Je mappelle Olin, jai 30 ans et lhistoire que je vais vous raconter est une histoire réelle. Il sagit de ma première relation sexuelle.
A lépoque javais 15 ans.
Originaire du centre de la France, je suis le fils unique dun couple de deux employés du secteur commercial.
Nous habitons dans un petit village aux abords de Montluçon.
Mes parents sont tous deux originaires du coin, et cest naturellement quils ont décidés dacheter une maison dans cet endroit.
Nous sommes en Septembre, et cela fait une semaine que jai commencé le lycée, en classe de seconde.
Pas de vrai changements pour moi, car tous mes amis de seconde sont les mêmes que ceux de ma plus petite enfance, ce qui est normal dans ce genre de ville.
Nous sommes Jeudi, je termine les cours assez tôt, vers 15h. En rentrant je prends un truc à manger rapide comme goûter.
Ma mère est au travail et comme à son habitude elle ma laissé un mot sur la table de la cuisine : "Nettoie la table après avoir goûté et n’oublie pas de passer voir monsieur Martin."
Ah oui, monsieur Martin.
C’est un homme du village, un "ancien" comme on dit ici. Il a 85 ans. Il habite à trois terrains d’ici.
Il vivait ici avec sa femme, Alice, mais cette dernière est décédée il y a 10 ans, des suites d’un cancer malheureusement.
Il est un peu le grand père du village. Toujours présent aux réunions et festivités de la commune, il est l’un des plus anciens propriétaires des maisons de St Victor.
Cependant ces dernières années il va de moins en moins bien, il a de grosses difficultés à entretenir sa maison.
C’est naturellement que ma mère m’a proposé à lui pour lui faire des taches ménagères ou de bricolage en échange de quelques pièces.
Je file donc chez M. Martin vers 17h, je sonne à sa porte et je vois le petit homme de 1m65 se présenter à moi.
Je dis petit homme car à coté de lui je parais assez grand. Je mesure 1m85, je suis brun aux yeux bleus, le teint blanc, assez musclé.
Je rentre chez lui et il me demande comment je vais, si l’école se passe bien, et toute autre politesse.
Je prends un verre de sirop d’antésite à la réglisse, et une fois fini il me dit ce qu’il a besoin de faire.
Il s’agit de nettoyer principalement les poussières présentent sur le haut de sa chambre et de son salon, et de ranger deux trois affaires, car le pauvre vieil homme commence à avoir de l’arthrose aux doigts et ça devient difficile de saisir les choses.
Après m’avoir donné ses consignes, il me dit qu’il va en profiter pour aller prendre une douche, car la baignoire se faisant un peu haute pour lui, il est content de savoir que quelqu’un pourra l’aider et prévenir les secours s’il tombe.
Après 5 minutes, il m’appelle désespérément de sa salle de bain. Je presse le pas et vais à sa rencontre.
Je vois mon pauvre petit bonhomme, torse nue, ventripotent, lutter avec la ceinture de son pantalon.
Rassuré de voir qu’il ne s’est pas fait mal je lui demande ce qui ne vas pas.
Ce dernier me dit qu’avec ses doigts il n’arrive pas à les plier suffisamment pour défaire boutons et ceinture.
C’est tout gêné qu’il me demande si ça me dérange de les lui retirer.
Je lui répondis que non, puis je m’exécutais.
Je descendais son pantalon jusque ses chevilles, et lorsque mes yeux remontèrent je vis que M. Martin portait un grand slip blanc légèrement tacheté d’une trace jaunâtre au milieu.
Il m’a remercié et s’est excusé d’être dans une telle tenue devant moi.
Je lui ai dis que ça ne me choquait pas car j’étais moi aussi un homme, et qu’on était tous fait pareil.
Je lui proposais de lui descendre son slip, demande qu’il accepta.
Une fois son slip retiré, une petite odeur de transpiration se dégageait de lui.
Je lui dis que j’allais continuer mes taches ménagères et qu’en cas de besoin il n’aurait qu’à m’appeler.
Il me remercia, et s’excusa de nouveau d’être en tenue d’Adam devant moi, mais que je ne devais pas avoir peur du monstre, car cela faisait 10 années qu’il s’était endormi.
Sur le coup je n’ai pas compris, et je restais sur place pour réfléchir, puis je compris que M. Martin ne parlait ni plus ni moins que de son pénis.
Lorsque j’eus compris je lui souris légèrement, et je me mis à regarder justement son "monstre".
Je vis un petit sexe court avec un long prépuce, et des testicules très bas et flétris.
M. Martin vis que je le regardais entre les jambes et souris légèrement.
J’étais assez gêné quand même de la situation, surtout qu’à part des images internet, je n’ai jamais vu de sexe d’homme ou de femme.
A 15 ans il est vrai qu’on y pense beaucoup, mais rare sont les occasions de concrétiser.
Je suis attiré par les filles de mon âge, mais pourtant je n’ai pas compris pourquoi, j’ai commencé à avoir une érection.
M. Martin le remarqua et me dit, "oula, le jeune s’émoustille".
Je m’excusais et lui dis que j’étais étonné que le "monstre" n’ai plus marché depuis 10 ans. Je trouvais ça long.
Il me dit que ce n’est pas qu’il ne le voulait pas, mais à 75 ans un homme n’intéressait plus personne, et qu’il se refusait à la masturbation, trouvant ça juvénile.
Du coup il se retrouvait à 85 ans avec un sexe qui pouvait être toujours actif, mais sans personne pour l’utiliser.
