Tu es parfaite. Mets-toi en position.
Elle obéit. Se tenant debout, jambes légèrement écartées, les mains derrière la nuque, coudes tirés en arrière. Une fois encore, je vins la caresser au travers du body, palper et malaxer ses seins, lourds et pleins. Je l’embrassai dans le cou et passai mes doigts sur sa vulve. Je bandais.
— On va voir ce que tu sais faire avec ta bouche. Tu vas t’agenouiller devant moi et me sucer. Tu ne dois utiliser que ta bouche. Pour t’aider, je vais t’attacher les mains derrière.
Je me saisis alors d’une paire de menottes et lui lia les mains dans le dos, puis, je me déshabillai et m’installa dans le canapé. Elle vint s’agenouiller entre mes jambes et commença à me lécher la tige.
— Allez, vas-y, suce bien. Prends tout en bouche.
Mais malgré sa bonne volonté, force est de constater qu’elle n’était pas une bonne suceuse.
— C’est pas top Steph, ta manière de pratiquer la fellation. Va falloir travailler dessus. Tu pourras voir des vidéos, ça t’aidera surement. Mets-y de l’entrain, de l’envie. Aime ce bout de chair. Je veux que tu deviennes une super suceuse. OK ?
— Oui Monsieur.
— Allez continue, applique-toi. Sinon, je devrais te punir… Et ça m’embêterait vraiment de devoir déjà te punir.
Au bout de 10 minutes, je lui dis.
— Tu aimerais que je te fasse vibrer ? Ca te dirait un petit cunni ?
— On ne me l’a jamais fait, mais j’aimerais trop, Monsieur.
— Viens que je te détache. Maintenant, allonge-toi sur le canapé et écarte les jambes. Caresse-toi les seins pendant que je m’occupe de toi.
Je dégrafais alors le bas de son body et lui prodigua un cunnilingus dont j’avais le secret. Il ne me fallut que 4/5 minutes pour la faire jouir. Sa mouille était sucrée.
Je lui fis gouter avec mes doigts. Elle les léchait avec avidité.
— Alors ? C’était bon ?
— Oh OUI.
— Et ta mouille, tu aimes ?
— Oui, c’est sucré et terriblement excitant.
— Eh bien tu vois, j’aimerais qu’avec ta bouche, tu me procures le même plaisir que j’ai pu le faire pour toi. En attendant, je n’en peux plus de bander. Je vais te baiser. Viens sur moi.
J’étais assis et elle vint se mettre à califourchon sur moi. Elle était tellement mouillée que ma bite rentra en elle comme dans du beurre. Son con était serré et j’aimais ça.
Avec ma langue, je léchai ses tétons au travers du body pour qu’ils durcissent, puis les chopai avec les dents pour leur appliquer une pression supportable, mais un peu douloureuse.
Elle avait l’air d’aimer ça. Je m’occupai aussi de son cul dont je malaxai les fesses et leur donnai quelques petites claques.
— T’aimes ça, hein, de faire baiser ?
— C’est trop bon, Merci, mais continue stp.
Je la sentais monter en pression. Arrivée à son paroxysme, elle se mit à jouir tant et si bien que j’ai cru devenir sourd.
Je sentais moi aussi la pression monter.
— Comme je te l’ai dit, ta nourriture principale sera du sperme. Alors, sors de là et mets-toi à genou devant moi. Ouvre la bouche et tire bien la langue.
Je vais me décharger dans ta bouche. Mais attention, interdiction d’avaler pour l’instant. Tu garderas mon sperme en bouche jusqu’à ce que je te dise : avale. Tu m’as bien compris ?
— Oui, j’ai compris.
Je me finissais alors en lui baisant la bouche pour finalement la lui remplir. 4 ou 5 jets bien crémeux. Je sortis de sa bouche et la regarda.
— Ouvre la bouche et montre-moi ma semence. Ce qu’elle fit.
— Ferme la bouche et avale.
Faisant preuve de courage et d’abnégation, elle se força à avaler.
— Ouvre la bouche et fais voir. Tire la langue. C’est bien ma petite. Maintenant, viens me nettoyer la queue avec ta bouche. Je ne vaux plus aucune trace.
Elle obtempéra.
— Alors, cela t’a plu ? Tu peux répondre franchement.
— Pas vraiment. C’est plutôt âcre et salé. Mais ça n’a pas été non plus si horrible que je ne le pensais.
— Tant mieux, car il va falloir t’y habituer. Tous les matins, tu viendras me réveiller en me taillant une pipe et je me déchargerai dans ta bouche. Tu avaleras bien évidemment mon sperme. On dira que c’est ton petit déjeuner.
— Oui Monsieur.
— Si tu as soif, tu te sers dans le frigo. Si tu as faim, tu me demandes. Ce soir, on sort. Je t’emmène manger dans une pizzéria. Tu mettras ta robe. Et juste ta robe ! De toute façon, tu n’as pas de sous-vêtements et je ne veux pas que tu en mettes. Je te veux disponible rapidement à n’importe quel moment.
— Bien, j’ai compris.
— Tu garderas la même coupe de cheveux… Pour l’instant. Mais je souhaite que tu te maquilles un peu. Je veux que tu fasses "petite pute" de classe. La petite pute que tous les clients auront envie de baiser.
— Oui Monsieur.
— Je te laisse 15 minutes pour te préparer… Mais avant viens ici. Je veux que tu te mettes ceci dans le cul. Dans le tiroir de la salle de bains, tu trouveras du lubrifiant pour t’aider. C’est un plug anal. Tu le garderas jusqu’à nouvel ordre.
— Je vais essayer Monsieur. Je me dépêche…