Cela me troublait, et me fit réfléchir aussi. Moi cela fait deux ans que je m’intéresse aux filles, et j’ai déjà hâte, mais lui qui a connu ça, comment arrivait il a supporté 10 ans de chasteté?
Plus les secondes défilaient plus j’étais excité.
Dans un élan de chaleur, j’ai osé dire : "M; Martin, je pourrais peut être"
Je n’ai pas osé aller jusqu’au bout de ma phrase, mais M. Martin m’a regardé différemment.
Plus surpris qu’excité, il m’a demandé "dis jeune, t’es PD?"
Je lui répondis que non, mais que j’étais attendri par sa situation, et que finalement, je pourrais peut être l’aider pour qu’il se soulage.
— M. Martin, si vous le voulez, je peux vous aider en touchant votre sexe avec ma main. Comme ça c’est pas vous qui vous touchez tout seul.
— Je voudrais pas qu’on me dise que je suis un violeur de garçon, jeune!
— Non, je suis d’accord pour le faire, je vous promets d’arrêter si je suis gêné et que je ne veux plus.
— D’accord, alors je ne bouge pas et te laisse faire?
— Oui asseyez vous sur le bord de la baignoire.
M. Martin s’est posé sur le bord de la baignoire. J’ai pu voir qu’en quelques instants, il avait pris de la vigueur.
Son sexe est devenu tout tendu et tout dur.
Bien que d’une taille pas très grande, environ 10cm de longueur, son sexe pouvait encore être très dur.
Je me suis agenouillé devant lui et j’ai posé ma main sur son sexe.
C’est étrange et assez fou, je suis entrain de toucher un autre sexe d’homme que le mien.
Comment était ce possible, comment ai-je pu me mettre dans cette situation?
Je suis entrain de passer mes doigts autour de ce petit sexe. Il est épais.
Je sens ses battements de cur à travers ma main.
Je commence à descendre ma main le long de son sexe. Son prépuce descend, je commence à découvrir son gland.
Une odeur me prend au nez, c’est un mélange de transpiration, d’urine, deje ne sais trop.
Son gland est violet très foncé, il est tout brillant.
J’entame un mouvement de masturbation. Je transpose mes mouvements sur son sexe comme ceux que je fais parfois sur le mien.
Je suis vraiment troublé et aussi très excité.
Mon pantalon est serré. Mon jean me frotte le bout du gland.
Je ne sais pas ce qu’il s’est passé dans ma tête, mais soudainement j’ai eu envie de faire quelque chose qui allait définitivement me faire passer le cap de la bisexualité.
J’ai approché ma tête près de son sexe turgescent, et je me suis mis à glisser ma langue sur son gland.
Quelle sensation étrange, c’est doux au touché, c’est chaud aussi, ça à un goût salé, âprec’est très troublant.
Je sens que M. Martin aime ce que je fais. Après l’avoir lapé pendant 2 minutes, je décide de mettre sa queue dans ma bouche.
C’est très large, mes lèvres s’écartent autour de lui. Avec ma tête j’entame un mouvement de coulissage, tout en maintenant une succion, qui me fait faire des bruits d’aspiration de temps en temps.
Son sexe est suffisamment petit pour le mettre en entier dans ma bouche.
Je le garde enfoncé comme ceci jusqu’au début de ma gorge, mon nez dans la broussaille blanche de son pubis.
J’aspire, puis je relâche, je fais frotter ma langue fort sur le dessous de sa bite.
Je sens que la respiration de l’homme qui pénètre ma bouche s’accélérer.
Il fait de temps en temps des petits mouvements de bassin.
Je sens qu’il adore ce que je lui fais. Son souffle est irrégulier, il commence à faire des râles de plus en plus fort, son sexe se contracte une fois, deux fois, puis enfin il se contracte très fort une troisième fois et là il libère une quantité de liquide visqueux, très épais, le goût devient fort.
M. Martin me maintien la tête, son sexe est toujours enfoncé dans ma gorge, je ne peux pas respirer, je suis forcé d’avaler son sperme. J’ai l’impression qu’il ne s’arrêtera jamais.
Le fruit de ses entrailles de 85 ans se déverse doucement mais en énorme quantité dans ma gorge.
Mon estomac s’emplit encore et encore.
Enfin il arrête d’éjaculer. Ses jambes sont fébriles, son sexe se relâche, il se retire de ma bouche, il est tout relâché, comme désarticulé.
Je me relève, le regarde, et lui me dit : "merci jeune, j’ai jamais connu ça"
J’esquisse un petit sourire, puis je lui dis que j’étais assez heureux de l’avoir aidé.
Je fais demi-tour et me dirige vers sa chambre pour reprendre mes tâches ménagères.
Après sa douche, M. Martin est venu me libérer. Il m’a donné 20 alors que d’habitude c’est 5.
Je lui dis qu’il a du se trompé, mais lui me répond que non, que je l’avais bien aidé aujourd’hui dans ses "taches", et que à l’avenir je pourrais gagner autant voir même un peu plus quand je le souhaiterai.
Son message bien compris je quittais les lieux et rentrais chez moi.
Une fois rentré dans ma chambre, je regardais des forums sur internet sur la dangerosité d’avaler du sperme. Les messages me rassuraient quelque peu, mais m’excitaient aussi beaucoup. Je me suis masturbé sur mon lit, mes jambes par-dessus la tête, et j’ai dirigé les jets de spermes vers ma bouche pour les avaler. Le goût étais très différent, plus sucré, la texture plus comme de l’eau.
J’étais très content de ma nouvelle découverte.
Mais ce que j’allais vivre la semaine d’après était une toute autre découverte